Dimanche le 2/01/2023 à 16h

Malgré les changements, Montpellier est toujours d’attaque
Après avoir changé de coach, Olivier Dall’Oglio remplaçant Michel Der Zakarian en fin de contrat après quatre ans de service dans l’Hérault, et perdu ses deux attaquants vedettes, Andy Delort et Gaëtan Laborde, le MHSC, porté par Téji Savanier, a bien digéré son intersaison.
Comme sur les bords du Krimmeri, une page s’est tournée en fin de saison dernière du côté du quartier de La Paillade cher à la famille Nicollin. Après avoir dirigé le Montpellier Hérault SC durant quatre saisons, Michel Der Zakarian n’a en effet pas été prolongé sur le banc.

Le bilan sportif n’était pas mauvais, le club se classant au 8e rang après avoir tutoyé les places européennes jusqu’au dernier tiers de la saison. Mais le temps a sans doute fait son œuvre – comme le souligne habilement la série documentaire “Montpellier héros” diffusée sur une célèbre chaîne cryptée – et l’emblématique capitaine du MHSC dans les années 90 a laissé la place, à la fin de son contrat, à Olivier Dall’Oglio dans un chassé-croisé entre le Finistère et l’Hérault.

Le désormais ex-coach du Stade brestois pensait sans doute récupérer l’un des meilleurs duos de la Ligue 1 la saison passée. Mais Andy Delort (15 buts) a filé à Nice juste avant que Gaëtan Laborde (16 buts) prenne la direction de Rennes. À ces départs en fin de mercato, s’est ajoutée la retraite de Vitorino Hilton, l’emblématique brésilien, qui aura poussé sa carrière jusqu’à l’orée de ses 44 ans, passant les dix dernières années à l’ombre de la Mosson.
Savanier rayonne

Le MHSC n’est certes pas resté inactif sur le marché des transferts en accueillant l’ex-international français Mamadou Sakho pour ramener de l’expérience en défense et en offrant une chance de se relancer à Valère Germain après une dernière saison à trois buts avec l’OM. Mais Olivier Dall’Oglio a semblé avancer à tâtons durant une douzaine de journées.

Comme l’a fait Julien Stéphan avec le Racing, le technicien a trouvé la formule pour passer à la vitesse supérieure. Les deux équipes – qui étaient déjà au coude à coude quand elles se sont affrontées au match aller en Ligue 1 à la Mosson (*) –, sont ainsi montées en puissance sur le deuxième quart de la saison.

Les Montpelliérains ont même fini l’année 2021 en trombe, remportant leurs quatre derniers matches de championnat. Cinquièmes avec 31 points (soit cinq de plus que le Racing, qui compte un match en moins), ils ont aussi fait le travail en Coupe de France à Andrézieux (N2) grâce à un but d’un Téji Savanier qui rayonne au milieu du 4-2-3-1 prôné par Olivier Dall’Oglio.

À 30 ans (depuis le 22 décembre), l’enfant de la Cité Gély semble d’ailleurs n’avoir jamais autant pesé dans le jeu de son équipe. Et ses statistiques s’en ressentent, lui qui a signé autant de buts (5) et de passes (6) en 16 matches de Ligue 1 qu’en 27 la saison passée. « C’est un joueur qui emmène son équipe », résumait son coach dans les colonnes de L’Équipe à l’issue de la victoire à Metz (1-3), le 1er décembre.
« Il y a du potentiel offensif dans cette équipe »

« Il a des atouts à faire valoir. Ce qu’il fait, c’est très, très bien… mais comme d’autres. Je pense à (Jordan) Ferri, à (Stephy) Mavididi ou à (Valère) Germain. Il y a du potentiel offensif dans cette équipe. C’est pour cela, aussi, qu’ils sont à cette place », souligne Mathieu Le Scornet, l’adjoint de Julien Stéphan.

