Dimanche le 22/11/2020 à 15h

Avant la trêve ce match m'aurait fait un peu peur, vu les bonnes prestations de Montpellier ses deux derniers matchs, mais peut-être avec cette trêve le racing prendra des couleurs.

Alsa'sports a écrit:
Le Racing dos au mur
Avant-dernier avec six petits points engrangés en dix rencontres de championnat, le Racing Club de Strasbourg commence à inquiéter un grand nombre d’observateurs. Le club alsacien aurait sans doute mérité meilleur sort sur certains revers (Nice, Marseille) mais cela n’est pas suffisant et ne rapporte pas le moindre point malheureusement.

Après une courte trêve internationale, le championnat de Ligue 1 reprend ses droits ce week-end avec un déplacement périlleux du côté de Montpellier. L’équipe héraultaise reste sur deux victoires de rang (Saint-Etienne et Bordeaux) et se retrouve à la septième place du classement avec 11 points de plus que le Racing. De son côté, après une embellie lors de la victoire à Brest (0-3), le RCS est retombé dans ses travers en s’inclinant consécutivement face à Reims et Marseille.

L’entraîneur strasbourgeois, Thierry Laurey, positif au Covid-19 a manqué à l’appel lors de ces deux précédentes rencontres. Le technicien est de retour depuis la semaine dernière et va devoir trouver les clés afin de s’imposer ce week-end. La situation actuelle du Racing est inquiétante et si rien ne change au cours des deux prochaines rencontres, Marc Keller pourrait bien avoir à prendre la décision la plus compliquée de ces sept dernières saisons.

Les joueurs strasbourgeois ont déjà su prouver par le passé qu’ils savaient lorsqu’ils étaient dos au mur. Une force qui devrait et qui devra permettre au RCS de sortir la tête de l’eau le plus rapidement possible. Pour cela, il va falloir enclencher une série synonyme de dynamique positive. La parole est désormais aux accusés !

dna a écrit:
Pourquoi le Racing encaisse-t-il tant de buts ?
Au moment de préparer son déplacement à Montpellier, équipe qui l’avait estoqué en février dernier (3-0), le Racing cherche en priorité à assurer ses arrières. Mais pourquoi les Strasbourgeois (19es ) encaissent-ils autant de buts ? Tentative d’explications.
Il y a toujours pire ailleurs, mais ce n’est pas un motif d’espoir. Avec 19 buts encaissés en dix journées – soit sept de plus que l’an dernier à la même époque –, le Racing n’est pas la pire défense du championnat.

Ainsi, Brest (22 buts) et Angers (20) sont logés à plus mauvaise enseigne. Sauf que les Bretons (13es ) comptent le double de points – 12 contre 6 – par rapport aux Alsaciens. Encore mieux lotis, les Angevins, eux, (9es , 16 pts), ont une excuse : ils ont pris dix buts en deux matches, entre Paris et… Montpellier.
Si la solidité de l’arrière-garde ne fait pas tout, donc, elle constitue quand même une sacrée garantie. Les hommes de Thierry Laurey sont bien placés pour le savoir. Les deux seules fois où leur but est resté inviolé, ils se sont imposés (contre Dijon, 1-0, à Brest, 3-0). Les huit autres rencontres se sont toutes soldées par une défaite.

Et comme l’attaque tourne mieux que la saison passée – dix buts marqués, contre six il y a un an –, la priorité est toute trouvée. Encore faut-il déceler l’origine pour stopper l’hémorragie. À défaut de diagnostic, réservé au staff technique, voici déjà quelques constats…

Matz Sels leur manque

Quand il s’est rompu le tendon d’Achille mi-juillet, l’heure n’était pas encore à l’inquiétude. Avec un numéro 2 jeune, ambitieux et revanchard, en la personne de Bingourou Kamara, et un numéro 3, Eiji Kawashima, plein d’expérience pour pallier un éventuel forfait, le but strasbourgeois serait bien gardé.

Las, c’était un leurre. Si le vétéran japonais, lors des deux premières journées, puis le néo-international sénégalais ont réalisé de nombreuses parades, ils n’ont que trop rarement été décisifs dans les moments clés (à l’exception de Kamara en fin de match contre Dijon). Surtout, ils ne sont pas parvenus à rassurer les défenseurs, comme sait si bien le faire Matz Sels.

