Pas le club qui ne le mérite pas mais le gugusse.

C'est quand même eux (Lens) qui l'on fait venir.

RC Lens : Martel - Percheron ou le temps venu de la discorde
La proximité et même la complicité qui ont longtemps caractérisé les relations entre Gervais Martel et Daniel Percheron ont laissé place à des divergences un temps voilées, aujourd’hui déclarées.
S’ils gardent en commun une profonde passion pour le club lensois, le président du RC Lens et le président de Région sont désormais en désaccord sur la manière dont doit être géré le Racing. Au point de tenir des discours contradictoires, ce fut le cas de manière flagrante jeudi soir à Bollaert-Delelis
Pour justifier l’absence d’Hafiz Mammadov à la soirée après avoir annoncé sa venue voici quelques semaines, Daniel Percheron invoque « l’annulation de l’inauguration ». Gervais Martel de corriger plus tard : « C’est Mammadov qui a demandé que cette réunion soit à 18 heures (et non le matin comme prévu initialement). Il n’est pas là… »

« Il faut partager Bollaert »

Désaccord aussi quant au mode de gouvernance du RC Lens. Lorsque Daniel Percheron souhaite que les supporters puissent entrer au capital du club, ou qu’il réclame une intelligence collective territoriale, il s’adresse cette fois directement au président lensois : « Gervais, n’oublie jamais que Bollaert comme le Racing sont des biens communs. Il faut partager Bollaert. »
La réponse de Gervais Martel est aussi directe : « Si on veut continuer à proposer des places à 4 €, ils faut bien des salons, des partenaires… Si c’est ça le foot business, OK j’assume. Le foot a évolué. Soit on critique ses dérives, soit on s’occupe d’un club de ping-pong… »
Le voyage « en solo » de Daniel Percheron à Bakou où il a rencontré Mammadov fin septembre était bien plus qu’un simple accroc dans leurs relations.

La Voix du Nord

Un Hilali presque bis

Pour les mêmes conséquences? -----> CFA2

Je ne pense pas .

Un investisseur américain au secours du RC Lens ?

Toujours sans nouvelles de Hafiz Mammadov, Gervais Martel recherche activement un nouvel investisseur pour le RC Lens. Si l’homme d’affaires belge Grégory Maquet s’est déclaré officiellement candidat à la reprise du club Sang & Or, le président aurait un plan B sous la main.
Luc Dayan, ex-président du RCL et conseiller de Grégory Maquet, dévoile aujourd’hui dans un entretien accordé à L’Équipe que Gervais Martel a « été approché par des intermédiaires au nom d’un groupe américain ». Alors qui de la Belgique ou des Etats-Unis volera au secours du RC Lens ? La balle est en tout cas dans le camp de l’actuel propriétaire, Hafiz Mammadov.
Foot mercato

Quel boxon et pourtant ils ne sont pas si loin des places qui permettent d’accéder à la L1.

Oui tu as raison , mais comme Hafiz Mammadov joue au chat et à la souris avec eux il essaye de trouver quelque chose de solide, mais j'ai l'impression qui ne sont pas encore sortie de l'auberge.

Les Red Tigers, une association de supporters du RC Lens, bannis du stade Bollaert-Delelis
Gervais Martel, le président du RC Lens, a annoncé ce lundi que les membres de l'association de supporters les Red Tigers, ne seraient pas autorisés à se rendre à Bollaert-Delelis pour le prochain match des Sang et or.
Gervais Martel, le président du RC Lens s'est montré ferme. «La tribune Marek (celle du kop, ndlr) devait être fermée mardi à la suite des nombreux incidents sur les grilles et les sièges lors des matches à domicile. Nous avons obtenu le maintien de l'ouverture à deux conditions: effectuer des travaux de renfort de structure des grilles et que les Red Tigers, à l'origine de la majorité des incidents cette saison, à domicile et à l'extérieur, soient interdits de présence dans l'enceinte sportive jusqu'à nouvel ordre», a déclaré le dirigeant lensois, ce lundi lors d'une conférence de presse.
Pour Gervais Martel, les incidents qui ont émaillé la rencontre Le Havre-Lens (2-0), samedi sont inadmissibles. «Sur le dernier match au Havre, il y avait presque danger de mort, a rappelé le président du RCL. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. On ne peut plus défendre ce qui n'est plus défendable. Qu'on ne me dise pas que ce n'est pas de leur faute. Je n'ai jamais vu quelqu'un de la police jeter un siège sur des supporters.»
«Trop c'est trop, quand il y a danger sur l'intégrité des gens ce n'est pas possible. C'est une décision dure et difficile à prendre mais je dois protéger le club et ceux qui l'aiment»
Les abonnements automatisés des quelque 400 membres de l'association de supporters seront donc désactivés mardi pour la rencontre de Ligue 2 face à Brest.