Avec 33 buts inscrits sur le cycle aller, l’attaque montpelliéraine n’a en effet pas grand-chose à envier à celle du Racing, deuxième dans le domaine avec ses 34 buts. On verra dimanche si, sur un match de Coupe, les deux formations tenteront la carte offensive. En championnat la saison passée, le MHSC et le Racing s’étaient séparés sur un 4-3 à la Mosson après une première période assez folle (3-3).

(*) Respectivement 12e et 14e avec un point d’écart avant le match, le Racing et le MHSC se sont neutralisés (1-1) lors de la 9e journée
dna

dna a écrit :
Aholou testé positif au Covid
Considéré comme cas contact à son retour de Côté d'Ivoire après la trêve, et laissé à l'écart du reste du groupe par précaution malgré un premier test PCR négatif, Jean-Eudes Aholou en a passé un second qui s'est révélé positif. Asymptomatique, le milieu de terrain ne fera pas le déplacement à Montpellier, dimanche (16h, en Coupe de France).
Après avoir repris mardi en trois groupes en attendant les résultats des tests PCR, puis en comité légèrement réduit le mercredi matin – les joueurs qui ont voyagé le plus loin durant la trêve ont repris l’après-midi par précaution les Racingmen étaient quasiment au complet ce jeudi matin sur le terrain d’entraînement.

Alexander Djiku et Habib Diallo – les deux joueurs qui ont eu le droit de quitter leurs sélections respectives pour rejoindre leur club et jouer ce week-end avant le début de la CAN (du 9 janvier au 6 février au Cameroun) –, étaient bien présents, tout comme Ludovic Ajorque, Kévin Gameiro, Moïse Sahi et Majeed Waris.
Jean-Eudes Aholou, qui était cas contact mais testé négatif à son retour de Côte d’Ivoire, devait rester à l’écart du groupe et être testé quotidiennement. « Le dernier test qu’il a passé s’est révélé positif. Il est asymptomatique et doit rester à l’isolement », a précisé Kader Mangane, le coordinateur sportif du Racing. Le milieu de terrain ne pourra donc pas être du déplacement à Montpellier dimanche en Coupe de France.
Caci ménagé en fin de séance
Anthony Caci, le latéral gauche, a dû écourter la séance de ce jeudi, rentrant aux vestiaires avant les oppositions sur terrain réduit. « Il s’est plaint un peu sur un centre, il a senti une petite gêne à un genou. On avait quasiment fini le grand jeu et on a préféré le faire rentrer. Il va être checké mais je pense que ce n’est rien de méchant », a rassuré Jean-Marc Kuentz, l’un des adjoints de Julien Stéphan, placé, on le rappelle, à l’isolement après avoir été testé positif durant les fêtes.

Deux joueurs sont encore en phase de reprise : le défenseur Maxime Le Marchand (absent depuis le 7 novembre en raison de douleurs dorsales) et le jeune milieu de terrain Nordine Kandil (forfait avant le déplacement à Clermont pour un petit problème à un tendon rotulien). Comme la veille, ils ont enchaîné des longueurs de terrain en compagnie du préparateur physique Guillaume Jahier.

Après le brouillard, la Mosson
Qualifié dans le brouillard à Valenciennes le 16 décembre, six jours avant de subir le report de son dernier match du cycle aller de Ligue 1 à Clermont-Ferrand, le Racing va tenter ce dimanche (16h) à Montpellier de gagner son billet pour les 8es de finale de la Coupe de France.

Le 19 décembre – dans la foulée d’une interminable séance de tirs au but à Saint-Brieuc fatale (12 à 13 !) à Dinan-Léhon (N3) face aux pros du Stade brestois (L1) –, l’ancien défenseur international Frédéric Déhu n’a pas eu la main spécialement légère pour le Racing au moment de procéder au tirage au sort des 16es de finale de la Coupe de France.

Sortie trois jours plus tôt, pour son entrée en lice dans la compétition, du piège valenciennois dans un brouillard où il était tout juste possible de discerner son coéquipier sur la pelouse du stade du Hainaut (0-1), la bande à Julien Stéphan a hérité d’un nouveau match à l’extérieur, mais cette fois chez une équipe de Ligue 1 : Montpellier.

