et vogue la galère

candyraton a écrit:

et vogue la galère

Mouais, ça sent l'entourloupe a 50 mètres !!!,je me pose la question: a-t-il vraiment les moyens ce monsieur Fontenla ???, ou alors ce n'est que de la poudre aux yeux ??????, j'ai la vague impression qu'on n'est pas au bout de nos surprises....

La DNCG ne veut pas des mots mais un chèque !!

Grenoble avait été obligé de faire venir son président du Japon pour qu'il sorte le porte monnaie .. ses representants avaient beau dire que l'agent était là .. les belles phrases à la DNCG ils s'en moquent, ils veulent du concret.

Si on a l'argent, Fontenla devrait nous dire de ne pas nous inquiéter, qu'il fera le chèque avant le 6 Janvier .. s'il nous gratifie d'un long silence .. on pourra commençer à se poser des questions.

Bon je suis pas pessimiste de nature, mais là je crois que ça sent pas bon.....mais alors pas bon du tout
A lire la presse de ce matin, c'est même la fin des haricots
Article ICI

Pour répondre à Fabrice, oui je le revendique je suis de ceux qui pensent qu'il ne fallait pas descendre la nouvelle direction. Il y a une frontière entre être pessimiste ou prudent et taper dessus avant d'en avoir les preuves.

DNA

Enterrement de dernière classe

Alain Fontenla, le nouvel homme fort du Racing, était devant la DNCG hier, pour convaincre de la solidité du plan de reprise du Racing. Le gendarme financier a refusé de rendre son verdict sur le dossier. (Photo DNA - Laurent Réa)

A priori, Pascal Janin a dirigé sa dernière séance en tant qu'entraîneur hier après-midi. A priori, ses dirigeants ne lui ont pas assuré une dernière des plus élégantes. A priori, la DNCG n'a pas pris de décision concernant les nouveaux dirigeants du Racing qui se sont emmitouflés dans un silence assourdissant. Et inquiétant. Après l'ombre d'un Papin, désormais virtuelle, c'est l'idée d'un désastre absolu qui plane au-dessus de la Meinau ce matin.

C'était officiellement la dernière et il ne savait pas vraiment ce qu'il allait faire de son mercredi. Un peu après 16 heures, Pascal Janin est apparu sur l'un des deux terrains d'entraînement de la Meinau pour diriger la séance du jour. Il a concocté une opposition pour la vingtaine de joueurs pros rassemblés sous ses ordres. Il a parfois prodigué des conseils, de-ci de-là, pendant une bonne heure, avant que sa troupe ne soit vite attirée vers le vestiaire par les frimas hivernaux.
Pendant toute la journée d'hier, évidemment essentielle dans la vie d'un Racing Club de Strasbourg convoqué devant la DNCG pour vérifier la validité du plan de reprise par ses nouveaux propriétaires, il n'y eut longtemps que le « soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie » pour reprendre la désespérante attente de la dernière femme de Barbe Bleue. Et l'entraîneur intérimaire ignorait, à la tombée de la nuit, si sa pige devait encore se prolonger. Il était encore dans l'ignorance à une heure bien avancée.

Janin : « Je fais mon métier d'entraîneur donc je prépare le match à jouer »

