FAITS DIVERS Marne : un bijoutier tue un braqueur à coup de fusil
le 28/11/2013 à 19:34
Un bijoutier de Sézanne (Marne) a tué jeudi un braqueur d’un coup de fusil, a indiqué le procureur de Châlons-sur-Marne.

«Le braqueur, dont le pronostic vital était engagé, est mort des suites de ses blessures, après avoir essuyé un coup de fusil du bijoutier», a déclaré Christian de Rocquigny à l’AFP.
Alsace

publiée le 03/12/2013  

SEINE-SAINT-DENIS Bobigny : une femme de 28 ans poignardée par un enfant d’une dizaine d’années

Une femme de 28 ans a été poignardée lundi soir à Bobigny (Seine-Saint-Denis) en sortant d’un McDonald’s, rapportant que son agresseur était un enfant d’une dizaine d’années qui venait de lui demander de l’argent, a-t-on appris de sources concordantes.
La victime, d’origine haïtienne, a été hospitalisée à l’hôpital Avicenne de Bobigny. Son pronostic vital n’était «pas engagé» mardi, a relaté une source préfectorale.
Alors qu’elle sortait lundi soir vers 22H30 du restaurant, son agresseur «lui a porté un coup de couteau à l’abdomen avant de prendre la fuite», a précisé une source judiciaire. Lorsqu’elle a été hospitalisée, le couteau se trouvait encore dans son abdomen, ce qui a limité l’hémoragie.
«Selon les premières déclarations de la victime, il s’agit d’un enfant d’une dizaine d’années qui lui a demandé de l’argent» avant de la poignarder, a ajouté une source proche du dossier.
AFP
Les policiers de la Sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis ont été saisis de l’enquête.
DNA

Marco 69/73 a écrit:

FAITS DIVERS Marne : un bijoutier tue un braqueur à coup de fusil
le 28/11/2013 à 19:34
Un bijoutier de Sézanne (Marne) a tué jeudi un braqueur d’un coup de fusil, a indiqué le procureur de Châlons-sur-Marne.

«Le braqueur, dont le pronostic vital était engagé, est mort des suites de ses blessures, après avoir essuyé un coup de fusil du bijoutier», a déclaré Christian de Rocquigny à l’AFP.
Alsace

Ahlala... Le pauvre braqueur... Quel monde... Et ça devient risqué d'être braqueur... Va falloir créer une braquotaxe pour ses pauvres gens-là... Pouvait pas appeler les flics le bijoutier ? Euh, non, il n'y avait pas un flic de disponible... Z'était tous en train de ramasser le pognon des radars ou en train de vendre des calendriers... Pas de chance, alors... Eh non, pas de chance.

7/12/2013
dna.fr victime d'une attaque

Notre site est victime depuis vendredi soir d'une attaque informatique ciblée, de grande ampleur, selon les dernières informations techniques à notre disposition. Nos équipes travaillent sur le problème. Merci pour votre compréhension.

Quelle foule sur le forum ce week-end !

manou54 a écrit:

Quelle foule sur le forum ce week-end !

Ce we seulement La désertification est quasi générale.

publiée le 08/12/2013  
ITALIE Le village de Gubbio a allumé le plus grand sapin de Noël du monde

Le sapin de Gubbio, vu en 2006. AFP
Cet arbre fait d’ampoules fait jusqu’à 750 mètres de haut et 450 de large. Il disposé à flanc de montagne est reconnu depuis 1991 par le Guinness World Records comme le plus grand du monde
Le plus grand arbre de Noël du monde, composé de centaines d’ampoules disposées à flanc de colline, a été allumé samedi soir dans le joli village médiéval de Gubbio en Ombrie (centre de l’Italie), a constaté une journaliste de l’AFP.
«Le sens de cet événement c’est de recueillir un beau message, celui que le pontificat du pape François a décidé de mettre en avant, à savoir l’attention vis-à-vis des plus pauvres», a souligné le père Francesco Soddu, directeur de l’organisation Caritas Italie.
Cette attention «doit se manifester surtout à travers la solidarité», a estimé le responsable qui a déclenché à l’aide d’une tablette numérique l’activation de l’arbre géant, devant des centaines de curieux dont beaucoup d’enfants.
Le sapin de Noël de Gubbio surmonté d’une étoile filante, né de l’initiative de bénévoles en 1981, est depuis 1991 considéré par le Guinness World Records comme le plus grand du monde avec une hauteur maximale de 750 mètres et une largeur de 450 mètres.
Il s’agit en fait d’une structure basée sur près de 1.000 points lumineux de couleurs différentes (reliés par 8.500 mètres de câbles électriques) formant la silhouette d’un sapin, sur une colline dominant le village de Gubbio, à 230 km au nord de Rome.
DNA

le 17/12/2013  

INSOLITE Un Canadien gagne le gros lot et... redonne tout à des oeuvres de charité

Un Canadien qui a gagné 40 millions de dollars (28 millions d’euros) à la loterie a annoncé mardi qu’il allait en faire don en totalité aux bonnes oeuvres.
Tom Cris a remporté le gros lot à la loterie en mai, mais ce n’est que lundi qu’il a décidé d’en faire part à son entourage. Même ses enfants n’étaient pas au courant, a-t-il dit mardi à la chaîne publique de radio-télévision CBC.
Il a expliqué que s’il a attendu si longtemps pour annoncer la bonne nouvelle, c’est qu’il espérait pouvoir échapper à l’attention médiatique qui l’accompagne, les règles de la loterie stipulant que le gagnant du gros lot doit se faire prendre en photo en récupérant son chèque.
«Je me suis dit, je vais faire ça pendant les fêtes Noël, les gens sont occupés, ils ne s’en rendront pas compte, mais ça ne s’est pas déroulé comme je le pensais», a-t-il déclaré.
Tom Cris se dit assez fortuné. Tout juste retraité d’une entreprise de matériel électrique de Calgary (ouest), il compte verser l’argent à la Société canadienne du cancer ainsi qu’à un établissement de santé local, qui a soigné sa femme, emportée par la maladie en février 2012.
«Je n’ai pas besoin de cet argent pour vivre», a ajouté cet ancien cadre. «J’ai de la chance. Je suis heureux d’avoir gagné l’argent. Et je suis heureux d’être en mesure de le redonner». Ses enfants ont approuvé ce geste de bienfaisance, a-t-il assuré.
L’heureux gagnant du jackpot apparaissait seulement en photo avec une casquette de baseball vissée sur la tête et des lunettes noires.
DNA

INSOLITE
Il passe la frontière avec 164 560 euros scotchés sur le corps

Les douaniers de Perpignan ont fait une découverte étonnante ce mercredi. Selon L'Indépendant, un homme arrêté au péage de Boulou avait pas moins de 164 560 euros en billets de 50 et 20 euros scotchés sur son corps.
Il a expliqué qu’il avait vendu une machine de chantier en Espagne et que l’acheteur avait exigé de s’acquitter de la moitié de la somme en liquide.
Les suspects ont finalement été laissés libres mais l’argent a été saisi le temps de procéder à des investigations complémentaires afin pour en déterminer la provenance.
DNA

Querelle linguistique Bredele, Bredala et autres Bredle

25/12/2013
Dis-moi comment tu dis petits gâteaux en alsacien et je te dirai d’où tu viens.


