Perso je voudrais juste dire que se poser des questions ne veut pas dire être défaististe et tout le reste .. vous faites de la caricature.

On a le droit de se poser des questions, c'est normal.

Perso j'aime les choses simples .. et ici il y a beaucoup de monde dans l'histoire .. beaucoup de noms, beaucoup de nationalité, on a encore du mal a cibler tous les protagonistes et à savoir qui va faire quoi.

Encore une fois le Racing ne fait pas dans la simplicité .. mais ce n'est pas critiquer que de dire celà .. c'est observé ni + ni - .. ça aurait été + simple que le gars qui reprend le club en main soit actionnaire principal et président .. et que clairement on sâche qui il est.

Là perso j'ai rien capté à leur histoire de CARROUSEL .. " conseil de gestions d'actifs " .. c'est très vague .. mais encore une fois j'observe c'est tout .. je vais pas leur taper dessus de suite, chui pas sado-maso ^^.

Après en effet on peut se poser des questions sur l'argent de ces gars .. mais c'est normal car ces gars vont investir dans le club que l'on supporte depuis années .. donc c'est normal que l'idée monte au cerveau .. d'ailleurs quand on aime son club c'est la logique des choses que de se poser ces questions là.

Dans le monde dans lequel on est actuellement, quand on voit Panama, Estonie et qu'on parle d'argents .. encore une fois c'est normal de se poser des questions .. mais encore une fois .. on leur tire pas dessus, on pose des questions et on attend les réponses c'est tout, perso je me ferais une idée plus concrète quand on en saura + .. pour le moment c'est trop dans le vague pour que j'applaudisse des 2 mains .. il y a trop de questions à soulevés .. quand on aura les réponses à nos questions, à ce moment là je donnerais mon opinion, pour le moment je ne peux qu'avoir 20.000 questions qui fusent dans la cabessa.

Fournier ne parle plus de renfort avant le mercato et 10 millions sur trois ans, c'est hélas une somme parfaitement ridicule dans le football -même français- actuel.

En même temps pour l'instant on est avant-dernier de ligue 2. Peut-être que les investisseurs feront des efforts si on aligne de bonnes performances par la suite ...

Tu as tout à fait raison PJ , vu la position du club actuellement je crois qu'on se contentera de cette somme (qui est déjà, faut-il le rappeler, bien plus que Ginestet en 4 ans de présidence !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!).Encore une fois ,bien utilisé par un président qui semble très compétent dans ce domaine je crois que l'on peut faire quelque chose qui tienne la route (n'en déplaise aux éternels pessimistes).

Sinon il semble qu'Alain Fontenla deviendra ,d'ici la fin de l'année , l'unique actionnaire.....

Citation :

Alain Fontenla détient aujourd'hui 95% des parts de la société FC Football Capital Limited, Roman Loban possédant les 5% restants. D'ici la fin de l'année, A. Fontenla détiendra la totalité des parts pour devenir l'actionnaire unique (L'Alsace).

dial 4 a écrit:

Fournier ne parle plus de renfort avant le mercato et 10 millions sur trois ans, c'est hélas une somme parfaitement ridicule dans le football -même français- actuel.

Si on agit comme le Racing actuel, c'est une somme assez faible qui ne permet pas de faire grand chose, ni de s'assurer de remonter en ligue 1. Du temps de Raymond Hild, cette somme permettait de faire des merveilles. Actuellement, la méthode de Max a été reprise par Nancy, qui dépêche de nombreux "collaborateurs" à chaque match de ligue 2 ou de national, même de Cfa parfois. Le but ? Espionner les meilleurs éléments de ces équipes, par des personnes totalement différentes et qui ignorent qui ils vont analyser. C'est ainsi que ces dernières saisons, Nancy a recruté pour des prix minimes les joueurs suivants : SAMI (Amiens), LOTIES (Dijon), LEMAITRE (Caen), MALONGA (Louhans), CA (Tours), TRAORE (Amiens), FERRET (Reims), EFOULOU (Angers), DIA (Amiens), etc.