En début de saison dernière, la main ferme de l’international belge avait permis d’éviter la défaite contre Monaco et de préserver les courts succès contre Montpellier et Nice, soit 7 points dans la besace. Son absence pèse. Et janvier – date espérée de son retour aux affaires – semble encore loin.
Pas de défense-type

On ne change pas une équipe qui gagne. Mais comme celle du Racing gagne peu, Thierry Laurey la change tout le temps. À tel point que la défense est un chantier permanent.

À y regarder de plus près, le technicien n’a pas aligné trois fois les mêmes hommes derrière depuis le début de la saison.

À deux reprises seulement, il a utilisé une ligne de quatre identique : Lala, Simakan, Mitrovic et Caci – avec Djiku en sentinelle – pour une victoire contre Dijon (1-0) et une défaite face à Lille (0-3).

Dans la version à cinq défenseurs – Lala, Simakan, Mitrovic, Djiku et Caci –, il y a eu un flop (défaite à Saint-Étienne 0-2) et un top (succès à Brest 3-0).

Le reste du temps, soit en six matches, Laurey a déplacé ses pions en fonction du Covid et des blessures, suspensions ou méformes, sans jamais trouver la bonne formule. À force, cette partie d’échecs donne-t-elle le tournis aux intéressés ?
Les latéraux dans le vent
Quand on examine à la loupe les 19 buts encaissés, une tendance se dégage : les latéraux sont souvent en difficulté, en particulier à gauche.

Huit passes décisives – ou débouchant sur un penalty – ont ainsi été délivrées dans le couloir où Carole et Caci se succèdent. On se rappelle du cauchemar que le Monégasque Aguilar a fait subir au premier nommé ou du “vent” pris par le second face au Stéphanois Bouanga.

À droite, où campe souvent Lala, parfois le “couteau suisse” Simakan, ce n’est guère mieux, puisque six buts sont partis de là, les cinq autres arrivant plein axe ou dans la profondeur, avec une mention spéciale pour le Lyonnais Depay qui a su en deux passes – plus une troisième sur le côté – faire voler le bloc en éclats.

Globalement, c’est la performance de tous les défenseurs qui interroge. Car hormis l’épatant minot Simakan et, de manière moins spectaculaire sauf quand il joue au milieu, Djiku, les autres ne sont pas au niveau.
C’est l’affaire de tous

Thierry Laurey aime à le répéter, « l’aspect défensif concerne tout le monde ». Or l’arrière-garde n’est pas vraiment aidée par ceux qui jouent devant, les pertes de balle de Sissoko ou de Bellegarde offrant des munitions dans des zones souvent dangereuses.

La venue d’Aholou devait permettre de muscler le jeu. Las, l’Ivoirien prêté par Monaco a manqué les deux derniers matches à cause du Covid.

dna a écrit:
Racing : la tentation du repli sur soi
Le Racing n’a rien inventé. En 1982, au Mondial espagnol, le légendaire sélectionneur italien à la pipe Enzo Bearzot s’était fâché avec la presse transalpine et avait décrété le silence radio avec le monde extérieur. Le principe du silenzio stampa était né.

Et comme la Nazionale allait soulever dans la foulée la troisième de ses quatre coupes du monde, ce mode de non-communication a fait des émules un peu partout et pour longtemps.
Le Racing n’y fait pas exception. En ces temps de crise sportive et de pression du résultat, il n’y a ainsi plus personne pour prendre la parole, en dehors du passage obligé et formaté d’avant et d’après-match imposé dans le cahier des charges de la LFP.

Le président Marc Keller, à qui l’on prête aussi des ambitions nationales au relais de Noël Le Graët à la tête de la FFF, n’a surtout rien à dire. Le coach Thierry Laurey, dont les rapports avec la presse sont souvent conflictuels – la pipe de Bearzot en moins – s’en tient au minimum syndical, d’autant plus qu’une épée de Damoclès vacille au-dessus de sa tête. Quant aux joueurs, ils ne peuvent plus être approchés, “protocole Covid” oblige.

En semaine à la Meinau, il n’y a non seulement plus rien à écouter, mais aussi plus rien à voir. Depuis que l’équipe a pris possession de ses nouveaux terrains d’entraînement, les rares médias qui traitent de l’actualité des Bleus au quotidien ne sont plus les bienvenus. On les parque derrière des grilles, au loin, sans égard ni considération.

