Après Marcelo Bielsa, qui avait quitté l'OM en début de saison, et Hervé Renard, démis de ses fonctions lors de la dernière trêve internationale du côté de Lille, Jean-Marc Furlan est le troisième entraîneur à quitter son poste cette saison en L1.


Qui sera le prochain.

Si aurait eu une l'équipe qu'il souhaitait au racing il nous aurait apporté autant que Dugué en ce moment.

Daniel Masoni : «Jean-Marc Furlan s'est sacrifié pour le club»

Daniel Masoni salue l'intégrité de Jean-Marc Furlan, qui a quitté Troyes.


Daniel Masoni, président de Troyes, a expliqué jeudi qu'il avait été «difficile» de se séparer de son entraîneur, Jean-Marc Furlan, «un ami». Et assure que jusqu'à la défaite contre Toulouse (0-3), mercredi, les deux hommes pensaient aller au bout de la saison.

Daniel Masoni, le président de Troyes, dernier de Ligue 1 avec 13 points de retard sur le premier non-relégable Bordeaux après sa 11e défaite en 16 journées, mercredi soir, contre Toulouse (0-3), s'est présenté devant a presse jeudi, trois heures après avoir officialisé le départ de l'entraîneur Jean-Marc Furlan. Avant de répondre aux questions, il a salué celui qui était en poste depuis 2010 : «C’est difficile pour moi parce que Jean-Marc est un ami. J’ai deux hommes en face de moi : l’entraîneur et l’ami. Très difficile, très compliqué. Quand on en arrive là, c’est pénible. Avec Jean-Marc on cherche à ce que cela se passe le mieux possible. L’amitié ne cessera pas.»

«La décision vient de lui. C’est une surprise pour vous ?
On s’était vus longuement dimanche. On avait fait une mise au point et dit les choses. On est arrivé à un point où on s’est dit qu’on continuait. Qu’on irait au bout quoiqu’il arrive. Hier, je pense qu’il a pris un gros coup sur la tête après cette défaite, se posant beaucoup de questions. Faut reconnaître la qualité de cet homme. Il n’est pas là pour détruire ou nuire. Il s’est sacrifié en pensant que ça pourrait aider le club à rebondir. Je le salue pour son courage.

Qui va assurer l’intérim ?
Aujourd’hui, c’est le staff en place. Avec les trois personnes qui ont le DEPF (diplôme entraîneur professionnel de football) : Michel Padovani, Olivier Tingry et Mohamed Bradja.
 
Comme c’est le staff qui était avec Jean-Marc Furlan, il est aussi amené à partir ?
Non. Aujourd’hui, c’est tout neuf, ce n’était pas prévu. Faut prendre du recul, voir quel entraîneur on va prendre, je n’ai rien préparé. Je n’ai même pas un entraîneur dans les tiroirs

«Le profil ? Un bâtisseur, qui a du vécu»
Vous aviez déjà pris des contacts avec certains ?
Non aucun. Les agents qui m’appelaient oui, mais moi je n’ai jamais discuté avec aucun entraîneur. S’il fallait que je fasse venir tous ceux qui m’ont appelé, le parking du stade n’est pas assez grand. Ça fait trois mois qu’on n’arrête pas de m’appeler. Le profil ? Un bâtisseur pour une reconstruction, qui a un vécu.
 
Sur le moyen terme, la solution pourrait-elle venir en interne ? Avec Claude Robin par exemple (directeur du centre de formation) ?
Je ne pense pas. Je ne pense pas. C’est trop chaud. Il faut me laisser le temps de la réflexion. Pour l’instant le staff est en place. On ne va pas faire n’importe quoi. On ne prendra pas pour prendre. Aujourd’hui ce n’est pas n’importe quel coach qui s’en va. Sans dénigrer les autres, il n’y a jamais eu autant d’intensité avec un autre. C’est forcément énorme et très douloureux ce qu’il se passe.

D’un point de vue financier, ça va coûter un peu d’argent au club…
On fera appel aux dons… (sourire)

«On essaie de ne pas être cons deux fois de suite»

Êtes-vous déjà passé devant la DNCG ?
Non. La semaine prochaine, je n’ai plus la date en dette.
 