Depuis quelques années, cette méthode porte ses fruits et Nancy ne fait plus le yoyo entre ligue 1 et ligue 2. Les meilleurs éléments de l'étage inférieur coûtent moins chers que les divas de ligue 1 et ont un appétit de victoire. Même avec peu de moyens, Nancy tire son épingle du jeu en mettant en pratique une méthode créée par Max Hild... Et pendant ce temps, la cellule de recrutement du Racing visionne des cassettes...

Poncho a écrit:

N'insiste pas Tarrus, pour Manou tant que ce n'est pas Kientz ou Weller,il trouvera toujours des arguments qui ne tiennent absolument pas la route.
J'attends de voir ce qu'il va nous sortir sur Alain Fontenla .....

Désolé de te décevoir Poncho, mais Alain Fontenla est très connu dans le monde de la finance et dans la gestion des risques. Voilà une bonne dizaine d'années qu'il assure dans ce domaine, comme en témoignent les multiples conférences qu'il a données dans les universités et les débats financiers. A ce propos, il appartient à deux sociétés :

a) Carousel SA où il est vice-président et où Jafar Hilali est président, société souvent nommée dans les journaux.

b) Stentor Finance Ltd où il est directeur général (managing director) et où il a sous ses ordres Christophe Cornelie, nommé directeur.

Pourquoi donc ne pas avoir cité vendredi matin le nom d'Alain Fontenla, ni le nom de Ralph Isenegger, l'avocat de Genève ? Peut-être une dernière pirouette de Gigi...

Au contraire Manou ,m'enfin tu changes tout de même de discours, je te cite :

Citation :

La boîte a été immatriculée sous le nom officiel de CAROUSEL, ce qui tend à prouver le degré d'instruction des créateurs. En effet, CAROUSEL s'écrie en français en en suisse aussi, comme CARROUSEL c'est-à-dire avec 2 R ! Mais bon, si tu visites leur sîte, tu pourras lire une doc très vague avec plein de fautes de français... Pas très pro tout ça.

Alors que maintenant cette société est saine et connue de tout le monde.Ben tu vois avant de critiquer il faut toujours vérifier ses sources et ne pas avoir des préjugés parce que le nom ne sonne pas comme tu le voudrais

Pour en revenir a ce qui nous intéresse Alain Fontenla devrait se présenter ce vendredi
Pour ma part, j'aime bien cette façon de faire , c'est en tout cas pas une entrée fracassante avec le torse bombé à la façon Proisy et compagnie en nous promettant "monts et merveilles ". Ce duo a pris le temps d'observer et d'écouter avant d'agir.

Citation :

Alain Fontenla, est annoncé pour la fin de semaine. Sollicité hier pour dévoiler sa personnalité et son projet, le nouveau boss a fait savoir qu’il ne s’exprimerait qu’en conférence de presse. Probablement vendredi, même si la date et le timing restent à valider. L’homme d’affaires devrait d’abord rencontrer les actionnaires minoritaires avant de se présenter devant les médias en fin de matinée. « Le point presse aura lieu jeudi ou vendredi. Plus vraisemblablement vendredi »(L'Alsace)

Je précise de nouveau pour ceux qui n'ont pas compris ou qui ne veulent pas comprendre. Alain Fontenla est très connu dans le monde de la finance, à titre personnel et aussi grâce à sa société qui se nomme STENTOR FINANCE ! Cette société STENTOR Finance où il est le boss (managing director). Alain a aussi travaillé pendant quelques temps pour la SGAM (Société Générale Asset Management, filiale de la Société Générale).

Dans la société Caroussel Finance, c'est Jafar HILALI qui est président. Alain Fontenla y est vice-président.

Ce qui m'a fait changer d'avis concernant les investisseurs, c'est quand j'ai appris le nom d'Alain Fontenla et de sa société STENTOR FINANCE.