«Je ne suis pas sheriff mais j'ai une responsabilité: assurer la sécurité du public, a ajouté Martel. Trop c'est trop, quand il y a danger sur l'intégrité des gens ce n'est pas possible. C'est une décision dure et difficile à prendre mais je dois protéger le club et ceux qui l'aiment. J'espère que cette mesure va servir à sensibiliser ces gens-là, qui sont inarrêtables quand ils partent aux matches.»
equipe

RC Lens: Gervais Martel se rend (encore) en Azerbaïdjan
Le président lensois espère trouver des solutions aux problèmes économiques de son club...
Et un contre-pied de plus. Alors qu’il avait annoncé une conférence de presse aujourd’hui sur les finances du RC Lens, Gervais Martel a repoussé le rendez-vous à la semaine prochaine. Pendant que son club, 7e de Ligue 2, se déplace à Tours ce vendredi, le président lensois se rend dans le même temps à Bakou.

Interdit de recrutement

Dans la capitale de l’Azerbaïdjan, patrie d’Hafiz Mammadov, actionnaire majoritaire du club, le dirigeant du Racing ne désespère pas de trouver enfin une solution aux problèmes économiques du club.
Interdit de recruter, le club est menacé de rétrogradation administrative en National (ou de maintien en L2 s'il termine dans les trois premiers) s’il ne trouve pas 4,5 millions d’euros d’ici le 30 juin.
20minutes

Il peut demander au mec qui a gagné 17 millions d'E hier soir au loto.

La personne qui a gagné cette somme serait bien bête de l'injecter dans un club de foot, bien que moi je serais capable d'y mettre quelques ronds, mais avec une autre direction.(je parle du Racing de Strasbourg)