Comme cela ne s’est pas très bien passé cet été, vous êtes inquiets ? (L’instance de contrôle financier avait empêché l’ESTAC d’accéder en L1 à cause d’un trou de 5 millions d'euros, ndlr)
On essaye de ne pas être cons deux fois de suite. On est des garçons intelligents. On gérera. Le budget financier du staff ne sera pas modifié à la hausse. Il pourra éventuellement l’être à la baisse.
 
Ça veut dire qu’il y a déjà des membres du staff qui comptaient suivre Jean-Marc Furlan ?
Aucun. C’est trop chaud. Tout le monde est là pour relever le défi. Je connais l’état d’esprit de ces garçons. Ils le feront du mieux possible et sans tricher.

Troyes n'est pas le pire cancre d'Europe

D’un point de vue personnel, il y eu les problèmes avec la DNCG cet été, le début de saison pourri, le départ de Jean-Marc Furlan, un ami. Vous avez envie de continuer ?
Bien sûr. Un club de foot c’est une entreprise avec beaucoup plus de difficultés. A partir du moment où on s’investit dans un club, on ne se sauve pas comme ça. C’est encore plus motivant aujourd’hui. Il faut continuer à travailler et grandir avec ce club. S’il n’y a pas la passion, il ne faut pas venir. Faut arrêter. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Même si c’est compliqué et pénible en ce moment.
 
Le départ de Furlan est aussi une volonté de votre part ?
Non. On s’était parlé franchement dimanche et on était reparti sur comme avant, sans aucun problème, avec un projet. Hier, il s’est sacrifié.
 
Vous confirmez qu’avant cette réunion de dimanche, il y en avait eu une quelques jours plus tôt où vous lui aviez demandé de prendre du recul ?
Ce n’est pas tout à fait ça. On avait évoqué l’avenir. Je lui avais dit que quoiqu’il arrive, je souhaitais qu’il reste vers moi. Je voulais qu’il sache que je souhaitais qu’il reste avec moi quoiqu’il arrive, comme conseiller ou autre.

«Le vestiaire a toujours affiché son soutien à Jean-Marc»

Vu de l’extérieur, on a l’impression que ce n’est pas très lisible ces derniers temps…
Oui, enfin on nous a fait parler beaucoup. Je ne disais plus rien. C’est compliqué. J’avais choisi de ne plus parler, on m’a reproché que je ça voulait dire que je cautionnais tout ce qui était dit.
 
Le vestiaire était-il toujours derrière Furlan ?
Il a toujours affiché son soutien à Jean-Marc.

D’un point de vue totalement financier, vous étiez dans l’impossibilité de le limoger… (il restait dix-huit mois de contrat à Furlan et son staff)
Je vous ai dit qu’on était des personnes intelligentes...
 
Mais auriez-vous pris cette décision seul ?
Si vraiment il avait fallu, je l’aurais prise.
 
A quel moment, sachant que vous n’avez toujours pas gagné après seize journées ?
A partir où je lui avais renouvelé ma confiance, le débat était clos. Il a pris cette décision là hier soir.
 
Il y a un match qui arrive vite, samedi à Reims (20h00)…
Oui, et c’est le derby en plus. C’est là où on va voir si les joueurs ont la tête à l’envers ou pas.»

Equipe

Bradja veut redonner de la confiance au groupe



Au lendemain du limogeage de Jean-Marc Furlan, Mohamed Bradja, l'un de trois intérimaires à la tête de l'ESTAC, s'est présenté en conférence de presse à la veille du déplacement à Reims. Il veut avant tout redonner confiance au groupe.

