ce qui me laisse dubidatif ce sont les 5 ans, si çà devait foirer, la juteuse affaire pour Plessis

Il faudrait que Wenger dès sa première apparition annonce une sacrée révolution et surtout ramène énormément d'argent. Franchement qui serait prêt à lancer des dizaines de millions (car il s'agit bien d'autant d'argent au moins) au Racing? Pas beaucoup de monde.

Oui, moi aussi ça me fait froid dans le dos, ces 5 ans de contrat !

Plessis : « Janin reste »

Le nouveau président du RCS, qui avait déjà déclaré qu’il souhaitait conserver son entraîneur, est désormais formel : en cas de maintien en Ligue 2, Pascal Janin restera en poste. L’avenir des joueurs sera évoqué une fois le sauvetage assuré.

Jean-Claude Plessis a empoigné son téléphone tôt hier. Un peu avant 9 h. Pour réagir aux propos de Nicolas Fauvergue dans « L’Alsace » du matin. Le meilleur buteur du Racing, prêté par Lille, lançait un vibrant appel à ses dirigeants : « M*rde, bougez-vous le c… et venez nous voir ! » Il traduisait ainsi l’inquiétude d’un vestiaire dont plus de 50 % des joueurs (17 sur 30) arrivent en fin de contrat. « Qu’on se bouge le c…, d’accord. Mais en Ligue 2 ou en National ? », réplique le nouveau président qui détaille ci-dessous sa philosophie et son mode opératoire.

Jean-Claude, pourquoi un appel si matinal de votre part ?

Parce qu’il faut remettre certaines choses en place. Nicolas Fauvergue est sans aucun doute un charmant garçon. A Strasbourg, il est en prêt. Et pas plus tard qu’hier après-midi, j’ai eu ses agents au téléphone pour évoquer son cas. Il a envie de jouer en L 1 et en a le potentiel. C’est légitime.

Dans son interview, il parlait davantage de ses coéquipiers que de lui-même, puisqu’il a encore deux ans de contrat à Lille …

Je sais. Mais que les joueurs fassent leur job et maintiennent le Racing en Ligue 2. Ensuite seulement, nous évoquerons leur avenir. Dès que nous aurons le nombre de points suffisant, je les verrai. Aujourd’hui, ils savent que je suis là. Je passe les voir régulièrement. Mais à quoi bon les recevoir quand on ne sait pas de quoi l’avenir sera fait ? Même l’agent de Fauvergue en convient. A huit journées de la fin, je reste préoccupé et vigilant. En plus, il aurait été stupide de prolonger des garçons sans connaître l’avis de l’entraîneur. J’ai rencontré Pascal Janin jeudi. Nous avons échangé sur les plans à mettre en œuvre, sur ses souhaits.

« Logique de lui renvoyer l’ascenseur »

Ça veut dire que vous garantissez qu’il sera l’entraîneur du Racing en 2010-2011…

Oui. Il me plaît bien. Son discours aussi. Il va me donner ses orientations et nous tâcherons de les suivre. J’ai décidé de travailler avec lui. Jeudi, devant lui, j’ai eu son agent que je connais très bien (Ndlr : Alex Krstic). J’ai dit à Alex : « Je ne garde pas Janin. » Il m’a répondu : « Président, vous ne pouvez pas faire ça. » Je lui ai dit : « Poisson d’avril. » Plus sérieusement, je crois que Pascal Janin a su tenir la barre dans la tempête des derniers mois. Il est logique de lui renvoyer l’ascenseur. Il démarrera la saison comme numéro 1, parce que je veux la démarrer avec quelqu’un en qui j’ai confiance. Sans le début de saison catastrophique que le club a connu, nous serions en course pour la montée.