Le club menacé de relégation en National
Une semaine après son passage devant la DNCG, Lens n'a toujours pas communiqué l'avis rendu par l'instance de contrôle. Pourtant, le club artésien se serait bien vu notifier une relégation d'une division à titre conservatoire.
S'il n'y avait que le sportif, le Racing Club de Lens serait un club en bonne santé. Mardi, en s'imposant avec la manière contre Brest, les Sang et Or se sont offert le droit de croire à une montée en fin de saison, avec actuellement cinq points de retard sur le troisième, Metz. Mais en coulisses, les tensions sont toujours présentes. En grande difficulté financière depuis que Hafiz Mammadov a décidé de ne plus injecter d'argent frais dans les caisses du club, le club artésien doit éponger une dette de l'ordre de cinq millions d'euros. Une ardoise salée que ne parviennent pas à effacer les dirigeants lensois, dont l'oral de mi-saison devant la DNCG a eu lieu la semaine dernière.
Le podium ou la descente en National ?
De cette audience, on ne sait rien ou presque. Si ce n'est qu'une interdiction de recrutement. L'été dernier, Lens avait eu le droit de recruter à titre non onéreux et avec encadrement de la masse salariale. Un nouveau coup dur pour Antoine Kombouaré qui a confirmé que « l'argent n'est jamais arrivé » après la victoire contre Brest mardi. Mais pour le reste, aucune communication du club qui n'y est de toute façon pas contraint. Pourtant, la DNCG aurait bien notifié à Lens sa décision : une relégation d'une division à titre conservatoire. En clair, une descente en National si le RCL échoue à terminer sur le podium en mai prochain. Une conférence de presse de Gervais Martel initialement prévue ce vendredi, au cours de laquelle le président des Sang et Or était censé lever le voile sur les détails de la décision de l'instance de contrôle, a été reportée à la semaine prochaine.
Un nouveau Mammadov pour sauver Lens ?
Dès lors, comment Lens peut-il s'en sortir ? Le club a besoin d'environ dix millions d'euros. Pour les trouver, Gervais Martel étudierait deux options : trouver un nouvel investisseur comme cela avait été le cas avec Hafiz Mammadov il y a trois ans, ou vendre plusieurs joueurs à forte valeur marchande. On pense notamment au défenseur de 20 ans, Jean-Philippe Gbamin. Mais dans son combat, le club nordiste n'est pas seul et peut compter sur l'important réseau de son président. Il y a deux ans, quand le RCL avait dû batailler pour pouvoir monter en Ligue 1, de nombreux soutiens s'étaient exprimés pour venir au secours de Martel. On se souvient des déclarations de François Hollande ou de Jean-Michel Aulas, qui invoquaient la défense de l'intérêt supérieur du football français, et d'un long conflit judiciaire avec Sochaux, 18eme de Ligue 1 cette saison-là et qui estimait être dans son droit en réclamant d'être repêché.
L'offre de Maquet en suspens
Ces derniers mois, un homme d'affaires belge s'est déclaré intéressé par le rachat du club. Grégory Maquet, patron de Century 21 Benelux, ne souhaite cependant pas uniquement racheter le club mais toute la SASP, c'est-à-dire l'ensemble des parts de Mammadov et de Martel. Et ces dernières semaines, on peut légitimement se demander si tout le monde est tourné uniquement vers le collectif dans ce club. Pour preuve, la communication est fermée. Récemment, des journalistes ont été interdits de conférence de presse à Lens, à l'instar du correspondant de L'Equipe, Joël Domenighetti. Gervais Martel se trouve lui aussi entre deux feux. Le mois prochain doit débuter un procès dans lequel le boss lensois est soupçonné d'avoir obtenu deux prêts de sociétés de construction, en échange d'une promesse écrite d'attribution de marchés dans le cadre de la rénovation du stade Bollaert. Les faits remontent à 2010 et auraient permis à Gervais Martel de renforcer sa position d'actionnaire au RC Lens. Et en plus de cette affaire, le président du RCL va devoir gérer l'avenir de son club au haut niveau, lui qui a des intérêts personnels à rester à la tête de Lens. Un avenir en suspens.
orange sport


Un autre club serait depuis belle lurette en CFA ou en national.

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"Un autre club serait depuis belle lurette en CFA ou en national."
Et son président condamné pour faux et usage de faux.

Le problème cette personne a de bonnes relations.

Reprise du RC Lens : Grégory Maquet abandonne...


L'homme d'affaires bruxellois Grégory Maquet, candidat déterminé au rachat du RC Lens, n'a reçu aucun réponse de l'actionnaire majoritaire Hafiz Mammadov et se retire de la course.

Grégory Maquet n'est plus candidat au rachat du RC Lens. «Je n'ai reçu aucune réponse à ma dernière offre qui expirait à midi, vient-il de nous confier au téléphone. Elle était largement supérieure aux conditions auxquelles a pu accéder Hafiz Mammadov quand il a racheté le club au Crédit Agricole Nord de France (2,5 M€). Nous avons relancé nos interlocuteurs toute la semaine. En vain. Nous avons fait le travail jusqu'au bout. C'est incompréhensible de se heurter à un tel mur. Nous nous retirons de la course au rachat du club. Nous avons pourtant fait les choses dans les règles, dépensé beaucoup d'argent et de temps sur cette affaire. Il est temps que je me concentre sur les miennes.»

L'hommes d'affaires bruxellois avait proposé cette semaine à l'actionnaire majoritaire Hafiz Mammadov un peu plus de 5 M€ d'ici 2017 pour racheter 75% de la SASP RC Lens. Il laissait à l'Azerbaïdjanais trois années supplémentaires pour lui céder ses 25 % restants à un prix restant à définir. «Cela lui permettait de reprendre une partie de son investissement (environ 24 M€ au total), poursuit Maquet, même s'il n'aurait pas récupéré la totalité. Notre plan de développement et de revalorisation était solide. Il pouvait espérer une belle revalorisation.»

