marc67 a écrit:

https://www.youtube.com/watch?v=DpQbCMBEhi4

Ouais et alors....les constats on sait tous les faire Mr GODIN, mais c'est quoi la solution....ca aboyeur vous êtes mais visiblement le mal est ancien, et ce n'est que récemment que vous hurlez.
Quelles sont vos solutions ou vos préconisations ??? c'est vrai que la critique est facile et l'art difficile !!! souvenez vous en, Monsieur !

C'est en touchant le fond, qu'on remarque l'épaisseur de la vase.....

Et encore en y regardant de plus près on y est pas encore au fond....

C'est Frejus, Pacy et Rodez qui vont être contents... Ce son les seuls équipes à avoir été battues par Gueugnon

Si j'ai bien suivi le post de Rémi , pas tout à fait .Puisqu'on parle d'annuler les résultats , donc d'enlever des points à ceux qui en auraient pris. Pour les équipes n'ayant pas pris de point ça ne changerait rien

Ah bon ca ne changerait rien pour les équipes n'ayant pas pris de point ? Et ce qu'ils ont pris dans la caisse ? Les 500000 bouteilles ? Et les maillots, il faut les rendre ?
ok...

Rémi a écrit:

DNA a écrit:

Et si Gueugnon faisait le jeu du Racing ?

Mais une évolution d’importance est susceptible d’enjoliver le panorama. Si le Racing ressemble à un grand capharnaüm, Gueugnon est sans le sou. Les joueurs de Saône-et-Loire ont fait grève la semaine passée.

La menace d’un dépôt de bilan plane et tous les résultats des Forgerons pourraient être annulés. Dans l’affaire, le Racing est loin d’être perdant, malgré un retrait de quatre points. Comme Amiens, ou Cannes, l’En Avant, de son côté, enregistrerait un déficit de six points.

Finalement non,voir le topic du FC Gueugnon http://www.forumrcs.com/t4790-national-fc-gueugnon#248750

5 millions en Juin ??

Le budget prévisionnel 2010-2011 présenté fin novembre à la DNCG faisait apparaître 9,302 millions d’euros de dépenses et 4,510 millions de recettes, soit un déficit de 4,8 millions (hors vente de joueurs). L’arrêté des comptes au 31 décembre dernier a révélé un trou de 2,488 millions et confirmé cette tendance négative.

Certains licenciements récents, probablement onéreux au final, entraîneront une petite économie à court terme. Mais le club ayant tablé sur une affluence moyenne de 6000 spectateurs, supérieure à la réalité, l’addition devrait être aussi salée que prévu. Plus peut-être si l’on considère qu’une recette exceptionnelle de 309 000 euros avait été intégrée au budget. Everton aurait dû verser cette somme au RCS, en complément du transfert de Magaye Gueye pour 1,42 million d’euros, si l’international espoirs avait disputé cette saison 15 matches officiels avec les Toffees. Ça n’a pas été le cas.

Gameiro vendu quand ?
Pour combler ce déficit, Jafar Hilali s’est engagé auprès de la DNCG à un abandon de compte courant de 2,55 millions. La manne liée à la revente de Kévin Gameiro par Lorient (Ndlr : le RCS touchera 30 % de la plus-value au-dessus de 3 millions) pourrait lui permettre de faire la soudure (1). À condition toutefois que l’international, sous contrat jusqu’en 2012, soit transféré avant le 30 juin. Sinon, le propriétaire devra remettre la main à la poche.

Le hic, c’est que les candidats au rachat de la dernière année de bail du deuxième buteur de Ligue 1 sont nombreux et que Lorient pourrait bien être tenté de jouer un peu la montre pour faire monter les enchères. Et comme le marché des transferts n’ouvrira que le 9 juin...

Selon la DNCG, le Racing a déjà bouclé 2009-2010 sur un déficit de 1,23 million, non compensé par un abandon de compte courant (2).

