Les instances prèfèrent en rester au bon foot de nos grand-père, ils n'ont pas remarqué que la technologie à fait de gros progrès, ils veulent juste se partager le pognon.

candyraton a écrit:

Les instances prèfèrent en rester au bon foot de nos grand-père, ils n'ont pas remarqué que la technologie à fait de gros progrès, ils veulent juste se partager le pognon.

Mais tôt ou tard il faudra y avoir recours.

Les arbitres veulent une augmentation
Le syndicat des arbitres de Ligue 1 aurait demandé une grosse augmentation salariale à la Ligue de Football Professionnel. Une hausse de 50% est évoquée.
Les joueurs et les dirigeants ne sont pas les seuls à pouvoir négocier des revalorisations salariales. Ce mardi, L'Equipe révèle que les arbitres seraient en passe de négocier une hausse drastique de leurs revenus auprès de la Ligue de Football Professionnel. En effet, les hommes en noir, qui sont actuellement payés sur une base fixe de 2900 euros par mois (ainsi qu'une prime de 2617 euros par match arbitré), réclameraient une augmentation de 50% de leur salaire. Les arbitres français sont en effet les moins bien payés des grands championnats européens. Un arbitre français perçoit un salaire annuel net de 64 913 €, quand cette rémunération peut atteindre 170 000 € en Angleterre et en Allemagne, et même 235 000 € en Espagne !
Les arbitres veulent 7000 € par mois


Le syndicat des arbitres du football d'élite (SAFE) s'appuie sur les chiffres de la charte du football professionnel pour les joueurs et les entraîneurs, qui stipulent une rémunération minimale de 7250 euros mensuel, accompagnés d'une prime de 6542 euros par rencontre. La requête des arbitres a de bonnes chances d'aboutir puisque dans son budget prévisionnel pour la saison prochaine, la LFP a prévu 18 millions d'euros dévolus à l'arbitrage, soit une hausse de… 50% ! Hasard étonnant. Cependant, une telle augmentation de salaire pourrait être mal perçue dans l'opinion, car il convient de rappeler que la grande majorité des arbitres français partagent leur temps entre leur activité footballistique du week-end et une autre profession.
orange sport

Quel est le salaire d’un arbitre de Liga espagnole ?
Ils ont la même passion et portent également le même maillot. Mais ils n’ont pas les mêmes avantages financiers. Entre un arbitre central du championnat de France de Ligue 1 et son semblable en championnat de Liga espagnole, l’écart de salaire est de 3,5, à l’avantage du deuxième.

Plus de 3,5 la différence de salaire entre un arbitre français et un arbitre espagnol

De l’autre côté des Pyrénées, un référé gagne en effet près de 235.000 euros net pour la saison complète quand, en France, un homme en noir touche 65.000 euros net sur la même période. Les arbitres de la Liga espagnole sont d’assez loin les mieux payés du Vieux continent.

Les sifflets de la Liga sont les mieux payés d’Europe

Ceux de la Premier League anglaise, de la Serie A italienne ou de la Bundesliga allemande pour évoquer les principaux championnats de foot européens ont des salaires bien en deçà des sifflets d’Espagne, sur la saison complète.

Sportune.fr

Alexandre Castro réalise une expulsion historique en Ligue 2

Célèbre pour avoir reçu un gros coup d'épaule de la part de Leonardo après le match PSG-Valenciennes le 5 mai 2013, ce qui avait valu à l'époque une lourde sanction au directeur sportif de Paris, Alexandre Castro pourrait bien entrer dans le grand livre des petites histoires du football français. Rétrogradé cette saison en Ligue 2, l'arbitre a en effet décidé mardi après une heure de jeu, lors du match Ajaccio-Nîmes, d'exiger du délégué de la LFP qu'il vire tout simplement les jeunes ramasseurs de balle, estimant que ces derniers prenaient volontairement trop de temps pour rendre le ballon aux joueurs. Une décision pour le moins originale et dont l'effet immédiat est que les footballeurs des deux équipes ont perdu encore plus de temps pour aller chercher le ballon lorsqu'il sortait des limites du terrain. 
Si Alexandre Castro ne s'est pas exprimé sur ce sujet, un dirigeant d'Ajaccio a confié sa stupéfaction et son étonnement au site Maligue2.fr : « L’arbitre a jugé que les jeunes mettaient trop de temps à rendre les ballons aux joueurs. Sans ramasseurs, ça n’a absolument pas arrangé les choses ! Et on était tous un peu choqué de voir ces enfants tristes de devoir quitter le terrain. Honnêtement, on était très surpris car l’arbitre, M.Castro, était parfaitement dans son match en première période. Tout se passait très bien, il laissait beaucoup de place au jeu, c’était plaisant. Au retour des vestiaires, ce n’était plus le même. »
Foot 01

ok mais en Corse plus rien ne m'étonne.

. Au retour des vestiaires, ce n’était plus le même. »



Peut-être après un thé qui avait pris des degrés.

Vu la tristesse des rencontres, il faut bien que quelqu'un fasse le spectacle sur le terrain !

