8eme journée
Samedi le 6/10/2018

Bobigny

1 - 4

Schiltigheim 47' Zeoula égalise 51' Genghini 75' Gendrey 90+2' Meyer

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8eme journée
Samedi le 6/10/2018
“Schilick” force 4 !
Après la parenthèse Coupe de France de la semaine dernière, au cours de laquelle ils avaient eu besoin de passer par la case prolongation pour éliminer Erstein, les Bas-Rhinois ont enchaîné positivement sur le synthétique balbynien.

Malgré la reprise de Genghini repoussée du pied par Avognan (11e ) et la volée de Zeoula sur la transversale (14e ), les Alsaciens ne sont pas parvenus pas à mettre leur jeu en place en première période. Et les Franciliens en ont profité. Après un échange dans la surface entre Keita et Douala, avorté par la bonne sortie de Gauclin (31e ), le copier-coller fait mouche 3 minutes plus tard (1-0, 33e ).
« Les murs ont un peu tremblé à la pause ! », avouera Stéphane Crucet, l’entraîneur de Schiltigheim. La mise au point ne tardera pas à porter ses fruits. De la gauche, Nellec centre. Gendrey dévie de la tête pour Zeoula au point de penalty. La reprise de ce dernier remet d’emblée les compteurs à zéro (1-1, 46e ).
Deux mi-temps, deux visages
Deux minutes plus tard, Zeoula déborde sur la droite et trouve au deuxième poteau Genghini dont le coup de tête lobe Avognan (1-2, 48e ). Ayant fait le plus dur en un éclair, les Schilickois imposent leur plus grande maîtrise technique et leur jeu plus fluide à des Séquanodionysiens dont le chemin de croix ne fait que commencer. Peu après l’heure de jeu, d’une longue et précise ouverture, Metzler alerte dans la profondeur Gendrey qui prend d’abord le dessus sur les centraux locaux, résiste ensuite à leur retour, avant de venir glisser le ballon d’une dizaine de mètres dans le petit filet droit d’Avognan (1-3, 66e ).
Les Franciliens auraient pu s’offrir le droit de rêver sur la fin, quand Douala se présente seul devant Gauclin mais, le portier bas rhinois sort vainqueur (88e ). Ils vont au contraire boire le calice jusqu’à la lie. Intenable hier, Zeoula efface deux adversaires sur la gauche de la surface puis trouve aux 6 mètres Meyer qui corse l’addition (1-4, 90e ).
« Il y a eu clairement deux mi-temps. La première, on était encore dans le bus. On a rectifié le tir à la pause en allant les presser plus haut et en jouant plus vite vers l’avant. Notre plus grande maîtrise technique a fait le reste ! », détaille Stéphane Crucet.
dna

chiltigheim   68' Nellec

1 - 0

Creteil

9eme journée
Samedi le 20/10/2018
Schiltigheim  1 - 0    Creteil

Avec le cœur
Un but de Nellec a permis au Sporting d’infliger à Créteil sa première défaite de la saison. Une sacrée performance !
Au coup d’envoi, en accueillant Créteil, favori naturel et déclaré à l’accession en National 1 en fin de saison, le Sporting s’attendait à souffrir. D’ailleurs, en début de rencontre, ce sont les Cristoliens qui se montrent les premiers dangereux mais Gauclin ferme bien son angle devant Dogo (9e ). Peu à peu, les « Verts » commencent à leur tour à pointer le bout de leur nez et à se créer leurs premières situations.

Le Sporting fait plus que jeu égal

Mais Veron se couche bien sur cette tentative de Gendrey (13e ) puis le coup franc botté par Zeoula n’est ensuite pas cadré (21e ). Pas plus que la demi-volée tentée par Cissé (26e ).
Le leader francilien ne se laisse ainsi pas surprendre, même si les hommes de Stéphane Crucet, de mieux en mieux dans la partie, continuent à l’aller de l’avant. D’ailleurs, ce sont les Schilikois qui se procurent la plus grosse occasion de ce premier acte.
La tête de Gendrey, consécutive à un bon centre de Decker, vient fracasser la transversale d’un Veron qui semblait battu (35e ). Juste avant le repos, la reprise de Rakotoharisoa fuit elle aussi le cadre.
En début de seconde période, un frisson parcourt le stade de l’Aar lorsque Ras, d’une lourde frappe aux vingt mètres, trouve la barre de Gauclin (56e ). Par la suite, une jambe schilikoise vient contrer au dernier moment la reprise de Dogo, pourtant idéalement placé (63e ).
Dans la foulée, le Sporting, pourtant un peu plus en difficulté, ouvre le score. Vidovic trouve Nellec dans l’intervalle, lequel s’avance avant d’expédier une jolie frappe croisée dans le petit filet de Veron. Sublime ! (1-0, 68e ).

