D'ailleurs le terme de bidonvilles est usurpé et immérité pour ces lieux puisqu'il en sort d'excellents footballeurs...

n'aurait-il pas été préférable d'éviter ce licenciement et de mettre ces 200000€ dans les 2M€ restant à boucher ? par les temps qui court,il n'y a pas de petites économies...

Alors là si on revient sur ce qui aurait été plus judicieux , je crois qu'on y est encore demain.

Poncho a écrit:

Alors là si on revient sur ce qui aurait été plus judicieux , je crois qu'on y est encore demain.

je sais Poncho mais vu vos finances,un sou reste un sou...

Y a surement anguille sous sous roche.....
Avoir du mal à trouver 2Me et d'un autre coté ils virent quand c'est pas le moment......

Ça montre surtout qu'ils ont l'esprit tordu. Pourquoi encore une fois aller chercher Klein pour remplacer Vencel alors que Janin est entraîneur de gardiens ? Ça me paraît bizarre qu'il n'en ait même jamais été question !

Tout à fait d'accord avec Tom .. Janin à la base il est entraineur des gardiens .. vu qu'Alexander s'est cassé .. autant lui refilé le poste plutôt que de lui payer son licenciement.

Après peut-être qu'on lui a proposé et qu'il a décliné l'offre ..

Ce serait surprenant, vu qu'il avait justement refusé de diriger le centre de formation sous prétexte qu'il souhaitait continuer à travailler dans un staff. A moins qu'il cherche à avoir des indemnités coûte que coûte ...

Janin a refusé le reclassement proposé par le club pas sur donc qu'il va toucher les indemnités qu'il guigne.

Si c'est Janin qui refuse il devrait avoir droit à rien. Logique , non ?

En théorie oui, enfin il me semble que ça se passe comme ça en entreprise ?

Malmené par JAF l'autre jour,l'ancien coach strasbourgeois lui répond !!
http://www.dna.fr/fr/autres-sports/info/3581647-Du-cote-de-la-Meinau-Pascal-Janin-contre-attaque

Sans oublier notre bon vieux "Moustache"

Enfin, l’ancien entraîneur Pascal Janin, viré en juin alors qu’il était sous contrat jusqu’en 2011, n’a pas lui non plus trouvé de terrain d’entente. Les avocats des deux parties n’ont pas rompu les ponts, mais une action aux Prud’hommes semble là aussi se dessiner. Dans ce cas, le RCS encourrait un risque un peu supérieur à 200 000 euros (préjudice compris).

Et par ici la monnaie

Janin aux Prud’hommes

Encore récemment en discussion, par avocats interposés, avec les dirigeants londoniens pour trouver une solution amiable après son limogeage en juin à un an du terme de son contrat, Pascal Janin vient de saisir la juridiction prud’homale. La direction du RCS ne lui a en effet pas fait la moindre offre d’indemnisation. Comme il s’y préparait, l’ancien coach va désormais réclamer devant le Conseil des Prud’hommes son dû, mais aussi sans doute des dommages et intérêts. La somme maximale qu’il pourrait obtenir avoisine les 200 000 euros.

200000 euros qu'on va récupérer sur le salaire qu'on n'aura plus besoin de verser à Plessis, çà c'est du business

Tu m'étonnes En même temps on s'est bien payé sa tête au moustachu...

pas d'accord en lui prolongeant son contrat alors qu'il a fait preuve de son incapacité on lui a rendu un fier service, lui-même a senti le vent tourner en sa faveur et n'a pas manqué de profiter de l'occasion pour se faire du beurre sur le dos du club. Maintenant, par ailleurs le club lui avait proposé un recyclement au Centre de Formation qu'il a évidemment refusé donc pour moi c'est plutôt lui qui se paye notre tête.

A l'évidence on est pas d'accord.
Moi je pense que lui proposer une place dans le centre de formation ( dont personne ne donnait plus de quelques mois d'existence à l'époque ) c'est se payer sa tête.Il avait dit qu'il souhaitait entraîner un club , qu'il se jugeait encore apte à trouver un autre club ( là il s'est surement trompé ).Mais on lui a fait signer un contrat ( personne n'a forcer le club )je trouves normal le fait de le respecter...
De plus je reste convaincu qu'un autre coach n'aurait fait guere mieux que lui avec la situation dans laquelle était le club.Remarque depuis ça n'a pas évolué d'un poil d'ailleurs.

Encore une erreur de plus. Qu'avait-on besoin de le prolonger ? On l'a viré, on l'a repris. Quel bazar... Et encore une erreur de casting de plus pour nos dirigeants londoniens... Ils se sont bien fichu de Moustache, eh bien qu'ils passent à la caisse...