« Ce n’est pas le tirage idéal, c’est certain, mais on n’a pas le choix », avait alors déclaré le coach du Racing qui ne pouvait se douter que, quinze jours plus tard, il serait obligé de rester devant sa télé pour suivre ce match-là. Testé positif durant les fêtes de Noël, mais asymptomatique, le technicien breton est en effet à l’isolement.

Sauf catastrophe climatique au-dessus du stade de la Mosson, Julien Stéphan devrait réussir à regarder sans trop de soucis la rencontre de ce dimanche. On n’imagine pas que le brouillard s’invite une troisième fois dans la partie.

Après l’épisode nordiste, les Strasbourgeois ont en effet subi les aléas climatiques le 22 décembre à Clermont-Ferrand. Ce coup-là, la rencontre, la dernière du cycle aller de Ligue 1, a été reportée faute de visibilité suffisante au stade Gabriel-Montpied.

Dimanche, il y a tout de même peu de risque qu’une brume épaisse remonte la Méditerranée pour noyer le quartier de la Paillade et son stade de la Mosson. Il ne doit pas faire grand soleil au-dessus de Montpellier, mais il serait irréel de subir en plein après-midi de telles conditions.

À quelque 800 kilomètres de là, depuis son canapé, Julien Stéphan ne devrait donc pas chercher d’improbables réglages sur son poste pour suivre les événements et pouvoir ainsi communiquer avec ses adjoints – Mathieu Le Scornet et Jean-Marc Kuentz, en tête – comme il le fait à distance depuis mardi (lire ci-contre).
« On sait où on va et ce qu’on doit mettre en place »

Les débats entre deux des équipes les plus offensives de la Ligue 1 pourraient bien être animés. Peu ou pas touchées par l’actuelle vague de Covid – seul le Strasbourgeois Jean-Eudes Aholou a été, pour l’instant, testé positif (il est, lui aussi, asymptomatique) –, les deux formations auront à cœur d’entamer l’année 2022 de la meilleure manière.

Le problème, c’est qu’en Coupe de France, il ne peut y avoir qu’un seul heureux à la fin du match. Et comme il n’a pas eu la chance au tirage d’évoluer chez lui, le Racing part au combat avec un handicap non négligeable.

« Dès qu’on en a pris connaissance, on savait que c’était un tirage très compliqué, appuie Mathieu Le Scornet. On sait où on va et ce qu’on doit mettre en place. On élabore les problématiques de jeu qui pourraient se rencontrer. »

Cette saison, les deux équipes – assez “jumelles” dans leur évolution au classement – se sont déjà croisées à la Mosson, se partageant les points lors de la 9e journée de Ligue 1 au terme d’un match plus emballant que le score (1-1) peut laisser croire. Depuis ce 2 octobre, elles sont toutes les deux montées en puissance pour s’installer dans la première partie de tableau.

Mais si les dynamiques des deux formations en championnat et leur envie de jouer vers l’avant laissent espérer un match intense, l’enjeu de cette Coupe de France pourrait aussi prendre le pas sur un enthousiasme débordant. D’autant plus que la “Vieille Dame” plaît aux deux parties qui ne voudront peut-être pas risquer de se découvrir.

Le MHSC, demi-finaliste de la dernière édition, a remporté la Coupe de France à une reprise, en 1990. Le Racing, lui, a soulevé le trophée trois fois (1951, 1966, 2001) et n’a pas envie de s’arrêter aussi tôt cette année, onze mois après avoir été éliminé dès son entrée en lice par… Montpellier.
« La Coupe, c’est dans l’ADN des deux clubs »

« La Coupe, c’est dans l’ADN des deux clubs, dans notre équipe avec plusieurs joueurs qui ont gagné la Coupe de la Ligue (en 2019, NDLR) mais aussi dans notre staff », souligne Jean-Marc Kuentz qui, lors de son passage au Stade rennais a remporté l’épreuve en 2019 aux côtés de Julien Stéphan et Mathieu Le Scornet. « Les valeurs des deux clubs sont proches, il y a vraiment un esprit orienté vers la gagne, avec des joueurs humbles, travailleurs », renchérit ce dernier.