« Ma motivation, c'est la passion »

Il y a désormais un visage à mettre sur un nom. Celui d'Alain Fontenla, tout en rondeur et plutôt enjoué, est apparu hier à la Meinau. Le nouvel actionnaire majoritaire du Racing, un peu gêné d'être ainsi placé en pleine lumière, nous a accordé un entretien lors de sa première journée strasbourgeoise. Le jeune financier français basé à Londres dit être animé par la passion du ballon rond.

Alain Fontenla - prononcez « Fontainela » - ne s'attendait pas à ça. En l'espace de quelques heures, l'homme est passé d'un milieu confidentiel et feutré, celui de la finance, à un autre qui attire la lumière, là où roule un ballon qui déchaîne tant de passion et peut, parfois, rendre fou.

« Sur le devant de la scène de manière involontaire »

« Je me retrouve sur le devant de la scène de manière involontaire, sourit-il. Maintenant que je suis là, c'est trop tard ! » Cordial et avenant, le nouvel actionnaire principal du Racing ne répond pas exactement au profil de la tête brûlée, prête à s'enflammer de manière inconsidérée pour une équipe de football.
Natif de Chambray-lès-Tours, en Indre-et-Loire, voilà 35 ans, Alain Fontenla affiche au contraire des références on ne peut plus sérieuses et, pour tout dire, très cartésiennes. Après avoir fait ses humanités au lycée Louis le Grand, à Paris, il s'est attelé à un DEA de Mathématiques « sur la théorie des jeux » puis à un DESS en finance des marchés. Enseignant à la Sorbonne et à l'Université d'Evry, il bifurque ensuite vers le monde de la banque, où il se spécialise dans la gestion de fonds.
Aujourd'hui basé à Londres, où son activité indépendante le conduit à prodiguer « des conseils en investissement pour des personnes très fortunées », celui qui avoue « ne pas être particulièrement préparé » à son nouveau rôle entend donner une nouvelle impulsion au Racing. Même s'il reconnaît sincèrement ne pas savoir grand-chose de ce club.

« J'ai joué au foot pendant quinze ans, comme tout le monde ! »

Hier après-midi, dans un bureau de la Meinau, sa nouvelle maison, Alain Fontenla a donc livré ses premières impressions et évoqué ses ambitions. Entouré de Christophe Cornelie, pressenti pour devenir le président-délégué, et de Ralph Isenegger, avocat genevois au coeur du dossier de rachat, le nouveau patron n'a pas toujours paru à l'aise dans le jeu des questions-réponses, a peiné à se montrer convaincant sur des éléments précis et concrets même s'il ne s'est jamais dérobé. Entretien.
- Comment se déroule votre première journée à Strasbourg ?
- Elle n'est pas de tout repos ! Je suis arrivé hier soir (mercredi) pour faire connaissance avec Julien Fournier, que je n'avais jusque-là eu qu'au téléphone. Ce matin (hier), nous avons été reçus par M. le maire. Et me voilà devant la presse. Je ne suis pas habitué à un tel agenda, moi qui ne suis pas un grand communicant...
- Quels sont vos rapports avec le football ?
- C'est une passion. J'y ai joué pendant quinze ans, chez moi, en Touraine. Comme tout le monde, quoi ! Mais avant d'être entré en contact avec Ralph (Isenegger), je n'avais jamais été impliqué, ni de près, ni de loin dans le milieu du football professionnel.

« Une occasion comme celle-là ne se présente pas tous les jours »

- Pourquoi alors avoir franchi le pas à Strasbourg ?
- Quand Ralph m'a appris que le club était à vendre, je m'y suis intéressé de près. Le Racing est quand même un grand club. Une occasion comme celle-là ne se présente pas tous les jours...
- Votre nom n'est pourtant pas apparu au départ dans l'opération de rachat, qui a été menée par un dénommé Roman Loban, jeune Estonien basé à Londres. Pourquoi ?
- Roman Loban, je ne le connais pas. J'étais a priori censé racheter 50% des parts, l'autre moitié devant lui revenir. Mais il y a eu un cafouillage - c'est un euphémisme - dans notre communication. Comme son arrivée a été accueillie de manière défavorable, M. Loban a décidé de se retirer. J'ai réfléchi et je me suis dit qu'il serait judicieux de racheter 100% des parts.
- Au nom de la société Carousel Finance SA basée à Genève ?
- Non, à titre personnel. Carousel représente mes intérêts. Nous avons déjà fait beaucoup d'affaires ensemble, je siège même au Conseil d'administration. Mais dans ce cas précis, je suis client (il s'interrompt)... Je précise que cette situation n'a rien d'anormale !