Ça n’a pas manqué : cette année encore, des lecteurs ont écrit aux DNA pour s’offusquer des libertés que prennent certaines publicités voire écriteaux sur les marchés de Noël, avec l’orthographe du mot Bredel. Il y a presque autant de variantes linguistiques que de variétés gustatives : Bredle, Bredele, Bredala, Bredler, Bredalé et même, soyons fous, Brädalé (une variante sundgauvienne).
Wihnàchtsbredle ou petits fours de Noël
La querelle est tout aussi traditionnelle que les petits gâteaux de Noël. Elle est doublement alsacienne pour relever à la fois du dialecte et d’une spécialité typiquement régionale. Certains n’acceptent que la graphie, Bredel (singulier) et Bredle (pluriel), d’autres ne conçoivent même pas qu’il ne puisse y avoir qu’un seul petit gâteau et utilisent le terme pluriel Bredele (ou Bredala , ou…) de manière invariable. Une seule chose met tout le monde d’accord : l’orthographe Bredeles pour désigner le pluriel est une pure hérésie pour mêler ainsi la grammaire française au dialecte. À proscrire absolument sans plus de débat.
D’ailleurs toute personne qui écrirait Bredele avec un s final serait immédiatement qualifiée de Hargloffener (venu d’ailleurs). C’est là l’avantage du mot : il renseigne immédiatement sur l’origine de celui qui le prononce (ou l’écrit) : vous dites ’ s Bredel pour un petit gâteau, d’Bredle pour le pluriel ? Alors vous êtes bas-rhinois à n’en pas douter tout comme ceux qui disent Bredele , question de génération (lire par ailleurs).
’ s Bredla , d’Bredler ? Alors vous êtes colmarien ou habitant des hautes vallées vosgiennes . L’invariable Bredala en revanche a un petit goût mulhousien. Et le Sundgauvien qui aime à se démarquer mange quant à lui des Bredalé.
Toutes ces orthographes se déclinent bien évidemment sous toutes les formes beurrées, meringuées, souabes, anisées, sablées ( Butterbredle, Schneebredle, Schwowebredle, Anisbredle, Linzerbredle ) ou plus généralement de Noël ( Wihnàchtsbredle ). Cette dernière précision est la plupart du temps volontairement escamotée, la quasi-totalité des bredele étant confectionné pendant la période de l’avent de manière artisanale.
Pour éviter toute querelle linguistique, les biscuiteries qui produisent à plus grande échelle et qui vendent sur tous les marchés choisissent généralement l’orthographe la plus facilement prononçable (Bredele) ou préfèrent éviter l’écueil en affichant « petits gâteaux de Noël ». Plus chic encore, mais bien loin des traditions régionales : petits fours de Noël.
Mais au fait : d’où vient le terme ? Si les spécialistes s’interrogent toujours sur l’exacte origine de la tradition perpétuée dans le secret des cuisines de génération en génération depuis au moins cinq siècles, ils s’accordent sur l’étymologie : Bredel est le diminutif de Brot (pain en allemand).
Diminutif du diminutif ?
Mais alors rajouter -le (signe du diminutif en alsacien) ne reviendrait-il pas à diminuer ce qui est déjà un diminutif ?
« Non, tranche Edgar Zeidler, co-auteur d’un manuel orthographique basé sur le système Orthal. Bredalé est le diminutif de Brot ».
« Si, certifie Raymond Matzen, ancien directeur de l’institut de dialectologie de l’université de Strasbourg et chroniqueur des DNA. C’est pour cela que dans l’absolu, il faudrait dire Bredle et pas Bredele ».
Ah, ah ! On commence à toucher là le fond de la polémique mais « en matière dialectale, personne ne détient la vérité, relativise Freddy Staath, directeur adjoint de l’OLCA, office pour la langue et la culture d’Alsace. Bredle est le terme le plus usité par les adultes mais les gens ne savent plus qu’il s’agit d’un diminutif ». Le rendre encore plus petit pour le dimensionner à l’enfant qui le déguste, c’est un peu la féerie de Noël, « le côté mignon de la chose. Le terme est repris plus largement pour en accentuer le charme et la gourmandise ».
Pour l’OLCA, quelles que soient la prononciation et l’orthographe, l’essentiel est qu’on comprenne de quoi on parle. Freddy Staath serait même prêt à accepter le s pour marquer le pluriel (après tout, qui se souvient que scénarios devrait en réalité s’écrire scenarii pour respecter la grammaire italienne ?). «Personnellement, je ne le ferai jamais. Mais une langue qui évolue est une langue qui n’est pas morte »
DNA

PETARDS « Que la mort de Mathieu ne soit pas vaine »
le 27/12/2013
Près d’un an après le décès de leur fils suite à l’explosion d’un mortier le soir du Nouvel An à Thannenkirch, les époux Bihl s’expriment. Notamment pour faire passer des messages.
Courageux. C’est le mot qui vient à l’esprit lorsque l’on rencontre Marie-Laure et Luc Bihl. Dans quelques jours, cela fera un an que leur fils Mathieu se blessait mortellement en utilisant un mortier, sur le stade de foot de Thannenkirch. À l’approche de ce triste anniversaire, ils ont décidé de parler. Et il y a tellement de choses à dire… Lors de cette discussion à bâtons rompus, les parents font passer plusieurs messages. Le premier, et le principal à leurs yeux : « Que la mort de Mathieu ne soit pas vaine. »

Car, comme beaucoup de personnes, ils ne sont pas dupes : les arrêtés préfectoraux très restrictifs en terme de vente de pétards n’empêcheront pas de nombreux Alsaciens de se fournir en fusées et mortiers. « Ces feux d’artifice sont très dangereux , insiste Luc Bihl. Il y a des règles de sécurité à respecter. » Des consignes contenues dans le mode d’emploi fourni avec les mortiers. « Mais il s’agit d’un livret de 12 pages , lance le père. Est-ce que les jeunes vont les lire ? » Pourtant, ces règles doivent être impérativement respectées pour empêcher un drame : travailler dans un endroit éclairé, définir un périmètre de sécurité, avoir un tube par engin, bien ficher le tube dans le sol et attendre au minimum 30 minutes si un engin n’explose pas après qu’il a été allumé.
On ne s’improvise pas artificier
Le 31 décembre 2012, Mathieu avait respecté certaines consignes, dont celle du périmètre de sécurité. « Il a pris des précautions pour les autres, évitant ainsi à d’autres personnes d’être blessées , dit Marie-Laure Bihl. Mais il n’a pas pensé à lui. » « Mathieu s’est fait piéger par son envie de faire quelque chose d’exceptionnel », glisse-t-elle. Et de rajouter : « On ne s’improvise pas artificier. » Elle regrette également que son fils n’ait pas parlé de l’utilisation des feux d’artifice avec un de leurs amis de Thannenkirch, qui en avait déjà utilisés à plusieurs reprises.