« Un match d’hommes »

Désireux ensuite de conserver leur court et précieux avantage, les « Verts » ne céderont plus rien aux Cristoliens. À l’inverse, c’est même Gendrey, d’une frappe qui a touché l’équerre du but de Veron, qui aurait pu définitivement plier l’affaire (87e ).
Qu’importe : plus rien ne sera marqué et les Schilikois tiennent leur exploit.
De quoi donner un large sourire à leur entraîneur Stéphane Crucet. « Mes joueurs ont réalisé un match d’hommes, dira-t-il au coup de sifflet final. Ils n’ont rien lâché et c’est ce genre de performance qui nous permettra de créer et de souder un groupe. Je suis très fier d’eux. On revient à quatre points de Créteil et c’est ce qui compte. »
À force d’abnégation, de courage et avec beaucoup de cœur, les Schilikois ont démontré hier qu’ils étaient capables de réaliser de grandes choses. Pourvu que ça dure…
dna

10eme journée
Vendredi le 2/11/2018

Epinal 45' Krasso

1 - 0

Schiltigheim

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 National 2 :
Épinal – SC Schiltigheim (1-0)
La mauvaise affaire
Après son succès sur Créteil il y a deux semaines, le SC Schiltigheim espérait se rapprocher un peu plus de la tête du classement. Un but de Krasso a tout anéanti.
Jusque-là, tout ne se passait pas trop mal pour Schiltigheim. Même s’ils n’avaient pas su matérialiser leur domination territoriale et technique, les Alsaciens ont été assommés juste avant l’heure du repos, trahis par un ancien de la maison.
La 45e minute s’égrenait. Épinal, qui évoluait sur des contres, profitait d’un dernier ballon pour se porter à l’avant.
À la vitesse d’un cheval au galop. Abdelkadous décalait alors Krasso dont la vélocité clouait Gasser sur place. Et Gauclin ensuite.
De quoi maugréer pour les Schilikois qui n’avaient tremblé, avant, que sur cette tentative d’Abdelkadous, quant Gauclin avait été parfait (28e ).
À l’instar de son vis-à-vis, tout de suite sous pression et qui réalisait une parade salvatrice sur la frappe de Martin au ras du poteau (38e ). Schiltigheim avait aussi mis en péril l’édifice spinalien sur ce corner de Vidovic, prolongé par une déviation de la tête de Zeoula.
Le ballon passait devant le but, sans trouver preneur (14e ). À la pause, “Schilik” avait été mal payé.
Manque de réalisme
La suite était plus poussive pour les visiteurs qui, malgré tout, obtenaient les meilleures opportunités dans un second acte musclé.
Il fallait alors un impeccable Idir, auteur d’un arrêt du pied digne d’un gardien de handball devant Martin, qui avait profité d’un centre en retrait de Vidovic (58e ).
Puis Gendrey reprenait un centre de Decker, mais c’était dans le petit filet extérieur (69e ).
Épinal entrait en résistance dans les derniers instants et s’en tirait à bon compte sur l’ultime poussée bas-rhinoise. Un long ballon était repoussé timidement des poings par Idir.
Le renvoi profitait à Genghini, dont la reprise faisait froid dans le dos pour les Spinaliens, la trajectoire échouant au ras du poteau (90e +4).
Les espoirs schilikois partaient en fumée.
dna

11eme journée
Samedi le 10/11/2018

Schiltigheim 11' BUT

1 - 0

Croix

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National 2

Schiltigheim 1 - 0    Croix

Schiltigheim s’est fait peur
Dans une rencontre ouverte, les Schilikois ont battu Croix, un adversaire direct. Mais comme à Épinal, ils ont rencontré des problèmes de finition.
C’était le genre de match à ne pas rater. Dans une poule qui n’offre qu’un seul montant, il est de bon ton de ne pas se faire distancer très vite sous peine de vivre un long championnat.
Dans une série très serrée où le deuxième (Lille II) et le neuvième (Sedan) se tenaient, avant cette journée, à six points, chaque rencontre est capitale. Et Schiltigheim a eu la bonne idée de vaincre Croix alors que dans le même temps, le leader, Créteil perdait à Belfort (1-0).
Les Verts ont joué avec leur bonheur
Pourtant, les Schilikois se sont fait peur. C’est qu’en début de saison, après avoir pris la mauvaise habitude à domicile de se faire rejoindre après avoir ouvert le score (face à Fleury et Lille II), la réminiscence d’une égalisation a flotté jusqu’au bout au stade de l’Aar.
Les Verts ont, d’abord, eu la bonne idée d’ouvrir rapidement le score. Vanherreweghe manquait son dégagement, Gendrey récupérait le ballon et lançait parfaitement Genghini qui ajustait le gardien (12e ).
Dans un match plaisant entre deux équipes joueuses, les occasions, comme le temps, pleuvaient de part et d’autre.
Et les Alsaciens ont joué avec leur bonheur. Ils auraient pu et dû se mettre à l’abri. Peu avant la mi-temps, Metzler pensait doubler la mise sur corner mais sa tête était repoussée par Do Santos (44e ).
De manière récurrente, Schiltigheim éprouvait des difficultés à la finition (34e , 55e , 57e , 67e , 86e ), ce qui avait le don d’énerver Stéphane Crucet.
« On a réalisé une bonne entame de match mais après l’ouverture du score, on s’est liquéfiés. Ça me fait peur car comme la semaine dernière à Épinal, on a gâché des occasions et derrière, on s’est mis la fièvre », analysait le coach. Pour les Bas-Rhinois, la fièvre ne s’est pas transformée en maux plus graves. Docteur Gauclin sortait les assauts nordistes à l’image de ce duel avec De Parmentier où le portier sortait vainqueur (37e ).