« Ma motivation n'est pas d'ordre financier »

- Comprenez-vous que la complexité et le flou de toute l'opération incitent à la méfiance ?
- Je comprends la méfiance des gens. Ce matin (hier), M. le maire avait aussi hâte de connaître notre projet et nos ambitions. Je peux vous assurer que ma motivation n'est pas d'ordre financier. L'investissement dans un club de foot est bien trop aléatoire pour espérer en tirer des dividendes. Ma seule motivation, c'est la passion.
- Avez-vous des liens particuliers avec Strasbourg ?
- Il y a une quinzaine d'années, j'y venais assez régulièrement pour rendre visite à des amis, voilà tout. En revanche, je n'avais jamais mis les pieds au stade. J'essayerai d'y venir le plus souvent possible. Mais comme j'habite à Londres, ce ne sera pas évident d'être là à chaque match. Je vais déjà tâcher de voir celui de dimanche (à 16h contre Thionville) et de rencontrer auparavant les joueurs, si mon emploi du temps me le permet.

« Une situation précaire mais nullement désespérée »

- Dans quel état avez-vous trouvé votre club ?
- Il est dans une situation précaire mais nullement désespérée. Je suis tout à fait confiant dans les moyens et les possibilités de remonter la pente. Pour gérer le sportif, domaine dans lequel je ne compte pas interférer au regard de mes compétences, j'ai nommé quelqu'un de compétent en la personne de Julien Fournier.
- Que faut-il à cette équipe pour sortir de la panade ?
- Un petit électrochoc à tous les niveaux, que ce soit dans l'organisation elle-même, dans l'effectif et dans le jeu.
- Le remplacement de Pascal Janin à la tête de l'équipe est-il entériné ?
- Il va rapidement se passer quelque chose, en effet. Les contacts avec Jacques Santini et Jean-Pierre Papin sont très avancés. Mais je n'ai pas plus de précisions à l'heure actuelle. Ce sera à Julien Fournier de trancher.

« Mon investissement sera suffisant pour se montrer ambitieux »

- Le nouveau PDG a évoqué un investissement de 10 millions d'euros sur les deux ou trois prochaines années. Cela correspond-il à la réalité ?
- On injectera ce qu'il faudra pour que Julien puisse atteindre ses objectifs. Il faudra s'adapter en fonction des besoins. Je ne vais pas parler de chiffres sans connaître la situation exacte du club. Mon investissement a des limites, mais il sera suffisant pour se montrer ambitieux.
- Quelle est aujourd'hui la priorité ?
- Il faut rapidement quitter la zone de relégation pour être certain de repartir en Ligue 2 l'an prochain. Et puis, on me dit que nous ne sommes qu'à seize points du troisième. Pourquoi ne pas rêver de jouer l'accession...

« Je refuse de penser à une relégation »

- C'est une plaisanterie ?
- Non, mathématiquement, tout est encore possible. Aujourd'hui, nous sommes plus proches du National que de la Ligue 1, c'est vrai, mais tout le monde doit se retrousser les manches. Il va certainement se passer des choses au mercato d'hiver. L'idée, c'est de s'appuyer sur des joueurs pivot et d'améliorer la qualité d'ensemble. Ne me demandez pas de noms de recrues, voyez cela avec Julien Fournier !
- Envisagez-vous la relégation ?
- Non, catégoriquement. C'est hors de question. Je refuse même d'y penser. A moyen terme, il faudra accéder en élite et s'y installer de manière durable. D'ici deux ou trois ans, on fera le bilan et verra si la méthode est bonne.

