A quoi ça sert la légitimité ? A rien du tout.

Gress a bien fait de partir. On lui a promis un recrutement pour remonter en ligue 1 et 2 mois plus tard, il constate que rien n'a été fait. Il se trouve avec une équipe sans punch, sans envie, sans grand talent. Et en plus, la direction ne pensait qu'à lui pourrir la vie. Sans doute que ça lui a fait penser aux 3 expériences précédentes : en 1980 avec Bord, puis à la suite en 1992 (c'est cette date ?)...

Quand on s'est fait rouler 2 fois dans la farine et dans pratiquement les mêmes conditions, on n'insiste pas. On se retire. Quand on a une équipe plus que moyenne, la seule façon de s'en sortir c'est d'être tous derrière elle. Mais quand le président montre le mauvais exemple, on se dit que ça sent un drôle de goût et qu'on va encore ramer cette année.

Tant pis, au lieu d'aller à la Meinau, j'irai à Nancy.

winfield67 a écrit:

Merci Ginestet ?????
Je me rappelle qu'il y a peu de temps tout le monde l'a dénigré , enfoncé , personnellement je me dis qu'en fait Mr Ginestet , il est pas mal du tout non ?? .

PS : cet avis n'engage que moi.

Enfin il n'a pas un grand mérite non plus, vu les casseroles qu'il traine....c'est la moindre des choses de tenter de sortir son club qu'il a si bien réussi à déglinguer.
Il ne fait que son job.

Non, même pas. Il n'est jamais là, ne pense qu'à sa famille ou à ses affaires (j'y inclus son ridicule projet d'eurostadium), ne sait pas déléguer, place son frère (népotisme) ou amis (le "président" actuel), se mêle du sportif sans compétence aucune, etc etc... Ces méthodes sont d'un autre âge.

Je vous dis pas ce qu'il prendrait dessus si le recrutement de Bellaid s'avérait être un bide.

La mort.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Je vous dis pas ce qu'il prendrait dessus si le recrutement de Bellaid s'avérait être un bide.

Hé hé RDV à cette adresse pour le savoir
http://www.pictogame.com/fr/play/game/O5aELSXI1L0r_punis-moi

Youpi j'ai réussi le perfect! Au revoir Philippe

Un ami à Strasbourg l'a croisé deux fois en ville aujourd'hui Accompagné de sa femme et de sa petite veste Louis Vuitton :$

Comme il est riche il peut se marier.

Comme d'hab' le Présidieu Ginestet agresse plus ou moins implicitement l'entraîneur par média interposé. Alors que c'est lui qui l'a confirmé dans ses fonctions en se disant convaincu (par deux nuls et une défaite au passage).

Une majorité pensait que Gress, c'était une bonne idée.

Une majorité pensait que garder Janin, c'était une bonne idée.

Facile maintenant de dire que Ginestet a fait le mauvais choix alors que bcp pensait comme lui !

? Je ne lui reproche pas d'avoir gardé Janin, je lui reproche au contraire de sous-entendre qu'il risque d'être viré !! Que Janin soit compétent ou non n'est pas le problème, le problème est de virer un coach qu'on a confirmé dans ses fonctions il y a même pas quatre matchs !

C'est Specht qui a pris Gress.
Quant à Janin, c'est en désespoir de cause qu'il l'a pris puisqu'il ne pouvait plus s'offrir un nouvel entraîneur compte tenu des finances catastrophiques réalisées à la va que je te pousse (prévisions) par Ginestet.

Il est vrai que Janin est nul, il n'y a plus de jeu, RIEN.

dial 4 a écrit:

Il est vrai que Janin est nul, il n'y a plus de jeu, RIEN.

Joueur, Janin c'était un honnête gardien, pas génial, mais bon quand même. Question entraîneur, comment juger avec une telle équipe de gugusses ! Plus de la moitié des joueurs n'ont aucun talent. Ils ont peut-être un salaire de joueur professionnel, mais certainement pas le talent, ni le moral, ni les compétences. Alors Janin ou un autre, c'est kifkif bourricot.

De toutes les façons, ici quand on a un bon joueur, un bon entraîneur ou une bonne équipe, j'ai l'impression que tout ce qu'on veut faire, c'est de les vendre !

:!boulet!:

Mouais enfin pour remonter la pente, Janin ce n'est pas l'idéal.

Ginestet ou l'ère du déclin

Aux affaires depuis près de cinq ans, numéro un du Racing depuis presque trois, Philippe Ginestet est à la tête d'un bilan désastreux.