Pourtant, dans le milieu, certains noms circulent, comme celui d’un ancien sélectionneur de la Côte d’Ivoire …

Je sais. Je connais bien Vahid Halilhodzic. Je l’aime bien aussi. Mais ses méthodes ressemblent à celles de Gilbert Gress. Or, elles n’ont pas fonctionné en début de saison. Pourquoi recommencer ? Il se trouve que son ancien préparateur physique, qui est Alsacien (Ndlr : le Haut-Rhinois Alexandre Dellal, ancien du FC Riedisheim et de Mulhouse), est candidat au poste de préparateur physique. Mais je vous l’ai dit : Pascal Janin reste. Il a encore un an de contrat. Je ne vais pas le prolonger maintenant parce que nous avons des objectifs et que je veux voir ce que donne la saison prochaine. Il est d’accord. Mais je ne vais pas le virer non plus. Plutôt que de lui verser une indemnité de licenciement, je préfère investir dans un joueur. Tout comme je préfère passer une année de plus en Ligue 2 en préparant mes jeunes, plutôt que de prendre des joueurs venus de tous les horizons et ne plus faire jouer les gamins. Je veux prendre mon temps pour bâtir.

Procéderez-vous à un réaménagement technique ?

Janin m’a demandé s’il y aurait un directeur sportif entre lui et moi. Je lui ai dit que non. Il définit les orientations. Je négocie. Ça suffit. Nous allons réorganiser le bureau de recrutement. Ma priorité est de faire en sorte que les gens travaillent ensemble. Jusqu’ici, ce n’était pas le cas. Ces derniers mois, les problèmes sont surtout survenus en haut de la pyramide. Mais depuis quelques jours que je suis sur place, je découvre une boîte plutôt saine. Les gens en place sont de qualité. D’ailleurs, je rends grâce à mes actionnaires de ne pas envisager de licenciements.

Le bruit court depuis longtemps que le coordinateur sportif Pascal Camadini, nommé par Philippe Ginestet et sous contrat jusqu’en 2011, sera placardisé …

Pas du tout. Dans un premier temps, je ne vais rien changer. Le club n’est pas assez riche pour se permettre de remplir des placards dorés. Pascal Camadini va exercer son boulot de recruteur et sera jugé sur pièces. Comme tous les autres d’ailleurs. En fait, je garde tout le monde et je regarde tout le monde.

La phrase

« En année de Coupe dumonde, le marché des transferts est généralement calme jusqu’en juillet. Il ne faut pas se précipiter. Les clubs vont vouloir réduire leur effectif à 24 joueurs, parce que leur situation financière n’est pas rose. Des recrues, nous en trouverons. » De Jean-Claude Plessis, président du RCS.

L'Alsace

Interview qui me rassure. J'espère bien que Plessis a raison et qu'on trouvera des recrues, encore faut'ils qu'elles aient le niveau. En tout cas, Plessis me plait bien.

Trouver des recrues ayant le niveau, ce n'est pas un problème. Le problème, c'est quel projet à court et moyen terme et avec quels moyens... Jusqu'ici, il n'y a pas aucun projet et aucun moyen. Jamais entendu le moindre projet, sauf parfois celui de vendre pour ne plus vendre le lendemain. Quant aux moyens, les difficultés à verser la somme exigée par la Dncg résument le tout !

Sympa le Plessis : " Il va me donner ses orientations et nous tâcherons de les suivre", en espérant simplement que les joueurs demandés par Papa Janin ne soient pas du même niveau que De Carvalho ou Banning and co

Un beau discours, espérons que tout se passe bien. En tout cas, il ne me déplait pas ce président là

Foot-L2-RCS


«L'argent n'est pas louche» (Plessis)




Le président de Strasbourg Jean-Claude Plessis
espère que son club, aujourd'hui en L2, sera le septième budget de
France dans cinq ans. (EQ)




Désigné président du RC Strasbourg, Jean-Claude Plessis
assure que les fonds d'Alain Fontenla et ses associés sont propres,
contrairement à certaines allusions en provenance de la LFP. Son
ambition est de ramener le Racing en L1 à moyen terme. «J'ai appelé
Thiriez (le patron de la LFP) et j'ai pu constater qu'il
n'était pas enchanté, raconte Jean-Claude Plessis, mardi, dans un
entretien accordé à l'Agence France-Presse. A tort. Je pense que les
arguments donnés, à savoir que l'argent de mes patrons est louche, sont
faux. Je me suis renseigné. Ce n'est pas de l'argent louche. Il a été
gagné à Londres, dans le cadre de la bourse et des banques».