Mais ces mesures de repli sur soi ne sont toujours pas suffisantes, puisque les deux dernières séances d’entraînement avant le déplacement à Montpellier se feront à huis clos. Des fois que le vaccin contre le Covid soit découvert sur le pré…

Et alors ? Au camp des Loges parisien, à la Commanderie marseillaise ou au domaine de Luchin lillois, les mesures sont encore plus coercitives. Soit.

Mais sur les bords du Krimmeri, on aimait à communiquer sur l’aspect convivial, familial, proche des gens. Cette période est désormais révolue. Le Racing est devenu un grand club comme les autres. Silenzio stampa...

dna a écrit:
Djiku forfait
Sorti à la 80e minute mardi avec le Ghana lors du match retour contre le Soudan en qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations – défaite 1-0 des Black Stars à la 90e –, Alexander Djiku avait ressenti une petite douleur.
Lors de son retour ce jeudi à Strasbourg, le staff médical du Racing a pu constater que le défenseur central – qui avait signé avant la trêve contre Marseille une nouvelle prestation aboutie dans l’entrejeu, en l’absence de Jean-Eudes Aholou – souffre « d’une petite lésion musculaire », comme l’a confirmé dans l’après-midi Kader Mangane, le coordinateur sportif du club.

Conséquence, Alexander Djiku manquera dimanche le déplacement du Racing à Montpellier, sa ville natale.

L’international ghanéen et le staff strasbourgeois surveilleront de près l’évolution de la blessure la semaine prochaine avant de se prononcer pour un retour le vendredi 27 lors de la réception du Stade rennais.

Vitorino Hilton (Montpellier) sans doute remplaçant contre Strasbourg
De retour de deux matches de suspension, Vitorino Hilton (43 ans) a « de grandes chances » de s'asseoir sur le banc contre Strasbourg, dimanche (15 heures). Le capitaine du MHSC paye l'abandon de la défense à cinq. On le sentait venir, Michel Der Zakarian l'a confirmé. À moins d'un contretemps de dernière minute, Vitorino Hilton sera remplaçant contre Strasbourg, dimanche (15 heures). C'est un petit événement pour le capitaine brésilien de Montpellier (43 ans), qui n'a plus débuté un match sur le banc depuis... deux ans et demi en Championnat.
« Il y a des joueurs qui ont joué et qui ont été performants, l'équipe a bien fonctionné, c'est le football. »
Mais c'était prévisible, car la nouvelle défense à 4 testée sans lui à Saint-Étienne (1-0, le 1er novembre) et Bordeaux (2-0, le 7 novembre) avant la trêve - il était suspendu - a fait naître le sentiment qu'il n'était plus indispensable. « Il y a de grandes chances qu'il soit sur le banc, a donc confirmé Der Zakarian, qui devrait reconduire la paire Congré-Mendes. C'est comme ça. Il y a des joueurs qui ont joué et qui ont été performants, l'équipe a bien fonctionné, c'est le football. [...] C'est un joueur emblématique. Mais on a des choix à faire. »
equipe

Sans Djiku (qui est nul mais bon ça se voit moins au milieu) ce ne sera pas facile. En DC il sera obligé d'aligner soit Mitrovic soit Koné ou pire les deux.

dna a écrit:
Racing : baraka, où es-tu ?
À quelques heures du déplacement à Montpellier, ce dimanche (15h), Thierry Laurey a lourdement insisté sur le manque de réussite de son équipe pour expliquer la position inconfortable au classement (19e ) après dix journées. Si ce n’est qu’une question de chance, elle va bien finir par tourner…
La dernière fois que Thierry Laurey s’était exprimé en public, il avait déjà été question de réussite. C’était le 25 octobre, à l’issue de la victoire à Brest (0-3), la dernière du Racing à ce jour.

Ce dimanche-là, la chance avait souri aux Strasbourgeois : alors qu’ils menaient un but à zéro grâce à Habib Diallo, M. Miguelgorry, l’arbitre de la partie, était revenu sur sa décision, à savoir accorder un penalty aux Finistériens pour une faute indiscutable de “Titi” Caci. Au lieu de cela, c’est Kenny Lala qui s’est élancé de l’autre côté du terrain pour doubler la mise, sur… penalty à la suite de l’intervention de la vidéo pour une main au préalable de Faussurier.
« Des choses cartésiennes, d’autres qui vous échappent un peu »

« On a eu un petit brin de réussite, parce qu’entre un penalty pour Brest et un pour nous, ça change quand même la donne, disait alors l’entraîneur alsacien. Quand le VAR appelle l’arbitre, c’est que quelque chose a cloché. Tant mieux pour nous et tant pis pour Brest. »

Près d’un mois plus tard, après être revenu du Covid qui l’a apparemment bien secoué – c’est son adjoint Jean-Marc Kuentz, à son tour rattrapé par le virus (lire ci-contre) qui avait pallié son absence durant deux matches – Laurey est donc revenu parler de réussite. Ou plutôt du « manque de bol » qui explique en grande partie, selon lui, la mauvaise passe du Racing.

