La revente du Racing prend tout doucement forme. Deux nouveaux administrateurs seront nommés le 4 décembre 2009


Du neuf au conseil d’administration

Si les dirigeants du RCS sont restés muets hier sur la vente du club évoquée par « L’Alsace » dans son édition du matin, les grandes manœuvres ont bel et bien commencé. La preuve : deux nouveaux administrateurs seront nommés le 4 décembre.

À l’évocation de la vente du Racing, souhaitée depuis juin par le président Philippe Ginestet, les portes se ferment et les langues se lient. Hier, malgré les révélations de « L’Alsace » dans son édition du matin, les dirigeants strasbourgeois ne sont pas sortis du mutisme qu’ils s’imposent sur le sujet depuis des semaines.

Pas question de compter sur eux pour informer les amoureux du club tant que la cession du RCS ne sera pas ficelée. « Plusieurs dossiers sont ouverts, mais toutes les discussions sont frappées du sceau de la confidentialité », se borne à indiquer le président délégué Jean-Luc Herzog, « Il n’est pas question de le contourner. »

« Je n’ai pas d’autres commentaires à faire que ceux que j’ai déjà faits, à savoir que des négociations sont en cours et peuvent durer une période impossible à évaluer », lui fait écho un Philippe Ginestet pas plus volubile.

Selon nos informations, une société anglaise serait pourtant disposée à investir très vite dans le club. À quelle hauteur et sous quelle forme ? Mystère. Mais une chose paraît désormais acquise : les grandes manœuvres ont commencé.
Un indice de plus ? Hier, les actionnaires de la SASP (Société Anonyme Sportive Professionnelle) ont reçu une convocation à une assemblée générale ordinaire pour le mardi 4 décembre, moins de deux mois après la précédente (le 13 octobre).

À l’ordre du jour y figure un point qui en dit long sur ce qui se trame : « Nomination de deux nouveaux administrateurs. » Quand on sait que l’actuel conseil d’administration ne compte que sept membres (Philippe Ginestet, Léonard Specht, Dominique Pignatelli, Jean-Luc Herzog, Nicolas Wiltberger, Thierry Wendling et Eric Vogel), ça n’a rien d’anodin. Lors de la cession d’un club, la première étape consiste toujours ou presque en la nomination au CA de proches du repreneur. « Parfois, celle du repreneur lui-même », souligne un observateur rompu à ces procédures.

Cette date du 4 décembre coïncide ainsi avec le « timing » dévoilé par « L’Alsace » hier matin. Il y était question d’une vente du Racing « dans les tout premiers jours de décembre. » L’affaire prend tournure.


(L'Alsace)

et comme toujours évidemment on ne par le que de ventes de joueurs si on en reste à l'état actuel. Au tour de Gueye maintenant, comment voulez-vous mrs les dirigeants créer un club digne de ce ce nom en bradant systématiquement les espoirs du club. Equilibrer un budget c'est bien mais dans le foot pro faut aussi des c... au derrière et savoir un moment donné perdre de l'argent quitte à en récupérer davantage plus tard. Mais vous c'est le risque zéro donc évidemment résultats zéro aussi. On vend d'abord on recrute des brouteurs de gazon plus à l'aise devant un micro que balle aux pieds et hop, advienne que pourra.

Ah ah peut etre au revoir Ginette!

Si c'est pour remplacer Ginestet par Herzog, alors à quoi bon ? Si c'est pour remplacer Ginestet par une société anglaise du type Img, pourquoi pas parce qu'au fond avec Img on n'a jamais été dernier de ligue 2 après tout...