Ignorant tout des mortiers jusqu’au drame du Nouvel An dernier, Marie-Laure Bihl souhaite que les personnes qui vont utiliser de tels engins explosifs pensent à eux et à leurs proches : « Si l’on se blesse avec un feu d’artifice, il y a des séquelles physiques et psychologiques irréversibles. Les traumatismes resteront longtemps. » Infirmière de profession, elle a également une pensée « pour [ses] collègues des urgences, les pompiers et les gendarmes » qui, tous les ans à la Saint-Sylvestre, doivent gérer des accidents liés à l’utilisation de pétards. « L’an dernier, il y avait plus d’une quinzaine de blessés aux urgences de Colmar », soupire-t-elle.

Grâce à une « grande famille » et « beaucoup d’amis », les époux Bihl et leurs deux filles, Marie et Léa, ont eu un énorme soutien pour surmonter cette terrible épreuve. Sans compter les témoignages de sympathie venus de l’extérieur (notre encadré). Cette famille et ces amis, ils en auront de nouveau besoin dans quelques jours, lors du premier anniversaire du décès de Mathieu. « On est parti pour faire quelque chose de différent », confie Marie-Laure. Son mari poursuit : « Il n’y aura rien d’officiel. Ceux qui veulent venir, ils viendront. » Les époux parlent de balade nocturne, de bougies allumées ou encore de chant. Ils aimeraient, et c’est compréhensible, qu’il y ait le moins possible de pétards à Thannenkirch. Tout en étant conscients qu’il est impossible de les interdire. « Mathieu aurait voulu qu’on fasse la fête. Mais ce message peut s’appliquer d’une manière générale : continuer de fêter, mais différemment, et surtout pas dans la démesure. » Afin de « transformer ce malheur en quelque chose de positif ».

Suite au décès de Mathieu, une enquête avait été ouverte et confiée à la gendarmerie de Ribeauvillé. Elle cherchait à établir les circonstances de la mort, ainsi que l’éventuelle responsabilité pénale du vendeur du mortier, basé en Haute-Marne. Ce dernier a été entendu par les gendarmes. Quant aux circonstances du décès, il était très difficile de les établir : il n’y avait pas de témoin, Mathieu étant seul sur le terrain de foot au moment de l’explosion.

Terminée, l’enquête doit être transmise au parquet de Colmar.
A lire aussi
http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2013/12/27...nt-en-allemagne
http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2013/12/27...s-claque-doigts

Alsace


a Dorli aussi un jeune c'est tué avec un mortier
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FEUX D'ARTIFICE Un homme tué par un mortier et un blessé grave dans le Bas-Rhin

1/01/2014
Actualisé à 4h15 - Malgré les efforts de prévention menés par les pouvoirs publics, la tradition des pétards du Nouvel An a de nouveau tourné au drame mercredi en Alsace, avec la mort accidentelle d’un jeune homme tué en manipulant un feu d’artifice à Sarre-Union.

L’accident a eu lieu vers 0h30 à Sarre-Union, une commune du nord-ouest du Bas-Rhin proche de la Lorraine. La victime, âgée de 29 ans, «faisait la fête chez des amis dans un domaine privé», selon la préfecture. L’engin pyrotechnique, un mortier, lui a explosé au visage, a-t-on précisé de même source.

Ailleurs en Alsace, un jeune homme de 22 ans a été grièvement blessé à une main en début de soirée à Strasbourg, selon l’adjoint au maire chargé de la sécurité, Olivier Bitz. Dès mardi après-midi, un autre homme avait dû être pris en charge pour des brûlures à une main.

Dans le Haut-Rhin,les pompiers ont fait état de deux blessés légers (lire notre article en cliquant ici).

Après les deux morts recensés l’an dernier, les autorités en Alsace avaient pourtant fait de gros efforts cette année pour éviter que la traditionnelle débauche de feux d’artifice du réveillon ne vire à nouveau au drame.

La réglementation était particulièrement stricte cette année dans les deux départements alsaciens: seuls les plus petits pétards étaient désormais autorisés, et uniquement pour les plus de 12 ans. Les plus puissants, cauchemars des services d’urgence, nécessitent des autorisations.

En outre, l’usage des pétards a même été interdit «à moins de 50 mètres des immeubles d’habitation», ce qui revenait à une interdiction de facto en ville... bien difficile à faire appliquer, et qui a d’ailleurs été largement transgressée durant la nuit de la Saint-Sylvestre.
Face au danger, policiers et gendarmes ont multiplié les contrôles en amont. Ces derniers jours ils ont saisi près de deux tonnes de pétards et autres explosifs, dont plus de la moitié dans la seule journée de mardi. Ces saisies ont eu lieu soit chez des commerçants en infraction avec la législation, soit aux frontières, pour faire respecter l’interdiction d’importer tous types de pétards, sauf autorisation expresse des douanes, alors que nombreux Alsaciens se fournissent en Allemagne où les règles sont beaucoup moins strictes.
Effectif doublé à «SOS Main»
La communication en direction du jeune public a été particulièrement musclée, avec notamment des séances d’information organisées dans tous les collèges du Bas-Rhin, depuis le début du mois d’octobre et jusqu’aux vacances de Noël. Objectif: toucher les 12.000 élèves de 4e du département.

Dans les deux services d’urgence «SOS Main» de l’agglomération strasbourgeoise, le personnel soignant s’était préparé mardi, une nouvelle fois, à une nuit difficile. «On sait qu’on va encore en baver», soupirait le Dr Philippe Liverneaux, chirurgien. Pour la Saint-Sylvestre, l’équipe de «SOS Mains» qu’il dirige, à Illkirch dans la banlieue de Strasbourg, a doublé ses effectifs.

A Thannenkirch, petit village du centre de l’Alsace endeuillé l’an dernier par un accident mortel, le maire, Hubert Bihl, avait fait distribuer dans toutes les boîtes à lettres un tract où l’on pouvait lire: «l’équipe municipale vous demande de dire non à ces manifestations meurtrières».

Mais l’édile a reconnu ne pas croire «qu’un arrêté du maire puisse faire en sorte qu’on ne +pète+ plus de pétards, il faut que ça reste une réaction spontanée des habitants», a-t-il dit dans un entretien à France 3 Alsace.
Les fabricants de pétards, ulcérés de leur côté par le manque à gagner découlant de la réglementation locale, ont saisi la justice administrative pour dénoncer une «entrave à la liberté du commerce».