Il faut dire qu’en son absence, son équipe s’est inclinée à deux reprises – à Reims (2-1, 9e journée) et contre Marseille (0-1, 10e journée) – pour devenir relégable, avec toujours six petits points au compteur mais plus que deux longueurs d’avance sur la lanterne rouge dijonnaise.

« Je suis malheureux et désolé que l’on se retrouve 19e après dix journées, s’excuse le coach. Déjà parce que ça n’est pas l’ambition du club. Ensuite parce que je trouve ça un peu sévère pour l’équipe. J’ai vu une grande majorité des matches de Ligue 1. Je ne suis pas en train de dire que l’on joue mieux que les autres, mais on a moins de réussite. Certains rétorqueront que la réussite se provoque. Je leur réponds que c’est discutable… »

Et d’appuyer son discours par moult exemples : la défaite à Saint-Etienne (2-0, 3e journée), alors que le Racing a eu « deux grosses occasions dans le premier quart d’heure » avant que le match « bascule sur un penalty discutable » concédé à Djiku. La désillusion de Monaco (3-2, 4e journée), après « une entame loupée mais aussi des situations où l’on ne comprend pas encore aujourd’hui comment elles n’ont pas pu tourner en notre faveur ».

Même lors de la démonstration de force du Losc à la Meinau (0-3, 6e journée), la poisse s’en serait mêlée : « Les Lillois ouvrent le score (par Celik) sur leur seul tir cadré de la première période, mais comme contre Marseille (et Sanson) , les mecs décrochent la lucarne, que voulez-vous y faire, s’interroge le coach. Il y a des choses cartésiennes, d’autres qui vous échappent un peu. »

À ce titre, les deux derniers revers sont symptomatiques. « De mon canapé, j’ai eu le temps de les voir, les buts, avec des doubles et des triples ralentis, grince Laurey. À Reims, ce sont deux coups de pied arrêtés, dont un coup franc des 30 m (de Cafaro) qui frappe le poteau puis le dos de notre gardien. Et à la fin, il y a leur défenseur (Faes) qui se prend la balle en pleine poire, pas parce qu’il bouge la tête, mais parce qu’il est sur la trajectoire… »

« Être en capacité de faire que ce rien bascule de notre côté »

Le pompon en matière de scoumoune se situe contre Marseille en début de mois. « Un tir, un but, et un penalty oublié (sur Zohi) dans les arrêts de jeu, il n’y a qu’un aveugle pour ne pas siffler là-dessus », grimace l’entraîneur.

Une fois ce constat dressé, Laurey prépare le déplacement de dimanche à Montpellier « sans être fataliste ni battu, au contraire ». Et de préciser le fond de sa pensée : « Sur quoi ça se joue ? Vraiment sur rien. Il faut être en capacité de faire que ce rien bascule de notre côté. On doit continuer à travailler, à croire en nous pour retrouver un peu plus de confiance. »

En technicien avisé et expérimenté, Thierry Laurey sait aussi que le temps joue contre lui. Si la baraka continue à fuir le Racing, ses jours en Alsace vont finir par être comptés. Mieux vaut que la roue tourne à Montpellier.

dna a écrit:
Kamara incertain

Au forfait déjà acté du défenseur Alexander Djiku, touché aux ischio-jambiers avec sa sélection du Ghana en match qualificatif à la CAN, pourrait s’ajouter celui de Bingourou Kamara.

Le gardien du Racing est également rentré blessé de sa sélection avec le Sénégal, et ce même s’il n’a pas disputé de match avec les Lions de la Teranga. « Il souffre d’un début de tendinite au genou, indique le coordinateur sportif Kader Mangane. Cet après-midi (vendredi) , il a bénéficié d’une séance aménagée avec un préparateur physique. On verra lors de l’entraînement de ce samedi s’il est apte ou non. »

Alors que Matz Sels, l’habituel titulaire du poste, poursuit sa rééducation, c’est Eiji Kawashima qui prendra le relais en cas de forfait du numéro 2. Le vétéran japonais avait disputé les deux premières journées de la saison, quand Kamara se remettait du Covid.