À quatre petits points du leader

Dans une équipe coupée en deux, les Croisiens bénéficiaient d’une supériorité numérique conséquente à la perte de balle alsacienne. Ainsi, l’attaque des visiteurs gâchait un 3 contre 1 à la suite d’un ballon perdu par Gasser (49e ).
Tout est bien qui finit bien, donc, pour Schiltigheim qui s’est relevé de sa contre-performance de la semaine passée à Épinal (1-0).
Mieux, avec la défaite des Cristoliens, les hommes de Stéphane Crucet reviennent à quatre points et remettent les compteurs comme ils étaient avant le déplacement spinalien.
La semaine prochaine, place à la coupe et un déplacement à Épernay pour affronter Avize-Grauves (R2).
Mais on parie que les joueurs auront dans un coin de la tête la réception de Sainte-Geneviève la semaine suivante. Un énième match à six points. En cas de victoire, ils dépasseraient les Parisiens.
On vous le dit, la poule D de N2 est plus palpitante qu’une série américaine et en cas de faux pas, son univers est tout aussi impitoyable.
dna

Matchs de Coupe de France

Avize-Grauves – SC Schiltigheim (0-1)

Le strict minimum
En Champagne, Schiltigheim s’est extirpé du piège avizois non sans difficulté. Qu’importe, les Bas-Rhinois verront le 8e  tour.
Ah, les joies de la Coupe de France. Au stade Paul Chandon, tous les ingrédients étaient réunis pour tomber face à une équipe d’Avize valeureuse.
Sur une pelouse bosselée, les Schilikois peinaient, forcément, à produire leur jeu. Avize jouait sans complexe. Cette formation de R2 était bien en place, compacte et solide. Leur gardien Drouin rassurant. Après un quart d’heure, tout le monde avait compris que ce ne serait pas une partie de plaisir pour les Alsaciens.
« Déçu de l’investissement de certains joueurs »
Les Marnais se procuraient même les meilleures occasions en première période. Sans le retour de Decker, Ravenel partait seul au but (19e ). Et si Rondot, hors-jeu, s’était effacé pour Rosmaninho, ce dernier s’offrait un duel face à Schneider (23e ).
Dix minutes plus tard, le portier était même battu mais la tête lobée de Ravenel échouait à quelques centimètres du poteau.
Difficile pourtant de tirer des enseignements de ce match, tant la Coupe est une épreuve à part.
Sur un terrain en mauvais état, gagner sans passer par les prolongations en ne déplorant aucun blessé place la journée sur le sceau de la réussite.
Mais Stéphane Crucet est un perfectionniste. Et s’il veut bien prendre en compte tous les paramètres contraignants, le technicien ne mâchait pas ses mots. « On a été mauvais. Je suis déçu de l’investissement de certains joueurs », reconnaît-il à la fin de la rencontre. « Malgré l’état du terrain, ce n’est pas normal qu’un joueur de R2 effectue des meilleurs contrôles que mes joueurs », poursuit-il.
Le sauveur Genghini.
Alors, l’entraîneur a dû sortir sa plus belle carte. Préservé pour le faire souffler au vu des échéances à venir, Benjamin Genghini était contraint de rentrer en jeu pour débloquer la situation. Une minute plus tard, le capitaine voyait sa tête sauvée juste devant la ligne par Agrapart (71e ).
Une poignée de minutes plus tard, à la suite d’un cafouillage, le milieu de terrain était accroché par Louis dans la surface de réparation. Genghini assumait ses responsabilités et prenait à contre-pied Drouin (0-1, 74e ).
« On dit toujours que sur un penalty, il ne faut pas faire justice soi-même, mais je le sentais bien », expliquait le buteur calmement. Le plus dur était fait.
Si le match ne restera pas dans les mémoires, les Schilikois ont assuré l’essentiel. Mine de rien, ils n’ont toujours pas encaissé en Coupe de France. Il ne leur reste plus qu’une étape pour franchir l’objectif des 32es  de finale. Les Bas-Rhinois connaîtront leur adversaire mardi. En attendant la réception de Sainte-Geneviève samedi prochain, tous les voyants sont au vert. Pourvu que ça dure.
dna

12eme journée
Samedi le 24/11/2018

Schiltigheim 84' Decker 88' Gendrey

1 - 1

Sainte Geneviève 56' Papeau sur coup-franc direct

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Ouf ! 

