Maintenant peut-être mais il y a deux ans, ce n'était pas le cas. Bellaid-Paisley, c'était du solide en première partie de saison. Dos Santos était jusqu'en hiver aussi plus que correct. Pour Scelezi d'accord, il a toujours été faible.

On avait un milieu assez performant (je parle toujours sur cette première partie de saison), Cohade et Johansen faisaient le boulot derrière et Mouloungui avait à l'époque des jambes de feu (ça faisait assez longtemps qu'on avait pas eu un ailier aussi rapide). Devant, Renteria, était un niveau au-dessus mais Furlan, comme pour Gameiro n'a jamais su le positionner correctement.

Bref', on avait un effectif, je pense, largement niveau ventre mou ligue1 et si on a enregistré autant de défaites de suite, c'est que l'entraîneur n'a pas été capable de rebooster son équipe, un peu comme Janin cette saison.

pj-rcs a écrit:

Maintenant peut-être mais il y a deux ans, ce n'était pas le cas. Bellaid-Paisley, c'était du solide en première partie de saison. Dos Santos était jusqu'en hiver aussi plus que correct. Pour Scelezi d'accord, il a toujours été faible.

On avait un milieu assez performant (je parle toujours sur cette première partie de saison), Cohade et Johansen faisaient le boulot derrière et Mouloungui avait à l'époque des jambes de feu (ça faisait assez longtemps qu'on avait pas eu un ailier aussi rapide). Devant, Renteria, était un niveau au-dessus mais Furlan, comme pour Gameiro n'a jamais su le positionner correctement.

Bref', on avait un effectif, je pense, largement niveau ventre mou ligue1 et si on a enregistré autant de défaites de suite, c'est que l'entraîneur n'a pas été capable de rebooster son équipe, un peu comme Janin cette saison.

Suis d'accord avec cette analyse! :!bien!:

On peut aussi penser qu'ils ont fait 6 premiers mois en surrégime (vu la suite de leurs carrières). Cohade est le seul joueur au niveau pour être titulaire dans l'élite actuellement, et c'était peut-être plus ou moins déjà le cas à l'époque.
D'ailleurs, cette saison là, en championnat :
- 12 matchs sans Cohade : 1 nul, 11 défaites
- 26 matchs avec : 9 victoires, 7 nuls, 10 défaites

Mon avis, avec un regard extérieur, est que vos effectifs étaient très faibles pour les divisions dans lesquelles vous étiez pendant les saisons avec Furlan. Et je ne pense pas qu'il ait eu un impact négatif important dans les résultats du club, j'ai même plutôt l'impression qu'il vous a fait jouer mieux que ce que valait les effectifs.

Faire atteindre deux années de suite les 38 points à Troyes en Ligue 1 avec un effectif aussi faible était effectivement intéressant. Le souci avec JMF, c'est sa grande bouche. Techniquement parlant, il était sans doute le plus "compétent" du trio de choc qu'on a eu ces quatre dernières années (j'exclus l'éclair Schilles, difficile à évaluer en seulement un mois et des poussières). Mais on ne peut pas espérer avoir l'appui de qui que ce soit en répétant TOUT LE TEMPS que la pelouse, les conditions climatiques, le public (!), le manque de compétence de Gameiro au poste d'attaquant (!) ... sont les principaux responsables de nos échecs.

Auré a écrit:

On peut aussi penser qu'ils ont fait 6 premiers mois en surrégime (vu la suite de leurs carrières). Cohade est le seul joueur au niveau pour être titulaire dans l'élite actuellement, et c'était peut-être plus ou moins déjà le cas à l'époque.

C'est vrai qu'il y avait une Cohade-dépendance, un peu comme avec Nico cette année, mais des mecs comme Mouloungui (quand il se bougeait l'arrière-train ^^), Gameiro, Renteria ou Bellaid avaient largement leur place à ce niveau. Mais je reste d'accord sur le fait qu'ils ont tous un peu connu des saisons galères après cette descente.

Citation :

Troyes a choisi un visage familier pour succéder à Patrick Rémy, remercié mardi. C’est Jean-Marc Furlan qui entraînera l’ESTAC la saison prochaine en Ligue 2. Il a déjà entraîné Troyes de 2004 à 2007.

Football365

Il veut Marcos, allez JMF impose ta volonté au président troyen avec lequel tu sembles t'entendre depuis si longtemps !