Après des mois de flou et de guerre verbale, Plessis glisse que tout ira
mieux à Strasbourg «si la DNCG accepte notre budget» et si «la
guerre s'arrête» avec le gendarme financier de la Ligue. «La
mairie, c'est pareil. Elle attend pour voir. Mais on fera la paix. Les
actionnaires ont été très maladroits avec le maire. Ce sont des jeunes
impulsifs. Ils le reconnaissent eux-mêmes. Et ont changé». Dans cet
entretien, Plessis défend l'action de ceux qui ont racheté ses parts à
Philippe Ginestet. «Si les actionnaires n'étaient pas venus, le
Racing aurait pu être interdit de recrutement puis menacé d'exclusion du
Championnat» souligne l'ex-patron de Sochaux.


«Tu dois pouvoir monter avec 15 millions d'euros. C'est le budget de Brest ou de Metz. Strasbourg, c'est un vrai club de L1. C'est peut-être là le problème.»

Jean-Claude Plessis espère être celui par lequel la valse
des dirigeants pourra prendre fin à Strasbourg. «J'ai signé un CDI
et j'ai donné un engagement moral de cinq ans. L'objectif des
actionnaires, c'est dans ces cinq ans de positionner le club à la même
place que la ville en terme économique, c'est à dire au septième rang».
La remontée en L1 ne l'effraie pas. «Tu dois pouvoir monter avec
15 millions d'euros. C'est le budget de Brest ou de Metz. Strasbourg,
c'est un vrai club de L1. C'est peut-être là le problème. Le club coûte
cher en structures. La question est: comment réduire le budget ? J'ai
quelques idées. Comme faire venir un nouveau partenaire. Mais il n'y
aura pas de plan social».

«Si cette équipe-là n'avait pas raté ses sept premiers matches et gagné deux ou trois fois, elle
jouerait la montée aujourd'hui, dit Plessis, dont l'intention est
de confirmer l'entraîneur Pascal Janin dans ses fonctions. L'entraîneur
de cette époque, que je ne veux pas citer (Gilbert Gress), c'était
de l'assassinat. J'ai de l'admiration pour lui, seulement sa méthode
n'était plus la bonne. Il y a des jeunes qui arrivent. Ils ne forment
pas une génération extraordinaire mais ils ont de la qualité. Et il
nous faudra cinq ou six joueurs, des briscards, en renfort». Pour
monter, Plessis «préfère y aller prudemment avec des jeunes joueurs
plutôt que de refaire toute l'équipe et charger la mule». Sur
trente joueurs de l'effectif, dix-sept sont en fin de contrat.

Source: L'Equipe du 07/04/2010

Je te souhaite bonne chance car tu viens de venir et que tu peux encore faire tes preuves mais saches que je retiens, oh oui, je retiens tes paroles. Je les ai même mis dans mes favoris pour les rappeler si ...

on n'est pas encore sorti de l'auberge, le temps du père noël est révolu, beau discours en vérité mais même en lisant entre les lignes il n'y a pour l'instant rien de concret.