Il y avait de la dignité dans ce qui apparaissait comme son dernier message en tant qu'entraîneur puisqu'il devait laisser la place à son successeur désigné ce mercredi. Il y avait quelque chose de pathétique à ce que la seule voix officielle ayant résonné dans la journée soit celle d'un technicien dont on avait coupé la tête cinq jours avant.
« J'ai un contrat d'entraîneur qu'on n'a pas dénoncé, soulignait Janin, égal à lui-même, dans le noir d'une fin de jour bien triste pour le RCS. Je fais mon métier d'entraîneur et, donc, je prépare le match à jouer. Le téléphone n'a pas sonné jusqu'à présent ». Le Racing s'enfonçait un peu plus dans les méandres de la marche sur la tête.
A 72 heures d'un match importantissime pour ne pas sombrer un peu plus dans les bas fonds de la L 2, le club strasbourgeois a un entraîneur pigiste, un effectif rabougri avec les suspensions de Bellaïd et de Fauvergue pour l'échéance du week-end et une direction qui a mis des plombes à répondre. Et il n'y a que des regrets à nourrir devant les nouvelles catastrophes sportives annoncées.
En dépit, du discours de circonstance du capitaine Lacour (voir ci-dessous), le technicien, qui s'est dit « calme et serein mais qu'en apparence » n'a pu que porter un regard désabusé sur la situation : « Je regrette que l'on annonce des choses et que les choses ne se fassent pas dans le respect du timing. C'est déjà dur d'être coach. C'est encore plus dur de l'être quand ce n'est plus vous le patron ».
Sur le terrain, la différence n'a pas sauté aux yeux. Et Pascal Janin n'a pu que relever le « sérieux » mis en oeuvre par ses protégés pour poursuivre la préparation du match de Guingamp. Or, c'est bien à Paris que les choses sérieuses se sont passées, concernant l'avenir du Racing.

Une nouvelle convocation devant la DNCG le 6 janvier

Alain Fontenla, le nouveau propriétaire propulsé en première ligne depuis cinq jours, Julien Fournier, le nouveau président salarié, et Jean-Luc Herzog, l'ancien directeur général en charge des affaires courantes, étaient entendus en fin de matinée par le gendarme financier du foot français, la DNCG.
Ils ont tardé à donner la teneur d'une convocation majeure et son verdict. Finalement, un communiqué officiel est tombé à... 22h57 : «Alain Fontenla a été reçu ce matin à la DCNG comme c'est d'usage dans la reprise d'un club. Étant donné l'état des comptes financiers laissé (sic !) par Philippe Ginestet et Jean-Luc Herzog, il a été demandé au nouvel actionnaire de répondre à une négligence de trésorerie. Il est bien entendu que M. Fontenla répondra favorablement à la demande de la DNCG et le nécessaire sera fait dans les délais souhaités.»
Il n'est pas sûr que la réaction du financier indépendant basé à Londres calme l'inquiétude. Il est même assuré qu'il corresponde à une déclaration de guerre à l'adresse de l'ancien propriétaire du club. En dépit des assurances édictées, il n'est sans doute pas la garantie d'une éclaircie au-dessus d'un club plongé dans un épais brouillard et dont la trajectoire semble un peu plus chaque jour avoir emprunté une impasse.
Car si le rendez-vous parisien a permis aux hommes forts de se présenter, il n'a pas convaincu les membres de la Commission de Contrôle des Clubs Professionnels.

La venue du Ballon d'Or n'est plus qu'une hypothèse improbable ce matin

Plusieurs options sont, dès lors, envisageables. Il s'agit soit d'une simple mise en délibéré, soit d'une demande de documents complémentaires. Et d'aucuns décèlent dans ce souci un désagrément chronologique majeur. Les membres de la DNCG souhaiteraient également en savoir plus sur la provenance des fonds investis dans le club. La nouvelle convocation interviendrait le 6 janvier.
Le « timing » que regrette le futur ex-entraîneur aux manettes s'avèrerait un peu plus catastrophique au regard des exigences de celui pressenti pour lui succéder. Jean-Pierre Papin veut bien revenir sur le banc strasbourgeois. Il souhaite y avoir les coudées franches et pouvoir recruter. Cela ne semble plus possible alors que le mercato hivernal s'ouvre le 1er janvier et qu'un ravalement de façade radical constitue le seul moyen d'exister dignement en L 2. La venue du Ballon d'or n'est plus qu'une hypothèse presqu'improbable ce matin.
L'ombre d'une catastrophe rôde au-dessus de la Meinau où il se murmurait même que Julien Fournier demissionnera dans les prochaines heures. L'obscurité du plan de reprise n'est pas loin non plus de faire apparaître le spectre d'une relégation sportive, peut-être administrative, et la possibilité d'un naufrage dans les grandes largeurs d'un club en manque de capitaine.
En attendant que les hommes aux commandes veulent bien rendre compte de la situation, les joueurs sont convoqués cet après-midi pour l'avant-dernier entraînement de la semaine. Il avait initialement été programmé le matin. « On l'a programmé finalement l'après-midi, a lâché Janin pour marquer qu'il n'était pas à l'initiative du changement d'horaire. J'attends la suite, c'est tout ». Elle est potentiellement à craindre car le pire est peut-être à venir.