Son visage et son nom, personne ne les connaissait. Mais ce vendredi, Mohamed Bradja a dû se plier au jeu de la conférence de presse d'avant-match à la veille de Reims-Troyes (20h00, 17eme journée de Ligue 1). Adjoint de Jean-Marc Furlan il y a encore quelques heures, il est l'un des trois intérimaires appelés à remplacer Furlan en compagnie d'Olivier Tingry et Michel Padovani. Ce dernier devrait être l'homme de terrain de l'ESTAC mais il est actuellement suspendu après son exclusion contre Lyon. « On a discuté pour savoir comment on allait s'organiser en interne. On a commencé à en discuter jeudi après-midi, a raconté Mohamed Bradja ce vendredi. On va travailler en totale concertation, la parole ne revient pas à une seule personne, on est là pour travailler ensemble et pour le club. »

Bon dernier de Ligue 1 avec cinq points et aucune victoire au compteur, Troyes se déplace à Reims samedi dans une situation particulière de crise désormais assumée. « On n'a pas le temps de cogiter puisqu'on sort d'un match et on replonge directement sur un autre match, nuance Bradja. Du coup, l'appréhension, on l'a eue un quart d'instant, on s'est dit qu'il fallait se redonner les moyens de retrouver un élan. Maintenant, on est parti ! Le discours, c'est de redonner un peu d'élan et de confiance à ce groupe. On est là pour assurer et continuer le travail du club. J'aimerais vous rencontrer dans d'autres circonstances, c'est vraiment triste pour nous tous de subir et de voir où on en est aujourd'hui. »
orange sport

JMF n'a pas été limogé il a démissionné.

Ça c'est les journalistes candy.

Jeudi matin, l'ESTAC a donc officialisé le départ de son entraîneur, «d'un commun accord» avec le président. Une décision prise «en bonne intelligence» et qui «ne modifie pas les liens forts qui existent entre les deux hommes»,

L'équipe

Merci Marius

Autre interrogation, après le départ de Jean-Marc Furlan, l'actuelle lanterne rouge de Ligue 1 va-t-elle voir débarquer un nouvel entraîneur sous peu ? Selon L'Equipe, Daniel Masoni, le président troyen, pourrait prolonger l'intérim de Mohamed Bradja et Olivier Tingry jusqu'à la trêve, histoire d'y voir un peu plus clair.

le président troyen, pourrait prolonger l'intérim de Mohamed Bradja et Olivier Tingry jusqu'à la trêve, histoire d'y voir un peu plus clair.


Ou plutôt ne pas se tromper de personne, je pense qu'il non pas de l'argent à foutre par la fenêtre.

Troyes : Claude Robin en pole pour succéder à Jean-Marc Furlan
Claude Robin, le directeur du centre de formation de l'ESTAC, devrait prendre la succession de Jean-Marc Furlan.
Le directeur du centre de formation de l'ESTAC, Claude Robin, est pressenti pour succéder à Jean-Marc Furlan qui a quitté son poste à l'amiable à l'issue de la défaite face à Toulouse (0-3, 2 décembre). A Reims (1-1) ce samedi, Mohamed Bradja avait assuré l'intérim sur le banc troyen. La solution interne a toujours été privilégiée au sein du club aubois dont les finances ne sont pas florissantes. Claude Robin, qui est le seul entraîneur disposant du DEPF, devrait donc être officiellement présenté dans les heures à venir. Ce serait la deuxième fois qu'il remplacerait un collègue, après avoir succédé momentanément à Ludovic Batelli en avril 2009 après onze rencontres sans victoire. Claude Robin a notamment coaché l'équipe réserve de l'ESTAC pendant deux saisons (2013-15).

Si son arrivée est confirmée, il héritera d'une situation sportive pour le moins inquiétante et aura pour optique de bien préparer la saison prochaine promise à la L2. Après dix-sept journées, Troyes n'a toujours pas gagné une rencontre et pointe en dernière position du classement à neuf points du 19e, Toulouse, et à treize unités du premier non relégable, Guingamp.
Equipe

Claude Robin, le directeur du centre de formation, prend les rênes de l'équipe première. En plus de connaître parfaitement le club et la jeunesse troyenne, Robin était le seul au club à disposer des diplômes d'entraîneur (DEPF) au sein du club.
 
L'éviction de Furlan a entraîné le départ de plusieurs membre du staff : Emmanuel Pascal, Mohamed Boulacheb et Stéphane Lettieri.
 
La mission de Robin s'annonce extrêmement périlleuse au vu de la situation désespérée de l'ESTAC au classement de Ligue 1.