C'est quand même incroyable, avec tous les entraineurs qui sont sur le marché, que JMF puisse aussi facilement retomber sur ses pieds.....

phenix a écrit:

C'est quand même incroyable, avec tous les entraineurs qui sont sur le marché, que JMF puisse aussi facilement retomber sur ses pieds.....

Il suffit de regarder son signe astral... Fufu est un chat !

phenix a écrit:

C'est quand même incroyable, avec tous les entraineurs qui sont sur le marché, que JMF puisse aussi facilement retomber sur ses pieds.....

Tu sais, depuis son départ à Troyes, ils ont eu bien pire

Finalement il n'y a qu'à Troyes qu'il a réussi quelque chose,normal qu'il y revienne pour tenter d'oublier ses derniers déboires

Hé ben dis donc ! Il n'a pas attendu longtemps pour concéder sa première défaite avec l'ESTAC !
Vannes 1 - 0 Estac
Samaritano 4'

Le VOC c'est toujours très dûr de les jouer chez eux, Samaritano c'est vraiment un bon petit joueur.

Citation :

Ligue 2 Nantes: Furlan et ses rapports avec Kita

Revenu à Troyes cette saison, Jean-Marc Furlan s'apprête à retrouver Nantes, vendredi, à l'occasion de la 2e journée de Ligue 2. Dans les colonnes de Ouest-France, il revient sur les neuf semaines et demie qu'il a passées dans la Maison Jaune en 2009-2010. "Je ne garde pas un souvenir douloureux de mon passage à Nantes. En tout cas, ça n'a rien à voir avec les relations que j'entretenais avec la gouvernance du Racing club de Strasbourg où j'ai vraiment souffert. À Nantes, Jean-Marc Furlan et Waldemar Kita ne pouvaient pas s'entendre. Si j'avais suivi la ligne directionnelle et les ordres du président, je serais toujours à Nantes où j'ai très bien collaboré avec Franck Kita et Gilles Favard. (...) Quand vous disposez d'un groupe de 40 joueurs, il faut gérer les conflits d'intérêt, les égos. Les éléments ne sont pas réunis. J'ai déjà parlé du contexte. La gestion de Jean-Claude (Darcheville), proche du président était compliquée. C'était irréalisable", a expliqué Furlan.

Source : Sports.fr

Nous aussi et on souffre encore aujourd'hui
Sinon Furlan entame cette saison magnifiquement bien,deux matches deux défaites

Déjà deux défaites pour notre ancien comique... La semaine prochaine, c'est l'enterrement... Ne dit-on pas jamais 2 sans Troyes ?

Furloose n'y arrive plus du tout, à ce stade là il n'y a pas de hasard dans le football .. sa débute débute tout juste mais s'il connait un 3ème échec de suite dans 3 clubs différents .. c'est que c'est vraiment une grosse quiche et que pour le bien de notre sport son diplome d'entraineur devrait lui être retiré ^^ !!

manou54 a écrit:

Déjà deux défaites pour notre ancien comique... La semaine prochaine, c'est l'enterrement... Ne dit-on pas jamais 2 sans Troyes ?

Malheureusement non......

Ils se sont bien repris puisqu'ils ont gagné 2 matchs.

Grâce à Marcos d'ailleurs.....

Si ça ne se passe pas trop mal, il doit vraiment rester là-bas jusqu'à sa retraite. Il est celui qui a le mieux réussi à Troyes depuis un bail ... Ça leur fera du bien aux Aubois ... et aussi aux clubs qu'il n'entraînera ainsi jamais

L'AFFAIRE FURLAN REPOUSSÉE



- Une audience était programmée jeudi au Conseil des Prud'homme de Strasbourg dans le cadre du licenciement de Jean-Marc Furlan. L'actuel entraîneur de Troyes avait été limogé en juin 2009 après l'échec dans l'opération remontée et peut espérer jusqu'à 400 000 euros d'indemnités. L'affaire a été renvoyée au début du mois de décembre.(DNA)

400.000 euros Joyeux Noël Mr Furlan...

Et dire qu'avec 5 numéros au loto on n'est pas sur de gagner autant, je sais en quoi je veux être réincarné si je reviens sur terre.

booba9068 a écrit:

400.000 euros Joyeux Noël Mr Furlan...

Les présidents qui virent un entraîneur sont des gens incompétents ! Jamais on ne doit virer un entraîneur ou quelqu'un du staff ! Si on doit le faire, c'est qu'on l'a mal choisi ! Et si on est malin, alors on ne le fait signer que pour une seule saison, ainsi on n'a pas d'indemnités à payer. On attend la fin de la saison et voilà.

