Samedi le 24/02/2024 à 21h

JAMAIS dans aucun match l'arbitre n'est impartial alors qu'il aide toujours les autres clubs comme Lorient, le QSG etc

Kenny Lala, le vent le portera
À 32 ans, Kenny Lala est arrivé à maturité et a même trouvé une seconde jeunesse au Stade Brestois, nouveau dauphin du Paris Saint-Germain en Ligue 1. L’ex-latéral du Racing revient ce samedi (21h) à la Meinau avec la ferme intention de rester en haut de l’affiche.
La dernière fois qu’il a foulé la pelouse strasbourgeoise, Kenny Lala y a délivré un ballon de but. C’était le 17 janvier 2021, dans une Meinau glaciale, à huis clos en raison des mesures sanitaires pour limiter la circulation du Covid, et Ludovic Ajorque en avait profité pour enfoncer Saint-Étienne (1-0).

Sur les images, on voit Bellegarde, Diallo, Caci, Djiku et Thomasson féliciter les deux hommes. Et on se dit que le temps a filé à toute vitesse, plus aucun des joueurs précités ne portant aujourd’hui le maillot du Racing.
« Une équipe solide et solidaire »
Lala a donc été le premier à partir. Après trois saisons et demie chez les Bleus, le natif de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, a voulu tenter une expérience à l’étranger. C’est à l’Olympiakos Le Pirée qu’il a posé ses valises.

« J’ai connu de bonnes années à Strasbourg, mais ce passage en Grèce a contribué à faire de moi le joueur que je suis devenu et celui que j’ai encore envie d’être, dit-il. Il a fallu casser des barrières, gagner sa place dans un pays où personne ne m’attendait. En termes d’exigence, j’ai beaucoup appris. »

Deux titres de champion de Grèce (2021 et 2022) et quelques matches de Ligue Europa plus loin, le latéral droit retrouve la Ligue 1. Il l’avait quittée par l’Est, il la retrouve tout à l’Ouest, auprès d’un Stade Brestois alors engagé dans une indécise lutte pour le maintien sous les ordres d’un coach fraîchement recruté, Eric Roy.

« Quand je suis arrivé, c’était compliqué, mais il y a un truc qui s’est créé, dit-il. On apprend toujours plus dans la difficulté. La cohésion du groupe s’est faite à ce moment-là. On est devenu une équipe solide et solidaire. »
La victoire décrochée à la Meinau (1-0), le 5 mars dernier, avait participé de cette prise de conscience. Lala avait d’ailleurs tenu à être du déplacement alors qu’il était blessé.

Les bons résultats se sont succédé, les Finistériens se sont maintenus tranquillement (14es ) et la bonne série s’est poursuivie quand la nouvelle saison a débuté.

« On sait d’où l’on vient, on sait ce qu’on vaut. Chacun a un objectif individuel, mais ça se rejoint au niveau du collectif. On est comme une famille et ça paye », avance-t-il pour expliquer l’incroyable réussite des Brestois qui se sont hissés au deuxième rang après leur dernier succès contre Marseille (1-0).
Dans cette équipe de “sans-grade”, le trentenaire est devenu une pièce maîtresse qui n’a pas manqué un match cette saison. « J’accepte le rôle de cadre, dit-il. Avec mon expérience et ma maturité, j’ai plus de légitimité auprès des jeunes. Je leur parle beaucoup. J’essaye d’être irréprochable sur le terrain où je refuse de perdre un ballon, un duel. Je ne lâche jamais rien. »

« Épanoui dans ma vie d’homme »
En dehors des terrains, Lala, plutôt introverti et taiseux à son époque alsacienne, a aussi changé. « Je suis épanoui dans ma vie d’homme, de papa et de mari. Quand tous les feux sont au vert, ça ne peut que fonctionner. »
Si Eric Roy est le « capitaine du navire » – « Il a toujours le sourire, il crie quand il faut crier, il va au feu quand il le faut, il nous met en confiance, on fait le max pour le rendre heureux » – l’entraîneur trouve en son n°27 un bon lieutenant. De ceux qui veillent à ce que l’équipage ne s’enflamme pas.

« La Coupe d’Europe, on n’en parle pas, si ce n’est en lançant de petites piques dans les vestiaires, sourit-il. Tout le monde a envie d’aller le plus loin possible et de gagner chaque match, mais on ne se projette pas au-delà de celui qui arrive. »

Or le prochain est programmé ce samedi (21h) à la Meinau. Kenny Lala y reviendra avec plaisir, histoire de revoir les dernières têtes connues – « il y a Ibou Sissoko, Marvin Senaya, Lebo Mothiba… » –, d’évoluer « dans un stade plein » et, surtout, d’étirer la série d’invincibilité qui court sur onze journées (7 succès, 4 nuls) en Ligue 1.
dna

Brest fait beaucoup de fautes non sifflées.
Secret de leur réussite.