Pour voir le tour suivant, « il faudra mettre un engagement incroyable », insiste Mathieu Le Scornet. « On sait que ça draine beaucoup de choses derrière », glisse aussi Jean-Marc Kuentz. Un engouement et une ferveur populaires connus également du côté du MHSC. Ce dimanche, c’est sans doute l’équipe qui voudra le moins y renoncer qui passera.
dna

Ils auront BEAUCOUP DE MAL là-bas vu comme ils craignent à l'extérieur, en plus avec Kawa dans les caisses.

Je leur donne quand même une chance de gagner

1 sur l'infini.

La compo est tombée côté Racing
RACING: Sels - Fila, Guilbert, Perrin, Djiku, Liénard - Sissoko, Prcic, Gameiro - Ajorque, Diallo. Entraîneurs: Mathieu Le Scornet et Jean-Marc Kuentz.

But 1-0 Ristic

Seul à 25 mètres des buts, Mihailo Ristic envoie une lourde frappe du gauche à ras-de-terre au premier poteau. Sels est battu, tout comme Ajorque qui n'était pas très vif au pressing.

Carton jaune pour Diallo pour une faute sur Chotard.

Penalty pour le Racing !

Diallo s'élance et envoie le ballon dans les nuages.

C'est la mi-temps à la Mosson.

C'est reparti à La Mosson. Au tour de Strasbourg d'effectuer l'engagement.

Carton jaune pour Ibou Sissoko pour une faute sur Wahi,

Diallo est remplacé par Bellegarde

Fila est remplacé par Thomasson

Carton jaune pour Ajorque suite à un tacle très en retard sur Jordan Ferri.

Petit événement au Racing où Mothiba entre à la place de Prcic. Le Sud-Africain n'a plus joué en match officiel depuis le 29 février 2020 et un match à... Montpellier.

Gioacchini remplace Wahi à Montpellier.

Carton jaune pour Bertaud qui a mis du temps pour frapper son renvoi aux six mètres.

Savanier est remplacé par Sambia.

Sissoko est remplacé par Sahi.

Cozza est remplacé par Thuler.

Germain est remplacé par Makouana.

Il y aura 4 minutes de temps additionnel.

Coup de sifflet final

1-0 pour Montpellier

.

Mêmes pas foutus de cadrer un péno et ça deux fois de suite + multitude d'occasions gâchées = élimination. Quelle bande de branques.

Normal il n'y avait pas le vrais entraineur

Il aurait fallu qu'il soit là car 1 tir cadré en plus de 90 MINUTES !!!

Un derby pour permettre au Racing de rebondir
Éliminé dès son entrée en lice à la Meinau par Montpellier (0-2) la saison passée, le Racing avait su rebondir en championnat quatre jours plus tard à Metz (1-2). Après leur élimination à la Mosson (1-0), les Strasbourgeois voudront tourner la page dans le derby dimanche à Saint-Symphorien.
Si depuis qu’il est remonté en Ligue 1, le Racing a su ajouter une ligne à son palmarès en remportant à Lille le 30 mars 2019 l’avant-dernière édition de la Coupe de la Ligue (aux dépens de Guingamp), la Coupe de France ne lui réussit pas vraiment.

Il y avait bien eu un quart de finale perdu à Chambly (0-1), le 28 février 2018, chez le pensionnaire de National après avoir éliminé Dijon (3-2 a.p.), Lille (2-1) à la Meinau puis Grenoble (National) en déplacement (0-3). Mais depuis, les Strasbourgeois n’ont pas réussi à intégrer les huit derniers rescapés.