Je rappelle pour mémoire, que Rolang Courbis, partout où il est passé comme entraîneur, ne signait que des contrats d'un an ! Comme ça, à la fin de chaque saison, il n'y avait pas d'embrouilles !

Notre vieille connaissance Fufu s'est offert de beaux cadeaux de Noël cet hiver à Troyes. Pour relever le niveau de son équipe, il vient de s'offrir coup sur coup le buteur Grax et le milieu Psaume. Nous l'an dernier à pareille époque, on a eu droit à Baning et De Carvalho. Grax et Psaume, c'est tout de même le niveau au-dessus.

Citation :

On le sait, la valse des entraîneurs devrait être animée l'été prochain en Ligue 1. Et à quelques encablures de la fin de la sasion, les rumeurs filent bon train. C'est ainsi que les noms de Jean-Louis Garcia (Angers) et Jean-Marc Furlan (Troyes) reviennent avec insistance ces derniers temps, du côté de Nancy ou encore Auxerre. Mais les deux intéressés ont été clairs, un départ n'est pas à l'ordre du jour : "Il est évident qu'entraîner en Ligue 1 m'intéresse. Mon nom circule mais ce n'est pas d'actualité", a indiqué Garcia sur Sport49.fr,tandis que Jean-Marc Furlan a confié ceci à l'Est Eclair : "J'ai un contrat de trois ans. Et au-delà de ça, il y a surtout la mise en oeuvre d'un projet avec le président." Autant dire que ces deux-là, sauf offre mirobolante, et encore, resteront en Ligue 2 la saison prochaine.

Heureusement car Nancy tient à rester en L1

Fufu à Nancy ? Non, merci, vraiment pas. Quant à Jean-Louis Garcia, ce n'est pas la même chose. Un type sympa, compétent, juste et qui connaît la boutique de la forêt de Haye, puisqu'il a déjà été gardien remplaçant à l'ASNL. Quant à ses compétences comme entraîneur de ligue 1, ça reste à prouver. Néanmoins, partout où il est passé comme coach, il n'a laissé que des bons souvenirs.

Quand Toulon est remonté en national, c'était Jean-Louis Garcia qui était aux commandes de l'équipe et, sur le terrain, ça jouait bien. En 2005 ou 2006, comme le président de Toulon a voulu remonter en ligue 2, il a recruté un autre entraîneur, soit-disant meilleur que Jean-Louis. A la fin de la saison, Toulon n'a pas réussi à monter en ligue 2 et n'a même pas réussi à rester en national. Pendant ce temps, Jean-Louis Garcia est parti entraîner le SCO d'Angers, a donné un visage offensif à cette équipe et a même été nommé meilleur entraîneur de ligue 2.

Alors, s'il faut donner la chance à un des deux, pitié qu'on la donne à Jean-Louis et pas à l'autre prétentieux.

Furlan donne son avis il est sur la même longueur que GG.
A quand une autocritique ??

"Ce n'est malheureusement pas une surprise pour moi. En novembre 2007, alors que la Racing était encore 7 ou 8ème de L1, Je me rappelle très bien de conversations avec M. Lohr, actionnaire passionné du club et M.Specht. je leur avait dit que vu la façon dont les gens vivaient le football ici et l'ambiance délétère autour du club le Racing était en danger de mort."

Avant Brest-Strasbourg, les anciens du Racing racontent Jean-Marc Furlan


Jean-Marc Furlan, entraîneur du Racing club de Strasbourg de 2007 à 2009.
 S'il a laissé des souvenirs contrastés aux supporters strasbourgeois, le désormais coach brestois Jean-Marc Furlan a inspiré plusieurs joueurs et membres du staff entre 2007 et 2009...
Aux yeux des supporters strasbourgeois, il est celui qui a fait jouer Kévin Gameiro dans le couloir droit, descendre le club en 2008 et rater la montée un an plus tard. En revanche, le passage de  Jean-Marc Furlan, technicien jugé « ouvert » ou « inspirant », a marqué l’encadrement sportif, à l’heure où le Racing le retrouvera samedi à Brest (15h)..
Le paradoxe est grand. Déjà à la tête de la réserve à l’époque, François Keller résume : « Si les gens retiennent les échecs sportifs, pourtant, jamais un entraîneur n’a laissé d’aussi bons souvenirs au centre de formation. » Ceux d’un passionné qui aime le partage et qui va vers les autres, « avec respect, sans méfiance ».