(1) Le montant évoqué ces derniers temps par la presse spécialisée est de 12 millions. Le RCS percevrait alors 2,7 millions.

(2) 1,247 dans le bilan présenté en assemblée générale du club le 8 décembre

L'Alsace

Racing
Entre espoir et néant
le 06/04/2011 à 00:00

Chez les Londoniens, seul Alain Fontenla a abandonné son compte courant, pour 1,5 million. Jafar Hilali n’a pour l’instant pas encore tiré un trait sur l’argent frais qu’il a injecté .

À moins de deux mois de la fin de saison, le RCS est porté par l’immense espoir d’une remontée en Ligue 2, seule échappatoire à une funeste destinée.

11 mars 2010. Au restaurant « Le tire-bouchon » à Strasbourg, le maire Roland Ries lance un vibrant appel aux dirigeants londoniens du Racing pour qu’ils revendent le club à un pool de repreneurs alsaciens organisés autour de Frédéric Sitterlé, patron haut-rhinois de la société d’offre VOD myskreen.com. Une heure plus tôt, dans un texto adressé à « L’Alsace », Jafar Hilali s’est présenté comme « Monsieur le maître de la décision. » Il justifiera cette appellation en refusant de céder ses parts aux investisseurs régionaux.

16 mars 2011. Roland Ries, flanqué de son adjoint aux finances Alain Fontanel, assiste à la rencontre Strasbourg - Beauvais (1-0), sans qu’aucun dirigeant de la SASP (1) ne l’accueille. Et pour cause ! Ils sont tous absents. Après la victoire, le maire s’invite dans les vestiaires et y assure les joueurs de son soutien et de sa volonté « de ne pas laisser tomber le club. » Un geste rarissime, éminemment politique, quatre jours après que Hilali a déclaré la guerre à l’association support RCS, qui gère le centre de formation, menacé de fermer ledit centre et d’abandonner le statut pro en cas de non-montée en Ligue 2. Le premier magistrat tient à montrer publiquement que l’équipe phare de la ville reste au cœur de ses préoccupations. Une sage précaution si d’aventure la médiation municipale menée par A. Fontanel se soldait par un échec.

Car un an après l’appel du « tire-bouchon », la situation du RCS ne s’est non seulement pas améliorée, mais au contraire sensiblement dégradée, comme le prouvent les différents chapitres évoqués dans notre dossier d’aujourd’hui. Entre les litiges aux Prud’hommes dont, au bas mot, plus de 5 millions de risques réels n’ont pas été provisionnés, les comptes courants d’actionnaires à rembourser (pas loin de 10 millions, sans ceux injectés par les Londoniens), le déficit prévisionnel 2010-2011 (environ 5 millions), celui de l’année précédente (1,23 million), l’ardoise globale dépasse les 20 millions.

On vous passe ici quelques « broutilles », comme l’action en justice de l’ancien président Luc Dayan (pour récupérer 250 000 euros) ou l’assignation en référé déposée par le Racing omnisport qui réclame les 150 000 euros que lui doit le football professionnel. Sans oublier le bonus d’un million négocié par Philippe Ginestet lors de la vente du club. Bonus à lui verser dès le retour en Ligue 1 et qui réduirait ainsi ses pertes personnelles.

On ne détaillera pas non plus les doléances de prestataires qui ne sont plus payés depuis des mois. « Certaines factures datant de 2010 n’ont pas été honorées », glissait l’un d’eux récemment. Un témoignage parmi tant d’autres glanés au hasard de quelques rencontres à la Meinau, sans même avoir à les chercher et qui, mis bout à bout, constituent bien plus qu’un faisceau de présomptions.

