L'équipe d'Espagne de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs espagnols sous l'égide de la Fédération royale espagnole de football.
Elle compte à son palmarès deux Championnats d'Europe en 1964 et en 2008, et une Coupe du monde remportée en 2010 en Afrique du sud grâce à sa victoire en finale 1-0 après prolongations face aux Pays-Bas le 11 juillet 2010 à Johannesburg. La Roja est la huitième équipe à remporter le trophée planétaire, et la troisième à réaliser le doublé Championnat d'Europe-Championnat du monde après l'Allemagne (1972-1974) et la France dans le sens inverse (1998-2000).

La nation qui empêche la Nationalmannschaft de dominer l'Europe et le Monde du football

Briseurs de rêve les espagnols

Le modèle espagnol.



Personne ne nous contredira si nous affirmons que l'Espagne est le pays à la mode dans le football mondial et qu'elle ne l'a pas volé. Après des années de hauts et de bas, la dernière décennie l'a vue devenir l'une des plus grandes puissances du football international, statut définitivement entériné par le titre mondial obtenu à Afrique du Sud 2010.

Il est évident que tous les succès récoltés ne doivent rien au hasard. Ils sont le fruit d'une politique globale et responsable de la part de la Real Federación Española de Fútbol (RFEF). Dans le cadre de la neuvième Conférence pour les sélectionneurs des équipes nationales de l'UEFA, qui se tenait à Madrid du 20 au 22 septembre, Fernando Hierro et Ginés Meléndez, respectivement Directeur sportif et Directeur technique de la RFEF, ont animé la conférence intitulée "L'école de football espagnole". À la fin de ce séminaire, Meléndez a pris quelques instants pour accorder un entretien exclusif à FIFA.com sur le succès du modèle ibérique.

Une griffe commune

Le Directeur technique de la fédération espagnole n'a aucun mal à situer le moment où ont été posées les fondations des récents triomphes de la Roja : "L'arrivée d'Iñaki Sáez en 1996 a marqué le début d'un travail dont la continuité a joué un rôle fondamental. Aujourd'hui, en tant que Directeur sportif, Fernando Hierro apporte beaucoup de nouveaux éléments tout en respectant les bonnes choses effectuées par le passé."

Et d'expliquer les secrets du modèle ibérique : "Nous pratiquons le même style de jeu dans toutes les catégories. Nous travaillons les mêmes phases stratégiques et nous choisissons les joueurs en fonction des mêmes critères de sélection. Tout cela, ainsi que les règles et valeurs que nous avons établies pour améliorer la cohésion des groupes, permet aux joueurs de grandir. Elle leur inculque la même conception du football et l'idée qu'ils sont encore plus que des frères sur le terrain", affirme Meléndez.

Les résultats sont là pas témoigner du bien-fondé de ces méthodes. Au fil des années, quelles que soient les catégories, l'Espagne figure immanquablement parmi les protagonistes. De plus, les triomphes ont créé une mentalité différente qui se transmet aux nouvelles générations. "En gagnant tout chez les jeunes, les garçons savent déjà comment aborder les grandes compétitions. Quand ils arrivent au plus haut niveau, ils connaissent parfaitement les exigences des matches importants. Quant aux plus jeunes, ils apprennent en les observant. Ces choses-là ne se trouvent pas dans un championnat national, elles s'obtiennent avec des succès à l'échelle internationale", assure le Directeur technique avec une certaine fierté.

Mais les secrets ne s'arrêtent pas là. L'ingrédient fondamental de la réussite est la synergie dans la détection des talents. "Tous les ans, nous organisons une réunion avec tous les coordinateurs de toutes les catégories et nous les appelons toutes les semaines pour qu'ils nous fassent un compte rendu des matches du dimanche", révèle Meléndez. "Comme vous pouvez l'imaginer, la fédération a une grosse note de téléphone ! (rires). Mais ça permet d'avoir des informations fraîches. En plus, nous disposons d'une structure fantastique avec des divisions, des régions et un championnat national. Mais la clé de la réussite, c'est le championnat des sélections territoriales. Nous avons la possibilité de voir les meilleurs joueurs d'Espagne en quatre étapes au fil de l'année", assure le Directeur technique.