L'ancienne bimbo veut arbitrer en Premier League

Amy Christophers a posé comme bimbo sous le nom de Brandy Brewer.
Amy Christophers rêve de gravir les échelons de l'arbitrage. Elle est surtout connue pour son passé de bimbo sous le nom de Brandy Brewer.
Amy Christophers, 29 ans, n'a qu'un rêve: arbitrer le plus haut possible. Cette ancienne bimbo, plus connue sous le pseudonyme de Brandy Brweer lorsqu'elle posait nue ou presque - elle a été pin-up pendant dix ans -, veut tout faire pour que son souhait se matérialise.
Originaire de Cornouailles, au sud-ouest de l'Angleterre, Amy Christophers a déjà passé le premier échelon des examens de la très sérieuse Football Association (FA) anglaise. Elle est désormais autorisée à diriger des matches au niveau local ou de juniors.
«Pour l'instant, j'ai arbitré quelques matches de M16 et quelques autres au niveau adulte, je dois maintenant penser à augmenter ma confiance, a-t-elle dit dans une interview accorée au Sun. Mais je sens que je m'améliore à chaque match.»

Et comment est-elle accueillie sur le terrain par les joueurs mâles? «Quand ils me voient courir sur la terrain avec mon maquillage, ils ne doivent pas toujours penser: «Oh, elle sait ce qu'elle fait!» Mais ils sont toujours surpris quand ils s'aperçoivent que je connais mieux les règles qu'eux.»
Elle dit aussi s'être inspirée de l'exemple de la juge de touche Slan Massey-Ellis, qui officie en Premier League. «Slan a toujours été un exemple pour moi, comme pour toutes celles qui ont envie de s'investir en football.»
Et elle, Amy Christophers, pense-t-elle un jour pouvoir arbitrer en Premier League? «Ce serait le rêve absolu, mais pour l'instant, je suis juste motivée de voir jusqu'où je peux aller.»
(Le Matin)

Communiqué de presse
le mardi 9 février 2016
COUP DE TÊTE SUR UN ARBITRE DE LIGUE 1

COMMUNIQUE DE PRESSE

Paris, le 8 février 2016
 

COUP DE TÊTE SUR UN ARBITRE DE LIGUE 1 : SILENCE ASSOURDISSANT !

 
 
 
 
 
 
 
 
 

Et Chapron encore dans le coup.

La réaction des mafieux du SAFE dans toute sa splendeur... il l'a a peine effleuré et on a l'impression en écoutant ces gens qu'il l'a défoncé tel Schumacher sur Battiston en 1982, faut pas exagérer non plus... ok le geste de Dirar il a rien a faire sur un terrain, mais c'est pas une raison pour avoir une réaction aussi disproportionné

Quand on lit de tel article on se demande où et comment va s'arrêter de tel agissement..

Bayern Munich : Pep Guardiola veut aider les arbitres

Pep Guardiola, l’entraîneur du Bayern Munich, est sensible au sort des arbitres. Le technicien espagnol s’est dit prêt à leur venir en aide, cinq jours après le scandale du match interrompu à Leverkusen à la suite d’un échange virulent entre Roger Schmidt, l’entraîneur du Bayer, et l’arbitre.

«Vous devez savoir que nous sommes là pour les aider, a déclaré Guardiola durant la conférence de presse de veille de match contre Wolfsburg. Ils (les arbitres) doivent nous parler car nous voulons le meilleur pour le jeu et non pas causer des problèmes.» Guardiola s’est même dit «prêt» à participer à une table ronde pour évoquer les désaccords entre les entraîneurs et les arbitres.

Pour rappel, Schmidt été sanctionné mercredi de cinq matches de suspension, dont trois ferme, et 20.000 euros d'amende.
equipe

Un joueur l'agresse violemment, l'arbitre a la réaction parfaite


Un arbitre italien a fait preuve d’un sang-froid impressionnant en résistant à la tentation de répondre au coup de pied par derrière que lui a assené un joueur qu’il venait d’expulser. Le score du match de neuvième division entre Castel San Niccolo et les visiteurs Fortis Arezzo, qui se jouait sur un terrain boueux près de Florence, était de 0-0 quand le numéro 11 des locaux s’est fait expulser.

Alors que l’arbitre remettait le carton dans sa poche en lui tournant le dos, le joueur l’a frappé d’un violent coup de pied dans les jambes sans pour autant réussir à faire tomber l’homme en jaune, qui s’est retourné pour confronter son assaillant. Ce dernier a été escorté hors du terrain par ses coéquipiers. Arezzo a remporté le match 4-0 et San Niccolo reste dernier du Championnat avec seulement un point en 22 matches. 
equipe

Ligue 1 : Les classements inattendus des arbitres, vus par les joueurs et les entraîneurs
Avec l'aide de plusieurs joueurs et entraîneurs, nous avons essayé de catégoriser les «sifflets» de l'élite, alors que se profilent les dernières journées du Championnat.

Le plus pédagogue

Ce n’est pas forcément en faisant les bons ou mauvais choix que les hommes en noir sont jugés par les joueurs et entraîneurs. Nos interlocuteurs se soucient au moins autant, sinon davantage, de la manière dont la décision est prise, plutôt que la décision elle-même.

Dans ce domaine, Jérôme Miguelgorry semble faire l’unanimité autour de lui, alors qu’il ne dispute que sa première saison en L1. «Il avait un échange constant avec nous, souligne un joueur de Lorient, qui l’a côtoyé il y a deux semaines à Bastia (0-0). Quand il s’échauffe, il passe à côté de toi en te faisant un sourire et en te disant bonjour. Il est simple.»