«Ils sont dans leur rôle. Mais personnellement, je trouve que contester ainsi une réglementation visant à protéger la vie des gens, ce n’est pas très moral», a commenté le préfet Stéphane Bouillon à propos de cette procédure, toujours en cours.
Alsace
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Alsace : Un décès et plusieurs blessés provoqués par un même type d'engin Maudits mortiers

1/01/2014

[BL'enquête devra établir précisément dans quelles circonstances est décédé le jeune homme de 29 ans, victime de l'explosion d'une pièce d'artifice, à Sarre-Union (67), la nuit de la Saint-Sylvestre. Mais on connaît le coupable déjà : un mortier. Engin également à l'origine de deux décès l'an passé et de plusieurs blessures la nuit de la Saint-Sylvestre 2013/2014, en Alsace.][/B]
La procureur de Saverne doit faire à 15h une conférence de presse sur les circonstances du décès d'un jeune homme de 29 ans, chef d'entreprise dans le bâtiment, la nuit de la Saint-Sylvestre à Sarre-Union (67) (lire ici). Ce que l'on sait d'ores et déjà, c'est que c'est l'explosion d'un mortier provoquant une très grave blessure à la tête, qui est à l'origine du décès de cet homme. Des circonstances comparables aux deux accidents mortels survenus l'an passé, durant la Saint-Sylvestre 2012-2013, à Thannenkirch (68) et à Dorlisheim (67).

A chaque fois, ce sont des mortiers qui sont en cause. Des blessures mortelles de même nature à la tête qui sont provoquées, suivies d'un arrêt cardio-respiratoire et d'un décès, presqu'immédiatement ou dans les heures qui suivent.

L'enquête sur le tragique accident de Sarre-Union devra établir dans quelles circonstances un engin manifestement interdit à la vente a été acquis et dans quelles circonstances il a été utilisé, provoquant une blessure mortelle.
Des pétards et des explosifs qui manquent, pour certains d’entre eux, de fiabilité
Dès ce mercredi matin, le préfet du Bas-Rhin Stéphane Bouillon a diffusé un communiqué où il rappelle que "ces types de pétards et d’explosifs manquent, pour certains d’entre eux, de fiabilité ou présentent une dangerosité particulière liée à leur simple utilisation. C’est pourquoi, dans une région où le passage à la nouvelle année est marqué par un usage massif de pétards et d’artifices par la population, ces mortiers sont interdits en Alsace par arrêtés préfectoraux du 13 septembre 2013". Interdit, le commerce des mortiers auprès du grand public existe toute de même, notamment sur Internet et par un commerce orginasé jusqu'aux dernières heures du 31 décembre, en infraction avec la réglementation. (* voir la note en bas de l'article)

Durant la Saint-Sylvestre 2012-2013, un jeune homme de 20 ans a perdu la vie à cause d'un mortier, à Dorlisheim (67). Blessé au visage, il s'était approché imprudemment d'un mortier dont l'allumage avait mal fonctionné. La même nuit de la Saint-Sylvestre 2012-2013, un jeune homme de 24 ans était très grièvement blessé dans des circonstances identiques, à Thannenkirch (68) et décédait quelques heures plus tard.
D'autres accidents provoqués cette année par des mortiers
La nuit de mardi à mercredi, le mortier était également en cause dans des accidents causant des blessures plus légères, mais toujours à la tête, à Saverne (67) (cliquer ici) et à Herrlisheim (68) (cliquer ici).

Une campagne de sensibilisation a été menée ces dernières semaines, les forces de l'ordre se sont mobilisées pour intercepter les pièces d'artifice interdites à la vente. Mais pour bannir le mortier, il faut plus encore : la détermination de chacun pour tarir un dangereux commerce. C'est pour cela que le préfet dans son communiqué ne se contente pas de rappeler la règle et les efforts des services de l'Etat, mais en appelle aussi à " ceux qui veulent mettre fin à ces accidents dramatiques" pour qu'ils s’associent "à l’action des services de l’Etat
Christian Bach
Note : L'arrêté du 13 septembre 2013, pris dans les mêmes termes par les préfets du Bas-Rhin et du Haut-Rhin dit, concernant la catégorie d'artifices dont font partie les mortiers : "(...) entre le 1er novembre et le 10 janvier, la vente des artifices de divertissement des catégories K2,C2; K3, C3 et T1 et des produits pyrotechniques de type fusée est réservée aux personnes titulaires d'un certificat de qualification C4 T2 de niveau 1 ou 2".
DNA
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RIQUEWIHR Incendie mortel «Comme un lance-flammes»

3/01/2014


Plusieurs personnes sont entrées dans le brasier jeudi à Riquewihr pour tenter de sauver la vieille dame de 90 ans. Parmi elles, un touriste franc-comtois qui témoigne : « C’était la guerre ! »
« Éviter propagation ». Le mot d’ordre était inscrit au feutre rouge sur le tableau dans le poste de commandement des sapeurs-pompiers. Mais le feu s’est rapidement propagé dans trois directions différentes mercredi peu après 15 h. Les pompiers auront par exemple du mal à accéder à l’arrière des maisons en flammes.
Le feu a pris au premier étage du 60, rue du Général-de-Gaulle, l’artère bondée de touristes, été comme hiver. Parmi eux, un garde forestier franc-comtois arrivé un quart d’heure plus tôt sur les pavés riquewihriens : « J’ai vu de la fumée, j’ai pressé le pas, raconte-t-il, une femme a crié au feu, disant que sa mère était à l’intérieur ».
L’homme est entré dans la maison en flammes : « Je suis monté à l’étage mais j’avais déjà la tête dans les fumées. Je me suis aspergé d’eau, et j’ai entendu la voix de cette dame. » Un deuxième sauveteur est intervenu : « Nous sommes remontés tous les deux, explique le Franc-Comtois de 55 ans, le verre explosait de partout, c’était comme un lance-flammes, c’était la guerre. » Les moyens étaient alors dérisoires : « On avait juste un petit tuyau d’arrosage. Deux jeunes gens ont voulu entrer, je les en ai dissuadés ».
Une lutte de douze heures
« On a tenté d’accéder par une cour intérieure mais ça crachait du feu de partout, je toussais beaucoup. » Il n’y avait plus rien à faire pour Frédérique Coste. Vieille Riquewihroise, la victime née en 1923 à Ribeauvillé fêtait en famille la nouvelle année avec sa fille, un couple d’amis et ses deux enfants. Le feu aurait pris dans le sapin de Noël, propagé par un cierge magique, alors que la nonagénaire se trouvait dans sa chambre. Son corps n’a toujours pas été retrouvé.
Plus de 80 sapeurs-pompiers commandés par le lieutenant-colonel Gewiss et le commandant Brutillot ont convergé de douze centres de secours haut-rhinois mais aussi d’Ebersheim et de Strasbourg.
Il a fallu dix lances pour venir à bout d’un brasier gigantesque qui a dévoré des maisons plusieurs fois centenaires. Le feu ne sera considéré comme maîtrisé que vers 20 h. Et éteint, avec quelques foyers résiduels, vers 3 h du matin hier.
Le SAMU, deux médecins des sapeurs-pompiers étaient sur place. Le sauveteur a pu ôter son masque à oxygène en toute fin d’après-midi et quitter l’hôpital de Colmar – où avait été également transportée la fille de la victime, âgée de 65 ans – vers 19 h.
Un porte-voix pour