Si c'est pour virer toute la clique incompétente actuelle et pour mettre en place une équipe dirigeante unie, qui file dans la même direction, qui songe à travailler à moyen ou long terme, qui parle le même langage, qui a quelques moyens et qui laisse travailler des techniciens sportifs compétents, alors là oui et même bravo et vivement que ça se fasse. Mais bon, ne nous réjouissons pas trop vite car :

a) Des présidents du style Weller, Kientz, Gindorf ou Léopold, ça ne court pas les rues et on est bien placé pour le savoir...
b) Depuis 4 ans, ce n'est pas la première fois qu'on entend ce refrain des investisseurs qui doivent venir et à chaque fois ça tourne court...
c) Ne surtout pas oublier que Gigi est scotché à son fauteuil du bon Dieu et il faudra une sacrée dose de dégripant pour parvenir à le décoller de là...
d) Les moyens seront-ils suffisants pour faire table rase à tous les niveaux ? Pour reprendre le club, pour virer tous les gens inutiles et néfastes mis en place un peu partout par Gigi, pour payer les indemnités de licenciement, pour donner une véritable colonne vertébrale à l'équipe sur le terrain (chef de défense, n°6, meneur de jeu, véritable tueur de défense), etc...
e) Et qui pour coordonner le secteur sportif ? Comme le fait si bien notre alsacien Arsène à Arsenal... Comme l'a si bien fait ici Gress (et Hild) en 1979 et 1991, ou Duguépéroux en 1995 ou en 2004... C'est primordial aussi d'avoir un entraineur compétent, qui connait le club, qui aime nos couleurs, qui a des idées, un style de jeu et qui ne vient pas chez nous juste pour se faire mousser.

Ginestet vendra sans doute à celui qui lui filera le plus de pognon pour racheter les parts, quitte à injecter moins dans le club. Ainsi Kientz n'a quasiment aucune chance : Ginestet ne peut pas le blairer et en plus, bien qu'il annonce souhaiter investir plus de 10 M dans le Racing, il refuse en revanche d'acheter les parts du Présidieu (ce qui signifie sans doute qu'il serait en fait prêt à le faire ... mais pour l'euro symbolique). Une société anglaise, elle, serait du genre à filer ses 5.5 M au Présidieu.

Par contre, ce genre d'investisseurs veut récupérer du pognon en général : pas forcément bon pour le club, mais surtout, quels seraient leurs intérêt à l'heure actuelle, alors que le Racing est dors et déjà déficitaire de 5 M d'euros, sans compter les procès avec Furlan et Gress (potentiellement 700 000 euros en tout), et l'éventuelle perte de 500 000 € à cause de la suppression du DIC ?

Quand on veut racheter une organisation, une entreprise ou un club, il faut y mettre le prix. La meilleure façon de procéder, c'est de s'entendre sur le tarif à payer. La meilleure façon de ne pas se faire entuber, c'est un audit, une opération qui consiste à examiner la situation réelle. Bien entendu, comme tout supporter du Racing, Kientz n'a aucune confiance en Gigi et a donc demandé un audit. Ce que semble refuser Gigi... Y aurait-il un trou financier caché ? Un gouffre ?

Si une société anglaise s'intéresse au club, elle exigera aussi un audit. Alors ?

Comme on s'approche tout doucement du "fameux" 4 décembre, voilà quelques nouvelles au sujet du rachat du RCS.
On y apprend que les Anglais seraient en pole position ,également que L. Specht tente ou a tenté de monter un dossier de rachat à "essence régionale". A quelle sauce va t-on se faire manger ????
Je vous laisse lire l'article

Le 4 décembre, l’assemblée générale de la Société anonyme sportive professionnelle doit nommer deux nouveaux administrateurs. Sans doute le repreneur ou ses représentants. Sur leur identité, rien ne filtre. État des lieux alors que l’équipe pro s’apprête à disputer trois matches capitaux en une semaine.


Plus les jours passent et plus - c’est une lapalissade que de le dire - le Racing se rapproche de sa vente. Les tractations se sont intensifiées ces dernières semaines. Elles sont soumises à des clauses de confidentialité que le président Philippe Ginestet et son président délégué Jean-Luc Herzog se font fort de ne pas trahir. Les deux hommes sont comme les voies du Seigneur : impénétrables.