La priorité : payer les salaires de pros
Depuis le début 2011, la direction londonienne du Racing, qui sait sa trésorerie en souffrance, a fermé tous les robinets, excepté un : elle s’efforce - mais jusqu’à quand ? - d’honorer les salaires des employés, particulièrement ceux des joueurs de l’équipe pro. Ceux-là même qui détiennent son avenir entre leurs pieds. Seule une accession en Ligue 2 est susceptible d’offrir un sursis à Jafar Hilali et aux autres, sans que personne n’en ait cependant la certitude absolue.

Encore les propriétaires de la City devront-ils tenir le coup en liquidités jusqu’à la fin de saison, le 30 juin. Selon nos calculs (« L’Alsace » du 18 mars), il devrait manquer 1 million minimum pour faire face aux dépenses du prochain trimestre. En charge du dossier à la mairie, Alain Fontanel a d’ailleurs expressément demandé au RCS tous les documents afférents pour avoir une vision claire de la trésorerie des trois mois à venir.

En 1990, la Ville, que le cadre législatif autorisait encore à gérer un club de foot, avait effacé un déficit de 14 millions d’euros (92 millions de francs à l’époque) hérité de la gestion du couturier-président Daniel Hechter.

Cette fois, on parle de 20 millions pour un club pour l’heure encore en National et qui, s’il y reste, n’échappera sans doute pas au dépôt de bilan, intervention - de toute façon limitée par la réglementation - de la mairie ou pas. L’attitude de la DNCG (2), qui examinera les comptes du Racing en fin de saison, sera à ce titre riche d’enseignements. En juillet dernier, après la rétrogradation en CFA, « Monsieur le maître de la décision », qui s’était présenté devant l’organe de contrôle de la Ligue comme « le Mozart de la finance », et les autres avaient dû assumer en injectant 2,6 millions supplémentaires, en sus de la promesse de la Ville de racheter le centre de formation. De leur capacité et/ou volonté à assumer encore dépend l’avenir bien incertain du Racing.

J'ai l'impression depuis la fin du mercato d'hiver et la non-vente de Gameiro à cetyte époque que ce sera tintin pour ce qui est de récupérer de l'argent pour Gameiro.
Pourquoi vous vous imaginez que j'avais hâte qu'il file chez n'importe qui à ce moment-là?

De toutes façons la revente de Gameiro ne sera qu'une goutte d'eau dans le gouffre.

Encore et toujours des chiffres .....

Citation :

Chers comptes courants

Ces dernières années, les différents actionnaires ont accepté d’abandonner tout ou partie de leurs comptes courants afin d’équilibrer les comptes de fin de saison. Des abandons pour l’essentiel assortis d’une clause de retour à meilleure fortune, donc remboursables aux intéressés dès que le club dégagera des bénéfices. Un jour ou l’autre, les propriétaires du Racing, actuels ou futurs, devront ainsi s’acquitter d’une dette de 7,443 millions.

Mais cette ardoise, pour astronomique qu’elle soit, ne représente pas la totalité des comptes courants injectés par les actionnaires au fil des années. Ainsi, au 30 juin 2010, la SASP devait-elle encore 312 000 euros à la société RLS 79 (Robert Lohr et Léonard Specht), son actionnaire à 20 %. Une somme que celle-ci pourra prétendre récupérer au plus tard le 31 octobre de la prochaine saison en Ligue 1.

De la même façon, la holding EuroRacing, qui détient 78,49 % de la SASP, pourra réclamer, au plus tard le 31 octobre suivant le retour en L 1, 586 645 euros (Ndlr : au 30 juin 2010. Depuis se sont ajoutés les intérêts de 4 %).

On ne s’attardera pas ici sur les autres comptes courants - pour 1,522 million - que les actionnaires minoritaires d’EuroRacing, Egon Gindorf, Dominique Pignatelli, Thierry Wendling et Pierre Schmidt, ont injectés dans la holding (1) et dont ils seront un jour en droit de solliciter le remboursement.