Sébastien Keller

Source : DNA du 11/XII/2009



Hommage à Janin

Julien Fournier, parti hier à Paris pour défendre Stéphane Pichot devant la commission de discipline de la Ligue - le défenseur avait été expulsé à Nîmes -, est revenu sur le remplacement, désormais entériné, de Pascal Janin.
« Maintenant que j'avance à découvert depuis que M. Fontenla a officialisé la nouvelle, je tiens à rendre hommage à Pascal Janin, dit le PDG. C'est un entraîneur loyal, honnête et droit qui a tout mon respect. J'ai compris qu'il a hérité d'une mission délicate et qu'il a rencontré de nombreuses difficultés. Il va quitter le banc mais restera au Racing, parce que c'est un homme de club. Je définirai avec lui ses prochaines attributions, après le match de dimanche contre Thionville. »
En ce qui concerne l'identité de son successeur, le « match » entre Papin et Santini se poursuit, l'heure du coup de sifflet final n'étant toujours pas connue.
« Jean-Pierre tient la corde, mais rien n'est joué », croit savoir Ralph Isenegger, l'avocat genevois qui est censé « assister Julien Fournier dans les négociations pour la venue de nouveaux joueurs. »
Le Suisse semble par ailleurs camper un rôle central dans le processus de reprise, étant depuis le départ en relation avec l'ensemble des protagonistes. « C'est moi qui ai fortement conseillé à Alain (Fontenla) d'avancer dans ce projet, même si l'envie était là. »

Séb.K.

Je suis partagé sur certains points...
Premièrement sa connaissance du Racing. Que l'actionnaire majoritaire soit Alsacien ou pas ça m'est égal, mais qu'il n'ait aucun savoir sur le club me dérange un peu plus

Ensuite, il dit que la passion le motive. Mais alors une fois que ce poste, ce milieu, détruira cette passion à cause de défaite sportive, financière etc.. Faut-il s'attendre à le voir déguerpir aussi rapidement qu'il est venu Il ne sait pas réellement où il a mis les pieds, et souvent sont les cas de Président ou d'actionnaire qui regrettent d'être là où ils sont.
Après, on peut toujours dire que l'actionnaire de Man.City ne connaissait pas non plus particulièrement le club mancunien. Mais contrairement à Fontenla, ses dépenses sont presque sans limites.

Et c'est ce deuxième point qui me rend dubitatif... Il dit que son investissement a/aura des limites, mais que ça restera ambitieux. Pour un 19ème de L2, son argent est plus que bienvenue. Mais faut-il s'attendre à un gros manque d'ambition si on parvient à être en L1 d'ici 2 ans ? Son investissement a des limites, donc notre ambition aussi.

Oui, étrange on nous le présentait comme un fan du Racing et en fait il venait il y a quelques années voir des amis à Strasbourg, c'est tout, mais rien à voir avec le foot.

Après il avoue qu'il y a eu cafouillage avec Roman Loban .. qu'il devait avoir 50% des parts chacuns mais que finalement l'estonien a décidé de se retirer et Fontenla a donc trouvé judicieux de racheter 100% des parts.

Il avoue lui même que tout est fait dans le flou et il comprend l'inquiétude des supporters.

Il a au moins le mérite d'être honnête et de nous avouer que le rachat du club ne s'est pas passé comme prévu, mais ça on s'en doutait un peu.

Mais encore une fois, c'est bien, il est franc, ça change par rapport à son predecesseur.

Maintenant faut qu'il se renseigne sur le club vu qu'il avoue ne pas connaître le Racing, faut qu'il s'entoure de personnes qui aiment et connaissent le club .. et qu'il soit prêt à y mettre des pépettes même s'il avoue d'entrée que son investissement a des limites.

Bonne chance à lui et .. bonne chance à nous.

La bonne nouvelle c'est qu'il n'y aura pas d'Estonien du Panama au Racing

C'est clair, puis perso je trouve plus simple et à la longue plus sain d'avoir qu'un seul boss .. donc en effet le retrait de Loban est je pense positif pour le Racing.