Ce qu’on sait, même si personne n’a confirmé - ni infirmé - les informations de « L’Alsace » dans ses éditions des 17 et 18 novembre ? Un, que deux nouveaux administrateurs seront en principe nommés le 4 décembre lors de l’assemblée générale de la SASP, la 2 e convoquée en moins de deux mois (après celle du 13 octobre) ; deux, qu’une société anglaise, dont l’identité et la raison sociale n’ont pas été dévoilées, tiendrait la corde pour s’offrir le RCS à un niveau d’investissement lui aussi inconnu ; trois, que J.-L. Herzog a admis avoir posé des jalons pour élaborer un projet de reprise avec des investisseurs régionaux, tout en reconnaissant que ce projet n’est pour l’heure qu’une « alternative pas d’actualité » ; quatre, que Léonard Specht, éphémère président de juin à août, a de son côté démarché des entrepreneurs alsaciens pour tenter lui aussi de bâtir un dossier à essence régionale.

Specht : « Mes démarches n’ont débouché sur rien de concret »
L’ex-défenseur international ne le nie pas : « Il est exact que j’ai approché les enseignes Leclerc (notre édition du 17 novembre) , mais pas seulement elles. Ces contacts n’ont débouché sur rien de concret. Mais vous connaissez le milieu des affaires : les choses peuvent se décanter très vite. Quand je suis devenu président le samedi 6 juin, j’ignorais encore le jeudi midi que j’allais l’être. J’ignore aussi qui sont les deux administrateurs susceptibles d’être nommés le 4. Mais j’imagine que si Philippe a annoncé leur désignation, c’est qu’il a avancé sur un dossier de reprise. »

C’est l’évidence même. Une évidence battue en brèche par Jean-Luc Herzog dont la rumeur annonçait pourtant en ce début de semaine le refus, désormais, de trancher certains dossiers. Celui du joker notamment. « C’est faux », dément le président délégué, « si nous avions trouvé le joueur idoine ou si nous le trouvions dans les deux jours, il arriverait (Ndlr : le RCS a activement relancé la piste du Parisien Loris Arnaud) . Pour le reste, je répète qu’il y a plusieurs candidats repreneurs (1), mais que rien n’est finalisé. »

Pourquoi, dès lors, informer les actionnaires de la SASP de l’arrivée de deux nouveaux administrateurs dans une grosse semaine ? « Ça, c’est la théorie », poursuit JLH, « mais tout est envisageable, y compris l’annulation de l’AG au dernier moment. »

Le bras droit de Philippe Ginestet finit ainsi par reconnaître que des clauses de rétractation accompagnent les négociations en cours. La prudence des dirigeants bas-rhinois est d’autant plus poussée à l’extrême que les sommes en jeu sont considérables. « Jusqu’au 3, tout peut être remis en cause. Certes, la désignation de deux nouveaux administrateurs figure au programme. Mais elle peut tout aussi bien n’avoir jamais lieu. »

Ce scénario n’est pas à exclure. Mais si les pourparlers étaient aussi flous qu’elle le laisse entendre, la direction du RCS n’aurait-elle pas pu se contenter de convoquer l’AG sans inscrire cette désignation au point 2 de l’ordre du jour ? Il eut été facile, sans y faire référence, de la noyer dans les questions diverses.

Stéphane Godin
(1) On parle aussi d’un investisseur français installé en Allemagne.

Que de blabla dans cet article ! Tout ça pour finalement ne rien dire... Moi, je trouve que ça ressemble bigrement à un discours de notre équipe dirigeante actuelle... Beaucoup de mots, beaucoup de phrases pour finalement rien du tout.

Et cette dernière phrase du texte. Un dirigeant français travaillant en Allemagne. C'est vraiment dommage que ce n'est pas le contraire... J'aurais souhaité qu'on me parle d'un dirigeant allemand actuellement en France, parce que j'aurais ainsi reconnu Egon Gindorf (ou un de ses amis) et ça aurait tout de même signifié quelqu'un de compétent qui s'intéresserait à notre cher et tendre Racing...