«Il explique les choses. Il te prévient quand tu commences à déborder»

Deuxième des notes attribuées par L’Equipe avec une moyenne de 6,17 sur 10, M. Miguelgorry n’est devancé au classement que par Freddy Fautrel (6,22). «Fautrel, c’est le top», assure un autre joueur. Un entraîneur porte, lui, ses préférences sur Stéphane Lannoy : «Je me souviens d’un match où les deux équipes étaient agressives et il avait tenu tout le monde par son discours pédagogue». Une vertu partagée par Johan Hamel, selon un joueur : «Il explique les choses. Il te prévient quand tu commences à déborder. Il est dans le dialogue.»

Le plus «showman»

En décembre 2014, juste après une défaite de Bastia devant Evian-TG (1-2), François Modesto avait accusé Bartolomeu Varela de faire «souvent son show». Un joueur confirme : «J’ai l’impression qu’il aime bien faire le spectacle. Il n’hésite pas à expulser les adjoints, les directeurs sportifs. Il aime bien ramener les choses à lui. C’est en peu la vedette. Il joue au justicier, mais pas forcément avec la bonne énergie.»

Un entraîneur de Ligue 1 le juge aussi «très susceptible, mais ça s’améliore.» Pas pour tout le monde, apparemment : «Avec lui, tu sais que tu ne peux pas parler», estime un joueur.

Le plus «cow-boy»

Douze cartons rouges donnés depuis le début de saison, dont dix adressés sans avoir sorti préalablement un avertissement : Antony Gautier mène, de loin, au nombre d’expulsions. Il est en effet le seul arbitre de L1 qui ait procédé à au moins dix exclusions depuis le mois d’août dernier.
«En général, il dégaine assez vite les cartons»
«En général, il dégaine assez vite les cartons, juge un joueur. Tu n’as pas trop le droit à l’erreur et ça peut parfois gâcher la partie.» Il a aussi sorti 60 avertissements, ce qui le porte au cinquième rang des arbitres français quand on comptabilise le nombre de cartons distribués par rencontre (4,8 en moyenne).

Le plus sévère

Au nombre total de cartons, c’est Lionel Jaffredo qui se montre le plus sévère, avec un total de 80. Rapporté à son total de matches disputés, il n’est que troisième du classement, avec une moyenne de cinq cartons distribués par rencontre. Il se retrouve devancé par Tony Chapron (5,2 par match) et Wilfried Bien (5,3).

Juste au-dessus de M. Jaffredo figure Hakim Ben El Hadj (4,9). «On a l’impression que certains, comme lui, sont jugés au nombre de PV, regrette un coach. Quand tu sais que tu vas avoir certains arbitres, avant le match, tu flippes !»

Le plus «facilitateur de jeu»

On reproche très souvent aux arbitres de moins laisser jouer que dans d’autres Championnats. «C’est exact, estime un joueur. Dans l’ensemble, ils dégainent assez vite. Mais je trouve que Clément Turpin fait assez jouer, lui.» D’autres acteurs de la Ligue 1 louent également MM. Lannoy et Fautrel pour cette qualité.
«C'est un arbitre vraiment particulier, un peu agressif. Il est susceptible, aussi»

Et cela n’est pas le cas avec tout le monde. «Bien sûr que je dis à mes joueurs de faire attention et ne pas essayer de discuter si on a tel ou tel arbitre», explique un entraîneur. Un joueur pointe Saïd Ennjimi : «C’est un arbitre vraiment particulier, un peu agressif. On ne peut pas lui parler, ni contester ses décisions. Il est susceptible, aussi.» Mais les jugements sont variés à son égard. «Moi, je l’aime bien : on sent son expérience», précise un autre joueur.

Le plus introuvable

Plus qu’un arbitre, M. Wurtz (élu cinq fois meilleur arbitre français entre 1971 et 1978) était un personnage du football français. Aujourd’hui âgé de 74 ans, celui qui avait ressorti son sifflet pour l’émission de télévision Intervilles, entre 1998 et 2007, ne semble pas avoir trouvé de successeurs aussi atypiques et attachants que lui. «Il était aimé de tous, se rappelle un entraîneur de Ligue 1 qui l’a côtoyé pendant sa carrière de joueur. Je me souviens d’un match amical qu’on avait joué en Alsace, près de chez lui. Il était venu avec sa femme et sa fille et les avait présentées à tous les joueurs. Aujourd’hui, quel arbitre pourrait faire ça ?»

equipe

Un arbitre tabassé après un match amateur
Samedi après-midi, c’est la bêtise qui a remporté le match entre Petite-Synthe et Leffrincoucke, deux villes situées près de Dunkerque. Une rencontre de deuxième division de district sur laquelle on ne reviendrait pas si des faits graves ne s’étaient pas produits à l’issue du match. Car l’arbitre a été violemment pris à partie. Son tort : avoir expulsé trois joueurs de Petite-Synthe qui n’ont pas supporté la sanction.
Roué de coups
Du coup, une fois le match terminé, au moins deux joueurs ont coursé l’arbitre avant de lui asséner des coups violents au visage comme le raconte La Voix du Nord. Selon la victime, une femme aurait également tenté de le percuter en voiture avant de prendre la fuite.
Appelée sur les lieux, la police a interpellé deux jeunes âgés de 23 ans. Placés en garde à vue pour violence volontaire, ils ont depuis été remis en liberté.
Une enquête préliminaire a été ouverte.
20minutes

Angleterre: on change d'arbitre par équité sportive!