Un modèle admiré

Meléndez n'est pas le seul à chanter les louanges du modèle espagnol. Partout dans le monde, entraîneurs et dirigeants parlent avec admiration des merveilles réalisées sur la péninsule ibérique. Le premier à se réjouir de l'efficacité du système n'est autre que le sélectionneur champion du monde, Vicente del Bosque : "Je crois que notre style de jeu repose sur le fait que nous n'avons cherché à imiter personne et sur les caractéristiques des joueurs formés. C'est un travail de longue haleine qui passe par des habitudes et des mécanismes de jeu très bien structurés", affirme-t-il.

Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc tient un discours similaire : "Le modèle des centres de formation espagnol est solide. C'est grâce à lui que ses plus grands représentants, Madrid et Barcelone, ont remporté six Coupes d'Europe sur les 20 dernières années. Sa réussite est illustrée par les bons résultats obtenus par l'Espagne dans les compétitions de jeunes internationales depuis une quinzaine d'années", estime le nouveau patron des Bleus.
Même son de cloche chez l'entraîneur mexicain Hugo Sánchez, basé en Espagne, et l'Argentin Carlos Bilardo. "Il suffit de regarder les résultats et le travail qu'ont réalisé les A sur la durée", affirme l'ancien goleador du Real Madrid. "Quant au champion du monde 1986, il est persuadé que "c'est le modèle à imiter. Il est en avance en tous points."

Bien entendu, le modèle espagnol n'a pas été le seul thème intéressant abordé lors de cette Conférence pour les sélectionneurs des équipes nationales de l'UEFA. Pendant trois jours, la tribune a été occupée par des techniciens du calibre de Vicente del Bosque, Bert van Maarwijk, Joachim Löw, Marcello Lippi, Fabio Capello et Ottmar Hitzfeld, ainsi que des personnalités comme Angel María Villar Llona, Président de la RFEF, Jean-Paul Brigger, Directeur du Groupe d'études techniques de la FIFA, et Andy Roxburgh, Directeur technique de l'UEFA.
FIFA.com

RUW a écrit:

La nation qui empêche la Nationalmannschaft de dominer l'Europe et le Monde du football

Et qui va peut-être nous voler Zidane II

Rémi a écrit:

RUW a écrit:

La nation qui empêche la Nationalmannschaft de dominer l'Europe et le Monde du football

Et qui va peut-être nous voler Zidane II

Faudra rappeler au petit que les espagnols voulaient envoyer son père à la retraite lors d'un match France-Espagne d'une certaine Coupe du Monde 2006 .. .. z'avaient pas était tendre envers ZiZou .. le traîtant de vieux .. résultat .. le vieux leur a fait découvrir le football

C'est peut-être ce match qui leur a fait perdre la seule chose qui les empêchait jusque là d'arriver à un destin élevé: l'arrogance.

A ce propos Zidane a déclaré que son fils , Enzo , choisirait lui même s'il veut évouluer avec la France ou l'Espagne , s'attirant les foudres d'un Eric Di Meco qui ne fait que tailler en ce moment.Je trouves pourtant la réaction de Zizou normale et pleine de bon sens...

Je veux bien leur laisser pour les équipes de jeunes .. qu'il soit formé à l'espagnol .. mais qu'ensuite il joue avec la France A .. il sera notre Xavi

Rémi a écrit:

RUW a écrit:

La nation qui empêche la Nationalmannschaft de dominer l'Europe et le Monde du football

Et qui va peut-être nous voler Zidane II

En même temps il a vécu presque toute sa vie en Espagne, normal qu'il veuille rester là-bas. ^^

Et sans doute que d'ici quelques années, ce topic fera parti des quelques coins de poussières du forum. Il est encore très loin d'être seulement professionnel.