Fabrice a écrit:

Foot-L2-RCS
«Si cette équipe-là n'avait pas raté ses sept premiers matches et gagné deux ou trois fois, elle
jouerait la montée aujourd'hui, dit Plessis, dont l'intention est
de confirmer l'entraîneur Pascal Janin dans ses fonctions. L'entraîneur
de cette époque, que je ne veux pas citer (Gilbert Gress), c'était
de l'assassinat. J'ai de l'admiration pour lui, seulement sa méthode
n'était plus la bonne. Il y a des jeunes qui arrivent. Ils ne forment
pas une génération extraordinaire mais ils ont de la qualité. Et il
nous faudra cinq ou six joueurs, des briscards, en renfort». Pour
monter, Plessis «préfère y aller prudemment avec des jeunes joueurs
plutôt que de refaire toute l'équipe et charger la mule». Sur
trente joueurs de l'effectif, dix-sept sont en fin de contrat.
Source: L'Equipe du 07/04/2010

La méthode de Gress n'était pas bonne !

Sur ce qu'on a vu hier soir, la méthode Janin non plus, puisqu'on aurait pu en prendre autant, sans le talent de notre gardien Cassard ! La différence entre le 6-1 en coupe et le 2-0 en championnat ? Le temps et les renforts. Janin a eu plus de 6 mois pour faire une équipe, Gress à peine 6 semaines.

Est ce bien important aujourd'hui de savoir qui de Gress de Janin ou de qui vous voulez soit le responsable de la situation du RCS.
Ils le sont tous

Et juste pour info , Cassard a fait des miracles hier soir mais aussi une grosse boulette qui nous coute le second but .

de toutes façons avec les repreneurs actuel, la situation du racing est plombée pour les prochaines années. On se croirait revenu à une décennie précédente avec l'ère Mac Cormack mais en pire. Ceux-là au moins avaient des joueurs à vendre ceux qu'ils on fait sans vergogne d'ailleurs puisqu'ils ont démoli coup par coup l'équipe en place, on a vu les résultats ensuite. Côté investissement à part Chilavert, le flop intégral, ils n'ont rien mis dans la corbeille pourtant ils avaient des moyens. D'après-moi les dirigeants actuels n'ont pas les moyens et n'ont pas de capital joueurs. Plessis surement plein de bonne volonté, comme Proisy à l'époque mais les mains liées, les beaux discours ne font pas une équipe, ni un projet. Personne aujourd'hui ne peut dire de quoi demain sera fait surtout au vu des résultats actuels, on peut certes remercier Janin de ne pas avoir laissé couler le navire mais c'est le seul mérite que je lui accorde. Ses choix, ses tactiques me laissent plus que dubidatifs.

Responsable, mais pas coupable. ( du déjà entendu quelque part )!!!
Au racing la faute incombe toujours à ....l'autre. Des années que ça dure.

Voilà, ça y est, on s'en prend à Gress! Oh, il n'aurait pas fait mieux même s'il était resté mais ce qui me gonfle, c'est qu'on essaye de nous faire croire que c'est à cause du début de saison loupé (donc de Gress évidemment)que l'on a manqué l'occasion de participer parmi les prétendants à la montée. Quelle niaiserie! Avec les joueurs que l'on a et même si on recommençait tout à zéro, jamais on ne parviendrait à être dans le premier tiers du championnat. Jamais!
Plessis a perdu une occasion de se taire.

Ne sachant pas de quoi l'avenir est fait ,JC Plessis suspend toutes les discussions ou négociations sur le prochain effectif du RCS !
Bref rien de neuf ,on reste dans le doute le plus total..comme d'hab. me direz vous

Citation :

Le président Jean-Claude Plessis attend d’être fixé sur l’avenir du RCS avant d’entamer les négociations sur l’effectif 2010-2011.

« Je ne suis pas pessimiste, parce que je suis certain que nous ne descendrons pas en National, mais en attendant d’en avoir le cœur net, tout est bloqué. Sur le recrutement, je ne discute plus avec personne. Ce n’est pas la peine d’entamer des négociations en ne sachant pas si nous pourrons tenir nos engagements. »

Jean-Claude Plessis ne peut pas être plus clair. Alors que 17 joueurs du Racing sont en fin de contrat et que l’équipe 2010-2011 reste à (re) bâtir, le nouveau président a décidé de geler toutes les tractations sur le recrutement. Ce qui ne l’empêchera cependant pas d’avancer sur certains dossiers plus aisés à traiter.

