C'est fini ces pseudos gueguerre entre UB90 et BU88.Alsace United.

Et les GP09... :boulay:

K4is3rt0m a écrit:

Ah bon, une rivalité entre supporters mulhousiens et strasbourgeois ? Comment elle a pu se créer celle-là, je ne savais même pas que les UB fondés en 1990 avaient eu l'occasion de croiser Mulhouse (en D2 ?) ...

Oulah si tu savais dans les années 90-92 entre les UB et la Brigade Ultra. Il n'y avait rien à envier aux noms d'oiseaux que les kops strasbourgeois et messins peuvent se lancer depuis... Il y avait même une sorte d'alliance entre les deux FCM... Nous nous sommes rapprochés de Nancy de notre côté, depuis l'ASNL a toujours été le club du nord-est avec lequel les relations ont été les plus correctes.

Ce topic est consacré à notre cher président Jafar Hilali, Hilali casse-toi.

Je veux bien, mais comment le faire partir et qui à la place

candyraton a écrit:

Ce topic est consacré à notre cher président Jafar Hilali, Hilali casse-toi.

+1

La dernière question de l'interview m'a bien fait rire tiens.

K4is3rt0m a écrit:

Je veux bien, mais comment le faire partir et qui à la place

Ben s'il était encore actif sur le forum voisin du stub, on pourrait le spammer de messages, mais vu qu'il a arrêté son cirque; y a plus moyen de le contacter

En tout cas, je pense qu'après s'être mis les supporters dans la poche pendant un bon moment en tchatant avec les supporters, il s'est finalement pris un retour de flamme.

Mais il veut tout contrôler et tout cela semble être un jeu. Je sais pas trop si il a conscience des conséquences de ses décisions...

Paul a écrit:

Mais il veut tout contrôler et tout cela semble être un jeu. Je sais pas trop si il a conscience des conséquences de ses décisions...

Il est presque certain que non,malheureusement lorsque ce sera le cas il sera déjà trop tard......en espérant que ce ne soit pas déjà irréversible.

Ben de toute façon, leurs conneries à lui et ses potes sont déjà irréversibles.
Ils sont arrivés il y a un an quand on était en Ligue 2 et on se retrouve en National.
D'abord on a eu le premier épisode avec Fontenla et ses bêtises. Il voulait faire débarquer ses roumains et ses estoniens et jouant à je te vends le club et puis finalement non.

Après ce Jafar, qui prend un plaisir jouissif à balancer des infos anonymement pendant plusieurs semaines aux supporters avant de prenant des décisions complètement débiles (fermeture du local des UB et du quart de virage NO...à

Maintenant qu'il a été envoyé dans les cordes avec son projet de stade , on va voir ce qu'il vaut vraiment en tant que président à temps plein de son club.
Malheureusement on ne se fait plus trop d'illusion....

Peut-être va-t'il tirer un trait sur sa carrière strasbourgeoise mais je rêve pas trop, l'est tenace et trop fier.

Aucune crédibilité cet énergumène. Sa seule réussite en quittant le Racing, aura été l'anéantissement du club. Et c'est tout...

Pignatelli – Hilali 1-0 .


Dominique Pignatelli savoure sa petite victoire face aux propriétaires londoniens du Racing. Archives Dominique Gutekunst .

Attaqué en justice par Jafar Hilali et Alain Fontenla pour diffamation et injures publiques, l’actionnaire minoritaire alsacien Dominique Pignatelli a récemment obtenu gain de cause. Déboutés, les propriétaires londoniens devront lui payer 3000 euros qu’il se propose de reverser aux Ultra Boys 90.