Sinon pour le choix potentiel France/Espagne, je suis assez partagé. D'un côté c'est nul pour lui qu'il ne puisse pas faire son propre choix. Comme l'a dit Pj il a surtout vécu en Espagne, c'est un peu comme Higuain (à un, deux voir trois degrés moindre). Mais en tant que français ça me ferait mal au c*l de le voir jouer sous le maillot de Roja

Puis c'est pas un français comme les autres .. c'est le fils de ZiZou .. notre héros national ^^ .. son nom est associé au maillot bleu .. à notre victoire en Coupe du Monde .. j'ai presque envie de dire que la semence de Zidane est bleue .. non mais

L'Espagne devra composer sans Xavi.



Le milieu de terrain du FC Barcelone, victime d'une tendinite, n'a pas été retenu par Vicente Del Bosque pour affronter la Lituanie et l'Ecosse, les 8 et 12 octobre prochain. Santi Cazorla, de Villarreal, lui a été préféré. A noter également l'apparition dans le groupe du défenseur Nacho Monreal qui évolue à Osasuna.

La sélection espagnole :Casillas (Real Madrid), Reina (Liverpool/ING), Valdés (Barcelone) - Ramos (Real Madrid), Arbeloa (Real Madrid), Piqué (Barcelone), Puyol (Barcelone), Marchena (Villarreal), Capdevila (Villarreal), Monreal (Osasuna) - Alonso (Real Madrid), Busquets (Barcelone), Cazorla (Villarreal), Iniesta (Barcelone) - Silva (Manchester City/ING), Navas (Séville), Llorente (Ath. Bilbao), Pedro (Barcelone), Villa (Barcelone), Torres (Liverpool/ANG).
francefootball

Les -21 ans avec Canales et Bojan.

Luis Milla a dévoilé la liste des convoqués pour la double confrontation face à la Croatie.

ATHLETIC CLUB: Mikel San José Domínguez & Javier Martínez Aguinaga
ATLÉTICO MADRID: David De Gea Quintana & Álvaro Domínguez Soto
FC BARCELONE: Bojan Krkic Pérez, Jeffren Suárez Bermúdez, Thiago Alcántara Do Nascimento & Rubén Miño Peralta
DEPORTIVO LA COROGNE: Adrián López Álvarez & Rubén Pérez del Mármol
ESPANYOL BARCELONE: Víctor Ruiz Torre
GETAFE: Daniel Parejo Muñoz
OLYMPIQUE DE MARSEILLE: César Azpilicueta Tanco
REAL MADRID: Sergio Canales Madrazo
REAL MAJORQUE: Emilio Nsue López
FC SEVILLE: Diego Capel Trinidad
SPORTING GIJÓN: Alberto Botia Rabasco & Roberto Canella Suárez
VALENCE CF: Juan Mata García
VILLARREAL: Diego Mariño Villar
REAL SARAGOSSE: Ander Herrera Agüera

Du sang neuf pour l'Espagne.



Le sélectionneur de l'équipe d'Espagne, Vicente del Bosque, a appelé lundi Bruno Soriano et Borja Valero (Villarreal), Aritz Aduriz et Pablo Hernandez (Valence), afin de pallier les forfaits de Pedro (Barcelone), Fernando Torres (Liverpool) et Jesus Navas (Séville), pour les deux matches de qualifications à l'Euro-2012 contre la Lituanie et en Ecosse.

Pedro, Torres et Navas se sont blessés ce week-end avec leurs clubs.

Les quatre joueurs appelés lundi bénéficient de l'excellent début de saison de leurs équipes. Le Valence de Pablo Hernandez et Aritz Aduriz est leader de la Liga après six journées, un point devant le Villarreal de Bruno Soriano et Borja Valero.
Pablo Hernandez et Bruno Soriano ont déjà joué avec la "Roja". Ce serait une première pour Borja Valero et Aritz Aduriz.
sport.fr

La Roja gagne son poids en bière.