Décisive à plus d'un titre

Sur le terrain et dans les coulisses, la semaine qui s'ouvre s'annonce chargée pour le Racing. Alors que la troupe de Pascal Janin dispute deux rencontres capitales - la première dès demain (20h30) contre Bastia -, une assemblée générale est convoquée ce vendredi. Autour du président Ginestet, plus que jamais prêt à passer la main, l'actionnariat doit a priori évoluer.

Ces derniers temps, le Racing prend des allures de Grande Muette.
Dans les bureaux de la Meinau, les langues éprouvent les pires peines
du monde à se délier. Hervé Morin, le ministre de la défense, n'a
pourtant pas débarqué sur les bords du Krimmeri pour présider au destin
d'un club strasbourgeois qui semble continuer à avancer d'un pas assuré
vers une débâcle cinglante.
Philippe Ginestet en est toujours le
numéro un. En apparence, l'entrepreneur alsacien assume son rôle comme
au premier jour, il y a maintenant de cela quatre ans presque jour pour
jour.

Deux sièges à pourvoir au Racing ce vendredi

On l'a vu remonter ses troupes dans les vestiaires de la Meinau, la
semaine dernière, avant le déplacement à Dijon (0-0). Il est encore
apparu devant la presse après la rencontre, contrarié par la pâle
prestation des siens. Mais le coeur n'y est plus, la lassitude le
disputant désormais à l'amertume.
Loin des ors de la Ligue 1, plus
proche du précipice qui conduit tout droit au National, son club est
moribond. Philippe Ginestet ne s'en cache pas. Depuis l'échec dans la
course à la remontée, en mai dernier, il veut quitter la partie sans
perdre trop de billes.
Le président a ainsi convoqué ce vendredi
matin une assemblée générale, dans laquelle deux nouveaux sièges sont à
pourvoir. « Je le dis et je le répète, j'ai la volonté de faire évoluer
l'actionnariat », dit-il. En ce qui concerne l'identité des deux
supposés arrivants et le rôle qu'ils doivent occuper, Ginestet reste en
revanche évasif : « Les discussions sont en cours. Si les choses
avancent normalement, les deux sièges seront pourvus vendredi. »
Au-delà
du premier cercle - très restreint - qui entoure le président, personne
ne semble rien savoir sur ce dossier. Pas même les autres actionnaires,
qui ne sont de toute façon plus dans la confidence depuis belle lurette.
« Je
ne pense pas que ces nominations aient quelque chose à voir avec la
vente du club, indique Egon Gindorf, ex-président toujours engagé à
hauteur de 18% dans la société EuroRacing qui gère le club. A ce sujet,
on devrait y voir plus clair avant la fin de l'année. Quoi qu'il en
soit, Philippe (Ginestet) doit vendre ses parts sans vouloir rester ni
devant, ni derrière. C'est à lui de jouer. Moi, je suis en position
d'attente. »
Pour l'heure, les certitudes sont des plus minces. Un
groupe d'investisseurs locaux - encore non identifiés - s'active pour
prendre la main sans que Ginestet ne semble vouloir tendre la sienne.
Tout
le reste ne relève que de la pure spéculation et de la rumeur, à
l'image de celle qui prêterait à une société britannique l'intention de
racheter le Racing. Sur ces bases-là, un oligarque russe, un prince
héritier des Émirats arabes unis voire un consortium chinois ne
devraient pas tarder à rentrer dans la danse...

De la nécessité de battredes Bastiais en perdition

Même si le club strasbourgeois conserve « un pouvoir d'attraction
important », aux dires de Ginestet, son équipe file actuellement un
mauvais coton. « La priorité, c'est la réception de Bastia, dit
d'ailleurs le président, plus loquace quand il s'agit d'évoquer la
situation sportive. Il nous faut prendre les trois points pour enfin
sortir de la zone rouge. »
La victoire, demain soir à la Meinau
contre la lanterne rouge, s'impose comme une nécessité absolue.
D'autant que le club corse, dépourvu de président - Julien Lolli, qui
assurait l'intérim depuis la démission de Pierre-Paul Antonetti, a jeté
l'éponge - et privé de quelques éléments clés sur le pré (lire
ci-dessous), navigue dans une épaisse purée de pois.