Quant au capitaine serbe Stefan Mitrovic, dernier rentré de la quinzaine internationale, il est resté au chaud mais sera sur le pré ce samedi (15h) pour l’ultime séance avant le départ vers Montpellier.
Kuentz positif à son tour

L’adjoint Jean-Marc Kuentz, propulsé en première ligne lors des deux derniers matches en l’absence de Thierry Laurey, a été testé positif à son tour au Covid-19. Mis à l’isolement, il était dans l’attente des résultats d’un second test, ceux du premier n’étant « pas probants à 100 % selon le staff médical », aux dires de Kader Mangane.

dna a écrit:
Au Racing de trouver le bon dosage
En manque de points, le Racing va tenter de faire gonfler son capital ce dimanche à Montpellier. Mais dans un stade de la Mosson où ils avaient été balayés en moins de dix minutes en février dernier (3-0), les hommes de Thierry Laurey doivent avant tout jouer la sécurité.
C’était un dernier samedi de février, le Covid était déjà bien plus qu’une sourde menace transalpine. On conseillait alors aux entraîneurs de ne pas serrer la main des arbitres avant et après la rencontre. Sans le savoir, le Racing allait jouer son dernier match de la saison 2019/2020.

Six jours plus tard, son rendez-vous avec le Paris SG à la Meinau allait être interdit en urgence sur décision préfectorale, prémice d’une mise sous cloche, le 17 mars, de pratiquement tous les pans de la société française pendant 55 jours.
« Le genre de match que Montpellier est capable de répéter »

Ce 29 février, donc, le Racing se rendait à la Mosson avec la possibilité de grimper, provisoirement, à la cinquième place d’une Ligue 1 où il avait su remonter la pente après avoir tourné au ralenti pendant le premier quart de la saison, happé par les efforts consentis durant l’été pour tenter de se frayer un chemin jusqu’au barrage de Ligue Europa.

L’hiver dernier, les hommes de Thierry Laurey étaient ressortis de la Mosson débraillés, comme passés à tabac par une furie montpelliéraine d’une dizaine de minutes (1-0, 57e ; 3-0, 66e ). Alors qu’ils faisaient largement jeu égal jusqu’à la pause, ils avaient quitté Montpellier sur cette “défaite éclair” pour finalement basculer à la 11e place d’une Ligue 1 dont la saison allait bientôt être définitivement stoppée.

Au moment de retrouver la bande à Téji Savanier – celui qui avait mis le feu à la Mosson en février dernier –, les Racingmen débarquent dans l’Hérault bien moins sereins que neuf mois plus tôt. Et comme les atouts offensifs du MHSC sont toujours les mêmes (lire par ailleurs) , Thierry Laurey se méfie des vilains tours que l’hôte du jour est capable de leur réserver.

« On l’a vu la saison dernière, c’est un match que tu penses maîtriser à la mi-temps et à l’heure de jeu, tu l’as déjà perdu. Il faut vraiment faire attention parce que c’est le genre de match que Montpellier est capable de répéter, appuie le technicien du Racing. Je ne sais pas si c’est une équipe joueuse, parce qu’elle est surtout très bien organisée. Offensivement, elle a des garçons de qualité, qui, eux, sont joueurs, qui saisissent la moindre opportunité. Malgré tout on ne peut pas trembler en allant à la Mosson. On va essayer de jouer notre jeu et de faire le maximum pour essayer de ramener quelque chose. »

Aussi primordial que complexe

La principale mission du Racing ce dimanche sera de faire en sorte que sa défense ne vole pas en éclats face aux fulgurances de l’adversaire. Il se retrouve en fait dans une situation assez similaire à celle précédant son déplacement à Brest fin octobre.

Alors qu’ils sortaient d’un triptyque Monaco/Lille/Lyon perdu en ayant encaissé à chaque fois trois buts, les hommes de Thierry Laurey devaient collectivement serrer la vis en défense. Ils avaient réussi à garder leur cage inviolée pour effacer d’un prometteur 3-0 la rouste subie sur la pelouse finistérienne (5-0) près d’un an plus tôt.