Pour récompenser l’équipe d’Espagne, championne du monde de football en 2010 en Afrique du Sud, une célèbre marque de bière espagnole, sponsor de la Roja, a décidé d’offrir à la sélection son poids en bière. Au total, ce sont 1 734 litres de boisson que va recevoir l’ensemble des joueurs. Fernando Llorente était le plus lourd avec 94,6 kilos sur la balance tandis que Jesus Navas n’affichait que 60 kilos.
RMCSport

LLorente porte l'Espagne.



Deux victoires en deux matches, le contrat est rempli. L'Espagne, victorieuse de la Lituanie (3-1) vendredi, gère parfaitement son début de campagne éliminatoire pour l'Euro 2012. «Ces trois points étaient très importants pour nous. Nous avons bien combiné, peut-être manqué un peu d'efficacité en première période. Mais nous méritons la victoire. C'était ce que nous voulions, six points en deux matches, on ne voulait pas de surprises», estimait Vicente del Bosque au coup de sifflet final au micro de TVE1.
Confrontés à une équipe ultra-défensive, les champions du monde ont mis plus d'une période pour faire sauter le verrou adverse grâce à l'homme-providentiel du soir, Fernando Llorente, suppléant de Fernando Torres (blessé à l'aine). Le buteur de l'Athletic Bilbao a fait la différence, de la tête, à deux reprises (47e, 56e), alors que les visiteurs étaient revenus au score par Darvydas Sernas (54e, le premier but encaissé par la Roja depuis cinq matches en compétition officielle). Bien servi par Sergio Ramos, David Silva (79e), très en jambes, parachevait le tout de la tête, une fois encore. David Villa, quant à lui, a manqué l'occasion de battre le record de Raul en sélection (44 buts). Partie remise contre l'Ecosse, mardi ?
L'Equipe

Iker Casillas de retour à Hampden Park.



Il y a huit ans, le stade de Hampden Park a changé la carrière d'Iker Casillas. Ce dernier a joué les 25 dernières minutes de la finale de la C1, après avoir remplacé César Sánchez, blessé. Lors de ces 25 minutes, le gardien a montré tout son talent et a offert la neuvième Ligue des Champions au Real Madrid. Ce soir, il retrouve le stade de Glasgow avec la Roja.
« Je n’étais plus titulaire depuis trois mois. Mon coéquipier s’est blessé et j’ai réussi à jouer un peu moins d’une demi-heure. J’avais 21 ans et j’ai eu la chance que tout se passe bien ».
« Par la suite, Cañizares s’est blessé en Sélection et je suis devenu titulaire à la Coupe du Monde en Corée et au Japon. C’était le tournant de ma carrière. Hampden Park m’a marqué et m’a porté chance ».
footespagnol.fr

Écosse 2-3 Espagne



L’Espagne peut remercier Fernando Llorente! L’attaquant de l'Athletic Bilbao offre la victoire à la Selección après un match fou. Si la Championne du Monde avait un avantage à la mi-temps grâce à David Villa, elle s’est compliquée la tâche en seconde période. C’est toutefois Andrés Iniesta qui double la marque, suite à une action entre Xabi Alonso, Santiago Cazorla et David Villa. Mais quelques minutes plus tard, Naismith réduit le score. Puis vient le tour de Gérard Piqué, qui marque, contre son camp. L’Écosse revient donc au score. Mais c’est sans compter sur Fernando Llorente. Entré en jeu deux minutes avant, il profite d’un centre de Joan Capdevila pour donner la victoire et les trois points à la Furia Roja.
Écosse 2-3 Espagne :
Buts:
Villa (44e), Iniesta (55e) & Llorente (79e) pour l' Espagne.
Naismith (58e), Piqué (66e csc) pour l'Ecosse
footespagnol.fr

Casillas craint l’Allemagne.