Kevin Friend vient de Leicester et ne cache pas sa sympathie pour le leader de Premier League. Du coup, il n'arbitrera pas son dauphin Tottenham lundi soir.
L'Anglais Kevin Friend, arbitre de son état, était prévu pour diriger le match de la 34e journée de Premier League entre Stoke City et Tottenham Hotspur, lundi soir prochain.
Mais la Premier League a décidé de changer de trio arbitral. Le motif? Kevin Friend ne cache pas sa sympathie pour Leicester City. Et comme Tottenham caresse encore l'espoir de revenir sur l'actuel leader, les instances dirigeantes anglaises ont préféré s'éviter tout problème.
«Kevin Friend, initialement prévu pour le match (Stoke - Tottenham), vient de Leicster et a assisté à des rencontres des «Foxes» à titre personnel, indique le communiqué de la Premier League. En tenant compte du contexte de cette partie, il est préférable de changer de trio arbitral.»
Du coup, le chef des arbitres anglais Mike Ridley a envoyé Kevin Friend arbitrer la rencontre Newcastle - Swansea, samedi après-midi. Quant au match Stoke - Tottenham, il sera finalement dirigé par Neil Swarbrick.
(Le Matin)

Professionnalisation actée

Seront-t-ils meilleur.
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Un arbitre mort nommé pour un match au Nigeria
Le Nigeria a vécu un nouvel épisode ce week-end, dans la crise profonde qui touche actuellement sa gouvernance. Tandis que la Fédération internationale (FIFA) a officiellement averti le pays qu'il pourrait être suspendu s'il ne réglait pas ses problèmes internes, un arbitre, décédé en janvier, a été nommé pour un match de Championnat, qui devait se dérouler dimanche.

Cet énième rebondissement intervient après la prise de pouvoir, sur décision d'un tribunal local, de Chris Giwa à la tête de la Fédération nigériane (NFF), au détriment de Amaju Pinnick. Face à ce conflit qui s'éternise, le gouvernement a décidé d'ouvrir une enquête pour tenter de trouver une solution.
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Colombie : un président de club suspendu un an pour avoir frappé un arbitre
Eduardo Pimentel, le président du club colombien de Boyaca Chico, a été suspendu un an pour avoir donné un coup de poing à un arbitre lors d'un match de première division.
Le propriétaire du club de première division colombienne Boyaca Chico a été suspendu un an pour avoir assené un coup de poing à un arbitre pendant un match de première division. Eduardo Pimentel, ancien international colombien qui est aussi le fondateur et l’entraîneur assistant de son club, a également écopé d’une amende de plus de 10.000 euros après l’incident, qui a eu lieu dimanche lors du match nul (1-1) avec l’Atletico Nacional. Il n’aura pas le droit d’entrer dans un stade de football pendant la durée de sa suspension.
equipe

Les arbitres interdits par Daech en Syrie    
Appliquant les règles de la FIFA plutôt que la charia, les arbitres ont été bannis de l'un des fiefs de l'organisation terroriste.
Selon The Independent, qui s’appuie sur des révélations de l’observatoire syrien pour les droits de l’homme, Daech aurait interdit les arbitres de football dans l’un de ses bastions syriens, Deir ez-Zor. La raison : les arbitres mettent en pratique le règlement de la FIFA qui est «en violation avec les commandements d’Allah», selon l'organisation terroriste.
equipe

Arbitrage  
La colère de Pascal Garibian après les critiques lors de Monaco-Angers
Le directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian a tenu à réagir après les propos tenus par Stéphane Moulin, l'entraîneur d'Angers, lors de la rencontre entre le SCO et Monaco.
Le directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian a dénoncé dimanche la mise en cause «intolérable» des arbitres de Monaco-Angers qui ont «corrigé une décision erronée après s'être concertés» en annulant un but initialement accordé au SCO, samedi lors de la 7e journée de L1.

Il est «intolérable» que «des arbitres soient mis en cause parce qu'ils ont corrigé une décision erronée après s'être concertés dans le respect des lois du jeu -un arbitre peut revenir sur une décision tant que le jeu n'a pas repris- et surtout avec la volonté de respecter l'éthique sportive», a déploré l'ancien officiel dans un communiqué.

Le patron de l'arbitrage français, qui rappelle n'avoir «pas l'habitude de réagir aux déclarations d'après-match car les polémiques stériles sont inutiles», cible ainsi l'entraîneur d'Angers Stéphane Moulin.

Après la défaite de son équipe à Monaco (2-1), ce dernier avait fustigé «une faute professionnelle» et «une faute éthique» de la part des arbitres de la rencontre. Après avoir accordé à la 52e minute du match un but à l'Angevin Karl Toko-Ekambi, le central est revenu sur sa décision à l'initiative de son assistant. Alors qu'il n'avait pas levé son drapeau durant l'action, celui-ci a indiqué une position de hors-jeu d'un autre Angevin, Famara Diedhiou.