«Sans réponse de Mammadov, c'est un problème colossal»
Mais Mammadov n'a donné aucun signe de vie. Et Maquet se dit extrêmement «déçu». «Je reste attentif, indique-t-il. Mais si le club venait à être sous la tutelle d'un administrateur judiciaire, pour nous ce ne serait pas d'actualité. Gervais Martel tente tous les jours de trouver des solutions pour terminer la saison de la moins mauvaise manière. Mais dans le contexte actuel, sans réponse de Mammadov, c'est un problème colossal. On ne résoudra pas le problème tant qu'il ne se montrera pas. Quand j'ai annoncé mon retrait, Gervais Martel était lui aussi très déçu mais il sait que nous avons toujours été transparents.  Dès notre première offre, nous n'avons exigé aucune exclusivité. Gervais pouvait trouver des solutions de son côté. Notre démarche était sérieuse. Et notre offre plus qu'intéressante. Mais ni les politiques ni Gervais Martel ne peuvent contraindre un homme à répondre quand il ne le veut pas.  Soit Mammadov n'est pas réellement au courant de la situation économique, soit il est dans le déni. Je n'ose croire qu'on puisse laisser mourir un club comme le RC Lens. Je garde espoir. Les choses doivent forcément se débloquer.»
equipe

et voilà un autre Racing dans la mouise pour avoir vendu son club à un hurluberlu venu d'où l'on ne sait pas.

Drôle de gus que ce Mammadov, mais qui a vendu à ce marchand de rêve ?

Martel.

Il s'est vraiment mis martel en tête avec ce Mammadov

Si sa serai le racing Strasbourg depuis longtemps il serait en DH.

Marco 69/73 a écrit:

Si sa serai le racing Strasbourg depuis longtemps il serait en DH.

faut pas toujours comparer avec le racing Marco, chaque affaire est différente, le racing a aussi eu ses délais en son temps, il a coulé parce que Hilali a définitivement mis la clé sous la porte sans trouver de repreneur pour liquider le déficit.

candy je suis l'affaire de Lens depuis un certain temps, et je n'en démords pas, le racing serait bien enterré depuis belle lurette , si la situation serait le même que Lens.

Gervais Martel : «Lens va perdurer»
Gervais Martel, le président du RC Lens, veut rester optimiste malgré le retrait de Grégory Macquet, désormais ex-candidat au rachat du club.


Gervais Martel, le président du RC Lens, a réagi dimanche après-midi au retrait de Grégory Macquet, désormais ex-candidat au rachat du club. «Grégory Macquet a fait plusieurs propositions à Hafiz Mammadov qui ont été refusées», a expliqué Martel lors d'une conférence de presse. Le dirigeant lensois a parlé d’un retrait provisoire de l’homme d’affaires bruxellois.


«La solution juridique est de sortir Hafiz Mammadov du club. (…) S’il pouvait remettre de l'argent, il le ferait. Mais il ne peut pas», a assuré Martel, qui a promis qu’«il n’y aura jamais de dépôt de bilan pour le RC Lens.»

«Lens va continuer à perdurer», a juré Gervais Martel, qui a également annoncé que le club allait gagner «entre 3 et 3,5 millions d’euros» cette année.

equipe

RC Lens. Soupçonné de corruption, le président en correctionnelle
Le président du RC Lens, Gervais Martel, passera devant le tribunal correctionnel d'Arras mardi matin. Il est soupçonné de corruption privée et recel d'abus de biens sociaux.

Alors que le RC Lens reçoit ce soir Evian pour la 28e journée de Ligue 2, un autre événement fait parler du club. Son président, Gervais Martel, comparaît mardi matin devant le tribunal correctionnel d'Arras. Il est soupçonné de corruption privée et recel d'abus de biens sociaux pour une affaire de prêts contractés en 2010.