François Namur (avec Seb.K.)

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Mercredi 16 décembre 2009

Strasbourg : La DNCG sur le dos du Racing, Papin attend

16/12 - Football - Ligue 2 - Racing Strasbourg : La DNCG a demandé à Strasbourg de régler une négligence de trésorerie.


Julien Fournier, le nouveau président du Racing n'a pas convaincu la DNCG pour l'instant.

Alain Fontenla, le nouvel actionnaire majoritaire du RC Strasbourg avait-il prévu que le feu vert de la DNCG prendrait autant de temps après que cet organe ait fait mention aux dirigeants strasbourgeois de régler une négligence de trésorerie ?

Du côté strasbourgeois, on annonce déjà que Fontenla fera le nécessaire. On est tout de même en droit de se poser la question concernant la nature même de cette négligence. Le changement de présidence ?
Après le départ de Philippe Ginestet, du côté de Strasbourg on assurait avoir toutes les cartes en main. Et pourtant face à la DNCG, il semblerait que certaines cartes n'aient pas encore été montré.
Avec cette "négligence", Pascal Janin a qui on a déjà fait part de son éviction, devra assurer l'intérim jusqu'au 6 janvier prochain, la date de la prochaine convocation de la DNCG. Pendant ce temps, Jean-Pierre Papin n'est pour l'instant toujours pas officiellement l'entraîneur de Strasbourg ce qui peut prêter à sourire.
Espérons pour Strasbourg qu'à la prochaine réunion avec la DNCG, cette fameuse négligence soit enfin réglée car cette commission a malheureusement déjà fait tomber plus d'un club.

Source : Clash Foot.

Bon, je refuse de tirer sur l'amblance, les acteurs actuels au Racing étaient sans doute animés de bonnes intentions et vont encore essayer de sauver ce qui peut l'être mais à mon avis, ils n'ont pas les épaules suffisamment larges (financièrement parlant) pour s'engager dans l'aventure d'un club professionnel même de bas de classement de L2.
10 millions (belle somme pour le commun des mortels) sont bien insuffisants pour un club pro à moins que ce soit pour une saison, pas pour deux ou trois surtout quand on sait que le déficit prévisionnel atteint déjà 5 millions et qu'aucun club pro n'est viable en-dessous d'au moins 5 millions de budget par an.
A mon avis, négligence veut dire incapacité d'assurer l'équilibre budgétaire même à court terme à moins d'injecter la totalité des 10 millions d'un coup.
Et après?

Bonne question l'ami, .. Et après ?

Si Fontenla ne peut pas injecter la somme nécessaire, qu'est ce qui va se passer pour notre Racing ? .. une relegation en CFA voir CFA2 est-elle possible s'ils sont incapable d'apporter cet argent ? ou peut-être une énième reprise du club par quelqun ayant + de moyens ?

Faudrait vraiment qu'il puisse injecter la somme necessaire, car sinon les scénarios les plus horribles pourraient être envisagé, non

Ben, théoriquement oui.
Reste le nom, celui d'une des plus grandes villes de France avec un club qui somme toute n'a pas à envier grand chose à une bonne majorité des clubs pros de ce pays.
Mais le risque de ne se souvenir de ce club qu'à partir du personnage que tu viens de mettre en avatar existe aussi...