Je sais qu'en cour de saison on a fait mariner Moustache à toutes les sauces mais de là à lui renouveler un contrat alors que le club était en pleine déconfiture c'est çà que j'arrive pas à avaler, soit, au moment même un autre n'eut peut-être guère fait mieux, mais pire non plus puisqu'on a fini par dégringoler. Pour moi je le compare à JMF, j'ai échoué dans mon entreprise mais je vais récolter le max, désolé mais au vu des évènements c'est comme-çà, c'est pas ma faute mais celle des autres.

Pour moi l'erreur est là.La prolongation de son contrat...Moustachu doit se mordre les doigts d'être venu sur les bords du Rhin.A Brest il srait aujourd'hui en Ligue 1...Certainement pas en tant que numéro 1 mais peut-être en 2

On va dire que vous êtes tous dans le vrai.
Janin est incompétent mais d'un autre coté il nous a rendu service au moment où c'était le flou le plus total du genre "t'es viré mais tu si tu peux rester 2,3 jours supplémentaires en attendant qu'on finalise avec ton successeur ça nous arrangerait bien ^^ On peut donc comprendre qu'après coup Moustache (comme vous l'appelez) en avait un peu gros sur la patate et nous ait fait payer son addition.

A cette époque là jamais on aurait imaginé être où nous sommes aujourd'hui,et pourtant ce n'était qu'il y à quelques mois

Tu veux rire Steph, avec la parodie de foot que nous a servi Janin moi j'ai vu arriver la cata, gros comme une maison. Pas besoin de diplôme d'entraîneur pour mettre de longues balles en avant sans aucune autre tactique et qu'on vienne pas encore me dire que c'est la faute des joueurs qui ne valaient rien, ceux-ci ne font qu'appliquer les consignes et notre effectif n'était pas pire que celui de beaucoup d'autres teams de L2, la rélégation pour moi en incombe totalement à l'ami Moustache dont j'avais apprécié bien sur le comportement lors de son non-licenciement mais je vois que sa dignité a des limites et passe avant tout par le portefeuille.

Je me demandes quel coach , sous contrat ,gentillement remercié ( alors qu'on l'a débauché de Brest ) , renoncerait à ses années de contrat...Aucun.Pour moi les joueurs et le staff ont la même resposabilité par rapport a l'échec du Racing.C'est trop facile de taper sur l'entraîneur et de vénérer les joueurs qui d'ailleurs , n'ont pas si souvent que ça respecté les consignes , ça j'en suis persuadé.
Enfin bref , c'est du passé et malheureusement il est bien trop tard aujourd'hui. :|

Poncho a écrit:

A cette époque là jamais on aurait imaginé être où nous sommes aujourd'hui,et pourtant ce n'était qu'il y à quelques mois

candyraton a écrit:

Tu veux rire Steph, avec la parodie de foot que nous a servi Janin moi j'ai vu arriver la cata, gros comme une maison. Pas besoin de diplôme d'entraîneur pour mettre de longues balles en avant sans aucune autre tactique et qu'on vienne pas encore me dire que c'est la faute des joueurs qui ne valaient rien, ceux-ci ne font qu'appliquer les consignes et notre effectif n'était pas pire que celui de beaucoup d'autres teams de L2, la rélégation pour moi en incombe totalement à l'ami Moustache dont j'avais apprécié bien sur le comportement lors de son non-licenciement mais je vois que sa dignité a des limites et passe avant tout par le portefeuille.

Non non bien entendu que le National était inévitable, je voulais plutôt parler de notre situation actuelle. A l'époque j'avais la naïveté de penser que le National ne serait qu'une simple banalité force est de constater que ce n'est pas le cas

Football Pascal Janin : « Je ne me sens pas en danger au Mali »

Good luck pour lui dans un contexte aussi risqué.

http://www.lalsace.fr/sport/2013/07/24/pascal-janin-a-double-titre

C'est bien pour lui car je l'aime bien .

Si sportivement, il n'a pas pris le plus difficile (un club qui a l'habitude de dominer son championnat), sur le plan purement personnel, il faut le faire quand même.

Janin remet le bleu de chauffe

Pascal Janin, l’ancien entraîneur du Racing, s’est installé début octobre sur le banc d’Amnéville, avec une envie de transmettre toujours intacte
Un an et demi après sa dernière expérience en Tunisie, l’ancien coach du Racing Pascal Janin a, à 63 ans, accepté fin septembre le défi que lui proposait en National 3 le CSO Amnéville, visiteur des Pierrots Vauban ce samedi (18h).
Il reste, à son corps défendant, l’entraîneur qui a “précipité” le Racing, professionnel depuis 1933, pour la première fois au troisième échelon hexagonal, le National. C’était en mai 2010.