Autre bonne nouvelle c'est qu'il n'interviendra pas dans les choix sportifs. C'est l'affaire de Fournier...... :!bien!:

Pour ceci j'attend de voir. On trouve souvent de nouveaux présidents ou actionnaires disant se contenter du côté financier ou administratif, puis qui imposent beaucoup de choses pour le sportif
Mais Fontenla a l'air honnête de ce côté là, donc je ne m'inquiète pas trop.

Enfin pour l'avoir clamé haut et fort qu'il n'y connaissait rien en foot, je le vois mal dorénavant faire le forcing dans ce domaine.
Et pour qu'on puisse mettre un visage sur son nom

Tour du propriétaire en 9 questions !!

L'épais brouillard entourant la reprise du Racing Club de Strasbourg se dissipe peu à peu. Tout n'est pas encore très clair, mais le véritable nouvel homme fort, Alain Fontenla, est sorti de l'ombre ce matin en rencontrant les actionnaires minoritaires du club de Ligue 2, puis les médias, au stade de la Meinau. Il est apparu sur la défensive, pas très à l'aise face aux nombreuses questions qui se sont enchaîné durant une grosse vingtaine de minutes. "Je n'ai pas tellement l'habitude de l'exercice, soyez un peu indulgents", avait-il prévenu en préambule.

Alain Fontenla ?
C'est un Français de 35 ans. Originaire de Touraine, il a travaillé à la Société générale (SGAM) et vit désormais à Londres, où il est directeur de Stentor Finance.

Son job ? "
Je travaille pour des institutionnels et des gérants de fortune, par mandat discrétionnaire. Je travaille surtout avec la Suisse". Il est aussi administrateur de la société Carousel Finance, basée à Genève.

Ses liens avec le Racing Club de Strasbourg ?
"J'aime bien cette région, j'y suis déjà venu, et j'aime bien ce club." A une question portant son plus beau souvenir sportif du club, il répond en nommant celui qu'il considère comme le meilleur joueur de l'effectif actuel : "Fauvergue", l'attaquant prêté par Lille. Quand il a appris que le RC Strasbourg était à vendre, il a sauté sur l'occasion. Parce qu'il aime le club donc, et parce qu'"il n'y a pas tant de clubs que ça qui sont à vendre". Il indique être là "pour plusieurs années" et pas pour gagner de l'argent.

Roman Loban ?
Cet homme d'affaires estonien avait été présenté il y a une semaine comme le principal repreneur du club. A l'heure actuelle, il possède 50 % des parts de la société qui a racheté le RC Strasbourg auprès de l'ancien président, Philippe Ginestet. Lequel a expliqué n'avoir traité qu'avec le seul Roman Loban. Mais ce dernier, "vu l'accueil qui lui a été réservé par la presse, a décidé de se retirer", dixit Alain Fontenla. Fontenla annonce qu'il aura acquis "d'ici la fin de l'année" les parts de Roman Loban, pour devenir l'unique propriétaire du club.

Jafar Hilali ?
C'est la véritable identité de "M. Jafar" qui avait été évoqué vendredi dernier comme étant le partenaire de Roman Loban pour la reprise du club. En fait, il n'en est rien. Jafar Hilali est "le directeur de Carousel Finance", selon Alain Fontenla, et "c'est lui qui a représenté mes intérêts dans cette affaire. J'ai délégué la négociation à la société Carousel Finance".

"Ingénierie financière" ?
Alain Fontenla indique ne pas avoir rencontré Philippe Ginestet et ne pas connaître Roman Loban. Les journalistes présents à la conférence de presse se sont étonné de ce dernier point : peut-on investir dans un club de foot sans connaître son partenaire financier ? Leur curiosité a également été aiguisée par le passage éclair de Roman Loban, un homme demeuré invisible qui fut présenté il y a une semaine comme le principal actionnaire du club et qui s'apprête aujourd'hui à se débarrasser de ses parts au prétexte d'un accueil insuffisamment chaleureux... "Tout est légal, je suis désolé", rétorque Alain Fontenla, évoquant de simples questions "d'ingénierie financière". "Je savais que j'avais un partenaire, je ne pensais pas être seul", dit-il en évoquant le moment où les négociations ont commencé, cet été. Mais il ne savait pas de qui il s'agissait. "Quand vous êtes coactionnaire d'une société, vous ne connaissez pas forcément les autres actionnaires", explique-t-il.