Composition personnelle et spontanée:

Je me souviens d'un gamin haut de trois pommes de 12 ou 13 ans accompagné de son frère ainé, contrôleur d'un obscur quart de virage en béton froid dans un stade qui ferait pleurer de tristesse tout supporter de nos jours habitué aux lumières et paillettes de nos stades actuels munis de sièges confortables et tout le toutim.
Mais ce gamin se fichait pas mal alors de devoir rester debout l'été sous la chaleur jusqu'à en avoir un malaise (véridique) ainsi qu'en hiver avec des débuts d'engelures aux pieds (véridique aussi) car il voyait ses 11 joueurs préférés casser du messin, du parigot, du marseillais, du bordelais ou du lyonnais et tout le reste (même d'autres clubs européens) sur la pelouse sous la houlette d'un chevelu illuminé mais génial qui transformait d'obscurs joueurs en bêtes de la gagne dans un stade en bleu et blanc qui scandait du plus petit au plus grabataire:

ALLEZ LES BLEUS, ALLEZ LES BLEUS,...

Bon Dieu, j'en pleure maintenant, ce petit gamin, c'était moi...

Sérieux, tu viens de me foutre la chaire de poule et les larmes aux yeux l'ami.

Merci !

4 EVER.

Pour nos nouveaux dirigeants :

Merci, Allmen... Et je partage tes pensées...

Moi quand j'ai eu 11 ans, mon tonton m'a emmené avec lui à mon tout premier match. C'était la finale de coupe de France 1966 je crois dans l'ancien parc des princes il me semble. A l'époque, Nantes c'était ce qu'il y avait de mieux en France. Mais bon, avec la défense qu'on avait, on ne pouvait pas perdre. Je me souviens de grands mecs costaux à l'arrière que rien ni personne ne pouvait bouger, de Hauss et de Kaebel, mais pas des autres. Je me souviens d'un funambule dans les buts, efficace et malin, qui plongeait bien et devinait ce que les attaquants adverses allaient faire. Tonton l'appelait Johnny. Plus tard, j'ai su que c'était Schuth. Je me souviens aussi d'un grand blond au milieu (Merschel ?). Mais je me souviens surtout des deux de devant, car c'était les préférés de mon tonton : Gress et Hausser.

Allmen c'est ton grand frère qui t'emmenait ? Moi c'était mon terrible tonton, car il avait eu le malheur d'avoir 6 filles qui détestaient le foot. Alors, c'est moi qu'il emmenait et c'est lui qui m'a fait aimer le Racing.

En pleine tempête

Un PDG, Julien Fournier, qui a présenté sa démission, avant de la reprendre ; un entraîneur limogé, Pascal Janin, maintenu jusqu’à Noël ; un successeur pressenti, Jean-Pierre Papin, toujours indécis ; et un actionnaire majoritaire, Alain Fontenla, qui viendra aujourd’hui à Strasbourg tenter de ramener le calme : le RCS est ces jours-ci ballotté comme jamais.