Commencer donc par ne pas prendre de but – « parce que déjà tu ne perds pas, c’est la base », glisse comme une lapalissade Thierry Laurey – est aussi primordial que complexe pour le Racing. Primordial parce qu’il a besoin d’avancer, et à grandes enjambées, ça serait mieux. Complexe parce qu’il doit réussir à trouver le bon équilibre pour mettre l’adversaire en difficulté sans se mettre lui-même en danger.

« On s’est aperçu contre Marseille, en première mi-temps notamment, qu’on a n’a pas lâché les chevaux comme on aurait pu parce qu’il y a cette appréhension, souligne le coach. On est obligé de tenir compte de ça quand on est dans notre situation. Mais on est aussi dans l’obligation de prendre certains risques pour aller de l’avant. Mais pour ça, il ne faut pas faire n’importe quoi non plus. »

Sur le papier, le Racing ne semble pas avoir moins d’atouts que Nîmes et Reims, les deux dernières équipes venues jouer à la Mosson et qui en sont reparties avec les trois points de la victoire (respectivement 1-0 et 4-0). Aux Strasbourgeois de réussir à trouver le bon dosage pour ne pas repartir à vide en Alsace dimanche soir.

dna a écrit:
Montpellier, la vie sans “Vito”
Un temps dans le dur, Montpellier a opéré une petite révolution tactique et s’est réinstallé dans le haut du tableau à la faveur de deux succès de rang à l’extérieur. Sans “Vito” Hilton (43 ans), doyen du championnat et âme des Pailladins.
Au club héraultais depuis l’été 2011, saison du titre de champion de France soufflé au PSG, Vitorino Hilton, dit “Vito”, faisait en quelque sorte partie des meubles.

Pas de ceux qui sont entreposés dans le mas camarguais de feu Louis Nicollin – trois ans déjà que le président “Loulou” s’en est allé. Non, le défenseur brésilien, qui porte le brassard de capitaine depuis 2013, s’est installé à demeure dans le “onze” du MHSC, devenant à la fois le patron de l’équipe et l’âme du club.
Un système plus emballant sans lui

Malgré le poids des ans (43 depuis septembre), le doyen de la Ligue 1 semblait inamovible et éternel, taillé d’un autre bois que celui de ses contemporains partis à la retraite depuis un bail.

Cet été, après avoir prolongé une nouvelle fois son contrat d’une saison supplémentaire, Hilton était donc reparti pour un tour dans une défense à trois axiaux – la marque de fabrique du coach Michel Der Zakarian –, placé entre les jeunots Daniel Congré (35 ans) et le Portugais Pedro Mendes (30 ans).

Mais tout a peut-être basculé fin octobre à la Mosson. Face à la vitesse du buteur rémois Boulaye Dia, le vieux lion a concédé un penalty après une poignée de minutes, accrochant son vis-à-vis par le bras comme le font les vétérans le dimanche matin sur les terrains de District, carton rouge et amorce de raclée (0-4) à la clé.

Comme par un fait exprès, Montpellier a retrouvé des couleurs et de l’allant en son absence, lors de ses deux matches de suspension que les Pailladins ont remportés à Saint-Étienne (0-1) puis à Bordeaux (0-2).

Surtout, Der Zakarian en a profité pour dépoussiérer son système en 5-3-2 utilisé depuis septembre 2017 et pour adopter un 4-3-3 autrement plus emballant. « On ressort mieux la balle et on relance plus court », appréciait le milieu offensif Mollet après le succès en Gironde.

Une petite révolution qui a laissé ce bon vieux Hilton au pied des marches du palais. « Il y a de grandes chances qu’il soit sur le banc, disait ainsi le technicien héraultais en évoquant la venue de Strasbourg. C’est un joueur emblématique, mais il y a des choix à faire. L’équipe a bien fonctionné, ce sont les performances qui font que les joueurs sont sur le terrain. »


Celui qui n’a commencé que 11 matches sur le banc depuis son arrivée à Montpellier va donc céder son brassard à l’attaquant Andy Delort et encourager les siens dans leur quête d’un troisième succès de rang, le premier à la Mosson depuis septembre et la venue d’Angers (4-1).

Pour le Racing, cette nouvelle configuration signifie qu’il faudra être encore beaucoup plus appliqué en défense. Car les trois – Mavididi, Delort et Laborde – alignés devant ont de quoi donner le tournis à n’importe quelle défense du championnat, encore plus quand on sait que Savanier est juste derrière pour mettre le feu avec ses deux pattes de magicien.