Le premier contrat professionnel de Farez Brahmia est ainsi dans les tuyaux et sera discuté cette semaine avec les agents du jeune Ludovicien. Le meilleur buteur du dernier championnat sénégalais, Serigne Samba Sène Diouck (19 ans, 8 buts, champion national 2009 avec la Linguère de Saint-Louis), arrivera bien ces prochains jours à la Meinau pour un essai d’une quinzaine, comme annoncé dans notre édition du 3 avril. « Un Allemand et un Turc pourraient également être testés dans quelque temps », annonce l’ex-président sochalien.

Mais pour le reste, J.-C. Plessis avoue donc « avoir coupé court » aux discussions. Notamment avec Toulouse au sujet de l’attaquant Xavier Pentecôte (« L’Alsace » du 3 avril), qui affole les compteurs depuis son prêt à Bastia en janvier : 9 buts en 9 matches. « J’ai deux mois devant moi et il y aura des opportunités », répète Plessis qui s’efforce de convaincre ses actionnaires, Jafar Hilali et Alain Fontenla, « de garder nos jeunes les plus prometteurs » et « de bâtir une équipe pour monter. Je les ai mis en garde : il sera peut-être nécessaire de ressortir de l’argent pour ne pas avoir peur toute la saison et ne pas revivre ce que le Racing vit cette année. »

En ce qui me concerne, je ne m'attarde plus trop sur les présidents et consorts.
Quand on voit que les joueurs ne sont pas capables de se motiver à l'idée de vaincre un concurrent direct (alors 19e, faut-il le rappeler) et que le club affiche toujours un déficit de quatre millions d'euros (rien comparé aux 90 millions de Portsmouth d'ailleurs, mais eux il semblerait que c'est légal), il est assez apparent je trouve que le mal ne vient pas seulement de la tête ... La tête du Présidieu a contaminé tout le reste pendant des années.

Je crains que tout soit bloqué jusqu'au milieu du mois de mai.

Espérons que ce discours soit fédérateur

« Préoccupé, pas paniqué »
Comme prévu, le président du Racing s’est adressé hier aux joueurs. Pour leur maintenir sa confiance, mais aussi les placer devant leurs responsabilités.

Une main de fer dans un gant de velours : c’est ainsi que pourrait se résumer l’intervention présidentielle devant l’effectif professionnel hier midi. « J’ai essayé d’être ferme d’abord, optimiste ensuite », dévoile un Jean-Claude Plessis qui ne fait pas mystère de son discours. « J’ai renouvelé ma confiance aux joueurs. Dans un passé encore récent, ils ont aligné une bonne série et prouvé qu’ils savaient réagir. Mais à Istres, je n’ai rien vu de cette capacité de réaction. En soi, qu’on ait perdu n’est pas inquiétant. C’est la manière qui l’est. Mais on peut être préoccupé sans céder à la panique ou à l’angoisse. » Pour étayer son propos, l’ancien patron du FC Sochaux-Montbéliard a fait référence au sacre du club doubiste contre Marseille en finale de la Coupe de France 2007 (2-2, 5-4 aux tirs au but). « On prend un but d’entrée, mais on égalise. Puis on en encaisse un second en début de prolongation, avant de revenir une 2 e fois et de l’emporter aux tirs au but. À l’époque, j’avais des tauliers dans l’équipe. Là, j’attends de voir s’il y en a au Racing. Je compte sur les anciens pour prendre leurs responsabilités et tirer les jeunes vers le haut. Le maillot du RCS est lourd à porter, car le club a un passé. Mais si on ne supporte pas cet héritage, il ne faut pas signer à Strasbourg. » Aujourd’hui, J.-C. Plessis évoque « l’urgence » de la situation. Il a d’ailleurs répété à Guillaume Lacour et aux siens « qu’il n’est pas possible de travailler sur le futur tant que le maintien n’est pas acquis. »Sans verser dans le catastrophisme, le nouveau PDG du RCS appelle les Bleus à un sursaut. « Vous ne devez pas baisser la tête au moindre but encaissé. La tête, vous la baisserez si nous tombons en National, quand vous croiserez les salariés dans les bureaux. L’urgence, c’est la survie du club, pas de l’équipe. Car une descente signerait son arrêt de mort. Si jamais ça se produit, vous et moi rentrerons dans l’histoire comme ceux qui n’ont pas pu maintenir le club de la 7 e ville de France en Ligue 2. »