«L'arbitre est prêt à l'engagement, Monaco est prêt. Et l'arbitre de touche, qui n'a pas levé le drapeau, appelle son arbitre du centre pour faire annuler le but», avait pesté l'entraîneur d'Angers après le match. «On n'a jamais vu ça. Je crois que c'est une première dans l'histoire.»

«Au départ l'assistant a cru que le ballon avait été dévié par un Monégasque remettant ainsi en jeu Diedhiou en position de hors-jeu», explicite dans son communiqué Pascal Garibian. «L'échange entre arbitre et assistant a permis d'établir que ce n'était pas le cas, il s'agissait donc pour Jérôme Miguelgorry (l'arbitre principal de la rencontre) de revenir sur sa décision et d'invalider le but.»
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Un arbitre croate agressé

Bruno Maric, arbitre croate, a été agressé par une dizaine d'individus.
Voilà une sombre histoire de plus dans un football croate déjà gangrené par la corruption et les scandales en tout genre. Alors qu'il était attablé dans un restaurant de Stobrec, près de Split, mardi, l'arbitre croate Bruno Maric a eu la malheureuse surprise de se faire attaquer par une dizaine individus armés de barres de fer. Il a dû être conduit à l'hôpital suite à cette agression. Dans des propos rapportés par Vecernji List, l'arbitre explique que l'attaque serait l'oeuvre de hooligans de l'Hadjuk Split. Ces derniers reprochent à Maric de favoriser les rivaux du Dinamo Zagreb. D'après l'avocat de l'arbitre, ce dernier était en possession d'un pistolet au moment des faits, mais il l'aurait seulement dégainé pour faire peur à ses assaillants, a-t-il expliqué à RTL Croatie.
orange sport

Un arbitre dirige le match de son frère

  Foot National
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La multiplication des agressions inquiète les arbitres
L'Union nationale des arbitres (UNAF) s'est inquiétée samedi de «la multiplication de violentes agressions physiques sur des arbitres» dans les petites divisions en France au «cours des dernières semaines».
L'Union nationale des arbitres (UNAF) a publié un communiqué samedi dans lequel elle fait part de son inquiétude concernant «la multiplication de violentes agressions physiques sur des arbitres» dans les petites divisions en France au «cours des dernières semaines». «Chaque année, 500 arbitres sont agressés physiquement et plus de 4 000 violences verbales (insultes, crachats, bousculades, menaces) sont recensées» surtout dans les petits championnats non-médiatisés. L'UNAF en appelle «au président de la FFF» Noël Le Graët «pour prendre des mesures draconiennes».
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Robert Wurtz, spectacle vivant
Loin du chahut des stades et de la ville, Robert Wurtz coule une retraite paisible à Climbach, au nord de l’Alsace, où il fêtera demain ses 75 ans. Icone du football des années 70 et 80, artiste autant qu’arbitre, le Strasbourgeois a gardé sa passion des bons mots, un peu moins celle du ballon. Bavardages autour d’un pâté en croûte et d’un amer-citron-bière.

Il n’en faut jamais beaucoup à Robert Wurtz pour dégainer une pitrerie, même au beau milieu d’une promenade aux abords de son village de Climbach, dans le Parc naturel régional des Vosges du Nord

Robert Wurtz ancien arbitre international de football

L'ancien arbitre de football Robert Wurtz, lors d'une l'émission de télé Intervilles, à l'Europa-Park de Rust (Allemagne) le 17 juin 2004

Robert Wurtz ancien arbitre international de football sacrifie au rituel de la préparation de l'apéritif chez lui à Climbach.

Robert Wurtz ancien arbitre international de football chez lui à Climbach


Robert Wurtz aurait voulu se faire oublier qu’il ne s’y serait pas pris autrement. Mais on n’efface pas la trace d’une légende du football aussi facilement, surtout quand on la trouve dans les pages blanches. L’homme en noir y apparaît à la case « Climbach », formidable havre de paix situé à deux pas de la frontière allemande, non loin du vignoble de Cleebourg et de la base militaire de Drachenbronn. À droite ? La forêt. À gauche ? Toujours la forêt. Et au milieu, quelques maisons à colombages, 444 habitants selon les organisateurs, 500 selon la police, deux chèvres en contrebas, la tarte flambée du vendredi et un gai Wurtz vendanges tardives.
L’enfant de Strasbourg, citadin pur jus né à quelques centaines de mètres du stade la Meinau - « un signe du destin » , s’amuse-t-il encore aujourd’hui -, y coule des jours paisibles sur un balcon orienté plein sud, après des années de hourras et de huées au pied des virages nord. « Je cherchais la tranquillité, j’en avais besoin, dit le globe-trotter devenu sédentaire. Je suis comme en vacances ici, pourquoi partir ? »

« M. Wurtz, vous avez frôlé le carton rouge »