Communication ?
Alain Fontenla n'était pas présent quand la vente du club a été annoncée et son nom n'a même pas été cité. "Je ne pouvais pas apparaître devant vous alors que le montage n'était pas bouclé", se justifie-t-il : "Il y a eu une grosse erreur de communication, un cafouillage, on peut appeler ça comme ça".

Organigramme ?
Julien Fournier, ancien secrétaire général de l'OM, sera bien le président du club. Alain Fontenla indique l'avoir "confirmé" dans ses fonctions et il s'occupera "de toute la partie sportive". "Je viendrai aux matchs aussi souvent que possible, mais il n'est pas très sain que je mette mon nez dans la gestion de l'équipe et le recrutement de joueurs", annonce Alain Fontenla. Il aura deux représentants au sein du club, l'avocat suisse Ralph Isenegger et Christophe Cornelie : "M. Cornelie s'occupera de tout ce qui est gestion et M. Isenegger du recrutement des joueurs"
.
Entraîneur ?
Alain Fontenla confirme que des négociations ont été engagées avec Jean-Pierre Papin et Jacques Santini. Le premier semble tenir la corde mais rien n'est signé, selon le nouveau propriétaire. L'actuel entraîneur, Pascal Janin, restera-t-il au club ? "Ca dépend de lui."
Equipe ? "Le club a besoin d'un électrochoc", estime Alain Fontenla : "La situation est difficile, mais pas désespérée. En appliquant les bonnes méthodes, on peut s'en sortir". Le RC Strasbourg est en position de relégable, mais Fontenla ne l'imagine pas descendre en National. A plus long terme, son objectif est de stabiliser le club en Ligue 1. Dès le mercato d'hiver, "nous serons actifs" pour recruter de nouveaux joueurs, prévient-il. Par contre, il ne confirme pas la jauge de "10 millions d'euros" investis sur les deux ou trois ans à venir évoquée il y a une semaine. "Je ne suis pas là pour confirmer une somme précise".

On en sait déjà un peu + et même s'il y a certaines choses que je ne m'explique pas et que je trouve " nébuleuses " .. j'ai envie de lui accorder ma confiance, après tout peut importe comment il est arrivé à la tête du club, s'il nous fait du bien.

Le fait qu'il continue d'affirmer qu'il laissera l'aspect sportif entre les mains de Fournier ça me plait beaucoup, il semble vouloir marquer la différence avec Présidieu.

Dallas ... en fait ils ont de l'humour sur StrasTV.

Par contre Monsieur Fontenla a l'air complètement carbonisé, il faudrait qu'il dorme pendant une douzaine d'heures puis qu'il prenne l'air. C'est une réflexion banale, cela dit je trouve très difficile à l'heure actuelle de se forger une opinion sur la situation, la décantation n'est pas pour tout de suite, même quand le nouvel entraîneur aura signé. Cette conférence a eu lieu parce que les journalistes la réclamaient à tout prix, j'ai rarement vu plus artificiel en la matière ...

Ce qui me turlupine énormément : ils étaient deux à devoir investir en tout grosso modo 10 M. Loban s'est barré, Fontenla se retrouve donc logiquement tout seul à devoir les investir, non ? A partir de là, je comprends mieux pourquoi il ne confirme plus aucune somme, et pourquoi il est aussi mal à l'aise.

C'est aujourd'hui que l'on va savoir ce que vaut vraiment A Fontenla !!

Citation :

Libéré sous caution ?

Le RCS est reçu ce matin par la DNCG (1) pour la 2 e fois en deux semaines. Le nouveau propriétaire Alain Fontenla va devoir garantir le déficit prévisionnel de 5 millions d’euros.