Bien parlé, c'est triste qu'il soit obligé de leur dire ça .. car apparement ils ne percutent rien d'eux même .. ce serait bien de leur répeter 5 minutes avant le match car j'en soupçonne certains d'avoir une mémoire de poisson rouge et de ne plus se rappeler " ces mots là " une fois sur la pelouse.
Qu'ils donnent tout ce qu'ils ont au moins une fois cette saison, quit à y rester .. mais qu'il y aillent à fond avec une profonde détermination et rage de vaincre au moins une fois !!

Plessis en colère ..puis se fait tacler méchamment par la presse !! Pendant ce temps le club co....

Citation :

Colère malvenue
Le procédé n'est pas nouveau, encore moins original. Quand la situation part à vau-l'eau dans un club de foot pro, la presse a toujours bon dos.
Vendredi soir, à quelques minutes du coup d'envoi du match capital contre Le Havre, Jean-Claude Plessis a utilisé, avec l'élégance d'un éléphant dans un magasin de porcelaine, ces vieilles ficelles.
En bombant le torse, le président du Racing a ainsi alpagué François Namur, auteur à ses yeux d'un « papier dégueulasse », dans l'édition du jour des DNA. Le papier aurait instillé dans l'esprit des crédules supporteurs de bien funestes pensées, concernant l'avenir du club en cas de relégation.
Monsieur Plessis s'est répandu en rodomontades, accusant le journaliste et, à plus forte raison, votre quotidien, d'être responsables de tous les maux du club. « Si on descend, vous n'aurez que ce que vous méritez. »
Après avoir convoqué un magicien à la veille du match au chevet de l'équipe, le président a donc campé le rôle du Gendarme, l'esprit comique du théâtre de marionnettes en moins. Il a toutefois contribué à renforcer l'impression grand-guignolesque en vogue à la Meinau depuis quelques mois.

Un tas de cendres

S'il a le droit d'être en colère, l'ex-retraité qui a déboulé à Strasbourg voilà seulement deux mois devrait plutôt la diriger vers les vrais responsables de cette gabegie. Ceux qui, de par leur manque de lucidité ou, pis encore, leur inconséquence, ont glissé le club dans de sales draps.
Ceux qui sont parvenus à décourager plusieurs générations de supporteurs: ces « anciens » pleins de nostalgie à l'évocation du titre de 1979, ces trentenaires rompus aux chaudes soirées européennes contre l'Inter ou Liverpool, et même les plus jeunes, éveillés aux joies du football grâce aux accélérations de Niang ou les premiers buts de Gameiro, à l'époque déjà lointaine où existait encore un projet de club et de jeu.
Ceux qui, enfin, n'ont pas daigné écouter les appels de Pascal Janin, désireux de recruter un ou deux joueurs de qualité quand il en était encore temps.
Jean-Claude Plessis est certainement un homme compétent, dont les qualités ont été reconnues du côté de Sochaux. Mais le cinquième président de la saison ( !) s'est trompé de combat. Aujourd'hui, le Racing est au bord de l'implosion.
On peut comprendre que cette situation mette ses nerfs à rude contribution. Il ne danse même plus sur un volcan. C'est un tas de cendres qui se dérobe sous ses pieds. En aucun cas, la presse ne doit en porter le chapeau.