À part essayer des  gagner des matchs je ne vois pas ce qui est périlleux.

Il n'était sans doute pas question de prendre quelqu'un d'extérieur vu les finances du club qui ne doivent pas être extensibles.

S'il arrive à faire comme Schubert à Borussia Mönchengladbach ça serait pas mal.

Claude Robin : «Un projet de reconstruction»
Nommé entraîneur de Troyes mardi en remplacement de Jean-Marc Furlan, Claude Robin n'a pas promis de miracle pour l'ESTAC, dernier de L1, mais compte faire progresser son équipe, en s'appuyant notamment sur les jeunes.
«Quel sentiment vous anime au moment de faire vos débuts en Ligue 1?
Je ne suis pas carriériste, je n'ai jamais cherché à entrainer absolument en pro mais je suis très heureux d'être là, ce serait hypocrite de dire le contraire. Je me vois comme quelqu'un de fidèle, à la disposition du club, je ne me pose pas trop de questions. Je vais avoir 55 ans jeudi, je suis un «jeune-vieux» entraîneur. Je sais aussi relativiser. J'avais beaucoup appris de mon court intérim en 2009 (5 matches). J'ai compris notamment qu'un bon entraîneur est un entraîneur qui gagne, c'est tout. Si ça ne se passe pas bien, je prendrai sans doute une claque mais j'ai envie de positiver au maximum.

«La situation n'est pas facile et je sens le groupe affecté.»
Quels sont vos objectifs, sachant que l'équipe n'a quasiment plus aucune chance de se maintenir?
On est parti sur un projet de reconstruction pour la saison prochaine. L'idée, à partir de ce qu'on a construit au centre de formation, est de créer un lien plus établi avec les pros. Pour que les jeunes qui ont des qualités puissent passer le pallier encore plus vite. Mais bien sûr, à court terme, l'envie de gagner des matches est forte. La difficulté sera pour nous de préparer l'avenir en gérant au mieux le groupe actuel.

Comment comptez-vous redressez l'équipe qui n'a toujours pas gagné?
Pour l'instant, je me vois plus comme un donneur de confiance. La situation n'est pas facile et je sens le groupe affecté. C'est normal quand on ne gagne pas. Maintenant, ce sont aussi des professionnels, ils doivent prendre leurs responsabilités. Il n'y aura pas de grande révolution sur le plan du jeu. Je vais poursuivre sur ce qu'a fait le staff qui était en place pour le match à Reims (1-1) samedi dernier. En essayant d'amener encore autre chose, se servir des erreurs pour faire tourner le manque de réussite actuel.»