Que les têtes dépassent au-dessus de la ligne de flottaison après Nîmes

Incapables de bousculer une piètre formation dijonnaise, les hommes de Pascal
Janin devront toutefois se faire violence pour, déjà, repousser les
Corses à six longueurs, avant d'espérer quitter le wagon des
relégables. Dès demain ou alors vendredi, après le déplacement à Nîmes,
il faudra impérativement que les têtes dépassent au-dessus de la ligne
de flottaison.
Bref, cette première semaine de décembre s'annonce
décisive à plus d'un titre. Sur le terrain comme dans les coulisses, le
Racing aborde un virage déterminant. Mieux vaut bien le négocier, sous
peine de s'exposer à une sortie de route potentiellement fatale.

D.N.A Sébastien Keller Édition du Lun 30 nov. 2009.

Pour résumer, Ginestet veut partir... mais il ne trouve aucun repreneur... rien de nouveau

Ben oui tant que la situation sportive du Racing sera incertaine (National ou pas ) les repreneurs se feront extremement discret.
Autre chose qui m'embête c'est que ces investisseurs locaux pourraient bien être des proches d'Herzog

Quel blabla... Depuis 4 ans que Gigi est arrivé aux affaires, tous les reportages sur le Racing ne sont que des blabla pour endormir les supporters ! Gigi veut passer la main ? Du vent, rien que du vent et je n'y crois pas un seul instant. Sinon, pourquoi n'a t-il pas céder le Racing en été à Jacky Kientz ? Sinon, pourquoi est-il revenu remplacer Specht ? Sinon, pourquoi a t-il placer ses proches aux postes clefs ? Gigi se fiche de nous de A à Z et depuis le début...

Des investisseurs, il y en a quelques uns, mais Gigi a l'art et la manière de les refouler. On fait mine de discuter et à la fin, on ferme la porte. Il parle de protocole d'accord, de cession de parts et quand il faut signer, plus personne, Monsieur le présidieu part en vacances. Quand on veut céder ses parts, on fait un audit. Mais Monsieur refuse un audit... Pourquoi ? Y aurait-il eu des malversations ? Des combnes ? Des chiffres truqués ? Le bilan de la gestion de Monsieur le rigolo serait-il si mauvais que cela ?

Je rappelle pour mémoire que le budget déclaré du Racing pour cette année est de 15 millions. Gigi en était assez fier, non ? Quand on voit qu'on n'a pratiquement rien dépensé pour le mercato estival et le pauvre effectif qui est le nôtre, on est en droit de se demander où sont passés ses 15 millions ! Pas dans la paye de l'entraineur, en tout cas. Pas dans le transfert de Fauvergue, puisqu'il est en prêt. Pas dans le contrat de Cassard, puisqu'il n'a pas prolongé à l'instant où j'écris. Pas dans le transfert de Biancalani, puisqu'il n'est pas venu. Alors où ?

Que va t-il se passer Vendredi 4 décembre ? A mon humble avis, rien du tout... Enfin, rien de favorable pour ce maillot qu'on aime tant. Ginestet ou Herzog, c'est comme choisir entre le palu ou le choléra... La seule lumière d'espoir pourrait venir d'Egon GINDORF et de ses amis, si Egon décidait d'enfiler les habits du Père Noël pour chasser ce si vilain Père Fouettard qu'est Gigi et sa clique...

Joyeuses fêtes à tous

Le palu se guéri quand même plus facilement que le choléra...

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Le palu se guéri quand même plus facilement que le choléra...

Et le Racing, va t-il se guérir plus facilement d'Herzog ou de Gigi ? Allez hop, un bon coup de seringue et on se débarasse en même temps des deux lascars !