Iker Casillas, le gardien et capitaine de l’équipe nationale d‘Espagne, s’est montré clair mercredi. Au cours d’une cérémonie, le portier de la Roja championne d’Europe et du monde a dit tout le bien qu’il pense de la Nationalmannschaft, la rivale la plus dangereuse pour la Seleccion. « L’Allemagne est la seule équipe que je redoute et que je respecte , a déclaré Casillas. J’aime beaucoup l’équipe d’Allemagne. Lors de la dernière Coupe du monde, c’était mon favori , a -t-il ensuite ajouté avant de conclure sur le sujet : Ils sont jeunes, ce sont de grands joueurs. Je pense qu’ils vont élever le niveau du football international dans les prochaines années, quand l’Espagne ne sera probablement plus au top. »
footespagnol

Vincente Del Bosque a changé de discours depuis le troisième Clasico mercredi. En tout cas, sa pensée profonde. Alors que mardi le sélectionneur espagnol expliquait que "l'intensité et la tension des Clasicos n'affecteraient pas le groupe", Marca nous apprend aujourd'hui que, micros fermés, Del Bosque ne cache pas son inquiétude. "On a un problème", aurait-il même dit au sujet des Madrilènes et des Catalans qui font partie régulièrement de la Roja: Valdès, Piqué, Puyol, Busquets, Xavi, Iniesta, Villa, Pedro pour le Barça. Casillas, Arbeloa, Sergio Ramos et Xabi Alonso côté madrilène.


Pour Marca, le "divorce est même presque consommé" entre les joueurs des deux formations. "Arbeloa et Villa (le premier avait méchamment taclé le second en Coupe du Roi, ndlr) ne se sont même pas regardés, quand les Argentins Messi et Di Maria se sont embrassés et les Brésiliens Marcelo et Alves se sont pris dans les bras l'un de l'autre", souligne un journaliste. Pour El Mundo Deportivo, journal pro-catalan, c'est José Mourinho, le responsable de cette guerre fratricide. "Il détruit tout et menace sérieusement l'avenir de la Roja en avançant que tous les coups sont permis face au Barça".

Le mal est profond et l'incompréhension s'installe. Au-delà des frictions sur le terrain et dans les couloirs menant aux vestiaires. "A Madrid, lit-on dans Marca, on ne comprend pas pourquoi Busquets et Pedro ont cherché à simulé des fautes pour voir des joueurs expulsés". A Barcelone, c'est par exemple "le discours véhément de Sergio Ramos qui n'est pas passé." Vincente Del Bosque a du "pain sur la planche mais hors du terrain" pour Marca avant le match amical de la Roja aux Etats-Unis (4 juin). Surtout qu'il reste encore un Clasico. Sans doute espère-t-il que l'éloignement apaisera les tensions.

Source : Eurosport

Ce qui me "frappe" particulièrement, et que je n'avais pas vraiment vu pendant le match, c'est que les Messi - Di Maria, Marcelo - Alves, restent en bon termes. Donc c'est vraiment un combat entre espagnols. Le clasico est plus important pour eux, ce qui est logique, mais la fissure a l'air d'être tout de même assez profonde

Comme dirait l'autre chacun sa *****.
Eux ont l'air d"avoir un surplus de hargne,de haine,de gnac ....alors que nous nous avions un surplus de débilité,d'irrespect, fainéantise , faites votre choix

Pas si grave qu'on veut le laisser entendre,là c'est sur l'instant et ça reste compréhensible. Dans quelques temps tout ça ne restera qu'un mauvais souvenir et la Roja pourra continuer d'aller de l'avant et puis même cette génération est CDM & CE alors ce ne serait pas comme si c'était un énorme gâchis

Poncho a écrit:

Comme dirait l'autre chacun sa *****.
Eux ont l'air d"avoir un surplus de hargne,de haine,de gnac ....alors que nous nous avions un surplus de débilité,d'irrespect, fainéantise , faites votre choix

Pas si grave qu'on veut le laisser entendre,là c'est sur l'instant et ça reste compréhensible. Dans quelques temps tout ça ne restera qu'un mauvais souvenir et la Roja pourra continuer d'aller de l'avant et puis même cette génération est CDM & CE alors ce ne serait pas comme si c'était un énorme gâchis

Tout à fait d'accord avec toi.