Demain, le vacancier au regard bleu azur aura 75 ans. Bel âge pour un « miraculé » , victime d’une hémorragie cérébrale à l’été 2007. Un accident survenu à Saint-Quentin, en marge de l’émission « Intervilles » pour laquelle l’ancien arbitre de la finale de Ligue des champions 1977 et du Mondial 78 avait accepté de ressortir son sifflet dix ans plus tôt. « M. Wurtz, vous avez frôlé le carton rouge » , osera son médecin au CHU de Lille. Quinze heures de coma et onze jours en réanimation plus tard, l’Alsacien fait ses adieux aux vachettes et à la vie publique.
À l’écouter se raconter aujourd’hui, entre un pâté en croûte et une rasade d’amer-citron-bière, les regrets n’ont pas lieu d’être. Après tout, prendre la bonne décision en un quart de seconde, ça a été son job pendant presque 30 ans. Une épaisse tranche de vie passée à anticiper l’action, jusqu’à apparaître sur le pas de sa porte avant qu’on ait eu le temps de sonner. Une entrée en scène dont lui seul a le secret, vêtu de noir de haut en bas, comme au bon vieux temps, comme un costume de cinéma sorti à la hâte du placard. Arbitre un jour, arbitre toujours.
Une bonne partie de la légende de Robert Wurtz s’est construite autour de ce personnage dont on devine encore aisément les contours : le verbe et la répartie faciles, un vrai talent d’orateur, le sens de la formule, du spectacle, le plaisir de rire et de faire rire… Tout sauf un hasard pour cet enfant de la balle, fruit unique de Charles le clarinettiste et de Lucie la choriste, qui ont fait les beaux jours du théâtre municipal de Strasbourg, ancêtre de l’Opéra national du Rhin. « J’assistais parfois aux répétitions, seul dans mon siège » , se souvient-il, l’émotion au bord des yeux. Ses parents refuseront pourtant qu’il fasse du théâtre, alors que le célèbre cabaret alsacien de Germain Muller, le Barabli, avait demandé à le revoir après une première audition prometteuse.
Nous sommes en 1961, le petit Robert a tout juste 20 ans et il peine encore à se définir. Supporter acharné du Racing depuis l’âge de 5 ans, il s’est bien essayé au ballon rond avec le maillot bleu sur les épaules. À ses côtés, de futurs grands comme Gérard Hausser ou Gilbert Gress, né un jour après lui, qui lui hurlait « Lève la tête, Wurtz, lève la tête ! » à longueur de matches. Mais le latéral droit était surtout réputé pour « ses longs ballons dans le paquet » … Alors, après deux titres de champion d’Alsace juniors, un quart de finale de Coupe Gambardella, quelques apparitions avec les Cigogneaux du Racing - l’équipe réserve des amateurs - et une dernière saison de l’autre côté de la frontière, à Kehl, Wurtz se rend à l’évidence : non, il ne deviendra pas footballeur pro, au grand dam de son papa qui en rêvait peut-être encore plus que lui.

« Devenu arbitre pour arrêter de grossir »

« Petit, il n’y avait vraiment que le foot qui comptait, mais c’était à condition que les devoirs soient faits », rappelle l’ancien élève du gymnase Jean Sturm. Il fera son petit bonhomme de chemin dans la filière scientifique, celle-là même qui le poussera à raccrocher les crampons. « Entre le foot et les études, j’étais à bout, précise le docteur en physique-chimie, chercheur au CNRS puis exempté de la guerre d’Algérie « pour élever de souris blanches consanguines en laboratoire ». Le problème, c’est que j’ai immédiatement repris du poids, après avoir déjà été gros toute ma jeunesse, jusqu’à 13-14 ans. J’ai tenu 5-6 mois comme ça, mais c’était un vrai complexe pour moi, il fallait que je reprenne une activité physique. Voilà pourquoi je suis devenu arbitre : pour arrêter de grossir. »
De sa tendance à l’embonpoint, il n’a gardé que la bonhomie, devenant en quelques années seulement le préposé au sifflet le plus connu de France. Son secret ? Des capacités physiques phénoménales à une époque où l’on arbitrait encore « par passion ». « J’ai fait un Marseille - Saint-Etienne pour 40 francs en 1970, rappelle l’international, passé à 2000 francs par match dix ans plus tard. On était loin du professionnalisme, mais je me prenais en main, j’allais courir tous les jours au stade du Tivoli. Je valais 54 secondes au 400 mètres. » Les spécialistes apprécieront, tout comme le public appréciait ses sprints échevelés pour rattraper des actions qu’il feignait de ne pas avoir vues partir. « J’ai fait du théâtre dans un rôle qui normalement ne doit pas en faire » , commente l’ancien prof de piano.
Entre mimiques de clown et gestuelle de chef de gare, Robert Wurtz invente son propre style et bouleverse tous les codes établis. Jusqu’à se retrouver mains jointes et genoux à terre face à Guy Roux pour l’implorer de se taire - avec succès - lors d’un PSG-Auxerre homérique au Parc des Princes en 1989. Arbitre ? « Ar-pitre » devrait-on plutôt dire avec un excès d’accent alsacien. « Je ne me forçais pas, ça venait tout seul, jure-t-il avec la véhémence et les aigus qui ont fait sa renommée. Je le sais de ma mère : le public, c’est tout. Si vous avez une mauvaise ambiance dans une salle ou dans un stade, c’est compliqué de tenir jusqu’au bout. ‘‘Aux chiottes l’arbitre’’ pendant 90 minutes, ça n’aurait pas été possible pour moi. Alors je faisais ce qu’il fallait et à la fin, on m’applaudissait. Le dernier arbitre à s’être comporté comme ça, c’est l’Italien Pierluigi Collina. Avec lui, on se disait : « Oh la la, c’est Collina ce soir. Attention ! » Quand les joueurs vous craignent, vous avez gagné 50 % du match. »