« La première mi-temps nous a ramenés à la réalité d’un match de compétition »
En janvier 2019, après avoir sorti Grenoble (monté en Ligue 2), le Racing est tombé au Parc en 16e de finale (2-0) face au PSG qui allait perdre la finale contre le Stade rennais de Julien Stéphan. Un an plus tard, après avoir écarté Le Portel (N3) puis Angoulême (N2) sans trembler, c’est au Vélodrome que les Strasbourgeois avaient rendu les armes face à l’OM (3-1) en 8e de finale.

La saison dernière, les Racingmen étaient tombés à la Meinau, dans un froid glacial, contre un Montpellier HSC futur demi-finaliste (battu dans son antre aux tirs au but par le PSG, le lauréat).

Dimanche, pour leur deuxième match dans une édition de nouveau normale de la “Vieille dame”, les Strasbourgeois – privés de leur coach, qui a pu reprendre son poste ce lundi – espéraient prendre leur revanche sur les Héraultais. Mais après avoir vaincu le brouillard et une équipe de Ligue 2 à Valenciennes au tour précédent, grâce à un but d’Habib Diallo, la bande à Dimitri Liénard n’a pas réussi à forcer son destin.
Mihailo Ristic, d’une superbe frappe du gauche, a donné la victoire au MHSC alors que le Racing peut regretter le penalty raté par Habib Diallo et « un manque d’adresse », selon Jean-Marc Kuentz, qui coachait ce dimanche avec Mathieu Le Scornet.

« On savait que ça serait difficile de jouer Montpellier à l’extérieur. Sur l’ensemble du match, en étant réaliste, on pouvait aller aux penalties. En termes d’occasions, on a eu largement autant de situations dangereuses. Mais face à nous, il y avait un pied, une tête. C’est frustrant à ce niveau-là », retenait l’entraîneur-adjoint du Racing.

Son collègue Mathieu Le Scornet, “orphelin” pour la première fois de Julien Stéphan sur un banc à ce niveau de compétition, résume l’élimination sobrement : « On savait dès le tirage que ça allait être un match compliqué, la première mi-temps nous a ramenés à la réalité d’un match de compétition. »

Le MHSC saura ce mardi qui il affrontera en 8e de finale alors que Laurent Nicollin peut encore rêver de marcher un peu plus dans les traces de son père Louis, qui avait soulevé le trophée en 1990. Le Racing, lui, va pouvoir se concentrer uniquement sur le championnat.

Hasard du tirage au sort de la Coupe de France et du calendrier de la Ligue 1, les Racingmen vont avoir l’occasion de tourner rapidement la page montpelliéraine avec le derby contre Metz. En février dernier, quatre jours après l’élimination, Adrien Thomasson avait signé un doublé à Saint-Symphorien, offrant la victoire (1-2) au Racing et un peu de joie à ses supporters dans une saison bien tristounette.

« La chance de rejouer assez vite »
La perspective de ce derby retour – après celui dominé à la Meinau à l’aller (3-0) le 17 septembre – peut en effet permettre d’évacuer un peu plus vite la frustration de l’élimination en Coupe. « On a la chance de pouvoir rejouer assez vite et de se focaliser sur un nouvel objectif », confirme Mathieu Le Scornet.

S’il a moins de joueurs concernés par la Coupe d’Afrique des Nations que son rival messin (sept sélectionnés), Julien Stéphan devra faire sans Habib Diallo et Alexander Djiku. L’absence du Sénégalais pourra être compensée par Moïse Sahi, Majeed Waris ou encore le “revenant” Lebo Mothiba. Celle de l’international ghanéen pourrait être plus problématique en l’absence de Maxime Le Marchand et si Gerzino Nyamsi (mollet) et Anthony Caci (genou) tardaient à revenir, ce qui ne semblait toutefois pas être à craindre ce lundi.

Pour bien rebondir, le Racing aura besoin de toutes ses forces vives dans le derby.

Ajorque suspendu contre Montpellier. Ludovic Ajorque a écopé dimanche à la Mosson d’un troisième avertissement, après ceux à Nice (le 5 décembre) et contre Marseille (le 12), en moins de dix matches. Il sera donc suspendu pour la réception de… Montpellier le 16 janvier.
dna