L’affaire remonte au 21 mai 2009. Dans une double page consacrée à la relégation du Racing en National - une première -, le bihebdomadaire « France Football » donne la parole à sept témoins, dont le maire Roland Ries et le président Jean-Claude Plessis, parti depuis. Parmi eux également, Dominique Pignatelli , actionnaire minoritaire qui a investi quelque 1,5 millions d’euros dans le club depuis cinq ans.
Une semaine après une descente qu’il ne digère pas, le patron de la société Intergraphic, en pétard, ne mâche pas ses mots à l’encontre des nouveaux propriétaires londoniens du RCS. « […] Après, il (Philippe Ginestet) revend ce club à des voyous. J’ai tout de suite vu que ces gens étaient douteux. Ils se fichent du Racing. Tout ce qu’ils veulent, c’est faire de l’argent. Ils veulent faire venir des joueurs de l’Est et des Africains pour […] ramasser des commissions. »
Plus de deux mois plus tard, D. Pignatelli reçoit la visite surprise d’un huissier qui l’informe que les actionnaires majoritaires Alain Fontenla et Jafar Hilali (Ndlr : en fait, la société de celui-ci, Carousel Finance) l’ont attaqué en justice pour « diffamation et injures publiques. » L’homme d’affaires avoue qu’à l’époque, il « n’en mène pas large, parce que mes propos, tenus sous le coup de la déception, étaient un peu durs. L’huissier m’a signifié mon assignation. J’ai contacté mon avocat, Me Damien Wedrychowski (1), que je connais depuis 23 ans et dont je n’ai sollicité les services que deux fois en vingt ans d’Intergraphic. Il était plus optimiste que moi. »

50000 euros demandés .

Fontenla et Carousel réclament précisément 15000 euros en réparation des propos diffamatoires, 30000 pour les injures et 4000 au titre des frais de procédure (article 700). Le 11 octobre, la 17ème chambre civile du TGI parisien examine le dossier en audience publique. Pignatelli, flanqué de Damien Wedrychowski (ou l’inverse), est présent. Fontenla et Hilali ne se sont pas déplacés et sont représentés par l’avocat du cabinet 28 octobre, David Koubbi. « Hilali n’a pas assisté non plus le 8 décembre à l’AG du Racing dont il venait de prendre la présidence. Ça dénote encore une fois le mépris dont les Londoniens font preuve à l’égard de l’environnement. »
Comme par un curieux raccourci du calendrier, la 17ème chambre civile rend son jugement le… 8 décembre. Elle « déboute Alain Fontenla et la société Carousel Finance de leurs demandes » et les « condamne in solidum à payer à Dominique Pignatelli 3000 euros sur le fondement de l’article 700. » Un jugement que les plaignants ont trois mois pour contester. « Au mois habituel s’en ajoutent deux liés au fait qu’ils sont domiciliés à l’étranger. » La 17ème chambre estime que « le défendeur (Pignatelli) bénéficie de l’excuse de la provocation (voir ci-dessous). »

« Mon intérêt aurait été de pactiser »

Sans verser dans le triomphalisme, Dominique Pignatelli savoure néanmoins. « À la base, je n’avais rien contre les nouveaux actionnaires (Ndlr : ses relations avec l’ancien propriétaire Philippe Ginestet étaient plus que tendues). Mon intérêt personnel aurait été de pactiser avec eux pour récupérer mes billes. Mais leurs méthodes ne correspondent pas à mes valeurs. Depuis leur arrivée le 4 décembre 2009, je n’ai cessé de dénoncer leurs incohérences. Avec Damien, nous avons relevé toutes ces incohérences, les volte-face, en nous appuyant notamment sur les propos de Julien Fournier, le premier président nommé par Fontenla, qui dénonçait certains agissements. Hilali et Fontenla ont voulu me donner une leçon. Je suis d’autant plus satisfait du résultat que j’ai le sentiment d’avoir défendu l’honneur des Alsaciens qui se sentent floués. Aujourd’hui encore, je reçois des messages d’encouragement, parce que beaucoup de gens n’ont pas oublié que je ne suis pas là par affairisme, mais par plaisir et passion. Sauf cas de force majeure, je n’ai jamais raté un match de l’équipe première des SR Hoenheim dont je suis le président. C’est une petite victoire, mais un grand succès par le symbole. Les juges ont pris le dossier très au sérieux, l’ont parfaitement étudié et ont motivé leur verdict. Ça m’a étonné. »
Ce succès, le PDG d’Intergraphic aimerait le rendre plus symbolique encore en offrant les 3000 euros aux Ultra Boys 90. « Je leur dédie cette victoire. Je les connais peu, mais je considère que ces derniers mois, ils sont l’association de supporters qui a le mieux défendu l’identité du club. Ils sont les derniers résistants. Ils ont compris que le Racing est une institution et en veulent aux Londoniens de la bafouer. Je vais les contacter pour voir s’ils acceptent ma proposition. Je n’en suis pas sûr, car je les sais désireux de préserver leur indépendance. Mais ils pourraient faire de cette somme ce que bon leur semble, sans contrepartie évidemment, même si j’ignore encore quand Fontenla et Hilali vont payer. S’ils devaient refuser, ce que je pourrais comprendre, j’en ferais don à une association caritative. »
Stéphane Godin - L'Alsace
(1) Damien Wedrychowski est également l’avocat du Racing omnisport.