« Je suis content d’avoir connu mon époque »

Robert Wurtz n’a pas gagné 100 % de ceux qu’il a arbitrés - « entre 1000 et 1500 à la louche » , selon ses propres calculs, dont 450 en Division 1, un record. Pour être tout à fait honnête, il en a même tellement raté certains qu’il priait parfois « pour que les gars de l’ORTF n’aient pas capté les images et ne les passent pas au ralenti ». Le célèbre journaliste de « L’Équipe », Robert Vergne, se chargera de trancher la question : « Un jour, il est venu me dire : ‘‘Robert, vous avez fait des conneries, comme tout le monde, mais les vôtres étaient géniales’’ ». Grand éclat de rire. Assises à la table du salon, sa femme Hélène et sa fille Caroline boivent du petit lait. « Toutes ces histoires, je les ai entendues tellement de fois, sourit Hélène. Mais je ne me lasse pas de les réécouter. »
« Un journaliste de São Paulo m’a appelé le « Nijinski du sifflet », reprend l’ancien adjoint au maire de Climbach (1989-1995). C’est bien d’avoir un surnom, ça m’a plu. Mais bon, le danseur en question est devenu fou… (rires) Plus tard, le quotidien allemand « Bild » m’a surnommé « Karajan » , en référence au chef d’orchestre autrichien. J’ai conscience que ce que je faisais n’est désormais plus possible. Mais bon, les oreillettes, le spray, les arbitres de surface, tout ça, ce n’est pas pour moi. Je suis content d’avoir connu mon époque, vraiment. Le foot, j’en regarde beaucoup moins maintenant. Ou alors un peu de Bundesliga de temps en temps… Mais point trop n’en faut. »
Ce n’est pas tant que je regrette le passé, mais j’aime me souvenir »
Robert Wurtz n’a d’ailleurs ni internet, ni chaînes spécialisées. Hors-jeu assumé. L’ancien ténor du sifflet préfère le sudoku, croiser le fer avec les mots ou sombrer dans de belles et longues siestes « de deux ou trois heures » , avant de fredonner « un peu de Volksmusik devant la télé allemande » , « s’énerver » devant les débats politiques (français) ou ressortir ses vieux disques de Bécaud, Trénet, Piaf ou Aznavour. « Chaque mélodie ou chanson me fait revivre des situations, des sensations, je me remémore des visages… Ce n’est pas tant que je regrette le passé, mais j’aime me souvenir. »
Ça tombe bien, son incroyable mémoire mériterait bien une petite place au patrimoine immatériel de l’Unesco. Une machine à remonter le temps qui se remet en branle à chacune de ses promenades dans les coins reculés de Climbach, où l’on raconte qu’il marche pieds nus au retour des beaux jours. « De toute façon, je n’ai pas le permis, évacue-t-il d’un œil coquin. J’ai eu tous mes exams du premier coup, sauf celui-là. » Il l’a tenté deux fois, il est reparti à vélo deux fois, ce qui ne l’a pas empêché de faire carrière aux quatre coins du monde. Libre l’arbitre, jusqu’au bout.
Alsace

Les arbitres sont remontés
Les officiels ont tenu à réagir après les critiques formulées à leur encontre par la voix d'Olivier Lamarre, le président du Syndicat des arbitres de football d'élite (SAFE).
Numéro 1 des arbitres français, Clément Turpin sera le premier à diriger Lyon, ce mercredi soir, après les accusations du vice-président de Monaco Vadim Vasilyev assurant, dimanche soir, que l'OL « est favorisé » par les arbitres. Si Stéphane Moulin, l'entraîneur d'Angers, a affirmé « ne pas avoir d'inquiétude » sur l'arbitrage de la rencontre, Olivier Lamarre, le président du Syndicat des arbitres de football d'élite (SAFE), s'est insurgé, mardi, dans un communiqué.

« Sur près de 400 décisions prises en 90 minutes de match par l'arbitre, écrit-il, plus de 95 % ne souffrent d'aucune interprétation et si, dans les 5 % restants, une erreur est majeure et influence le résultat, la sanction est immédiate » pour l'arbitre, à travers la note de l'observateur. « Trop, c'est trop, ajoute-t-il, et il est plus que temps que les instances du football changent de braquet pour sanctionner tous ces comportements qui vont finir par détruire notre sport. »
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L'arbitre Mark Clattenburg prêt à quitter la Premier League