Schiltigheim     1 - 1    Sainte Geneviève

Un nul frustrant
À dix contre onze, Schiltigheim a arraché le point du match nul. Pourtant, au vu du contenu, les Schilikois peuvent s’en mordre les doigts.
Il y a parfois des matches nuls qui ressemblent à des victoires ou à des défaites.
À dix contre onze à la suite de l’expulsion de Decker pour un deuxième carton jaune (84e ), les “Verts” n’ont rien lâché et sont parvenus à égaliser.
« Déçu par l’investissement de mes joueurs »
Sur une des dernières occasions, Cissé balançait un long centre dévié de la tête par Metzler, Boisseau manquait sa sortie et Gendrey, d’un lob parfait, égalisait. En infériorité numérique, Schiltigheim était même à deux doigts de prendre les devants dans les arrêts de jeu, mais le tir de Békoé était contré par la défense francilienne.
De ce point de vue-là, ce match nul ressemble davantage à un bon point de pris. Mais les “Brasseurs” auraient dû repartir avec les trois unités.
Le tournant du match se situe peut-être à la dixième minute. À la suite d’un superbe mouvement à trois entre Genghini, Martin et Gendrey, ce dernier se retrouve esseulé, côté gauche, et adresse une passe en retrait millimétrée à Martin qui a le but vide en face de lui. Hélas, le milieu de terrain dévisse sa frappe et rate l’ouverture du score de manière incompréhensible.
Puis, Boisseau tire son épingle du jeu. Le gardien de Sainte-Geneviève se couche parfaitement sur le tir puissant de Zeoula (12e ) et se détend sur une frappe de Kodjia des trente mètres qui file droit dans le but (34e ).
Les Génovéfains peinent à s’approcher du but de Gauclin et le danger ne fait irruption que sur le long coup franc de Barcelo pour Betourne qui, au second poteau, est à deux doigts de pousser le ballon au fond des filets (44e ).

« On aurait pu faire mieux »

Peu avant l’heure de jeu, Sainte-Geneviève obtient un coup franc à vingt mètres en face du but de Gauclin. Papeau, d’une frappe parfaite, contourne le mur et Gauclin ne peut rien faire. Les deuxièmes du classement ouvrent le score (0-1, 57e ).
Comme la semaine précédente, Stéphane Crucet est « déçu de l’investissement de ses joueurs ». Avec ce match nul, le technicien regrette de laisser échapper deux précieux points à domicile.
« En première mi-temps, on aurait dû inscrire au moins deux buts, lâche-t-il. On a joué avec notre bonheur. Sur le plan comptable, je suis content, mais on aurait pu faire mieux », commente l’entraîneur des “Verts”.
Mené au score, Crucet a changé deux fois de système de jeu, passant même à cinq attaquants à la fin de la rencontre pour revenir au score. À peine entré en jeu, Bekoé, d’une frappe flottante, était à deux doigts d’égaliser (68e ). Il faut attendre vingt minutes pour que le coaching soit payant avec l’égalisation de Gendrey. Avec la défaite à domicile de Créteil face à Sedan (1-3), Schiltigheim revient à trois points du leader.
Mais hier au stade de l’Aar, le staff technique voyait le verre à moitié vide.
dna

Encore   pour Gendrey !!! 

Un sommet tronqué
Au terme d’un match électrique, le SC Schiltigheim et Belfort n’ont pas réussi à se départager.
Entamé sur de bonnes bases, ce match au sommet entre Belfort et Schiltigheim a vite été perturbé par l’expulsion de Konki (15e ), puis celle de Gendrey à la pause. Dommage car le spectacle s’annonçait de qualité entre ces deux formations de haut de tableau.
Le début de rencontre avait d’emblée mis en évidence la valeur des gardiens, car après un bel arrêt réflexe de Ndjalkonog face à Bekoé (5e ), la parade de Gauclin, sur une frappe de Leroux, était toute aussi décisive (6e ). La volonté des deux équipes de proposer du jeu était évidente et l’engagement total.
On ne se faisait pas de cadeaux et la preuve en était apportée, malheureusement par Konki, que l’arbitre renvoyait sévèrement au vestiaire pour un tacle non maîtrisé (15e ).
Cela changeait forcément la donne, car si le sentiment de révolte dans le camp belfortain était évident, Schiltigheim maîtrisait de plus en plus le ballon. Sur un centre de Bekoé, Genghini héritait d’une superbe offrande mais manquait sa reprise (29e ).