Le total de ces comptes courants d’actionnaires, abandonnés ou non, culmine à près de 10 millions (9,863 pour être précis). Un montant vertigineux qui n’inclut pourtant pas les apports de Carousel Finance et/ou Alain Fontenla (2), pour un total de 4,1 millions, dont doivent cependant être déduits les 700 000 euros remontés à Londres en août et septembre, après les transferts de Mamadou Bah à Stuttgart (600 000) et Franck Dja Djedje à Arles-Avignon (100 000).

(1) Une partie de ce compte courant est liée à la plus-value réalisée sur la cession de parts de la SASP à Robert Lohr en 2007. Les actionnaires d’EuroRacing avaient renoncé à la percevoir et l’avaient aussitôt reversée sur le compte courant du club.

(2) Fontenla a déjà abandonné 1,5 million avec clause de retour à meilleure fortune, une somme prise en compte dans les 7,443 millions évoqués ci-dessus.

L'Alsace

Échos Bifouma : l’Espanyol Barcelone ne paiera pas

C’est encore une mauvaise nouvelle pour Jafar Hilali qui, dans le budget présenté à la DNCG (direction nationale du contrôle de gestion) le 25 novembre, y avait intégré cette recette. On se souvient que le Racing a intenté auprès de la FIFA une action contre l’Espanyol Barcelone qui a enrôlé l’été dernier l’attaquant du centre de formation Thiévy Bifouma. L’ancien joueur de Meaux, âgé de 18 ans, a passé trois années à Strasbourg. La saison passée, alors qu’il était en fin de bail, le RCS lui a proposé un contrat stagiaire. Le joueur ne s’en est pas moins éclipsé pour signer à l’Espanyol. Il a récemment débuté en Liga.

Depuis, le club bas-rhinois réclame à son homologue catalan 270 000 euros (90 000 par année de formation, comme c’est la loi). Meaux a lui aussi engagé une procédure pour obtenir sa part. Mais les dirigeants seine-et-marnais ont récemment informé leurs confrères strasbourgeois qu’ils ne percevraient rien dans l’immédiat. Et pour cause ! Bifouma a paraphé une licence amateur à Barcelone, ce qui dispense pour l’instant l’Espanyol de s’acquitter de sa dette.

Jafar Hilali, qui sait aussi qu’il ne percevra pas un bonus de 309 000 euros sur Magaye Gueye (Ndlr : une somme qu’il aurait touchée si l’international espoirs avait disputé cette saison quinze matches officiels avec son nouveau club, Everton, ce qui n’est pas le cas), va donc devoir faire une croix sur ces 270 000 euros tant attendus. Ces deux manques à gagner creuseront le déficit de près de 600 000 euros supplémentaires.

L'Alsace

Je me demance si Jafar a compté les 309 000 euros de Gueye dans le budget présenté à la DNCG le 25 novembre dernier.

Son budget n'est pratiquement fait que de ça , de la poudre aux yeux devant la DNCG. Par contre on ne les prendra pas pour des demeurés deux fois , au prochain passage la guillotine tombera.

Merci Plessis aussi, qui comme Ginestet a fièrement annoncé qu'on aurait un budget très élevé pour le National. J'ai jamais compris en quoi c'était enchantant, surtout quand après le plus petit budget du championnat te passe devant (cf Boulogne).

Sans toutes ces manœuvres de Hilali, il y aurait bien longtemps qu'il n'y aurait plus de RCS......

DNCG nous voilà .......

Ouééééé, et avec pleins de nouvelles garanties

Madame la DNCG, on a des recettes d'amateur, un train de vie de millionnaire, un escroc en dirigeant, un centre de formation qui va mettre la clé sous la porte dans 8 jours et un club pro au bord de l'implosion. Ça suffit comme garanties ou faut encore faire la promesse d'abandonner notre compte courant débiteur de 5 millions d'euros ?

sauf si l'association rembourse la somme et donne le numéro d'affiliation....
Et que le RCS ait le pourcentage de la vente de Gameinau (Gameiro)....Et que l'équipe assure pour etre sur le podium...