L'arbitre anglais Mark Clattenburg, considéré comme l'un des meilleurs arbitres du monde, ne serait pas contre l'idée d'aller exercer dans le championnat chinois.
Il a arbitré la finale de Coupe d'Angleterre, de la Ligue des Champions et de l'Euro en 2016. L'Anglais Mark Clattenburg est l'un des meilleurs arbitres du monde, et comme les joueurs, il est courtisé par le championnat chinois et ses millions. Ce vendredi, l'arbitre de 41 ans a avoué qu'il n'était pas contre le fait de rejoindre l'Asie. « La Chine est en train de développer son football, quand on voit leurs recrutements. Je suis sous contrat avec la Premier League, mais s'il y a une opportunité... Je n'ai pas encore défini ma carrière sur le long terme. Combien de temps encore serai-je arbitre ? Ça fait douze ans que j'officie en Premier League, et ça a été merveilleux. Il n'y a pas d'offre sur la table, mais s'ils font une offre, je la prendrai en considération. Mais pour le moment, j'aime toujours travailler pour la Premier League et l'UEFA. » Et si c'était lui l'arbitre de la Coupe de Chine 2017 ?
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Les arbitres bientôt enregistrés en Ligue 1 et Ligue 2
 D'ici à un mois, les conversations des arbitres de L 1 et L 2 pourront être utilisées dans certains cas. La vidéo pourrait être adoptée pour 2018-2019.
Une réunion de bilan sur les six premiers mois de la professionnalisation de l'arbitrage s'est tenue jeudi en fin de matinée au siège de la Fédération (FFF), à l'initiative de la Ligue (LFP) et de la Direction technique de l'arbitrage (DTA), en présence de trente-sept clubs de L1 et L 2 sur quarante. Deux mesures fortes ont été évoquées pour l'avenir. D'ici à un mois, les conversations des arbitres pendant les rencontres vont être enregistrées. Elles n'auront pas vocation à être rendues publiques mais serviront à la commission de discipline pour trancher certains cas.

Enfin, la saison prochaine, à partir des quarts de finale de la Coupe de France et de la Coupe de la Ligue, l'arbitrage vidéo sera testé. S'il est jugé concluant et son budget voté, il pourrait être mis en application dès la saison 2018-2019 pour les compétitions nationales. Des expérimentations sont déjà menées actuellement, comme lors de Lille - Saint-Étienne (1-1, 20e journée de L 1), il y a huit jours.
Mis sur pied par Didier Quillot, le directeur général exécutif de la LFP, et Pascal Garibian, le directeur technique de l'arbitrage, l'échange de jeudi a duré deux heures et demie et a visiblement été apprécié par les patrons de club. « C'était très instructif et intéressant, s'est félicité un participant. Pascal Garibian s'est montré très pédagogue et a fait preuve d'une totale transparence.»
 Moins de fautes, moins de cartons, moins d'expulsions

L'ancien arbitre international a donné quelques chiffres mettant en avant les bienfaits de la réforme : le nombre de fautes sifflées est en baisse de 5 % par rapport à la saison passée après 190 matches disputés, le nombre d'avertissements en diminution de 10% et les expulsions de 16%. Garibian a aussi montré, images à l'appui, plusieurs situations de match où les décisions arbitrales n'étaient pas les plus appropriées. Par exemple, lors de Lille-Lyon (0-1) le 18 novembre, le défenseur lillois Sébastien Corchia aurait dû être expulsé par M. Miguelgorry pour un geste dangereux sur Nabil Fekir, a indiqué Garibian. Au lieu de cela, il n'a reçu qu'un avertissement. Le Lorientais Majeed Waris, lui, aurait dû être exclu le week-end dernier par M. Desiage pour son coup de pied sur le Guingampais Christophe Kerbrat lors du succès des Merlus (3-1). Cette première réunion en appelle d'autres. Tous les six mois, un point d'étape devrait être fait entre la Direction technique de l'arbitrage et les clubs professionnels.
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L'arbitre ghanéen Joseph Lamptey suspendu à vie
La commission de discipline de la FIFA a décidé de suspendre à vie l'arbitre ghanéen Joseph Odartei Lamptey de toute activité liée au football aux niveaux national et international.La FIFA frappe fort contre les arbitres douteux. La commission de discipline de l'instance a annoncé lundi sa décision de suspendre à vie l'arbitre ghanéen Joseph Odartei Lamptey de toute activité liée au football aux niveaux national et international. « M. Lamptey a été reconnu coupable de violation de l'art. 69, al. 1 (Influence illégale sur le résultat d'un match) du Code disciplinaire de la FIFA à l'occasion du match de qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA, Russie 2018™ opposant l'Afrique du Sud au Sénégal, le 12 novembre 2016 », peut-on lire dans un communiqué envoyé aux médias.
LA MAIN IMAGINAIRE DE KOULIBALY
Les faits incriminés étaient survenus quelques minutes avant la mi-temps de cette rencontre disputée à Polokwane. M. Lamptey avait sifflé un penalty à la stupeur générale, voyant une main inexistante de Kalidou Koulibaly contrôler un centre de Mpho Makola. Malgré les protestations des Lions de la Teranga, Thulani Hlatshwayo avait transformé. Sonnés par cette injustice, les Lions de la Teranga avaient concédé le break dans la foulée, et ne s'étaient jamais remis de ce qui n'était visiblement pas un coup du sort, s'inclinant au final (2-1).
LA FIFA EN MODE TOLÉRANCE ZÉRO
La FIFA laisse en effet entendre que l'affaire ne va pas en rester là. « De plus amples informations concernant le match Afrique du Sud - Sénégal en question seront fournies dès que la décision deviendra définitive et contraignante », peut-on encore lire. Déjà mouillée par le passé dans une affaire de paris truqués, la Fédération sud-africaine se serait certainement passée de voir ce nouveau scandale éclater sur son sol, dans un contexte marqué à Zurich par « une politique de tolérance zéro vis-à-vis de la manipulation de matchs », dixit encore FIFA.com. A suivre.
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