S’ils voulaient occuper le devant de la scène médiatique dès leur arrivée, les repreneurs du Racing ont réussi leur coup. « Avec tout ce qu’on entend, on ne parle pas beaucoup des deux matches déterminants qui nous attendent ce vendredi contre Guingamp (20 h 30 à la Meinau), puis mardi au Havre », en souriait jaune le latéral droit Stéphane Pichot, interprète de ses partenaires, hier.
Sauf si Alain Fontenla, attendu en fin de matinée, dissipe l’épais brouillard qui enveloppe la Meinau depuis une quinzaine et, surtout, la mise en délibéré de la DNCG jusqu’au 6 janvier, il risque d’en être de même jusqu’à la trêve hivernale, voire au-delà.
Avant-hier, le gendarme financier de la Ligue de Football Professionnel a auditionné le businessman. A la lumière de ses explications, jugées insuffisamment convaincantes, elle lui a demandé de consigner au plus vite 3 millions d’euros sur le compte courant du club et de les bloquer jusqu’au 30 juin pour garantir le déficit prévisionnel de 5 millions pour 2009-2010.
Tard mardi, dans un communiqué d’une rare maladresse publié sur le site du RCS, A. Fontenla indiquait « qu’étant donné l’état des comptes financiers laissés par Philippe Ginestet et Jean-Luc Herzog, il a été demandé au nouvel actionnaire de répondre à une négligence de trésorerie » et que « le nécessaire serait fait dans les délais souhaités. »
Cette sortie a provoqué le lendemain une véritable levée de boucliers. Dès le milieu de matinée, le nouveau PDG Julien Fournier a tenu à faire savoir qu’il n’avait « pas été associé à la rédaction » de ce communiqué et s’en est désolidarisé. Un peu plus tard, le nouveau propriétaire a lui-même fait remplacer le terme « négligence » par « exigence », puis a carrément ordonné la suppression du communiqué incriminé. Trop tard. Le mal était fait.

Herzog : « Fontenla n’a pas montré patte blanche »

Président-délégué démissionnaire mis en cause, Jean-Luc Herzog n’a pas mâché ses mots. « Le budget présenté mardi était passé sans encombre le 3 décembre. Il était identique, à la virgule près. Mais la grande différence, c’est que dans le premier cas, la DNCG avait confiance en la capacité de l’actionnaire principal à garantir un déficit (1) et que dans le second, elle ne connaît pas le nouvel actionnaire. Elle a voulu comprendre qui est M. Fontenla, ses capacités financières, ses ambitions pour le club. Fontenla a assuré qu’il avait cette surface financière, mais sans apporter de preuve tangible. Il n’est pas illogique que la DNCG lui réclame une garantie de 3 millions. C’est une façon de lui demander de montrer patte blanche. Il ne l’a pas fait. Je juge son attaque contre notre gestion – qui s’est chaque fois soldée par des avis favorables de la DNCG – infondée et indigne. Elle est diffamatoire. Philippe se réserve le droit de demander réparation (voir en encadré). J’ai accepté de rester trois mois de plus pour aider Julien Fournier. Ça se passe très bien et j’ai un engagement moral avec lui. S’il reste, je ferai tout pour que ça se passe bien pour lui. Mais avec des attaques de cette nature, je me demande si je vais remettre les pieds au club. »
Sans le savoir - ou peut-être en le sachant -, JLH a ainsi fait référence au dossier chaud du jour : la démission de Julien Fournier. Selon nos informations, le PDG l’a présentée à la mi-journée, avant d’y surseoir. Une information qu’il n’a ni confirmée, ni infirmée. « Je n’ai pas à commenter les rumeurs », a-t-il botté en touche, tout en précisant : « J’ai demandé à Alain Fontenla de venir ce jeudi à Strasbourg pour rencontrer les salariés, les joueurs et les supporters pour rassurer tout le monde. »
Sans doute a-t-il besoin de l’être lui aussi, alors qu’une rumeur persistante annonçait encore hier soir qu’il pourrait de nouveau rendre son tablier aujourd’hui.

Stéphane Godin pour L'Alsace

(1) Dès son arrivée en décembre 2005, Philippe Ginestet en avait garanti un à hauteur de 2,43 millions.

ENCADRE :

Ginestet contre-attaque
Dans un communiqué adressé à l’AFP, l’ancien propriétaire du RCS, Philippe Ginestet, est monté hier au créneau pour répondre «aux déclarations inacceptables de M. Fontenla qui tendent à présenter négativement la situation du club alors qu’elle est parfaitement saine et bien connue par ailleurs. Un abandon de compte courant supérieur à 3 millions d’euros m’a été exigé lors de la cession de parts pour tenir compte de l’apport de trésorerie à réaliser par l’acquéreur qui donne l’impression de le découvrir.»