Jean-Marc Furlan à l'entrainement du Racing en août 2008.
« Grosse culture foot » et « une recherche du beau jeu »

Ancien équipier puis collègue en tant que coordinateur sportif du Racing en 2007, Ferhat Khirat savait « qu’il deviendrait un bon coach, parce qu’il est très réfléchi et qu’il a une grosse culture foot. » Encourageant par exemple François Keller à passer son diplôme d’entraîneur, Jean-Marc Furlan a marqué le chemin de plusieurs encadrants.

Toujours offensif, le style prôné et défendu par le Girondin d’origine est dans toutes les têtes. « Rien que les entraînements, ils étaient basés sur le beau jeu, se remémore l’ancien attaquant David Ledy. Il ne recherchait que ça. Quand on commençait à balancer pendant les matchs, il n’était pas content. »

Son amour du jeu, le désormais coach brestois a toujours aimé le décrypter, l’expliquer. Lancé par Jean-Marc Furlan en Ligue 2, le désormais joueur de Martigues relance : « Il est très simple et très proche de ses joueurs. C’est un meneur d’hommes. Quand il veut se faire comprendre, il y arrive. A l’entraînement, on était très attentifs. »






La période où Jean-Marc Furlan signait des autographes à Strasbourg.
Un « entraîneur-formateur » à impliquer sur le long terme ?

« Il voulait faire des garçons des joueurs intelligents dans le projet défini, complète François Keller. Il m’a apporté dans la lecture du jeu ou l’approche du métier. » A l’image de ses fortes relations avec la réserve et le centre de formation à Strasbourg, Jean-Marc Furlan viserait même plus la construction d’un projet de club que d’un projet de jeu.

« C’est un entraîneur-formateur qui veut donner de la valeur au club, reprend Ferhat Khirat, désormais recruteur des 8-20 ans de l’OM. Il s’inscrit dans la durée. A Strasbourg, il a donné leur chance à beaucoup, il ne faut pas oublier qu’on a vendu pour douze millions en descendant. A Brest, il s’adapte encore, avec un effectif jeune. »





Jean-Marc Furlan, entraîneur joueur du Racing club de Strasbourg.
Coach de Ligue 1 ou de Ligue 2 ? Des années charnières…

Aux fortes convictions, Jean-Marc Furlan est plutôt du genre à défendre son beefsteak. Même parfois trop ? « Il peut être jusqu’au boutiste », reconnaît François Keller. En 2008, ses idées lui ont-elles coûté la descente au bout d’une interminable série ? « Il n’a pas eu beaucoup de réussite, estime David Ledy. L’année suivante, on rate la montée sur un match. Ça se joue sur des détails. ».

Depuis sa période strasbourgeoise, l’entraîneur lancé à Libourne estime avoir grandi. Qualifiés de « traumatisme », ces deux ans au Racing resteront charnières dans sa carrière. « Il aurait dû basculer pour vingt ans comme un entraîneur de Ligue 1, et il a été catalogué comme un coach de Ligue 2, regrette le coach de la réserve. Mais sa capacité à rebondir après ça montre toutes ses qualités. »

Ancien partenaire à Saint-Seurin Ferhat Khirat ajoute : « Il n’a jamais eu les effectifs qu’il aurait mérités. En tout cas, après le gâchis de l’époque, on voit bien que ceux qui le critiquaient de l’intérieur ne sont plus dans le football aujourd’hui, alors que lui a fait son chemin… » Les routes vont de nouveau se croiser. François Keller conclut : « Je lui souhaite de tout gagner cette année, sauf ce week-end ! »

>> A lire aussi : Football : La dernière fois que le Racing club de Strasbourg a été diffusé sur Canal Plus...

>> A lire aussi : L'ombre du Racing dans la reconversion de son ancien joueur David Ledy

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20minutes

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La roue tourne pour quasi tous les coachs, plus vite pour certains et bien sur quelques exceptions comme Wenger.

Naturellement ça ne va pas plaire à tout le monde , mais moi j'aimerais b ien qu'il revienne entrainer au racing, mais pas avec une bande de branquignols, mais avec des joueurs sur qui on peut compter.

On ne peut pas dire qu'à Troyes, c'était des branques (Nivet par exemple) mais simplement un groupe qui n'avait pas le talent nécessaire pour le niveau L1. On peut être insuffisant pour un niveau supérieur et pas mauvais pour autant.