Oui mais ça pourrait à sa manière partir en sucette aussi comme l'EDF à partir de 2002.

Pour savoir si ça ne restera qu'un mauvais souvenir, il faudra attendre de voir qu'il y ait un rassemblement. Il ne peut rien se passer comme il peut y avoir une véritable explosion

Coupe du Monde 2014 Espagne La Roja sans Villa
David Villa, qui a quitté ses partenaires en cours de match lors de la victoire de l'Atletico Madrid face au Celta Vigo ce dimanche (2-1), «souffre de l'arthrite à la cheville gauche», a indiqué la Fédération espagnole dans un communiqué. Le meilleur buteur de l'histoire de la Roja est donc forfait pour la Biélorussie et la Géorgie, matches de l'Espagne qualificatifs au Mondial 2014. «J'espère que d'ici peu, il retrouvera sa forme», a commenté de son côté Diego Simeone, l'entraîneur de l'Atletico.
Equipe

Sans Valdés, Arbeloa ni Monreal
Le 15/10/2013
L'Espagne, qui n'a besoin que d'un point face à la Géorgie pour obtenir son billet direct pour la Coupe du monde, fait confiance à Iker Casillas et non à Victor Valdés au poste de gardien. Attendus sur les ailes de la défense, Arbeloa et Monreal laissent leurs places à Juanfran et Moreno. Devant, Navas a été préféré à Fabregas.
Le onze de départ de l'Espagne
Casillas - Juanfran, Piqué, Ramos, Moreno - Busquets, Xavi, Iniesta - Navas, Negredo, Pedro

Equipe

Espagne : D.Costa ne veut pas du Brésil
le Mardi 29 Octobre 2013

Malgré deux sélections avec le Brésil en amical, Diego Costa, l'attaquant brésilio-espagnol de l'Atlético Madrid, va bien jouer pour l'Espagne.
Malgré deux sélections avec le Brésil - des matchs amicaux face à l’Italie et la Russie en mars dernier -, Diego Costa ne jouera pas le Mondial 2014 avec la Seleçao. En effet, la Fédération espagnole a confirmé mardi que l’attaquant de l’Atlético Madrid a fait le choix de jouer avec la Roja dans les prochaines semaines. Il l’a notifié par écrit auprès d’un notaire. Mais le Brésil pourrait porter l’affaire devant la justice… Auteur d’un excellent début de saison avec les « Colchoneros », le buteur de 25 ans, né au Brésil mais qui a obtenu la double nationalité espagnole en juillet, devrait donc être prochainement appelé par Vicente Del Bosque. La fin d’un long suspense car Diego Costa a mis du temps avant de prendre sa décision qui semble, cette fois, définitive.

Par media365.fr

Voici le nouveau maillot de l’Espagne

A 213 jours du coup d’envoi de l’Euro 2016 en France, les différentes sélections qualifiées pour l’événement se font un plaisir de dévoiler les tuniques quelles arboreront en Hexagone.
Ce soir, c’est au tour de l’Espagne de révéler au grand public son nouveau maillot. Pas de grand chamboulement annoncé. Le rouge reste la couleur dominante.
Foot Mercato

Voilà au moins un maillot qui a toujours de la gueule !
Pas comme les français avec leur maillot de bagnards il y a quelques temps ou encore les allemands avec leur vert caca d'oie.

Le prob c'est que chez nous on veut toujours être à l'avant-garde même si le ridicule tue et que le résultat est souvent catastrophique.

Nouveau record pour Iker Casillas
Avec 166 sélections, Iker Casillas est l'Européen le plus capé de l'histoire.
Aligné d'entrée ce dimanche contre la Roumanie, Iker Casillas (34 ans) fête sa 166e sélection. Il est l'Européen le plus capé de l'histoire et devance désormais le Letton Astafjevs d'une unité.