« Téji, je l’ai connu à vingt ans (à Arles-Avignon, en Ligue 2) , rappelle Thierry Laurey au sujet du “gitan”. Aujourd’hui, s’il n’avait pas 29 ans (le mois prochain) , il serait peut-être en équipe de France. »

Même sans “Vito”, la vie s’annonce difficile, ce dimanche dans l’Hérault.
Le chiffre
2/15

Montpellier n’a perdu que 2 de ses 15 réceptions de Strasbourg en Ligue 1 (4 victoires, 9 nuls), marquant lors des 14 dernières (21 buts au total). L’ultime succès alsacien remonte au 15 mai 2004 (2-1, buts d’Abdelilah Fahmi et de Pascal Camadini).

dna a écrit:
Kawashima en dernier rempart
L'absence de Bingourou Kamara, revenu légèrement blessé de sélection avec le Sénégal, s'est confirmée ce samedi: titulaire lors des huit derniers matches de Ligue 1, il cède sa place au but au vétéran japonnais Eiji Kawashima pour le déplacement à Montpellier ce dimanche.
Son absence vendredi lors de l'avant-dernière séance collective avait jeté un gros doute sur sa capacité à tenir son rôle dans le but du Racing dimanche. Absent de l'ultime séance ce samedi, Bingourou Kamara ne sera pas du déplacement à Montpellier. L'international sénégalais, revenu blessé de sélection (tendinite à un genou), cède donc sa place au vétéran japonais Eiji Kawashima.
Appelé avec les Samouraï Blue durant la trêve internationale, mais resté sur le banc lors des deux matches de la sélection nipponne, Eiji Kawashima sera titulaire pour la troisième fois cette saison. Il avait en effet gardé la cage du Racing lors des deux premiers matches de Ligue 1 (à Lorient et contre Nice), Bingourou Kamara ayant été un des joueurs impactés par le Covid en août.
En défense, seul Alexander Djiku est absent (légère lésion musculaire). Thierry Laurey ayant préparé ce déplacement à Montpellier à l'abri des regards des suiveurs, on ne saurait certifier qu'il va s'appuyer sur une assise défensive à cinq éléments dans un système en 5-3-2 qui avait bien fonctionné à Brest, là où le Racing a décroché sa dernière victoire (0-3).

Si cette option est privilégiée - avec un alignement Lala, Simakan, Koné, Mitrovic, Caci - on pourrait retrouver devant la défense un trident Bellegarde, Aholou, Liénard. Ludovic Ajorque, de retour de suspension, on imagine mal qu'il ne soit pas associé en attaque à Habib Diallo.
Hilton sur le banc ?

Côté montpelliérain, Michel der Zakarian devrait privilégier une défense à quatre, comme lors des deux derniers matches, gagnés à l'extérieur par les Héraultais (2-0 à Bordeaux, 1-0 à Saint-Etienne). Si le choix d'abandonner un système à cinq défenseurs était dicté par l'absence de Vitorino Hilton, suspendu après avoir vu rouge à domicile lors de la gifle contre Reims (0-4), le passage à quatre défenseurs semble avoir poussé le vétéran brésilien (43 ans) sur le banc. Au club depuis 2011, ça ne lui est arrivé que... dix fois de ne pas être titulaire avant ce dimanche.
Le onze probable du Racing
Kawashima (g) - Lala, Simakan, Koné, Mitrovic (cap.),Caci - Bellegarde, Aholou, Liénard - Diallo, Ajorque.
Remplaçants: Pierre (g), Aaneba, Carole, Prcic, Sissoko, Chahiri, Thomasson, Waris, Zohi.

Thierry Laurey a ressorti la défense à cinq pour ce déplacement dans l'Hérault. Le Racing évoluera donc en 5-3-2.
Kawashima - Lala, Simakan, Mitrovic, Koné, Caci - Bellegarde, Aholou, Sissoko - Ajorque, Diallo. Entraîneur: Thierry Laurey.


Côté montpelliérain, Michel Der Zakarian n'a plus recourt à sa défense à trois axiaux depuis quelque temps ce qui lui permet d'aligner une équipe au potentiel offensif certain.
Omlin - Sambia, Mendes, Congré, Ristíc - Mollet, Ferri, Savanier - Mavididi, Delort (cap.), Laborde. Entraîneur: Michel Der Zakarian.