les badauds
Les gendarmes de la brigade de recherches chargée de l’enquête, les techniciens en identification criminelle et l’expert incendie des sapeurs-pompiers étaient à pied d’œuvre hier matin. Mais les investigations seront longues, les lieux n’étant pas sécurisés, des pignons menaçant notamment de s’effondrer. Hier après-midi, des engins de chantier étaient déjà au travail à l’intérieur du périmètre de sécurité.
Les secours ont peiné à amener les engins au plus près du sinistre. Porte-voix en main, le chef d’escadron Loïc Mutelet, commandant la compagnie de gendarmerie de Colmar, a dû s’employer à éloigner les badauds et dégager l’accès aux véhicules de secours qui seront plus d’une trentaine. Heureusement, le marché de Noël était terminé. Dans le cas contraire, la tâche des pompiers aurait été encore plus ardue. Il a fallu aux secours tirer des tuyaux sur environ 500 mètres pour puiser l’eau dans le réservoir au bas du village.
La gendarmerie invite les victimes de l’incendie à se faire connaître auprès de la brigade de gendarmerie de Kaysersberg.
Voir notre vidéo et notre galerie photos sur notre
site dna.fr

http://sports.orange.fr/rugby/divers/breves/le-bus-du-rc-vannes-incendie-664186/?view=popup&origin=homepage

publiée le 16/01/2014 
Molsheim Vol à la lacrymo
La station essence du Super U de Molsheim, située route de Dachstein, a été la cible d’un vol lundi vers 19 h, a-t-on appris hier. Deux individus cagoulés ont pénétré dans le local servant de guichet. Après avoir pulvérisé un produit lacrymogène sur l’employée en poste, les agresseurs ont dérobé le contenu en liquide de la caisse — quelques centaines d’euros. Ils ont ensuite pris la fuite à pied vers les terrains ferroviaires, en franchissant un grillage.
La victime, en état de choc, a été prise en charge par les pompiers d’Obernai qui l’ont transportée au Nouvel Hôpital civil de Strasbourg. Le parquet de Saverne a ouvert une enquête judiciaire, confiée aux gendarmes de Molsheim
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DNA
publiée le 18/01/2014 FOOTBALL
Affaire Zahia: Ribéry et Benzema jugés à partir de lundi
Après un faux départ en juin pour une raison de procédure, le procès de l’affaire Zahia s’ouvre lundi devant le tribunal correctionnel de Paris, qui doit juger les footballeurs français Franck Ribéry et Karim Benzema, accusés d’avoir eu recours aux services d’une prostituée mineure
Dans cette affaire qui avait éclaté avant la Coupe du monde 2010, le milieu offensif du Bayern de Munich - à qui le Ballon d’Or a échappé récemment - et l’attaquant du Real Madrid sont poursuivis pour avoir eu recours aux services de la désormais célèbre Zahia alors qu’elle était mineure.

Franck Ribéry, 30 ans, est accusé d’avoir eu des relations sexuelles tarifées en 2009 avec elle, notamment dans un hôtel de Munich (Allemagne), mais a contesté l’avoir rétribuée.

De son côté, Karim Benzema, 26 ans, est soupçonné d’avoir eu une relation sexuelle, qu’il conteste, avec Zahia dans un hôtel parisien après une soirée pour la remise des Oscars du football en 2008.

De son côté, la jeune fille avait expliqué avoir menti sur son âge.

Selon l’avocat de Franck Ribéry, Me Carlo Alberto Brusa, la décision de savoir si son client se présentera à l’audience n’a pas encore été prise. En tout état de cause, il ne sera pas présent à l’ouverture du procès.

Karim Benzema, dont l’avocat n’a pu être joint, est aussi sur la même ligne, selon Me Brusa.

Abordant avec sérénité le procès, l’avocat rappelle que la jeune femme n’est plus partie civile et que l’accusation avait requis un non-lieu en faveur des deux joueurs et du beau-frère de Ribéry, qui était présent à Munich.

Pour le parquet, ils ne savaient pas que Zahia était mineure. A l’inverse, le juge d’instruction estime qu’ils ne pouvaient l’ignorer. Pendant l’enquête, Ribéry a même contesté avoir su qu’il s’agissait d’une prostituée et l’avoir rétribuée 700 euros pour ses prestations.

Mais pour le juge d’instruction André Dando, il ne pouvait se méprendre sur la qualité de la jeune femme, qui s’est livrée à des ébats collectifs quelques heures après son arrivée à Munich, pas plus que sur sa minorité, car selon le magistrat, Ribéry devait nécessairement penser qu’une prostituée mineure ne pouvait que dissimuler son âge, au risque de réduire à néant son activité.

Le procès avait été renvoyé en juin car le tribunal correctionnel de Paris avait jugé recevable une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), soulevée par Me Brusa, soulevant l’imprécision du texte réprimant le recours aux services d’une prostituée mineure, délit passible de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende.

Si cette QPC a finalement été rejetée fin août, elle a été «très utile», pour l’avocat, car elle a permis de rappeler «avec force» un principe favorable à la défense dans ce dossier.

La Cour de cassation a en effet souligné que «les dispositions critiquées n’instaurent aucune présomption de culpabilité, la preuve devant être établie que le prévenu n’ignorait pas que la victime était mineure».

Preuve qui n’est pas rapportée dans ce dossier, fait-il valoir.

«Nous y allons confiants et nous allons nous battre», affirme Me Brusa, qui espère obtenir la relaxe.

La jeune femme, qui s’est désistée de sa constitution de partie civile, ne se présentera pas au procès, selon son avocat, Me Daniel Vaconsin. «Elle ne demande rien», si ce n’est la relaxe des deux footballeurs.

Depuis cette affaire qui l’a soudainement fait accéder à la notoriété, Zahia s’est lancée dans la création de lingerie haut de gamme.

Les noms des deux internationaux français étaient apparu dans ce dossier alors que la police enquêtait sur des soupçons de proxénétisme autour du Zaman Café, un cabaret oriental proche des Champs-Elysées, qui a depuis fait l’objet d’une fermeture administrative.

Outre Benzema, Ribéry et son beau-frère, cinq autres personnes seront quant à elles jugées pour proxénétisme aggravé. Parmi elles, les deux frères qui géraient le Zaman Café et Abousofiane Mostaïd, ancien candidat de l’émission «La nouvelle star», accusé d’avoir joué un rôle d’entremetteur rétribué.