« En Afrique, j’ai vécu de très belles expériences »

On ne reviendra pas ici sur les conditions rocambolesques dans lesquelles Pascal Janin, adjoint, puis successeur d’un Gilbert Gress vite débarqué à l’été 2009, a tenté d’exercer son métier alors que la coque du club bas-rhinois prenait l’eau de toutes parts et que son naufrage, entériné par la liquidation judiciaire du 22 août 2011, était inéluctable.

« Plus que les soubresauts au club, j’ai en mémoire la blessure de Nicolas Fauvergue (l’avant-centre, auteur de 15 buts officiels, out lors du crucial mois de mai). Elle nous a coûté le maintien en Ligue 2. »

Celui qui a passé plus de dix ans à Strasbourg, en trois périodes étalées sur deux grosses décennies, a payé cher sa brève expérience de coach n°1 au Racing, lui qui avait précédemment dirigé Brest. « Après Strasbourg, je suis resté près de deux ans sans club. Je trouvais le temps long et je me suis dit qu’en France, ce serait difficile de retrouver. »

Mais ses malheurs en Alsace ont indirectement fait son bonheur ailleurs et lui ont ouvert d’autres horizons. Le Stade malien le sollicite.
« J’ai encore envie de transmettre »

Il dit banco à Bamako, réussit le doublé Coupe-championnat en 2013 et est désigné entraîneur de l’année au Mali.

« En Afrique, j’ai vécu de très belles expériences (il a ensuite coaché Kaloum Star en Guinée et Kairouan en Tunisie, puis été directeur sportif à Bizerte, ndlr). À Bamako, je me suis régalé. J’ai découvert un pays, le Mali, un autre football aussi, où les moyens ne sont pas les mêmes qu’ici. Le peuple vit dans la pauvreté, mais ne s’en plaint pas plus que ça. Les gens gardent le sourire pour la plupart et savent t’accueillir de belle façon. J’y ai gardé plein d’amis et j’y retournerai volontiers. Les gens m’ont adoré, j’ai adoré les gens. J’ai aussi adoré la vie là-bas, pourtant pas facile. Ça fait voir autre chose, change sûrement un homme et remet un peu les pieds sur terre. »

À son retour en France, le technicien moustachu a regagné la Lorraine où il a vécu une grande partie de sa carrière. « J’étais à la maison depuis un an et demi quand Amnéville m’a approché. J’allais voir des matches. Je cherchais à retrouver quelque chose, mais près de chez moi à Thionville : au Luxembourg – ç’a d’ailleurs failli se faire – ou en Lorraine. Par l’intermédiaire de Bernard Zénier (l’ex-attaquant de Metz) qui est un ami du président, Amnéville m’a sollicité lorsque son coach (Cédric Léonard) a arrêté fin septembre. Je n’avais rien de précis en vue. Je me suis dit : “Pourquoi pas ?”. J’ai encore envie de transmettre. »
Le Paris FC en Coupe

« À 63 ans, j’aurais pu tourner la page, mais sincèrement, ça ne me coûte pas du tout. Quand je n’aurai plus cette passion, je passerai à autre chose. Ce n’est pas le cas. Je suis content d’être au CSOA. C’est un bon club amateur, avec beaucoup de jeunes et d’équipes, 600 licenciés. Il y a un bon travail à y faire, mais il faudra peut-être un peu de temps. »

Ses débuts le confirment : depuis sa nomination, le club mosellan a perdu ses deux matches de National 3 (2-0 à Molsheim contre la réserve du Racing et 1-3 à domicile face à celle de Troyes) et glissé au classement du groupe F. Il a tout de même franchi trois tours de Coupe de France. Il aura le privilège de recevoir le Paris FC (20e de Ligue 2) lors du 7e tour le 16 novembre.

Avant la visite de ce samedi (18h) à Vauban, lui aussi en difficulté, Pascal Janin s’efforce de garder le cap et son flegme légendaire. « L’an passé, Amnéville s’est sauvé à la dernière journée. Le président aimerait le faire beaucoup plus tôt. Il a l’ambition, dans les deux ou trois ans, de monter à l’étage supérieur. Mais à court terme, mon objectif est de grappiller le plus souvent des points pour que l’équipe se maintienne au milieu de tableau et ne soit pas menacée comme l’an dernier. »

L’opération sauvetage débutera peut-être vraiment ce mardi contre Vauban.
dna