C'est ça baissons le pantalon.
Par contre une chose est certaine les amis si l'association donne cet argent ,votre théorie du complot de laisser le Racing mourir pour se débarrasser d'Hilali fera tout simplement pschitt.

La DNCG a décidé de convoquer l'assos et les dirigeants du club mercredi 4 mai pour tenter de concilier les deux parties (source FBA).

Passage du Racing ce mercredi devant le gendarme financier !
Les pronostics sont ouverts

En sursis
Aussi bien à la DNCG que dans le référé rendu au tribunal de Strasbourg sur le conflit avec l’omnisport, Jafar Hilali a réussi à repousser la perspective d’une disparition immédiate du Racing pro. L’avenir du club n’en demeure pas moins suspendu à une amélioration de ses finances qui n’est toujours pas d’actualité.

Mercredi constitue généralement le jour des enfants. Celui d’hier ne correspondra pas à la proclamation d’un enterrement.

Jafar Hilali, le président d’un Racing dont les employés n’ont pas été payés de leur salaire du mois d’avril, a obtenu un sursis. L’un était attendu à Paris, où il était convoqué tout comme le dirigeant de l’association avec laquelle il est en conflit, Patrick Spielmann.

La Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG), alertée par le remue-ménage en cours au sein du club alsacien, exigeait quelques éclaircissements sur la situation cahoteuse. Elle a entendu les arguments des uns et des autres. Elle n’a pas rendu de funeste verdict.

Une invitation à trouver un accord
« De toute façon, nous n’attendions aucun commentaire particulier, précise Patrick Spielmann. Il s’agissait d’une simple audition. Les douze membres réunis voulaient se faire une idée du dossier. » L’organisme de contrôle n’a néanmoins pas manqué de rappeler les risques liés à la situation.

En l’absence de convention entre la Société Anonyme Sportive Professionnelle et l’association, le club ne pourra pas être inscrit en championnat la saison prochaine. « Ils ont formulé une invitation à trouver un accord et fait percevoir le risque à demeurer dans une position conflictuelle », poursuit Patrick Spielmann.

En dépit des relations tendues entre les deux camps, l’espoir d’un compromis n’a toujours pas été abandonné. Patrick Spielmann a d’ailleurs eu la surprise de croiser un Jafar Hilali en retard mais enjoué, hier, à Paris « Nos avocats respectifs vont renouer le contact pour tenter de trouver une solution », conclut le président de l’association, dans l’attente de la décision sur l’affaire en référé qui l’oppose à la SASP, programmée le 17 mai.

Une autre échéance, autrement plus cruciale, concerne les finances du club. La même DNCG les auscultera le 25 mai prochain. Elle ne se contentera alors de ne pas rendre des avis, mais des verdicts, qui se sont souvent révélés douloureux pour le Racing ces derniers mois.

En attendant, l’ombre d’un dépôt de bilan a été éloignée sur une autre affaire judiciaire. Depuis janvier, le Racing omnisport attend le versement des 150 000 euros annuels consenti par la SASP depuis près de dix ans, contre l’usage de la marque Racing. Lassé d’attendre, il a entrepris une démarche en référé. Le verdict s’est révélé négatif et ce n’est pas loin de correspondre à une (grosse) surprise.

Une douche froide pour l’omnisport
« C’est une douche froide, juge l’avocat de l’omnisport, maître Wedrychowski, mais il n’y a pas lieu de s’affoler non plus sur le fond. Le juge en référé a préféré botter en touche. » Dans son argumentaire, l’utilisation de la marque Racing par le club de rugby apparaîtrait en bonne place.

Or, selon l’omnisport, les relations avec section ovale, qui s’est affranchie de sa tutelle, n’ont jamais pris la tournure de celles en vigueur avec le foot. « Faire une comparaison entre les deux sections n’a aucun fondement, garantit Damien Wedrychowski. La SASP ne conteste même pas la traite annuelle puisqu’elle a proposé il y a quelques semaines un échelonnement du paiement. Ce qui m’embête, c’est que désormais on doit passer par une procédure de fond ».