Se priver d'Aholou et Prcic (qui s'entraînent pourtant) quand on voit l'apport d'un Sissoko est criminel, une faute professionnelle grave.

Je le sens vraiment pas ce match... 

Je viens de voir avec beaucoup de patience la mi-temps Lorient-Nantes : comment une équipe peut perdre contre ces deux brêles, qui plus est à domicile, c'est ahurissant.

On appelle ça le racing

But de Camara 0-1

Brest concrétise en Alsace. Après une frappe de Martin Satriano contrée par Lucas Perrin, le ballon revient sur Mahdi Camara, qui reprend sans contrôle du pied droit près de la surface. A gauche du gardien alsacien.

But de Camara 0-2

Démarqué au point de penalty sur une passe en retrait de Satriano, Mehdi Camara marque sans opposition sous les sifflets de la Meinau

Sur ce deuxième but, les Brestois déroulaient depuis un moment, à une ou deux touches de balle, face à un Racing en manque de combativité, d'impact.

3 minutes de temps additionnel en Alsace.

Les sifflets nourris de la Meinau pour le retour aux vestiaires.

C'est la mi-temps. 0-2

On se croirait donc revenu à la case départ. Là où on se demandait comment le Racing pourrait s'en sortir en Ligue 1, où on ne le voyait pas au niveau. Il y eut cette parenthèse enchantée, entre début décembre, à partir du nul... à Brest, et fin janvier. N'était-ce qu'illusion? Même quand ils ne gagnaient pas, les Strasbourgeois enchantaient par leur jeu. Ne manquait qu'un surplus de buts. On l'avait senti, le coup d'arrêt subi devant Lorient a fait très mal. Il a totalement stoppé le Racing dans son élan. Et ce soir, c'est le néant!

A boulets rouges sur Blueco
La deuxième banderole déployée par lekop au cours de la première période fait encore plus écho après une telle prestation : « Perdre ses cadres, stratégie déplorable, un seul responsable : BLUECO »

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Le match reprend
C'est reparti en Alsace, où Jérôme Brisard, a relancé la seconde période. Les Strasbourgeois ont débuté avec le ballon dans une enceinte silencieuse.

Penalty pour Brest!
Une main de Perrin. Mais le ballon ne serait-il pas déjà sorti ?

But de Camara SP 0-3

Penalty pour Brest!
Une main de Perrin. Mais le ballon ne serait-il pas déjà sorti ?

But de Camara SP 0-3

Brest s'envole. Mahdi Camara, qui ne semblait pas être le tireur désigné, ne tremble pas et ajuste Alaa Bellaarouch, parti au sol du mauvais côté.

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Kevin Gameiro a été remplacé par Andrey Santos (Strasbourg).

Junior Mwanga a aussi laissé sa place à Rabby Nzingoula (Strasbourg).

Mathias Pereira Lage est sorti pour Jérémy Le Douaron (Brest).

Carton jaune pour Frédéric Guilbert (Racing), très en retard sur Romain Del Castillo.

Le stade commence à vider doucement. Soirée très compliquée pour le collectif de Patrick Vieira, dominé dans tous les secteurs du jeu.

Mahdi Camara, auteur d'un triplé, a été remplacé par Kamory Doumbia, titulaire avec Brest dimanche dernier face à l'OM (1-0).

Deminguet remplace Sissoko,

Bechikh succède à un Emegha abondamment sifflé.


Mais quelle triste soirée. On touche le fond, dans tous les domaines. A tel point que la question se pose: comment s'en relever?

Il reste dix minutes, sans oublier le temps additionnel. La Meinau commence à se vider de partout.

Une grosse purge ! 

Satriano est remplacé par Lebeau (Brest).  Avec les applaudissements pour Lebeau.

Lees-Melou est remplacé par Brahimi (Brest).

Quatre minutes de temps additionnel

Carton jaune pour Andrey Santos (Strasbourg), après un tampon sur Brendan Chardonnet.

Coup de sifflet final 0-3

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nicolas a écrit:

Une grosse purge ! 

Personnellement je croyais a un match nul même plus

Uh uh uh. Avec un péno-cadeau (pourtant Noël est passé) pour que le brestois fasse son triplé.
La blessure de Diarra est catastrophique.
Ils doivent bien rigoler Aholou et Prcic !
Pas assez bons pour cette "équipe" !

Perrin qui joue et Sylla sur le banc, plein de joueurs pas à leur poste, aucune tactique, aucun doute, on a trouvé le remplaçant de fürgland. La série (noire) commence...

Marco 69/73 a écrit:

On appelle ça le racing

L'Alsace est maudite.