Le procès doit durer jusqu’au 23 janvier.

SOCIAL Mory-Ducros Illzach : 41 tonnes de colis récupérés au cours du week-end
le 27/01/2014

Surprise des salariés de l’agence Mory-Ducros d’Illzach ce lundi matin à la prise de service : les colis bloqués depuis l’annonce de la fermeture du site, jeudi dernier (L’Alsace de samedi), ont disparu. Selon un responsable du personnel, ils ont été enlevés par la direction au cours du week-end.
C'est en arrivant ce matin à 6 h sur le site d'Illzach, que les salariés ont constaté que les dépôts étaient vides et que les 41 tonnes de colis qui y étaient entreprosés avaient disparu
Alsace

Nous ont avaient fait des rondes en trois fois huit , mais ça n'a pas empêcher que la Brasserie ferme

DNA
faune sauvage Le loup est-il entré dans Muhlbach ?
28/01/2014
Un loup a été aperçu sur le bord d’une route communale dans la vallée de Munster il y a quelques jours. Chasseur depuis trente ans, le témoin est formel : il n’aurait « jamais » pu confondre.
Mardi, 6h55, rue du Sendenbach. Sur cette route qui relie Muhlbach-sur-Munster à Breitenbach, un « loup de taille normale » est apparu dans les phares d’un habitant du coin, près d’une « benne de récup’». « C’était proprement incroyable ». A six ou sept mètres à peine devant sa voiture, l’animal l’a fixé quelques secondes, avant de sauter sur un talus « à une vitesse phénoménale », comme « monté sur des ressorts ». L’homme n’a pas l’ombre d’un doute : « Je suis chasseur, je différencie un loup d’un chien ». Il regrette simplement de ne pas avoir eu le temps de dégainer un appareil photo. « L’image restera gravée dans ma tête. »
A proximité des habitations

D’autres témoignages du même genre, dans le même secteur, parcourent la vallée de Munster depuis quelques semaines. Informé du signalement de Muhlbach-sur-Munster, le service départemental de l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) renvoie prudemment vers la préfecture du Haut-Rhin : « Le sujet est sensible. » Dans les bureaux du préfet, rue Bruat à Colmar, on ne dément rien, et on se « cale » sur le communiqué du préfet des Vosges : il avait confirmé récemment la présence de quatre traces de loup distinctes dans la neige dans une forêt du massif du Valtin, côté alsacien (DNA du 17 janvier).

Cette fois, ce n’est pas dans un bois, mais à proximité des habitations que le loup a été observé. Chez les chasseurs, Raymond Blaise, président du Groupement d’intérêt cynégétique (GIC) du Hohneck, en a aussi vu un « il y a trois ans », sur son lot de chasse à Sondernach. A propos du loup, il dégaine : « On nous prend pour des canards sauvages. » Comme d’autres tireurs, il est convaincu que le loup a été « parachuté » dans le massif. « On ne nous fera jamais croire qu’il est revenu tout seul ». Il lâche, excédé, que « des générations et des générations se sont battues pour nous débarrasser de cette peste et voilà qu’on la réintroduit. »

Il rejoint une opinion qui commence à se répandre sous le Hohneck, selon laquelle une petite meute vivrait dans les parages. Certaines bêtes seraient même « équipées d’émetteurs », ose-t-on parfois dans un bistrot de fond de vallée très fréquenté par les chasseurs. « Allez voir ce qu’en disent certains éleveurs de l’autre côté des Vosges. »

L’autre côté des Vosges, c’est La Bresse. Où l’éleveur Jean-Yves Poirot avait poussé un fameux coup de gueule l’été dernier : il avait perdu une dizaine de brebis en l’espace de deux mois. C’était la troisième année de suite que le loup s’en prenait à son cheptel.
Prévention
et mesures équitables
Le loup de Muhlbach est « tout sauf un scoop » pour Francis Dopff, éleveur au lac Blanc et « spécialiste loup » à Alsace Nature. « On sait plus ou moins qu’il y en a un qui circule entre Freland et Muhlbach-sur-Munster », dit-il en précisant que la question est prise au sérieux. « On demande deux choses. D’abord des mesures préventives, pour mettre le loup en situation d’inconfort, avec des chiens de protection, des clôtures… Ensuite, que tout le massif soit géré avec une politique identique, et des mesures équitables. C’est aberrant que l’autre versant bénéficie d’aides, et qu’il faille attendre des attaques chez nous. Le loup ne connaît pas ces frontières. »
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Incendie à Romanswiller

une dame âgée qui vivait dans la maison sinistrée a été tuée dans l'incendie.

La deuxième , dans un incendie dans notre région

À 102 ans, Robert Marchand pulvérise son record à vélo
le Vendredi 31 Janvier 2014

Un coffre de jeune homme dans un corps de centenaire. Robert Marchand vient de battre – de pulvériser même – le record de distance parcourue par un centenaire à vélo. Un record qu'il détenait d'ailleurs. Sur le vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, il a parcouru un peu plus de 26 kilomètres.
Souriant, malicieux et terriblement sportif. Robert Marchand n'a pas démérité ce vendredi sur le vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines. À l'âge de 102 ans, il a battu le record de distance parcourue en une heure à vélo par un centenaire. Il a fait près de 27 kilomètres (26,9 km très exactement). Le record à battre qu'il détenait d'ailleurs – les "challengers" étant peu nombreux dans cette catégorie – était de 24 kilomètres 251 mètres.
Son parcours de vie l'a vu tour à tour être pompier de Paris, conducteur d'engin au Venezuela, bûcheron au Canada, maraîcher puis marchand de vin. Et c'est une fois à la retraite qu'il s'est lancé dans le sport. Son élixir de jouvence...qui semble plutôt pas mal fonctionner.
"À 90% de mes moyens"
"Je croyais faire 25 km, c'est bien", a commenté Robert Marchand après son exploit. Prié de dire si un autre record le tentait, il a répondu : "On ne fait pas des trucs comme ça tous les jours, (...) je vais continuer à faire du vélo, mais je vais essayer de vivre encore un an, deux, trois, quatre, cinq ans"."Il ne faut pas en vouloir de trop dans la vie. (...) On met neuf mois pour arriver au monde, on met trente secondes pour claquer !", a-t-il ajouté.
Le centenaire a regretté n'avoir "roulé seulement qu'à 90%
de es moyens"
Le centenaire a toutefois regretté n'avoir "roulé seulement qu'à 90% de mes moyens".
Contrôle anti-dopage
Les médecins qui le suivent le disent d'ailleurs, avec une pointe d'admiration teintée d'étonnement : "Il a démontré à la face du monde qu'on est capable de progresser de 30% sa puissance énergétique entre 100 et 102 ans. C'est incroyable", explique ainsi Véronique Billat, directrice d'un laboratoire de l'Inserm, l'Institut national de la santé et la de recherche médicale dans l'Essonne
Ce nouveau record va devoir être homologué par l'UCI, qui a spécialement créé cette catégorie à sa demande. Ce sera chose faite une fois les résultats des contrôles anti-dopage connus.
media365.fr