Equipe

Enfin un succès pour Troyes !
En difficulté pendant 75 minutes, Troyes a arraché son tout premier succès de la saison sur la pelouse de Lille, bien aidé par un coaching gagnant de Claude Robin.
Le debrief
Troyes a enfin goûté à la victoire en L1 cette saison ! Mais c'est aussi à croire que Lille a laissé filer un succès qui lui tendait les bras. Les joueurs de Frédéric Antonetti, même s'il restaient sur une élimination face à Trélissac en Coupe de France, avaient les moyens de venir à bout du dernier de la classe. Et pendant 75 minutes, les Nordistes ont donné l'impression de maîtriser leur sujet. L'ouverture du score de Boufal sur penalty peu avant la demi-heure de jeu n'avait que confirmé cette tendance... Une impression qui s'est finalement révélée trompeuse. Dos au mur, l'entraîneur troyen Claude Robin a pris tous les risques et a fait entrer Benjamin Nivet et Babacar Gueye pour renforcer sa ligne offensive en vue du dernier quart d'heure.
Comme face aux amateurs en semaine, les Lillois ont perdu pied face aux Aubois dans la deuxième partie du match et ce sont les remplaçants troyens qui ont donné l'impulsion. Sur les deux buts de Jimmy Cabot, Babacar Gueye et Benjamin Nivet ont eu une part de responsabilité. En deux minutes, la défense lilloise a tout simplement explosé sans avoir donné des signes avant-coureurs d'une telle faillite, ce qui va sans doute faire se poser des questions à Frédéric Antonetti. Le troisième but lillois s'est révélé symptomatique de l'état d'esprit des Dogues, avec des palabres suite à une action litigieuse et des Troyens opportunistes qui sont partis en contre pour sceller le sort du match. Si pour Troyes ce résultat ne change pas grand-chose, le maintien restant hors de portée, les Lillois voient la zone de relégation se rapprocher à trois points désormais. Encore une fois...
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Le salut de Troyes ne pouvait venir que de Cabot
Jimmy Cabot a largement participé au premier succès de Troyes en L1 cette saison, décroché samedi à Troyes en inscrivant un doublé et en délivrant une passe décisive (1-3). Une prestation qui pourrait accélérer son départ cet hiver.
S'il y avait bien un Troyen qui méritait d'être récompensé, c'est Jimmy Cabot. Joueur le plus régulier de l'ESTAC depuis trois mois, il s'est occupé de tout samedi pour offrir à son équipe sa toute première victoire de la saison en Ligue 1, à Lille (1-3). Auteur d'un doublé et d'une passe décisive, il est le premier joueur troyen à être impliqué dans trois buts dans un match de Ligue 1 depuis Gaël Danic le 24 février 2007 contre Lorient (2 buts, 1 passe décisive également). Le natif de Chambéry (21 ans) a également réalisé le premier doublé de l'ESTAC depuis Corentin Jean le 9 mars 2013 contre Reims. « J'ai réussi à être efficace, ça fait du bien », s'est félicité Cabot au micro de beIN Sports après la rencontre. Il a tout fait basculer dans le dernier quart d'heure, alors que Lille menait 1-0 depuis l'ouverture du score de Sofiane Boufal sur penalty.
« A 2-1, on ne pouvait pas être tranquille »
Celui qui est passé par le CA Maurienne dans sa jeunesse a d'abord claqué un doublé en trois minutes (77eme et 80eme), avant de délivrer une offrande à Jessy Pi pour le but du break. Celui du soulagement aussi, pour un club qui n'avait plus marqué trois buts en déplacement en L1 depuis le 8 avril 2006 à Metz (4-2), soit 48 matchs. « A 2-1, on ne pouvait pas être tranquille, a raconté Cabot. On menait déjà 2-0 contre Rennes, même s'il restait du temps. Il y a 2-1 à la 82eme minute, avec les arrêts de jeu, on pouvait très bien perdre ce match. On a déjà été fébrile dans de telles conditions. Mais à 3-1, si on ne tenait pas le score, j'arrêtais. » Déjà buteur en L1 contre Bastia en décembre, une réalisation qui avait rapporté un point à son équipe, Cabot a confirmé dans le Nord tout le bien que les observateurs de notre championnat pensent de lui.
« On ne va pas chanter 20 000 ans »
Son coup de maître sur la pelouse du Stade Pierre-Mauroy pourrait d'ailleurs accélérer le processus de départ. Nantes, Lorient ou Caen seraient notamment sur les rangs pour l'accueillir cet hiver, alors que son contrat avec Troyes court jusqu'en juin prochain. En attendant, il savoure le succès décroché à Lille, sans en rajouter. « On ne va pas trop en faire. On est content d'avoir cette victoire, on reste sur une bonne dynamique. Elle fait du bien pour les têtes, mais on ne va pas chanter 20 000 ans parce que ce n'est que la première. » Il est vrai qu'elle a permis d'éviter un 23eme match consécutif sans victoire, synonyme de plus longue série du genre dans l'élite égalée (Arles Avignon en 2010-11). Mais avec seulement onze points en vingt-deux journées, l'ESTAC reste condamnée à la dernière place de la L1 en fin de championnat d'après les statistiques. Voilà pourquoi Cabot n'ose pas sauter au plafond. 
orange sport

Davantage à l'extérieur qu'à domicile après une vingtaine de journée pour le dernier, ça doit être rare ça.

Claude Robin, l'entraîneur de Troyes (L1), qui avait remplacé Jean-Marc Furlan, démis le 3 décembre 2015, a été à son tour mis sur la touche, ce mercredi.