Et pendant ce temps là le club meurt ........

Croyez vous qu'il sera présent ce soir ?
N'empêche vaudrait mieux pour son intégrité physique qu'il ne remette plus les pieds en Alsace ou alors accompagné de gardes du corps. Je crois que le licenciement de Fournier est" la goutte d'eau qui fait déborder le vase".

Il est venu pour un seul match depuis le début, ça m'étonnerait qu'il se déplace à nouveau. Un match en un an c'est largement suffisant, faut pas déconner

Il regardera le résumé sur Stras TV comme d'hab ou suivra la rencontre sur le live l'équipe.

Il préfère surement suivre ses porte feuilles en bourse...

Ce type regrette surement d'avoir mis les pieds dans ce bourbier, maintenant il essaye de s"en sortir en accusant le reste du monde de ses malheurs au racing, malheurs qu'il a lui-même provoqués à 100%. Il ne se passe pas un mois sans qu'une secousse sismique de plus ne secoue la vie de ce qu'il reste de ce club. Mais son ego lui refuse d'endosser un échec donc il va continuer petit à petit à tout mettre sens dessus-dessous sans reconnaître que sa vision du foot de haut-niveau se résume à un zéro pointé. Hilali si tu veux rendre un grand service au club, casse-toi une bonne foi pour toutes car tant que tu seras là il n'y aura aucune sérénité, tous les gens en place que ce soit joueurs, staff ou employés savent qu'il sont sur un siège éjectable mais comme tu adores verser des indemnités de licenciement à tout le monde tu t'en fous royalement.

Ca a tout à fait sa place dans son topic

*Alors qu'il remporte match sur match
Il s'est un peu enflammé le journaliste !

Ah le Gilles Verdez quand il s'y met....moi ce que je retiens c'est quand il parle de Jafar " Cet abruti de président qui n'a rien à faire dans le football"

J'adore cette vidéo haha mange ça Jaffar

Excellent! Y'en a un qui ferait mieux de se la jouer discrète les prochains temps.

Comme d'hab quoi?

« Un bilan match après match »

Jafar Hilali a accepté de rompre le silence. Le président assume ses méthodes, se dit obsédé par les résultats et n'envisage pas un échec dans l'opération remontée.

- Pouvez-vous expliquer ce qui a inspiré vos envies de changer d'entraîneur avant de tourner casaque, tandis que votre équipe avait commencé 2011 par deux victoires en trois rencontres en déplacement ?
- Je n'ai pas du tout la même analyse des résultats. Ce qui a vraiment changé la donne dans mon esprit, cette semaine (ndlr : la semaine dernière), c'est la défaite de Cannes. Il y a le résultat, mais il y a surtout la manière dont ce match a été perdu (1-0). Ma responsabilité est énorme par rapport au club, à ses salariés, à la ville.
La question posée est la suivante : les joueurs ont-ils conscience de l'importance de la montée ? En jouant comme à Cannes, il était évident que non. On me parle de Rodez, de Poissy. Mais il est presque normal à mes yeux que Strasbourg gagne sur ces terrains. Ce n'est pas un exploit.

«Le problème et la solution, ce sont les joueurs»

- Finalement, la victoire en Coupe de France vous a fait complètement changer d'avis. Ne s'agit-il pas d'un comportement de girouette ?
- Samedi, ce n'était pas le même match qu'à Cannes. Nos joueurs étaient plus forts. Et pourtant, c'était les mêmes sur la pelouse. J'ai été fier d'eux. Et d'un autre côté, ça m'a foutu les boules. En mettant sur la sellette Laurent Fournier, on se retrouve avec un résultat comme ça.
C'est comme si les joueurs ne couraient pas pour Strasbourg mais pour leur entraîneur. Au final, le problème, ce sont les joueurs. Et la solution, ce sont les joueurs. Sur le terrain, à part Jocelyn Ahouéya, tous étaient là pour le premier match de la saison face à Évian en Coupe de la Ligue.