Il a été contrôlé positif a la Veuve Cliquot  
Sacré bonhomme,bravo  

publiée le 01/02/2014




Donaueschingen Dissolution du 110e régiment d’infanterie Les grandes manœuvres

Le 110e RI, régiment implanté depuis 1964 au sud de la Forêt Noire, sera dissous fin juin. Le départ des fantassins entraîne la fermeture de toute une garnison, soit 2 200 personnes, et la restitution d’un parc immobilier de 800 000 m2.
C’est le branle-bas de combat ce matin-là au quartier Foch du 110e régiment d’infanterie (RI) de Donaueschingen. Débarqué en Puma, le général Ract-Madoux, patron de l’armée de terre, vient prendre le pouls d’une unité qui doit fermer dans cinq mois à peine. Le 24 juin exactement, précise l’officier supérieur qui reviendra ce jour-là pour récupérer, des mains du chef de corps, l’étendard du « 110 », geste symbolisant la dissolution du régiment.
« Je suis venu sonder le moral du personnel et je suis rassuré par l’effort réalisé », pose, en préambule, le chef d’état-major de l’armée de terre. « À de nombreuses reprises, j’ai connu cette situation. La pilule ne passe pas aussi facilement. Beaucoup ne s’attendaient pas à cette dissolution et de façon si rapide. Mais il est vrai que l’annonce [le 31 octobre] a été retardée en raison des discussions avec les autorités allemandes », rappelle le général. « À cinq mois de l’objectif, la plupart des indicateurs sont au vert ou à l’orange ».
« Nous avons au total 2 200 personnes à rapatrier ; on ferme une petite ville ! »
Pour le chef de corps, le colonel Waché, la tâche n’est pas aisée. L’officier doit mener de front la vie régimentaire qui se poursuit, avec notamment trois missions en cours ou à venir (Guyane, Martinique et Mali, soit largement plus de 300 militaires en opération), et la dissolution d’une unité forte de 800 soldats. « 70 % des mutations sont déjà connues », affirme-t-il. Ainsi, une cinquantaine de fantassins iront au 1er RI de Sarrebourg, successeur du 110e RI au sein de la BFA. Mais le régiment qui accueillera le plus de soldats du 110 sera le 152e RI de Colmar, la proximité géographique jouant à plein.
Le principal écueil, selon le chef de corps, ne concerne pas le personnel mais plutôt le matériel (armement individuel, missiles Milan ou Eryx, véhicules blindés…) et son transfert vers d’autres unités ou des camps de manœuvres.
La dissolution du 110e RI, qui partage une emprise militaire de 30,5 ha au centre de Donaueschingen avec le Jägerbataillon 292, n’est que la partie visible d’un vaste processus de désengagement. « Nous avons au total 2 200 personnes à rapatrier ; on ferme une petite ville ! » rappelle le colonel Catany, représentant des forces françaises et éléments civils stationnés en Allemagne (FFECSA) et, à ce titre, chargé de la coordination de la fermeture de la garnison.
En effet, outre les militaires et leurs familles, des professeurs, des prévôts, des assistantes sociales, des douaniers, des personnes travaillant dans l’économat sont concernés par ce départ de Donaueschingen.
Les enseignants, une trentaine, rejoindront leur académie d’origine. Les fonctionnaires, relevant du ministère de la Défense, une trentaine là aussi, devraient trouver un point de chute soit dans une garnison soit dans une autre administration.
La situation est beaucoup plus complexe pour les quelque 140 civils embauchés sous contrat de droit privé français ou allemand. La plupart seront licenciés mais pourront bénéficier d’un plan social ou de dispositifs d’accompagnement. « On fait le maximum pour les aider à se reclasser », assure Jean-Luc Joliwald, bras droit du colonel Catany.
En quittant Donaueschingen, la France laisse également un imposant parc immobilier : cinq casernes dont une à Villingen, un terrain d’exercice de 6 000 m2 , près de 650 logements. « La France n’en est pas propriétaire et nous jouissons d’une mise à disposition gratuite de tous ces biens qui doivent être rendus en l’état », souligne Jean-Luc Joliwald. « L’ensemble du parc sera restitué au ministère fédéral des Finances ».
Dissoudre une garnison en neuf mois à peine est un tour de force. « Il nous faut plutôt en moyenne 18 mois », insiste le colonel Catany.
Après l’été et le départ du gros des troupes, il restera entre 100 et 120 personnes qui assureront le soutien du 292. « L’objectif, note Jean-Luc Joliwald, est de finir le travail de restitution et permettre une transition en douceur »
DNA

Démographie Strasbourg menacée par Montpellier ?
4/02/2014

Non, ce n'est pas le mauvais scénario d'un match couperet. Et ce n'est pas de foot dont il s'agit. Mais la position de Strasbourg, septième ville de France en nombre d'habitants, serait menacée par Montpellier à plus ou moins longue échéance. Et comme la dynamique démographique est considérée comme le reflet d'une dynamique tout court ...
Avec plus de 270 000 habitants, la capitale du Languedoc-Roussillon devrait bientôt dépasser Strasbourg, écrivent nos confrères du Midi Libre dans un article mis en ligne ce mardi matin.
Nos confrères détaillent et citent un spécialiste : "Montpellier s’apprête à devenir la 7e ville de France la plus peuplée. Et dépasser Strasbourg, la capitale alsacienne. Quand ? "On sait que cela va arriver, confirme Jean-François Gamba, de l’Insee. Mais quant à dire la date exacte... c’est impossible où alors il faudrait faire de savants calculs." Les taux de variation de la population plaident en faveur de Montpellier : 1,2 % par an de population supplémentaire contre 0,3 % pour Strasbourg".
Ici en Alsace, on pourra se consoler en notant que c'est bien la ville de Strasbourg qui risque de perdre son rang et pas l'agglomération. Alors que c'est à cette échelle qu'on apprécie aujourd'hui la dynamique.
Reste que cette histoire de classement pourrait faire des vagues ici en plein débat des municipales...
Lire l'article sur le site internet du Midi Libre (cliquer ici)
Les chiffres de l'INSEE donnant la taille des communes les plus peuplées en 2011 (cliquer ici)
DNA
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Alsace
INSOLITE En conduite accompagnée, un mineur contrôlé à 225 km/h sur l’A62
le 07/02/2014 à 17:27
Un jeune homme de 17 ans a été contrôlé à 225 km/h sur l’autoroute Toulouse-Bordeaux alors qu’il circulait en conduite accompagnée et n’aurait jamais dû dépasser les 110, a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes du Tarn-et-Garonne.
Habitant près de Toulouse, le jeune homme a expliqué aux gendarmes qu’il avait «voulu essayer» la puissante voiture allemande de sa mère, une BMW série 3.