Schiltigheim finit à neuf

Pour apporter plus de stabilité à sa défense en difficulté, Anthony Hacquard lançait Tahiri (33e ). Avec réussite, car la fin de première période voyait les Alsaciens perdre leur supériorité et commettre de nombreuses approximations.
La mi-temps intervenait sur un nouveau coup de théâtre, car Gendrey se faisait expulser en regagnant les vestiaires (45e ).
À dix contre dix, le match s’équilibrait et, pour preuve, c’est Saline (51e ) qui s’offrait la première opportunité du second acte. Cette infériorité numérique semblait mieux convenir aux Belfortains, plus vaillants et conquérants que leurs rivaux.
Toutefois, la pression était retombée sur le terrain et les deux équipes se montraient très concentrées sur le plan défensif.
Forcément, au fil des minutes, chacun se contentait de ce partage des points, l’expulsion de Zeoula pour un coup sur Barros, intervenant bien trop tardivement (90e ) pour modifier quoi que ce soit à cette rencontre électrique.
dna

Coupe de France (8e tour)
Samedi le 8/12/2018

SC Schiltigheim (domicile) 2-1 ASC Biesheim (extérieur)
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C'EST FINI au stade de l'Aar. Schiltigheim s'extirpe du piège bieshemois. Les Bas-Rhinois doivent leur salut à leurs défenseurs et plus particulièrement Gasser et Metzler qui ont répondu à l'ouverture du score de Fuchs. Schilik verra les 32e pour la deuxième année de suite.
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Schiltigheim sans briller
Après avoir beaucoup souffert et été mené au score, le SC Schiltigheim a su trouver l’énergie nécessaire pour renverser la situation sur deux coups de pied arrêtés.
S’il était un peu chafouin à la fin de la rencontre, Stéphane Crucet était surtout soulagé.
Les défenseurs passent à l’attaque
« C’était très moyen en première période où on donne encore un but, estimera l’entraîneur schilikois. Heureusement, mes joueurs ont eu l’état d’esprit nécessaire pour se remettre à l’endroit. »
En face, les Biesheimois ont d’abord fait les choses comme il le fallait. En ouvrant vite le score. « On est tombé sur une équipe qui a fait le match que nous attendions. On a subi, sans trop souffrir. Le vrai regret est d’avoir pris deux buts sur deux coups de pied arrêtés », dira Hervé Milazzo, le coach rhénan.
Il aura suffi d’une seule accélération pour que son équipe fasse d’abord la différence. Viana avait foncé côté droit, Martin avait été pris de vitesse avant de glisser sur ses appuis. Le Biesheimois avait intelligemment centré en retrait et Fuchs avait pu placer une frappe puissante, le ballon filant sous la barre (0-1, 7e ).
Hormis ce tir de Wagner, repoussé par un pied de Schneider (38e ), ce sera la seule occasion haut-rhinoise de la partie. Trop peu finalement pour passer  !
Puis, les Schilikois avaient entamé leur “tranquille” domination. Les frappes de Kodjia (18e , 26e ) avaient à peine chatouillé les gants de Kehi, celle de Bekoé (sur coup franc) avait rasé la transversale (21e ), et le coup de tête de Metzler avait raté le cadre (45e +1). Un peu maigrelet quand on est le “gros” de l’affaire.

« J’aimerais bien le PSG au stade de la Meinau »

Les joueurs de Stéphane Crucet élèveront le ton après la pause. Et Gasser se trouvera à point nommé (au deuxième poteau) pour reprendre ce corner frappé par Bekoé (1-1, 56e ).
Gasser, encore lui (61e ), Nellec (62e , 64e ), Genghini dont la volée oblige Kehi à une belle parade (69e ), ne seront pas loin de donner l’avantage aux Schilikois. Tout comme Boukalada, à peine entré en jeu (74e ).
Mais c’est après un nouveau coup de pied arrêté, un coup franc de Bekoé (encore lui aussi), que Metzler déviera juste ce qu’il faut la trajectoire du ballon (2-1, 88e ).
C’est Schiltigheim qui, désormais, a le droit de rêver à un joli tirage lundi soir.
« J’aimerais bien le PSG au stade de la Meinau », finira par concéder Stéphane Crucet. Même le patron avait retrouvé le sourire…
dna

14eme journée
Samedi le 15/12/2018

Schiltigheim

0 - 0

Sedan

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Schiltigheim concède un 3e de nul de suite à l'occasion de cet ultime match de l'année à domicile. 2018 s'achèvera par un dernier déplacement, chez les réserves du RC Lens, samedi prochain. Puis, il sera temps de récupérer quelque peu durant les fêtes, avant de se concentrer très vite sur l'événement qui marquera le début de l'année 2019: ce 32e de finale de Coupe de France devant Dijon, 16e de Ligue 1, le samedi 5 janvier à 16h au stade de l'Aar.
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Et encore un nul 