Sur le papier, c’est censé être une formalité. Dans les faits, on devrait savoir vers 14 h si ça l’a bien été. En fin de matinée (11 h), une délégation du Racing – le nouveau président Julien Fournier, l’actionnaire majoritaire Alain Fontenla, le directeur financier Jean-Pierre Cochet et le président-délégué démissionnaire Jean-Luc Herzog – sera reçue par la DNCG (1).

Il y a quinze jours, Philippe Ginestet, encore propriétaire du club, « JLH » et le club étaient passés sans encombre devant le gendarme financier de la LFP. Son successeur recevra-t-il le même accueil ?

Depuis quatre ans, P. Ginestet garantissait systématiquement, via sa société Racing Investissements (2), une situation nette positive. Ce matin, Racing Investissements va devoir apporter la même caution. La différence ? L’entité est désormais propriété d’Alain Fontenla, novice dans le milieu du foot. Et la DNCG ne se contentera pas du beau sourire du nouveau patron. Elle exigera un engagement en monnaie sonnante et trébuchante.

Car le déficit prévisionnel 2009-2010 est loin d’être anodin : 5 millions d’euros. Une partie peut aisément être absorbée par l’abandon de comptes courants, ceux que Philippe Ginestet a laissés au nouveau boss. L’ex-président confiait il y a une semaine avoir perdu un peu plus de trois millions dans l’affaire.

Le reliquat de 2 millions pourrait être comblé par la plus-value sur la revente de Kévin Gameiro et la vente de joueurs en fin de saison. Des rentrées encore virtuelles qu’A. Fontenla va devoir garantir. « Je n’y vois rien d’autre qu’un processus normal lors de la cession d’un club », ne s’inquiète pas Julien Fournier, « Ça s’est passé de la même façon à Grenoble. »

« L’engagement de Philippe Ginestet va devoir être repris par les nouveaux actionnaires », détaille un observateur attentif de la vie du club. « La DNCG va demander au nouveau propriétaire de garantir une situation nette positive. »

(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.
(2) Propriétaire à 70 % de la holding EuroRacing qui contrôle le club. (L'Alsace)

C'est inquiétant aucune nouvelle de la DNCG.....tout ce qu'on sait c'est que l'entraînement de demain prévu à 10 h00 à été reporté à 16 h00 (aucune raison n'est donnée)

Est-on sûr que Gameiro sera revendu par Lorient?
Il me paraît dangereux de tirer des potins sur la comète sur une éventuelle revente de ce joueur dans six mois seulement... Imaginez qu'il soit moins performant en seconde partie de saison ou qu'il se blesse!

Peut-être que ce matin on leur a seulement apporté les elements pour prendre leur décision, mais que la décision n'est pas prise le jour même.

Ils vont sûrement prendre le temps d'étudier notre dossier .. enfin j'espère que c'est ça.

Des nouvelles ......

Citation :

Vu sur le forum KCB :

- Accord de la DNCG sans commentaire particulier.
- Conférence demain matin à la Meinau, en présence des joueurs
et du nouveau staff.
- 16H : Prise de fonction de JPP pour son premier entraînement.

Source :
Un membre au tèl avec son cousin joueur du racing

A confirmer demain matin..

Poncho tu sais si la conference est ouvert au public ?

Non je ne sais pas, par contre voilà une informaton contradictoire provenant des DNA......
J'ai tout d'un coup comme un doute
Ce qui est inquiétant c'est que Bastia est passé sans problème ,alors que nous ?????

Citation :

La DNCG a décidé de mettre son verdict en délibéré concernant le plan de reprise du Racing par Alain Fontenla, nouvel actionnaire majoritaire du club. Cette décision pourrait remettre en cause la venue de Jean-Pierre Papin, favori pour succéder à Pascal Janin sur le banc strasbourgeois.

JPP ne viendra certainement pas (source : toutes les radios ce matin) ... LA DNGC ne donnera la réponse finale que le 6 janvier ! Il paraît que l'on ne connaît pas l'origine des fonds du club .. inquiétant !
C'est donc Janin qui entraînera les bleus vendredi soir !

et vogue la galère