Il focalise les critiques, les interrogations, nourrit les mystères et, au final, concentre nombre d'attentions. Désireux de s'effacer voilà trois mois, revenu sur le devant de la scène il y a quelques semaines, l'Albigeois d'origine, l'Alsacien d'adoption, est logiquement en première ligne. Il demeure au coeur de maëlstrom qui va dans tous les sens sauf dans le bon.
Le désastre actuel s'apparente à une illustration fidèle de sa présence au club. Quinzième président de l'histoire professionnelle du Racing, Philippe Ginestet a succédé à Egon Gindorf, officiellement à la mi-décembre 2005. Sponsor, puis actionnaire majoritaire dès octobre 2004, l'homme d'affaires, âgé de 38 ans à l'époque, participait à un tour de table où fleuraient bon la concertation et la confiance sous la férule du « sage » allemand.

Défiance avec Marc Keller

A cette époque, Ginestet devient président délégué. Mais plutôt qu'un processus en douceur pour prendre le relais, une guerre de tranchée ne manque pas de s'organiser, un climat de défiance entourant notamment les relations avec Marc Keller. Cristallisée autour de la prolongation ou non du contrat de Pascal Camadini comme joueur, une forme de guerre de succession marque la fin la saison 2004-2005. Marc Keller menace de partir, le Racing traverse une tempête. Après la fumeuse suggestion d'envisager une victoire bonifiée d'un ou deux points selon l'écart de buts, le nouveau dirigeant sort de sa manche un idée cocasse pour demeurer au centre des débats, voire des décisions : confier aux supporteurs une partie du capital du club pour les transformer en socios.
Finalement, il s'efface, réduisant son investissement au Racing pour... mieux revenir six mois plus tard. Cela ne vous rappelle rien ? Toujours est-il qu'il devient effectivement président au terme d'un joyeux bazar, quand il menace d'attaquer les actionnaires majoritaires désireux de confier le bébé à Alain Afflelou. Le club strasbourgeois tombe en L 2 six mois après son intronisation.
Ginestet débarque Duguépéroux dans les couloirs du Vélodrome en annonçant le nom de son successeur, Jean-Pierre Papin. Le coup médiatique est retentissant. Sportivement, le pari est gagné puisqu'une remontée immédiate sanctionne la saison 2006-2007.
Mais une nouvelle pantalonnade marque l'intersaison qui suit. L'entraîneur et le président s'aiment, se déchirent et, finalement, se séparent. « JPP » met en cause la présence de l'homme du président, Ferhat Khirat, dans l'encadrement du groupe pro.

Le président dans la position de l'empereur vêtu de ses habits neufs

Un inédit limogeage de technicien ayant fait remonter une équipe et un remplacement par celui qui vient d'en faire descendre une autre interviennent à l'été. Le Racing surfe à proximité des sommets de l'élite. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si les clans ne manquent pas d'affûter les couteaux en coulisses.
Et, au printemps, une historique série de onze défaites d'affilée ramène le Racing en L 2. Fort logiquement, Jean-Marc Furlan est confirmé dans ses prérogatives. Il est démis après avoir échoué pour un point dans l'opération remontée, au terme d'une saison où les inimités n'ont, une fois de plus, pas manqué de s'exprimer. Aujourd'hui, après avoir veillé à animer un véritable vaudeville, le « prési » est dans la position de l'empereur vêtu de ses habits neufs : soit complètement nu.


Fr.N. pour D.N.A

au moins un qui garde le moral, c'est le président et s'il se muait en entraîneur? :grr:

« Pas de menace sur le coach »



Alors qu’il avait lui-même ouvert la porte à un remaniement vendredi à Clermont en déclarant après la déroute du RCS :« il faut trouver la bonne personne pour forcer ce verrou mental (Ndlr : qui touche le groupe), débloquer les esprits », Philippe Ginestet assure ne pas être enclin à faire rouler la tête de Pascal Janin sur le billot. Il reconnaît même s’être exprimé avec une certaine maladresse au stade Gabriel-Montpied en évoquant une arrivée possible.« Dans mon esprit, il était surtout question de changer le discours, de trouver les bons mots, pour provoquer la réaction du groupe. » [/b]
Aujourd’hui, le patron d’un Racing aux abois affirme« qu’il n’y a pas de menace directe sur le coach. Nous ne sommes pas dans cette urgence-là. Pascal et moi sommes aussi malheureux l’un que l’autre. Il est très concerné et fait le maximum. À Clermont, je l’ai vu triste et malheureux. Nous avons une volonté commune de trouver des solutions. Nous, dirigeants, ne réfléchissons pas à l’arrivée d’un nouvel entraîneur. Nous espérons tous que la tendance va s’inverser. »

La nomination de Pascal Camadini au poste de coordinateur sportif participe, selon l’investisseur immobilier, de sa volonté d’apporter« une aide à un staff jusque-là pas très étoffé. Je sais bien qu’on va dire que Pascal Camadini est un ami proche. Je ne le nie pas. Mais de même que j’avais dit il y a quelque temps que la fraternité n’était pas un obstacle à la compétence (Ndlr : allusion à son recruteur de frère Pierre), je dis que l’amitié n’en est pas un non plus. Pascal est doté d’une remarquable intelligence et d’un sens aigu de l’analyse. Il peut nous aider à sortir de cette situation difficile. »