Bizarre quand même que Ginestet ait cédé le club à des quasi-inconnus qui n'apportaient aucune garantie ce qu'il reprochait justement à J. Kientz. Voilà bien la preuve que la seule préoccupation de Gigi était de récupérer des pépettes, le club, rien à foutre, je crains Alien3, le retour

Les gars de StrasTV .. c'est la DNCG et non la DCNG .. faut pas commençer à faire les foireux vous aussi, y'en a déjà assez dans l'entourage du club

Sinon chui d'accord avec candyraton, tout ces gars sont plus rusés qu'un renard .. tous à fond dans le monde du business ..c'est bizarre de foirer à ce point là

C'est un peu comme l'UMP, le PS, le Modem, les Ecolos .. ils font tous frime de pas pouvoir se sentir, mais en fin de compte ils vont bouffer ensemble .. sont tous copains et se partagent le pouvoir depuis des lustres .. à toi, à moi

Là c'est pareil, ils font semblant de s'embrouiller, ce sont des bons comédiens ces Ginestet, Fontenla and co' .. ils ont préparé leur coup depuis longtemps pour sucer la moelle du club jusqu'au bout .. jusqu'à la tombe .. et tout ça ni vu ni connu .. en se faisant passé pour des schtoff .. bien joué les vautours

Deux solutions s'offrent à nous aujourd'hui:

- soit Fontenla met l'argent sur la table et l'on pourra (enfin) aller de l'avant.
- soit il n'a pas les reins assez solides et se voit obliger (par les autres actionnaires) à laisser tomber.

D'ailleurs a ce sujet ,pourquoi ne bougent ils pas? C'est pourtant le moment idéal pour eux de reprendre la balle au bond......

C'est clair, .. s'il a l'argent c'est pas compliqué de se montrer rassurant.

Gigi aura été dans sa logique jusqu'au bout, "vous ne voulez plus de moi? Alors vous n'aurez rien", plus de racing à moins d'un miracle, c'est le dépôt de bilan qui se pointe à l'horizon

C'est officiel, Fontenla se retire .. le Racing est à vendre

L'Alsace :
http://www.lalsace.fr/fr/article/2480868,207/Football-Alain-Fontenla-se-retire-le-Racing-est-a-vendre.html

Fournier est annonçé comme demissionaire lui aussi.

Fontenla se dit prêt à vendre ses parts au premier investisseur qui se présentera si les actionnaires ne lui rachète pas ..

Extrait :

" En conséquence, j’ai décidé, pour votre plus grand plaisir de me retirer également.
Les parts de Racing Investment sont donc à partir de cet instant à vendre.
J’invite donc cordialement les actionnaires minoritaires qui ont manifesté leur hostilité à mon égard à prendre leurs responsabilités et à me faire parvenir une proposition de reprise avant le 24 décembre 2009.
Si aucun accord n’intervient avant cette date, les parts seront cédées à tout autre investisseur qui se manifestera. "

Il dit se retirer entre autre à cause des alsaciens qui ne veulent pas d'un " non alsacien " à la tête du Racing

Va te faire mettre bien profond dans l'arsch, pov' gueule de chi.re

On est mort les gars, on a plus de dirigeants

R.I.P RACING CLUB DE STRASBOURG

On est vraiment dans le caca !!!! mais on a pas que un pied dedans on a tous le corps dedans !!

Il y a vraiment beaucoup de arschloch en alsace !

Maintenant si un alsacien prend le club , il vont dire quoi ? : Ue il a pas de sous , ou alors : pourquoi il s'est pas manifester avant etc ....

LE CLUB VA MOURIR !!!!!!!!!! AU SECOURS !!!!!!!!