Les Dernières Poubelles d'Alsace ! Et ils osent dire que la presse à bon dos ? Leurs articles sont de plus en plus plats, contradictoires avec leur commentateur audio, et en plus dépassés : aujourd'hui dans la page sport, ils annoncent le match du Bayern à Berlin cet aprem, alors qu'il s'est joué hier et que Munich l'a emporté 3-1 ! Quelle déchéance, ils sont les Racingmen de la rédaction !

C'est comme dans tout, pour vendre il faut remuer le pot de chambre !!!! Je rappellerai juste que le premier journaleux qui a taillé un costard a "Schilles" , c'était bien un des D.N.A. !!!

Le titre en partie sport d'hier ou d'aujourd'hui (je ne sais plus) était pas mal aussi après le match contre Le Havre: "une lueur d'espoir"...
J'aurais pu comprendre que les DNA mette celà en petit sous-titre à la fin de l'évocation du match au moment de l'égalisation mais là en gros sous les yeux alors que le match du Racing était d'une faiblesse insigne, celà m'est apparu particulièrement incongru.

Plessis y croit dur comme fer

Le président du Racing, Jean-Claude Plessis, refuse d'envisager une relégation en National et se dit persuadé que son équipe va se sauver dans le Berry.

-Les supporters du Racing sont très inquiets pour l'avenir de leur club. Que leur répondez-vous ?
- Qu'il reste un match à jouer et que cette rencontre est jouable, justement. Il faut une victoire et je suis persuadé qu'on va y arriver. Les joueurs savent ce qu'ils ont à faire, l'entraîneur aussi... Le Racing bouge encore.

-Reste que l'éventualité d'une relégation en National pèse au-dessus du Racing...
- Je suis passé à la DNCG et on travaille sur le cas d'une équipe qui jouera la saison prochaine en Ligue 2, on n'a même pas réfléchi à un autre cas de figure. C'est franchement choquant d'entendre qu'on nous envoie déjà en National, alors qu'il reste un match à Châteauroux pour nous sauver.
Repartir en National poserait évidemment des problèmes économiques mais je ne veux même pas en parler, parce qu'on a encore une chance de s'en sortir. Quant à la rumeur d'une possible relégation en CFA, d'un dépôt de bilan, elle est sans aucun fondement...

-Au vu des résultats du Racing à l'extérieur, envisager le pire ne vous semble pas logique ?
- Moi aussi je suis préoccupé, moi aussi je suis triste. La situation est dure et je pense bien entendu aux gens qui pourraient perdre leur emploi en cas de relégation.
Mais encore une fois, Châteauroux est l'une des plus mauvaises équipes à domicile, elle a des suspendus, des blessés. Et même si on n'a jamais gagné à l'extérieur, les statistiques sont faites pour être bouleversées. J'y crois toujours...

peut-être envisage-t'il de faire une offre à Papin en cas de maintien?

Poncho a écrit:

Plessis y croit dur comme fer

Il me fait penser à "Candide - l'éternel optimiste" (c'est du Voltaire ça si je me souviens bien...? ).
Dieu fasse qu'il ai raison le Tourangeau, ça voudra dire qu'on est en Ligue 2 la saison prochaine...

Oui, enfin, c'est son rôle d'y croire.

Y'a eu des réactions de la direction ?

Juste comme quoi ils resteraient tous. Moi, je n'en suis pas si sûr ...

KCB : Dès lundi, Plessis, qui a confirmé qu’il resterait malgré la relégation , Hilali et Fontenla vont devoir élaborer « un plan B » — autrement dit un budget pour le National – qu’ils n’avaient pas préparé.