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Encore une fois le président nous mène en bateau , une raclée face à Caen et Janin ne sera plus le coach

J'aurai eu davantage de respect pour lui s'il nous avait dis une autre vérité qui explique la non-arrivée (pour combien de temps?) d'un nouvel entraîneur, à savoir que les finances sont dans un état catastrophique à terme en tout cas et que celà ne permet pas d'envisager l'arrivée d'une nouvelle personne. Surtout avec l'arrivée toute récente de Camadini. Désolé d'avoir à le dire mais cette arrivée ressemble surtout à du népotisme (on place ses amis). Franchement, dans la situation catastrophique du Racing, que peut nous apporter un Camadini qui n'a jamais été dans le staff d'un club?

Camadini intègre le staff ? Au point où on en est, pourquoi pas ? Il paraît que plus on est de fous, plus on rigole ! Et cette année, le Racing fait bien rigoler, mais pas sur le terrain, pas en tribune, mais partout ailleurs oui. Tout le monde se fiche de nous et a raison.
Moi le salaire de Camadini, je l'aurais gardé et je l'aurais donné à un milieu de terrain capable de tenir la boutique. Au moins, ce salaire-là aurait été utile et bien investi. Je n'ai rien contre Camadini, l'ami du président, mais qu'est-ce qu'il va bien pouvoir faire ? Le mercato est fini depuis longtemps, alors ? A moins que dans la tribune présidentielle, il manquait peut-être un joueur de poker...
On ne cesse de nous dire que la situation financière est mauvaise, alors pourquoi dépenser de l'argent pour rien ? Le problème, c'est le terrain. Quitte à dépenser, autant dépenser pour un joueur capable de réveiller nos (très nombreux) morts (de fatigue ou de talent ?) !!!

Quand on est le beau frêre de notre ami Ginestet je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas rentrer dans le staff

webthierrydeDiem a écrit:

Quand on est le beau frêre de notre ami Ginestet je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas rentrer dans le staff

Alors, tout s'explique ! Mais ce n'est pas comme cela qu'on va remonter la pente ! C'est quand même bizarre tout ça, au Racing il n'y a que les supporters qui veulent remonter la pente, personne d'autre.

Le salaire de Camadini c'est 0 Il travaille bénévollement

bonsoir
tant que ce monsieur sera president on ne poura entrevoir aucun espoir.
et c est bien triste....

Si c'est du bénévolat , pourquoi un contrat sur 2 ans ????? (dans le journal l'Alsace aujourd'hui)

lucaleone a écrit:

Le salaire de Camadini c'est 0 Il travaille bénévollement

Je n'ai jamais vu qu'on faisait signer un contrat de travail de 2 ans à un bénévole ! Un bénévole, donc un mec qui ne touche rien, ne signe jamais un contrat de travail ! Encore de la fumée...

Il était stagiaire et ne touchait donc aucune rémunération. Il sa signé un vrai contrat depuis lundi (ou le signera lundi prochain ?).

Interview du président après les deux nuls du racing...

Ce n’est pas un scoop, mais après les deux nuls de la semaine contre Caen (2-2) et à Angers (0-0), le président du Racing, Philippe Ginestet, prône le statu quo à la tête de l’équipe. Il attend juste une validation des progrès enregistrés contre Vannes le vendredi 16 octobre (20 h 30) lors de la 10 e journée de L 2.





Philippe Ginestet, quel est votre sentiment après ce nul vierge à Angers, synonyme de 9 e match sans victoire ?
Le sentiment que tout le monde a eu, notamment sur la 2 e mi-temps : nous aurions dû l’emporter. Ce résultat confirme notre progression. La preuve : pour la première fois, nous n’avons pas encaissé de but, alors qu’en face, il y avait le 2 e buteur de L 2, Anthony Modeste. Ça convient d’être noté.

Malgré le surplace comptable, comptez-vous laisser les choses en l’état et Pascal Janin en poste ?
Il n’est pas question de changer quoi que ce soit. Le contenu s’améliore. Contre Caen, l’équipe a montré qu’elle pouvait rivaliser avec les clubs de haut de tableau. À Angers, elle s’est montrée hermétique. Mais tout cela demande confirmation. Elle doit maintenant gagner en régularité.

Êtes-vous rassuré par le contenu plus consistant ?
Nous ne serons véritablement rassurés que lorsque nous nous serons éloignés de la zone rouge. Ça va prendre un peu de temps. À domicile dans quinze jours contre Vannes, nous aurons l’occasion de faire tomber les points dans notre escarcelle et, comme l’a justement dit notre entraîneur, de commencer une série positive après deux nuls, en signant enfin notre première victoire.

on a bien vu qu'à Angers le contenu s'améliorait, un match NUL dans tous les sens du terme contre une très faible équipe angevine elle est belle ton équipe Gigi et bien à sa place en queue de L2