J.Fournier, futur P.D.G. du racing ????????, comme quoi quand on répète que Stasbourg c'est le Marseille de l'est......c'est pas faux !!!!!!,puisque ce monsieur est l'ancien secrétaire général de l'O.M.

Fournier futur président ?


Julien Fournier (à g.) a œuvré dix ans à l’OM. Depuis 2005, il en était devenu directeur administratif, puis secrétaire général, et avait traité les dossiers les plus chauds, comme le transfert d’Hatem Ben Arfa (à d.) en juillet 2008. Photo PQR/La Provence/Franck Pennant.


L’ex-secrétaire général de l’Olympique de
Marseille Julien Fournier, limogé le 17 juin en même temps que Pape
Diouf dont il était proche, serait la figure de proue d’un projet de
reprise piloté par une société anglaise. Il pourrait très vite devenir
le nouveau président-salarié d’un RCS qui reçoit Bastia à 20 h 30.

Il n’y aura sans doute ni oligarque russe, ni prince
héritier des Emirats arabes unis, ni consortium chinois. Mais plus
vraisemblablement une société anglaise. Alors qu’une conférence de
presse sera organisée vendredi midi après l’assemblée générale de la
SASP (1) Racing, on commence à en savoir plus sur la cession du club
strasbourgeois, souhaitée par le président Philippe Ginestet depuis
début juin. Vendredi, deux nouveaux administrateurs seront
nommés en AG. Le processus de vente entrera alors dans sa phase
officielle. Selon nos informations, déjà dévoilées dans nos précédentes
éditions (2), un groupe anglais prendra possession du club phare du
foot alsacien. La transaction aurait même déjà été ratifiée noir sur
blanc. À en croire un bruit répandu en ville, la société
britannique offrirait 5 millions d’euros à l’actionnaire majoritaire
pour le rachat de ses parts (3). En réalité, elle proposerait moins et
aurait surtout demandé au président bas-rhinois de laisser à la
disposition du club une part non négligeable des sommes qu’il y a
injectées (5,353 millions entre compte courant et acquisition de ses
actions).

Une clause d’annulation en cas de relégation.

Comme indiqué dans « L’Alsace » du 26 novembre, ce rachat serait assorti
d’une clause d’annulation en cas de relégation en National. Philippe
Ginestet serait « invité » à rester en poste jusqu’en juin et à assumer
ses bilans financier et sportif. Notamment le déficit prévisionnel de 5
millions (hors ventes de joueurs). Sur cette clause suspensive
comme sur l’ensemble du dossier, les parties prenantes se refusent à
tout commentaire. Sans qu’il faille y voir un quelconque signe
d’inertie. Dans l’ombre, les repreneurs se seraient déjà mis au
travail. La tête de pont de leur projet serait même l’un des dirigeants
les plus avisés et estimés dans le monde du foot : Julien Fournier (35
ans), ancien secrétaire général de l’Olympique de Marseille, viré le 17
juin en même temps que Pape Diouf dont il était proche. Il est
aujourd’hui toujours en conflit aux Prud’hommes avec le club phocéen.

« Je suis mal à l’aise pour m’exprimer »

Arrivé à l’OM en 1999, directeur du centre de formation pendant quatre ans et
demi, J. Fournier, originaire de Sanary-sur-Mer (Var), avait, lors de
l’intronisation de Diouf en 2005, accédé aux responsabilités de
directeur administratif, puis de secrétaire général. Il s’occupait
notamment de tous les dossiers chauds de transferts. Il est décrit par
nos confrères provençaux comme « un homme très compétent, pas forcément
chaleureux avec la presse à laquelle il ne dit rien, mais ne ment pas
non plus. Un type courtois et droit. » Joint hier après-midi,
Julien Fournier a justifié sa réputation. À la fois mutique et affable.
« Je suis mal à l’aise pour m’exprimer et je ne souhaite d’ailleurs pas
le faire pour l’instant. Vous me dites que vendredi se tient une
assemblée générale au Racing-Club de Strasbourg. Patientons jusque-là.
D’ici là, je vous invite à rester très prudent.» Malgré un
silence radio compréhensible, puisque toutes les négociations ont été
placées sous le sceau de la confidentialité, Julien Fournier pourrait
être nommé président-salarié. À la manière d’un Diouf à Marseille. De
quoi asseoir encore un peu plus la réputation « d’OM de l’Est » que
traîne le RCS. Si cette mission lui était assignée se poserait
en filigrane la question de l’avenir du président-délégué Jean-Luc
Herzog. Sans aucun doute la première d’une longue série.