Lettre au pere noel : Pour noel je voudrais que un investisseur alsacien avec beaucoup de fric prend le club comme sa les autre alsacien pourron pas raler ( Meme si il le feront quand meme )

Je crois que le RCS a déjà donné raison aux membres sceptiques concernant le rachat du club
Honnêtement, je ne vois plus comment on va s'en sortir, c'est de pire en pire

Fontenla c'est un gros guignol, il se cherche des excuses en attaquant les actionnaires minoritaires, il est bien fragile nerveusement ce gros machin s'il supporte pas la critique .. du reste les critiques et les doutes étaient tout à fait logique au vu du passage devant la DNCG, du bordel son nom qu'il y a eu lors de la revente et de son show d'aujourd'hui

Casse toi vite, vilain modèle

Pour encombrer la boîte mail de Carousel Finance et leur faire parvenir notre colère :

research@carousel-finance.com

Leur mail circule déjà sur le Stub.

Nan mais il croyait quoi en rachetant le racing?? Que ca allé etre une simple formalité de remettre ce club a flot?Qu'il allait pouvoir se la coulé douce, les doigtsde pieds en eventail sous le soleil de la Meinau? Ah il nous a eu( enfin moi du moins) avec ses belles paroles, sont amour du club et tout et tout!

Chui sûr que son argent pue la mafia et qu'il a flippé quand il a vu la DNCG s'interesser de trop prêt à la provenance de ses tunnes.

Et si c'est pas ça, c'est autre chose .. mais agir comme celà, c'est que ça cache une affaire pas bien nette.

En tout cas c'est nous qui sommes dans la mouise et pas lui.

Seule solution .. Kientz et l'Schillès

De toute façon, cela semblait évident que des investisseurs comme Fontela et l'autre (j'ai même pas eu le temps d'apprendre son nom tellement il est parti vite) ne présentant aucun intérêt pour le RCS n'ont aucun intérêt dans le rachat du club. La seule chose qui peut motiver un investisseur pour acheter un club, c'est la passion pour le club, certainement pas l'intérêt financier.

Fontenla jette l'éponge
L'actionnaire principal du RC Strasbourg, le groupe Carousel Finance représenté par Alain Fontenla, a annoncé vouloir abandonner la reprise du club alsacien et décidé de remettre ses actions en vente, jeudi dans un communiqué.

M. Fontenla explique cette décision par les critiques, «de façon parfois diffamatoire» qui ont été émises après le rachat des actions du club alsacien à Philippe Ginestet. Ces critiques ont, selon l'actionnaire, «eu pour conséquence de saboter tous nos efforts visant à redresser la situation critique du Racing Club de Strasbourg». La volte-face de Fontenla intervient alors que la DNCG avait mis la pression sur le club, tandis que le nouveau président du Racing, Julien Fournier, s'interrogeait sur son avenir.

Mardi, le gendarme financier du football avait demandé au nouvel actionnaire principal de bloquer d'ici au 6 janvier trois millions d'euros pour garantir le déficit prévu en fin de saison dans les comptes du club. Le même jour, M. Fontenla avait mis en cause dans un communiqué la mauvaise gestion de l'équipe précédente, s'attirant une vive réaction de l'ancien propriétaire Philippe Ginestet, toujours membre du CA.

Selon L'Equipe de jeudi, un fossé s'était également creusé entre M. Fontenla et Julien Fournier, qui avait négocié sa venue avec l'Estonien Roman Loban, finalement désengagé du projet. Quinze jours seulement après son arrivée à la présidence du club, l'ancien directeur général de l'OM était tout près de rendre son tablier. Enfin, Jean-Pierre Papin, pressenti pour reprendre les commandes sur le terrain mais sans assurance pour sa marge de manoeuvre au mercato hivernal, n'avait pas confirmé son retour en Alsace.
personne veut du club vos réactions

Ginestet c'est un pourri jusqu'au bout il nous fera *****

Tous dans le coup pour nous couper la tête, je l'ai dis hier soir en + ^^ !