National 2 - 14e journée :
Schiltigheim tenu en échec par Sedan (0-0)

Encore frustrés
Schiltigheim n’avance plus en championnat. Hier, les Verts ont concédé leur troisième match nul de rang, contre une solide équipe sedanaise (0-0). On est loin de l’euphorie de la Coupe de France…
En National 2, Schiltigheim a perdu le goût de la victoire, la dernière en date remontant au 10 novembre et à la venue de Croix (1-0). Une situation qui commence à agacer sérieusement Stéphane Crucet. « On est frustré et déçu, oui, parce qu’il y avait encore la place pour gagner », peste le coach.
« On est pénalisé »
Mais comme contre Sainte-Geneviève (1-1) puis à Belfort (0-0), ses hommes ont buté sur un adversaire coriace et têtu, façon sanglier des Ardennes. Avec un axe défensif renforcé autour de Habib Bellaid (32 ans), l’ex-pro formé au Racing qui finit tranquillement sa carrière à Sedan, on ne fait pas dans la fioriture.
La troupe de Sébastien Tambouret était avant tout venue sur les rives de l’Aar pour ne pas perdre. Elle y est parvenue assez tranquillement. « C’est un nul que l’on est allé chercher face à une très belle équipe, apprécie le technicien sedanais. Je comprends pourquoi Schiltigheim est invaincu à domicile cette saison. Ils nous ont bougés, mais on n’a rien lâché. »
À mi-parcours, le CS Sedan était ainsi tout heureux de rejoindre les vestiaires sans avoir pris un “pion”, sa seule occasion digne de ce nom étant l’œuvre de Bekhechi. Mais Schneider, titularisé au but en l’absence de Gauclin, blessé, est vigilant sur le tir de l’attaquant à la tonsure blond platine (18e ).
En face, on regrette alors le manque de réalisme devant le but de Maeyens, mais aussi l’attitude de l’arbitre. À deux reprises, les Verts réclament un penalty à M. Roffet, qui ne semble pas disposé à user de son sifflet au premier coup de vent.
Mangan tacle Genghini dans la surface (20e ) puis joue des coudes avec Bekoé (24e ), avant qu’une main sedanaise ne soit sur la trajectoire d’un ballon. Les protestations restent vaines.
« Depuis le match de Belfort (où Gendrey et Zéoula ont été expulsés) , on est dans le collimateur des arbitres, estime Crucet. On a un lourd passif. Et avec ces deux suspendus, on est pénalisé… » L’homme en noir ne peut en revanche pas être rendu responsable de l’échec sur la plus grosse occasion qui intervient juste avant la pause, quand le centre de Nellec côté gauche prend Genghini à contre-pied (45e +1).
À ce moment-là, Boukalada a depuis longtemps regagné les vestiaires, une méchante blessure – suspicion de fracture à la cheville – coupant l’élan de l’attaquant (13e ).
Mais au lieu de poursuivre son effort dans le second acte, Schilick a la mauvaise idée de relâcher sa vigilance. Ça aurait pu lui coûter cher : Schneider sauve ainsi les siens sur une lourde frappe de Constant aux 40m (54e ), puis voit le poteau gauche repousser une frappe en pivot de Bekhechi. Le gardien était battu (65e ).
Dans l’impasse, Crucet lance alors ses deux derniers atouts offensifs, Vidovic et Ben Khalifa, le jeune attaquant (23 ans) passé notamment par Angers étant arrivé quatre jours plus tôt.
Malgré un ultime rush durant les quatre minutes de temps additionnel – et une nouvelle incompréhension sur une main sedanaise non sanctionnée –, les Schilkois doivent se contenter du nul pour cette dernière de l’année à domicile. Ils regagnent le vestiaire tête basse, en grommelant.
Il leur reste encore un match, samedi prochain sur le terrain de la réserve lensoise, pour « tenter de renouer avec le succès après ces nouveaux points perdus », comme l’espère Crucet.
Il sera ensuite temps de recharger les batteries avant l’affiche des 32es de finale de la Coupe de France, programmée au stade de l’Aar le samedi 5 janvier (16h) contre Dijon.
dna

Samedi le 22/12/2018
15e journée

Lens

0 - 1

Schiltigheim 35' BUT

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Lens II – Schiltigheim (0-1)
« Les fêtes au chaud »
Le Sporting Schiltigheim a été parfois ballotté par la lanterne rouge lensoise hier, mais les Verts se sont imposés, bouclant l’année 2018 par une sixième victoire.