Gervais Martel a contracté deux prêts pour un montant total de 4 millions d'euros auprès des groupes de BTP Ramery et Rabot-Dutilleul, qui figurent parmi les sponsors du club depuis plusieurs années. Les présidents des directoires de ces deux sociétés sont également poursuivis pour corruption passive. Gervais Martel entendait utiliser cet argent « pour rester majoritaire » dans l'actionnariat du RC Lens, a affirmé lundi à l'AFP son avocat, Me Didier Robiquet.
« C'est légal », selon son avocatEn contrepartie, dans une note distincte, Gervais Martel promettait aux deux entreprises de leur accorder des marchés de rénovation du stade. « La nature et les conditions de la rédaction des actes sont contraires » aux dispositions légales réprimant la corruption et le recel d'abus de biens sociaux, a indiqué, sans plus de précisions, le procureur d'Arras Hugues Weremme à l'AFP. A ce titre, les débats de mardi devraient être « très techniques », selon le magistrat.

« Les banques ne voulaient pas prêter de l'argent à M. Martel pour ne pas entrer en guerre contre leurs collègues du Crédit agricole, présents au capital du club », a expliqué de son côté Me Robiquet. « Elles refusaient également que les entreprises Ramery et Rabot-Dutilleul se portent caution pour lui. Donc la dernière solution a été qu'elles lui prêtent directement en même temps qu'elles empruntent à la banque », a-t-il détaillé.

« Tous les actes sont signés et déclarés, signalés à Tracfin », le gendarme financier, a assuré l'avocat. Mais il ne conteste pas que son client ait promis en retour d'accorder en priorité aux deux groupes le marché de rénovation du stade. « C'est légal, ce n'est pas un marché public » pour lequel un appel d'offres doit être effectué, a-t-il plaidé.
Ouest France

et çà continue

http://sports.orange.fr/football/ligue-2/lens/article/lens-n-aurait-pas-du-monter-en-2014-CNT000000kCcu0.html

Voilà à quoi ça sert d'avoir des copains à la FFF

RC Lens: Les incroyables dettes de jeu de Gervais Martel
Le président lensois est poursuivi pour des faits de corruption active ce mardi devant le tribunal correctionnel d'Arras...

Ce sont des chiffres qui donnent le vertige. Soupçonné de corruption active, Gervais Martel passe ce mardi devant le tribunal correctionnel d’Arras. Son tort : avoir obtenu en juin 2010 un prêt de quatre millions d’euros aux entreprises nordistes de BTP Ramery et Rabot-Dutilleul en contrepartie de l’attribution du marché de la rénovation du stade Felix Bollaert.

La moitié du prêt utilisé à des fins personnelles

Le problème est qu’il n’a pas vraiment servi à ce à quoi il était destiné. Si Ramery et Rabot ont accepté de prêter de l’argent au patron du Racing, c’était, à la base, pour lui permettre de maintenir sa position d’actionnaire majoritaire du club en 2010. Pour cela, Martel devait racheter 3 millions d’euros d’obligations. Sauf qu’en fait Martel n’a utilisé que 720.000 euros dans ce dessein. Car après négociations, le président lensois a obtenu que la moitié du prêt lui serve à rembourser des dettes personnelles.

Une dette de 76.000 euros à un bar PMU d’Avion

Deux millions d’euros ont ainsi été dépensés comme suit : 877.000 euros au casino, 76.000 euros dans… un bar PMU d’Avion, 27.000 euros dans des frais de vacances, 21.000 pour des remboursements de dettes de jeu à des particuliers et enfin 700.000 euros pour des remboursements de prêts personnels. « J’ai été un grand joueur, je ne le suis plus. Je conteste ces sommes », s’est défendu Gervais Martel qui a assuré toucher désormais 480.000 euros par an pour ses fonctions de président du Racing.

Quatre mois de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende requis

Pour les faits de corruption active, le procureur a requis quatre mois de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende envers Gervais Martel. Même peine requise pour corruption passive envers Jean-François Dutilleul (Rabot-Dutilleul) et Philippe Beauchamps (Ramery).

20minutes

Grandeur et décadence ...

À se demander comment le club n'a pas été rétrograder, et lui il n'a plus rien à faire dans le foot.