L'Espagnol est le sixième joueur le plus sélectionné de l'histoire derrière A.Hassan (EGY), Al-Deayea (ARS), Suarez (MEX), H.Hassan (EGY) et Hurtado (EQU).
equipe

Diego Costa absent de la pré-liste de l'Espagne
L'attaquant espagnol de Chelsea, Diego Costa, ne figure pas dans la pré-liste de l'Espagne dévoilée par Vincente Del Bosque mardi. L'attaquant est handicapé par une blessure à la cuisse.

L'Espagne devra faire sans Diego Costa pour l'Euro. L'attaquant n'est pas présent sur une pré-liste provisioire de 25 joueurs dévoilée mardi. Son manager à Chelsea, Guus Hiddink, avait révélé qu'il était touché à une cuisse et incertain pour la compétition. «Nous avons évalué toutes les situations, mais par principe nous n'avons pas voulu nous charger avec des joueurs présentant des incertitudes», a indiqué le sélectionneur de l'Espagne, Vincente del Bosque.

L'attaquant de l'Atlético, Fernando Torres, est également absent de cette liste pour l'Euro en juin. Morata et Aduriz seront donc les attaquants de pointe de la Roja. La liste définitive de 23 ne sera révélée que le 31 mai. Juan Mata (Manchester United), Santi Cazorla (Arsenal), Javi Martinez (Bayern Munich) ou Sergi Roberto (FC Barcelone) sont eux aussi absents.

Vicente Del Bosque a aussi convoqué onze réservistes avec notamment le milieu de Villarreal Denis Suarez et le latéral d'Arsenal Hector Bellerin. Ils seront présents pour la préparation en attendant que les joueurs retenus par leurs clubs pour la finale de la Ligue des champions soient disponibles.

La pré-liste de l'Espagne

Gardiens: Iker Casillas (Porto/POR), David De Gea (Manchester United/ENG), Sergio Rico (Séville)

Défenseurs: Jordi Alba, Gerard Piqué, Marc Bartra (FC Barcelone), Sergio Ramos, Dani Carvajal (Real Madrid), Cesar Azpilicueta (Chelsea/ENG), Juanfran (Atletico Madrid)

Milieux: Sergio Busquets, Andres Iniesta (FC Barcelone), Bruno Soriano (Villarreal), David Silva (Manchester City/ENG), Mikel San José (Athletic Bilbao), Koke, Saul Niguez (Atletico Madrid), Cesc Fabregas (Chelsea/ENG), Thiago Alcantara (Bayern Munich/GER), Isco (Real Madrid)

Attaquants: Pedro Rodriguez (Chelsea/ENG), Alvaro Morata (Juventus Turin/ITA), Aritz Aduriz (Athletic Bilbao), Nolito (Celta Vigo), Lucas Vazquez (Real Madrid).

Les onze réservistes

Sergio Asenjo (Villarreal), Pau Lopez (Espanyol Barcelone), Hector Bellerin (Arsenal/ENG), Diego Llorente (Rayo Vallecano), Jorge Meré (Sporting Gijon), Jonny (Celta Vigo), Pablo Fornals (Malaga), Marco Asensio (Espanyol Barcelone), Denis Suarez (Villarreal), Inaki Williams (Athletic Bilbao), Mikel Oyarzabal (Real Sociedad).
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Espagne : Iker Casillas joueur européen le plus capé de l'histoire
Titulaire ce mercredi contre la Corée du Sud, Iker Casillas a fêté sa 167e sélection, devenant l'Européen le plus capé de l'histoire.
Avec 166 sélections, Iker Casillas avait égalé le record du Letton Letton Astafjevs en mars dernier. Titulaire ce mercredi contre la Corée du Sud (6-1), Iker Casillas a fêté sa 167e apparition sous le maillot de la Roja, devenant officiellement l'Européen le plus capé de l'histoire.

Les joueurs européens les plus capés :

1 - Iker Casillas (Espagne) : 167
2 - Vitalijs Astafjevs (Lettonie) : 166
3 - Gianluigi Buffon (Italie) : 157
4 - Martin Reim (Estonie) : 156
5 - Lotha Matthäus (Allemagne) : 150
6 - Anders Svensson (Suède) : 148

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