- Considérez-vous que c'est tenable de diriger le Racing en recourant à des menaces extrêmes pour obtenir des résultats ?
- Mon objectif, c'est la montée. Mes méthodes ne plaisent peut-être pas en Alsace. Mais je suis prêt à m'asseoir sur deux ou trois valeurs pour que les objectifs soient atteints. Peut-être que je suis cynique. Mais Aulas ne l'est-il pas ? J'ai peut-être perturbé la vie du groupe, mais n'y a-t-il pas la qualification au bout ?

- Auriez-vous brandi la menace du limogeage de Fournier sans jamais vraiment l'avoir envisagé ?
- J'ai rencontré Peter Zeidler, mais aussi Gérald Baticle à Lille. Avant hier (samedi), je n'étais pas sincèrement convaincu de la capacité du coach à emmener le Racing en L 2. J'assume la méga-pression imposée sur le groupe. Elle ne doit pas retomber car il y a deux matches capitaux dans la semaine pour envisager la montée.
Il y a eu de grosses discussions ces derniers jours. Après Cannes, c'était tendu. Comme tout le monde en Alsace, j'avais une boule au ventre. Je ne concevais pas que les joueurs aient pu aller au casino. Samedi, j'ai vu un bon état d'esprit sur le terrain, avec un coach qui a les joueurs derrière lui. Le stress peut être salutaire. Je n'en étais pas convaincu avant.

« Les sentiments n'ont jamais fait gagner un match »

- Mais vos décisions interviennent depuis Londres. Votre absence au club ne nuit-elle pas à leur légitimité ?
- J'assume aussi l'environnement anglo-saxon dans lequel j'évolue. Laurent Fournier voulait de la concurrence dans son groupe. Je le mets en concurrence avec d'autres. Je le maintiens jusqu'à la fin de saison, mais il y aura un bilan match après match. Il comprend ma démarche. C'est un vrai pro. Et franchement, dans la marche du club, à part en situation de crise, le rôle du président est secondaire.
Il n'y a plus d'intermédiaire entre moi et les salariés du Racing, c'est vrai. La solution d'un président-salarié n'a rien apporté sauf peut-être en termes de communication. Je suis le principal actionnaire, mais les résultats sont le fait du staff technique et des joueurs. S'ils décrochent des trophées, je ne jouerai pas au parasite, la victoire leur appartiendra. Ma conception du rôle de président peut poser problème, mais c'est comme ça. Je sais que le Racing suscite encore beaucoup de sentiments, mais les sentiments n'ont jamais fait gagner un match. (DNA)

Rien de bien neuf ,c'est du Jafar quoi

Jafar est un ....... :grr:

Il me dégoute ce conard.

J'ai bien rigolé en lisant son interview. C'est là qu'on voit qu'il a une conception du foot bien éloignée de la vérité et qu'il manage le club comme une usine à fric :ko:

Il ne conçoit pas que des joueurs aillent au casino !!!
Mais que fait-il à Londres sinon jouer au casino de la finance avec comme conséquences des crises à gogo compensées alors par nous autres les gogos de contribuables?
Vas te planquer dans un de tes paradis fiscaux merdiques et restes y jusqu'à ce qu'on les fasse péter !!!

Jafar Hilali était à la Meinau aujourd'hui " à la demande des joueurs"!!!!

Il pense même se rendre au Stadium pour SRC - RCS . Qui dit mieux ?

Infos FR3 Alsace

Ouep et demain mise en ligne de son interview:

Jafar Hilali est venu apporter son soutien à l'équipe et rappelle que la remontée en Ligue 2 reste une priorité
Deux jours après le match nul frustrant face à Bastia, le leader de National, et à la veille de la venue de Guingamp à la Meinau, le président du Racing était à Strasbourg aujourd'hui. Jafar Hilali est venu apporter son soutien à l'équipe en rappelant que la remontée en Ligue 2 reste une priorité.
Il s'est également exprimé pour la première fois sur l'histoire de vrai faux départ de Laurent Fournier, l'entraîneur de l'équipe.



(L'Alsace)

Ouais, j'ai vu le reportage.
Hésitant sur le sujet de LF......

Il est venu aujourd'hui parce que c'est le premier jour vraiment doux et beau en Alsace de l'année.

Avec les meilleurs volontés il m'est impossible de cerner ce personnage .