Claude Robin, l'entraîneur du club aubois de L1, a été démis de ses fonctions. Il avait lui-même remplacé Jean-Marc Furlan, le 3 décembre 2015.
Le remplaçant aura tenu moins de deux mois. «La direction du club annonce qu’elle décharge, à compter de ce jour, Claude Robin de la responsabilité de l’équipe première», explique le club aubois sur son site officiel, précisant que cette décision «vise avant tout à préserver les intérêts de chacun».
L’équipe sera entraînée par un trio composé de Mohamed Bradja, Michel Padovani et Olivier Tingry.

Un trio d'entraîneurs !!

Oups, je n'avais pas vue  de suite que tu avais mis le message Marius, je vois que ce n'était pas que Jean-Marc qui était soi-disant nul.

Cà sent pas très bon du côté de Troyes !!

Marius a écrit:

Cà sent pas très bon du côté de Troyes !!

Marius,Comme on a déjà parlé sur d'autres topic, si l'argent ne suit pas il est très difficile dans ce championnat de pouvoir y vivre tranquillement, et Troyes et bien la preuve que sans un très bon recrutement une équipe a du mal de s'en sortir.

Troyes : Masoni ne cautionnait plus les choix tactiques de Robin
Daniel Masoni, le président de Troyes, a expliqué le limogeage de son entraîneur en invoquant de mauvais choix tactiques.
Quelques heures après s'être séparé de son entraîneur, Claude Robin, Daniel Masoni s'est expliqué auprès de L'Est Eclair sur les raisons qui l'ont poussé à prendre cette décision. « Je n'avais pas le choix, je ne cautionnais plus les choix tactiques de Claude Robin lors des derniers matchs », explique le boss troyen, qui s'était déjà séparé de Jean-Marc Furlan en fin d'année dernière. Egalement contacté, Claude Robin n'a pas souhaité répondre au journal local, trop affecté par son licenciement, à peine deux mois et demi après sa nomination.
Pourtant, Troyes jouait mieux…
Pourtant, de l'avis de tous les observateurs, l'ESTAC avait retrouvé un équilibre et un niveau proche de celui requis pour la Ligue 1 depuis la prise de fonction de Claude Robin. Hormis sur la dernière rencontre, mercredi soir à Guingamp (4-0, 24eme journée de Ligue 1). Mais ce soir-là, l'entraîneur troyen devait composer sans Cabot et Bernardoni, vendus par… la direction du club aubois quelques jours plus tôt. Il y a dix jours, Troyes a même signé sa première victoire de la saison en passant trois buts au LOSC, à l'extérieur (1-3). Daniel Masoni a expliqué à nos confrères de l'Est Eclair travailler actuellement sur le nom du prochain entraîneur des coéquipiers de Benjamin Nivet.

orange sport

Quel c... ce Masoni, au mercato il a cédé ses 2 meilleurs joueurs  et maintenant il accuse l'entraîneur, donnez-lui Mourinhio il ne fera pas mieux avec l'effectif restant, c'est Masoni qui devrait quitter le club avant qu'il ne le fasse couler.

S'il continue de la sorte il va y arriver.

Denis Renaud pour remplacer Claude Robin à Troyes ?
Limogé le 28 novembre de son poste d'entraîneur du Paris FC, Denis Renaud, qui s'était fait connaître en conduisant Carquefou en quart de finale de Coupe de France (2008) pourrait rapidement rebondir. Il doit en effet rencontrer ce vendredi dans la matinée Daniel Masoni, le président de l'ESTAC, qui a remercié Claude Robin jeudi. Ce dernier, qui est lié à l'ESTAC, avait succédé à Jean-Marc Furlan. Daniel Masoni aurait glissé à certains des cadres de son vestiaire qu'il avait déjà une préférence pour le CV de Denis Renaud.
equipe

pour 3 ou 4 matches et puis s'en vont......

En le maintenant en poste au moins aurait-il évité d'ajouter le ridicule à la situation sportive désastreuse.

Il ferait mieux de prendre un entraineur qui si connais pour la L2, au-lieu de faire du rafistolage.