L’affaire sera transférée devant le tribunal administratif, avec des délais autrement plus importants. Or les dirigeants de l’omnisport connaissent également la situation financière au mieux incertaine, au pire catastrophique, du club pro.

Victorieux sur le terrain juridique, l’omnisport aurait une belle jambe à réclamer son argent à un SASP qui aurait déposé le bilan. Le caractère incertain de la situation pourrait être éclairci avec une procédure des salariés non payés auprès du procureur de la République.

En ce cas, une autre menace pourrait alors peser sur le président du Racing, celle de banqueroute. Dans ce cas, il serait question de délit. Au final, hier, il n’a été question que de sursis. Jafar Hilali n’en a assurément pas fini avec ses problèmes.

François Namur

Touché à l’entraînement hier, Jocelyn Ahoueya est incertain pour la rencontre de samedi face à Rodez. Par ailleurs, Loïc Damour achève un essai de quelques jours à Cologne.

« Comme si de rien n’était »

Convoqués à une demi-heure d’intervalle hier en fin de
matinée à la DNCG, Jafar Hilali, flanqué de son lieutenant
Christophe Cornelie, et Patrick Spielmann, accompagné de son
avocate Laurence Suchet, sont arrivés en même temps.
« Jafar Hilali a fait comme si de rien n’était, en me donnant du
« Mon cher Patrick », relatait hier après-midi un Spielmann un
brin décontenancé par le comportement de son antagoniste.
« Avec Cornelie, ils sont arrivés avec 20 minutes de retard. Leur
audition a duré un quart d’heure, la nôtre, une demi-heure.
Ensemble, nous n’avons pas discuté, sauf pour échanger deux
ou trois banalités. »

Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. J'appelle çà de la poudre aux yeux.

Citation :

L'Omnisport va solliciter la DNCG afin que le Racing ne puisse plus porter sa marque ni son logo. En cas d'avis favorable, les équipes de foot amateurs seraient également privées du nom et du logo

C'est qui ça l'omnisport ? Tous des enfoirés.

Moi non plus je ne sais pas qui c'est, et je rejoint tes propos.

Citation :

Le club est fondé en 1906 en tant que club de football, le Racing Club de Strasbourg, mais devient rapidement un club omnisports. L'association du Racing Club de Strasbourg omnisports, association support de l'équipe de football professionnelle jusqu'en 1997 et maintenant indépendante de celle-ci, compte plusieurs sections sportives amateures regroupant arts martiaux, athlétisme, basket-ball, handball, quilles, tennis de table, tir et volley-ball. Le club omnisports comportait également des clubs d'aviron, de gymnastique, de natation, de tennis et une section dédiée à la compétition automobile1. Le club de rugby à XV du Racing Club Strasbourg Rugby quitte l'omnisports en 2010.

Le club doit donc payer une sorte de location pour pouvoir porter ce nom, en 2005 le club et ses dirigeants à l'époque décident d'acheter définitivement le nom.

Citation :

Le RCS rachètera définitivement le nom «Racing Club de Strasbourg» à l'Omnisport pour une somme de 1,65 M€, paiement échelonné jusqu'en 2011.

Vous trouverez toutes les infos sur le topic du "Stub" à cette adresse http://www.racingstub.com/page.php?page=forumThread&id=3025&p=1

Valentin a écrit:

Citation :

L'Omnisport va solliciter la DNCG afin que le Racing ne puisse plus porter sa marque ni son logo. En cas d'avis favorable, les équipes de foot amateurs seraient également privées du nom et du logo

C'est qui ça l'omnisport ? Tous des enfoirés.

Il me semble qu'il y a déjà eu un problème comme ça avec l'Omnisport. Je crois que c'était à l'époque de Ginestet.