Stéphane Godin

(1) Société Anonyme Sportive Professionnelle.
(2) « L’Alsace » des 17, 18 et 26 novembre.
(3) Ginestet, actionnaire majoritaire, détient 70 % d’EuroRacing, la
holding qui possède 78 % du club. Il peut donc agir à sa guise.

L'Alsace 01/12/2009.

Donc pour résumé tout ça en quelques mots :

1- Si on se maintien on aura à notre tête des anglois qui vont introniser PDG un gars qui a empoisonné l'OM de l'interieur en négociant le transfert de Ben Arfa.

2- Si on descend .. ben Ginestet devra trouver un autre repreneur.

Bref wait and see .. comme d'hab.

Dans ce club ,on a l'habitude de la vente!!!!!!!....depuis 2005.

A.Farnerud,Diané,Boka,Hosni,Krebs,Vergerolle,Abdessadki,Bellaid,Gameiro, Rangelov,Karim Hagui,Scheiderlin,Pagis,Kanté,Keita,Le Pen...ce qui représente pratiquement 27 millions d'euros .........

Pour l'instant ça reste une rumeur, m'enfin si ça devait se faire pourquoi pas !
Voilà un mec qui connaît quand même un minimum le milieu du foot, qui a travaillé avec P.Diouf (l'OM n'était pas si mal que ça avec Diouf) ) ce sera toujours mieux qu'avec Ginestet....restons prudent avant de critiquer ces futurs repreneurs.

Autre rumeur trouvée dans l'Alsace

Luc Dayan : juste un mirage

Éphémère président de Lille (en 2000-2001, mais actionnaire de 1999 à 2004), puis de Nantes (de juin à juillet 2007), Luc Dayan aurait, dit-on, rodé un temps du côté de la Meinau. Son nom tout du moins. En fait, le président de l’Entente Sannois Saint-Gratien (CFA) se serait rapproché de Philippe Ginestet voici un an pour obtenir un mandat dans le processus de vente du Racing. L’affaire serait restée sans suite, même si, en fin de semaine passée, un observateur généralement bien informé dans le milieu indiquait que son nom circulait toujours comme repreneur potentiel.

En effet, tu as raison, il faut rester prudent, après tout on sait jamais .. ce que je voulais dire c'est que les journalistes le vente par rapport au fait que ce soit l'instigateur du transfert de Ben Arfa à l'OM .. ils auraient pu mettre en avant un autre exemple pour le faire mousser et le présenter au public alsacien.

C'est vrai RUW, pour une carte de visite y a bien mieux
Sinon FF en parle également, je crois que je vais l'acheter tout à l'heure pour voir s'il y a plus d'information.
http://www.francefootball.fr/FF/breves2009/20091201_124511_strasbourg-va-changer-de-tete.html

Yess moi je suis abonné en rentrant chez moi je vais pouvoir tranquilement lire tout ca!
J'espere vraiment qua ca va changer!

J'ai vécu 5 ans dans le Sud entre Marseille et Toulon... J'ai été intimement mêlé au football par le biais de sponsorts pour lequel je travaillais, des marques de vêtements qui sponsorisaient l'OM de façons généreuses. La méthode Diouf et Fournier semble belle et bonne d'ici, mais quand on est au coeur du problème, la méthode Diouf se résume à une seule chose : "je place mes joueurs !"...