Les Lensois ont été les premiers à se mettre en évidence, notamment sur un coup franc anodin de Ducrocq (6e ) qui terminait sa course sur le montant schilikois.
Les Nordistes avaient pris le match par le bon bout et, dans la foulée, c’est un centre de Boura devant le but de Schneider qui ne trouvait pas preneur (18e ).

Deux minutes plus tard, une frappe de Boli, sur une remise de Lemaire, passait à côté du but bas-rhinois.
Les Schilikois se sont alors réveillés. Et sur leur première véritable incursion face au but lensois, c’est Bekoe, bien servi par Nellec, qui trompait Belon d’une frappe croisée (35e ). Cruel pour la lanterne rouge, qui avait produit du jeu… Juste avant le repos, les locaux se montraient encore à leur avantage avec un face-à-face de Lemaire remporté par un Schneider inspiré (44e ).

Bekoe proche du doublé

Dès la reprise, les Lensois ont repris leur domination avec notamment une double occasion pour Ducrocq et Lemaire (52e ), mais la défense alsacienne veillait. Le Sporting se faisait encore peur sur l’occasion d’Abdelli, mais l’attaquant lensois, pourtant à un mètre du but, ne parvenait pas à égaliser.
En fin de rencontre, sur un centre de Touré, Bekoe avait une belle opportunité de doubler la mise pour Schiltigheim, mais sa volée était bien détournée par Belon.
À l’issue de la rencontre, les Schilikois affichaient un large sourire, le coach Stéphane Crucet en tête : « Nous avons commis beaucoup d’erreurs techniques en première période avec notamment trop de pertes de balle et forcément, nous avons été mis en difficulté. Malgré cela, nous avons eu la chance de marquer et ç’a été plus une attaque-défense en deuxième période. Nous avons été solidaires jusqu’au bout et nous avons fait beaucoup d’efforts pour conserver ce but d’avance. Nous passerons les fêtes au chaud, c’est l’essentiel. »
Les Verts renoueront avec la compétition en 2019 par un alléchant 32e de finale de la Coupe de France contre Dijon (L1), le samedi 5 janvier au stade de l’Aar (18h).
dna

Schiltigheim : Un nouveau logo

 Avant d'affronter Dijon en 32ème de finale de la coupe de France, Schiltigheim club de National 2 a un nouveau logo. Un logo modernisé qui rajeunit l'image du club avant un rendez-vous très important en coupe. Cinquième de son groupe de National 2, verra t-on ce nouveau logo en National l'an prochain, c'est une autre histoire.
Foot National

Coupe de France (32es de finale)

SC Schiltigheim – Dijon FCO (1-3):

la tête haute
Comme la saison dernière, Schiltigheim quitte la Coupe de France en 32e de finale, éliminé cette fois-ci par Dijon. Après avoir tenu le choc en première période, les «Verts» ont craqué au retour des vestiaires.
Les Schilikois n’auront pas démérité. Comme contre Auxerre, l’an passé, ils ont tenu le choc en première période, réussissant à faire jeu égal avec les Dijonnais. Chose qu’ils ne sont plus parvenus à faire après la pause, encaissant deux buts peu après l’heure de jeu, sur des actions quasi similaires.

«Les Dijonnais ont profité des espaces»

«On a un peu sombré en seconde période, admettra Stéphane Crucet, l’entraîneur schilikois. On aurait pu rêver après un premier acte convaincant, mais les Dijonnais ont profité des espaces que nous leur laissions pour marquer.»

Menés 0-2, les Schilikois réduiront la marque grâce à Benjmain Genghini, sur penalty, avant que Tavarès ne tue tout suspens dans le temps additionnel (1-3).

En première période, les Schilikois tiennent en effet la comparaison avec le barragiste de L 1. Et sont même proches d’ouvrir le score. Sur un corner de Bekoé, Metzler s’impose aux abords des 6m pour placer sa tête, mais Runnarsson la stoppe parfaitement (5e’ ).

Dans l’autre surface, Schneider se montre lui aussi impérial. D’abord face à Tavares, qui venait de déposer Gasser (8e’ ), puis devant Chafik, peu après la demi-heure de jeu (32e’ ). Un peu plus tôt, une tête de Saïd frôlait la barre schilikoise (10e’ ). Kodjia réclame ensuite un penalty pour un bras décollé d’Abeid dans la surface, mais M. Delajod ne bronche pas (37e’ ). Peut-êtr qu’il aurait pu...
Trop d’espaces dans la défense schilikoise

Alors qu’ils imposaient un pressing haut en première période, les Schilikois baissent clairement d’intensité après la pause, les espaces devenant béants dans leur moitié de terrain. Ils se font alors punir par des Dijonnais plutôt sereins: Tavares, esseulé côté gauche, peut tranquillement centrer en retrait pour Sliti, dont l’enroulé du droit des 20 mètres fait mouche dans la lucarne, laissant impuissant un Schneider, irréprochable jusqu’ici (64e’ , 0-1).