Son accompagnateur, «plutôt jeune» et «membre de sa famille élargie» selon les gendarmes, a assuré qu’il avait demandé au garçon de ralentir mais que ce dernier ne l’avait pas écouté.

Jeudi vers 21H40, le véhicule a été intercepté sur l’A62 par la brigade rapide d’intervention de Montauban. Les gendarmes se sont alors rendu compte que le conducteur était mineur.

Selon la gendarmerie, la personne à ses côtés avait bien le droit d’être accompagnateur (étant titulaire du permis depuis au moins cinq ans, etc.) et tout était a priori «en règle». Mais après le monumental excès de vitesse, le véhicule a été immobilisé et les gendarmes ont appelé la mère du mineur pour qu’elle vienne chercher à la fois sa voiture et son fils.

Le dossier a été transmis au parquet de Toulouse et le jeune homme de 17 ans devrait faire l’objet d’une convocation devant le juge des enfants, selon la gendarmerie. Il reviendra également au parquet d’engager ou non des poursuites contre l’accompagnateur, dont la responsabilité pénale peut être engagée lors d’une infraction commise par l’apprenti conducteur.

Pour les jeunes en conduite accompagnée, la vitesse est limitée à 80 km/h au lieu de 90 km/h sur route, 100 au lieu de 110 sur voie rapide, et 110 au lieu de 130 sur autoroute.
Alsace

ACCIDENT Train des Pignes : la fatalité et les intempéries
le 10/02/2014

Après l’accident qui a coûté la vie à deux personnes, samedi, la voie ferrée et la route adjacente ont été fermées. Les enquêteurs veulent savoir si d’autres rochers peuvent tomber.

Quatre personnes restaient hospitalisées hier, au lendemain du déraillement d’un train, qui a fait deux morts dans les Alpes-de-Haute-Provence. L’accident a été provoqué par la chute d’un rocher venu percuter le train. L’un des blessés, hospitalisé dans un état grave, est hors de danger mais dans un état stationnaire.
« Il faut clarifier et reconstituer aussi précisément que possible les circonstances qui ont conduit à cet accident », a indiqué le procureur de la République de Digne, Stéphane Kellenberger. Pour les besoins de l’enquête, il a précisé que la ligne ferroviaire resterait fermée « pour un temps indéterminé ». La circulation du petit train pourra toutefois reprendre dès demain sur la partie urbaine de la ligne, entre Nice et Plan-du-Var, à 30 km au nord de la métropole.
Voie ferrée et route coupées
Sur le terrain, des experts de la gendarmerie nationale (IRCGN) devront procéder à une modélisation 3D de la scène de l’accident afin de figer tout l’environnement. Les enquêteurs effectueront notamment à des relevés photographiques, des mesures, des auditions de témoins et du conducteur du train.
Dans un premier temps, il s’agit d’évaluer la stabilité des blocs qui se trouvent en surplomb et de purger les filets antiéboulis, et de dégager les deux voitures prises dans les éboulements. « Par mesure d’urgence, la RN 202, en contrebas de la voie ferrée, a été coupée et une déviation a été mise en place », selon la sous-préfète de Barcelonnette.
« On ne peut pas laisser cette nationale fermée trop longtemps car cela paralyse toute une vallée », a souligné de son côté le maire d’Annot, Jean Ballester. Il est conseillé aux usagers d’emprunter l’autoroute A51, ou la RN 85, dite route Napoléon.
Le procureur avait évoqué dès samedi « une terrible fatalité » avec la « concomitance entre le passage du train et l’éboulement de cet énorme rocher, d’une vingtaine de tonnes ». Le tout sur un sol enneigé et très mouvant à la suite d’intempéries records.

ÉTATS-UNIS Obama et Beyoncé : la rumeur qui enflamme la toile
publiée le 10/02/2014
Les informations publiées la semaine dernière dans des médias américains sur « une distance de plus en plus perceptible » dans le couple Obama ont abouti ce lundi à une extrapolation qui enflamme internet.


Depuis ce lmatin, la toile française et belge s’interroge sur une rumeur de liaison entre Barack Obama,52 ans, et la chanteuse de R’n’B Beyoncé Kwnoles, 32 ans.

Un demi-siècle après Marylin Monroe et John Kennedy, les deux stars planétaires rejoueraient un « happy birthday Mr Président »…

En tout cas, le photographe français des people Pascal Rostain a affirmé, sur Europe 1 ce matin, que le très sérieux Washington Post est sur le point de révéler mardi cette information qui paraît trop grosse pour être vraie.

Coup de promotion d’un paparazzi français qui justement sort un livre ? Extrapolation à l’occasion de la visite à Washington de François Hollande ?

L’information serait d’autant plus étonnante que Beyoncé, mariée au célèbre rappeur Jay Z, est une proche de Michelle Obama. Elle participait d’ailleurs à la fête donnée pour les 50 ans de la first lady le mois dernier.

Une telle nouvelle ferait l’effet d’une bombe aux Etats-Unis avec des retombées sans comparaison avec la romance supposée Hollande-Gayet


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INSOLITE Norvège : à 10 ans, il balade sa sœur de 18 mois en voiture
le 12/02/2014



Un garçonnet de 10 ans a été retrouvé dans un fossé au volant de la voiture familiale mercredi en Norvège après avoir voulu emmener en balade sa sœur d’un an et demi.
Les deux enfants avaient parcouru une bonne dizaine de kilomètres au petit matin lorsqu’un chauffeur de déneigeuse a repéré leur véhicule bloqué sur le bas côté, selon la police qui a été informée peu après 6 heures.
«Cela semble s’être fait sur un coup de tête. Il s’est réveillé dans la nuit, sa sœur était aussi réveillée et il a décidé de l’emmener faire un tour», a expliqué Kai Lyshaugen, chef des opérations de la police de Vestoppland, dans le sud de la Norvège.
Le petit garçon et sa soeur, assise sur le siège passager sans être attachée, sont sortis indemnes et souriants de l’aventure.
«Il a demandé de l’assistance pour tracter le véhicule hors du fossé afin qu’ils puissent poursuivre leur route», a précisé Kai Lyshaugen.
Les enfants ont été reconduits chez leurs parents, priés de prendre davantage de précautions à l’avenir, mais l’incident ne devrait pas avoir de suites.
Alsace

Accident / Bas-Rhin Niederhaslach: le poids lourd se renverse, pas de victime
12/02/2014


Ce matin, vers 8 h, un poids lourd qui circulait dans le sens Urmatt - Niederhaslach (Bas-Rhin) s’est couché sur le bas-côté. Le chauffeur n’a pas été blessé. L’opération de relevage du semi-remorque est prévue cet après-midi.
DNA