Le fameux article de FF:

Strasbourg, dont l'histoire est souvent aussi tumultueuse qu'un torrent, ne navigue pas en eaux calmes depuis le début de saison, que ce soit sur le terrain ou en coulisses. En manque d'aire au classement, le club alsacien s'apprête en effet a changer d'ère de manière imminente: ce vendredi, à l'occasion d'une assemblée générale, l'actionnaire majoritaire Philippe Ginistet présentera sa demission, en même tant que son successeur, qu'il a coopté. La transition entre les deux hommes se fera donc de manière harmonieuse, d'autant que Philippe Ginistet demeurera proche du club en tant que president d'honneur, doté d'une voix plus consultative que décisionnelle. Il oobservera donc au plus près les premiers pas du repreneur, une société anglaise d'investissement qui a souhaité s'engager à Strasbourg car elle considère que le Racing mérite d'évoluer en Ligue 1.
Un club qui reste attractif. La présence du Stade de la Meinau parmi les douzes enceintes susceptibles d'accueillir le Championnat d'Europr 2016 n'a pas non plus laissé insensible cette compagnie, même si elle n'a aucun intérêt indirect dans l'immoblier. Son principal ayant droit est un français domicilié à Londres, dont la première décision sera de nommer, pour s'occuper de la gestion quotidienne du club, un PDG qui possède une expérience dans le football. il ne va pas manquer de travail, car Strasbourg, auteur d'un nul à Dijon (0-0) vendredi dernier, lanterne dans la zone de relégation, à piéteuse dix-neuvième place. Mais si le National guette le Racing, qui a été à deux doigtes de rejoindre l'élite au primptemps dernier, ça ne l'empêche pas de rester attractif, au grand soulagement de Philippe Ginestet, dont la situation devenait de plus en plus intenable. Après avoir consommé quantité d'entraîneurs comme autant de fusibles, il a fini par se retrouver sous le feu des critiques et par perdre la main auprès des décideurs politiques et des investisseurs de la région. Le désengagement de cet homme très soucieux de son image est donc logique, d'autant plus que le désistement des Anglais de Hammerson, une société d'immobilier commercial qui devait financer le projet du nouveau stade strasbourgeois, a fini de le décourager. A son successeur d'essayer de faire mieux dans ce club aussi turbulent qu'un enfant, ce qui l'empêche de jouer régulièrement dans la cour des grands. Vincent Villa

J'ai tout copié depuis le FF de ce mardi.

Tant que Fournier ramène pas avec lui Ben Arfa, je suis partant

Et bien tout ça me fiche dans une colère énorme, encore une fois ! Fournier président et une société anglaise à la tête du Racing ? Quelle scheise ! Ils sont où les alsaciens ? Ils se cachent où ça dis donc ? La société anglaise, elle va ressembler à IMG et Fournier va ressembler à Proisy ?

L'alsacien n'est pas fou... avec ses pépéttes!

Et si Wenger était derrière ces mystérieux anglais ??

Pour moi, ça fait des années que Wenger est le seul espoir pour permettre au Racing de reprendre de belles couleurs.
Mais j'ai dépassé l'âge de rêver encore...

Je voulais dire qu'avec tous les gens compétents en Alsace, il y a de quoi faire un Racing cohérent et compétent. Il n'y a pas que le fric pour réussir en football. Lorient le démontre en jouant un beau football, sans se prendre de carton, en recrutant malin (Kevin, Abriel...) mais en ayant un budget modeste. Seulement, à Lorient, on travaille sur la durée et jamais l'entraineur n'a été inquiété quand les résultats n'étaient pas terribles. Christian Gourcuff batit son équipe petit à petit, par petites touches...

C'est certain qu'Arsène, c'est le rêve de tout supporter du Racing... Mais bon, c'est aussi un rêve inaccessible, car notre cher Arsène connait son Racing sur le bout des doigts et ne risquerait pour rien au monde venir dans le bourbier et l'attrape-couillon de Strasbourg...