Rebelote huit minutes plus tard. Toujours côté gauche, Saïd centre pour Sliti, qui laisse intelligemment filer pour Kwon. Le Sud-Coréen se met sur son pied gauche et «fusille» Schneider (72e’ , 0-2).

C’est dur, mais logique pour le Sporting. Une belle détente de Runarsson frustre les quelque 1600 spectateurs du Stade de l’Aar (75e’ ), avant que ceux-ci ne reprennent espoir quelques minutes plus tard, lorsque Bekoé se fait faucher dans la surface par le gardien islandais. Genghini transforme en force, plein axe (78e’ ).
« Pas de regrets »

Les «Verts» vont pousser, plus que jamais, mais Decker rate la dernière opportunité, sur une tête non cadrée (88e’ ). Lancé par Balmont, Tavarès met alors les Bourguignons à l’abri, grâce à un croisé du droit imparable (90e’ +2, 1-3).

«On n’a pas été ridicules comme l’an dernier, retient Crucet. On n’a pas de regrets, même si on a bien rivalisé en première période. Ce match prouve qu’on pourra faire de belles choses en championnat.»

Car ne l’oublions pas, le National 2 reste l’objectif principal des «Verts». La parenthèse Coupe de France à présent terminée, ils peuvent pleinement s’y consacrer…
dna

16ejournée
Samedi le 12/01/2019

Schiltigheim

0 - 2

Lusitanos 52' Latour 75' Latour

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La douche froide
Stériles offensivement, les Schilikois se sont inclinés face à Saint-Maur (0-2). Avec cette défaite, ils peuvent certainement dire adieu à leur rêve de montée.
L’adversaire paraissait idéal pour lancer une deuxième partie de saison censée conduire Schiltigheim vers les sommets de la N2. Cette première place qui offre un accès direct au paradis du National. Saint-Maur arrivait au stade de l’Aar avec l’habit de la deuxième plus mauvaise défense de la division. On envisageait déjà une victoire sereine en espérant que le leader croisien perde des points au stade Louis-Dugauguez de Sedan. On imaginait déjà les attaquants schilikois améliorer leurs statistiques offensives. Mais il n’y a rien eu de tout ça.

Deux occasions, deux buts

La première heure de jeu fut ennuyeuse et la parenthèse enchantée de la Coupe de France, où les Verts avaient montré un visage séduisant malgré la défaite contre Dijon, semblait bien loin.
Face à un bloc bas bien regroupé, les hommes de Stéphane Crucet monopolisaient le ballon sans pour autant être capable de créer de la folie. Il y a bien eu ce coup franc de Békoé qui a flirté avec le poteau (29e ) à la suite d’une faute de Tavares, par ailleurs excellent, sur Zéoula. À part ça, les rares courageux à s’être déplacé dans les tribunes n’avaient rien à se mettre sous la dent jusqu’à cette relance totalement manquée de Gasser.
Dans sa surface, l’ancien camblysien remettait le ballon dans les pieds de Durbant qui décalait Latour, isolé à droite. L’attaquant, formé au PSG, n’avait plus qu’à ajuster Schneider d’un plat du pied enroulé (54e ). Cruel scénario tant les Franciliens n’avaient pensé jusque-là qu’à défendre pour grappiller le point du match nul. Pour preuve, le but était… leur première occasion de la rencontre.
Stéphane Crucet tentait de réveiller ses hommes avec un double changement. Mais, positionné en défense centrale, Martin n’a pas cassé les lignes. Il n’a pas su apporter de surnombre offensif, tandis que Pfrimmer a tenté (80e ). Mais l’envie n’est pas toujours récompensée.

Le risque d’une fin de saison sans saveur

Pire, cinq minutes après ces changements, les Saint-Mauriens creusaient l’écart et enfonçaient les Alsaciens. À la suite d’une énième perte de balle, Kouakou en profitait pour éliminer deux joueurs avant d’adresser une merveille de passe dans le dos de Metzler pour Latour qui s’offrait un doublé (61e ). « Quand on récupérait le ballon, on a mis trop de temps à construire, ce qui nous empêchait de casser les lignes » analysait coach Crucet, qui pestait sur le manque de verticalité dans le jeu de ses joueurs.
Avec cette première défaite à domicile de la saison, un coup de froid s’est abattu sur le club. Mais les Bas-Rhinois n’auront pas le temps de tergiverser. Dès la semaine prochaine, un déplacement redoutable les attend à Lille. S’ils repartent bredouilles du Nord, la fin de saison risque d’être très longue pour le Sporting.
dna

Mes craintes de début de saison se confirment tout simplement.