On s'en souvient, le 29 février dernier, le Racing avait lourdement chuté à la Mosson (3-0). C'était son dernier match avant l'arrêt de la Ligue 1 et cette défaite lui avait fait perdre quatre places au classement (de la 6e à la 10e). Cette fois-ci, la donne n'est pas la même puisque les Strasbourgeois sont relégables. S'ils parvenaient à s'imposer dans l'Hérault, ce qui ne leur est plus arrivé depuis 2004, ils pourraient toutefois sortir de la zone rouge.

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7 joueurs défensifs et une défense à 5 qui n'a jamais marché (sauf pour l'adversaire). On ne change pas une équipe qui perd.
Pas de Prcic ni de Chahiri mais encore Sissoko. Pitié !!!!!!!!!!!

Cet été, les deux clubs s'étaient rencontrés à Divonne-les-Bains. Les Alsaciens étaient ressortis vainqueurs de ce duel. Le match s'était prolongé ensuite en dehors des terrains, le MHSC accusant à mots couverts le Racing de ne pas avoir pris toutes les dispositions sanitaires nécessaires (une partie de l'effectif bas-rhinois avait été testé positif au coronavirus après la rencontre). Pendant plusieurs jours, il y avait eu de la friture sur la ligne. Aujourd'hui, cet épisode fâcheux est oublié.
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Avec huit défaites en dix rencontres, le Racing est actuellement dans le dur. Il faut espérer que le retour de Thierry Laurey sur le banc, lui qui a manqué les deux dernières rencontres (1-2 à Reims et 0-1 contre Marseille) pour cause de coronavirus, apporte un petit supplément d'âme à ses joueurs qui ont du mal à sortir de cette spirale négative qui les a fait plonger dans la zone de relégation.
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C'est parti à la Mosson après une minute de silence respectée en la mémoire de l'ex-arbitre Stéphane Moulin récemment décédé.
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Première petite alerte dans la surface strasbourgeoise après un contact entre Mitrovic et Laborde mais M. Brisard ne bronche pas.
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La grosse occasion pour Ajorque! La défense montpelliéraine se fait contrer. Le grand Ludo est trouvé par Lala dans la surface mais il perd son duel avec Omlin rapidement venu à sa rencontre. Le Racing avait une grosse opportunité d'ouvrir le score.
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Au tour de Jean-Ricner Bellegarde de s'écrouler dans la surface après un duel avec Junior Sambia. M. Brisard fait signe que le jeu continue.
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Contrairement à ce que l'on pensait, le Racing évolue en 4-4-2. L'habituel latéral droit, Kenny Lala, évolue au poste de milieu droit au sein d'un 4-4-2 à plat.
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Ajorque commet une faute au milieu de terrain sur Ferri et se fait rappeler à l'ordre par l'arbitre.
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Le Racing est un peu trop facile pour ressortir le ballon. Mavididi oblige Sissoko à concéder un corner.
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1-0
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But de Mendes pour Montpellier.
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But de Mendes pour Montpellier. Sur le corner, le ballon atterrit dans les six mètres sans que personne ne le touche. Mendes, à la lutte avec Simakan, coupe la trajectoire du ballon et marque du genou.
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Mollet proche de doubler la mise. Sambia est alerté sur le côté droit. Pas hors-jeu, le latéral s'enfonce dans la surface et sert Mollet en retrait. heureusement que le milieu héraultais n'assure pas son intérieur du pied qui passe à côté.
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2-0
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But de Delort pour le MHSC. Montpellier se ballade une nouvelle fois sur le côté droit. Le centre de Sambia est repris d'un coup de tête puissant par Delort qui trompe Kawashima, trop court sur sa droite.
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Sissoko a provoqué le corner inutile et but ! 2 buts en 5 minutes après à peine 15 minutes de jeu.
Je crois que TL c'est son dernier match. Il a l'excuse du convide (depuis l'an dernier c'est rétroactif).
Ouf péno raté à retirer et plus que 1-2.

Quel double coup de bambou pour le Racing qui avait plutôt bien commencé le match. En cinq minutes, le MHSC s'est créé trois occasions et a scoré deux fois.
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Le Racing réclame une main de Mendes dans la surface. M. Brisard a arrêté le match et est allé voir les images.
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Penalty pour le Racing!
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 Lala rate le penalty ou c'est plutôt Omllin qui l'arrête!
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Coup de théâtre. M. Omlin donne le penalty à retirer car le portier du MHSC s'est légèrement avancé avant le coup de sifflet. C'est sévère mais c'est le règlement.
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2-1
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Coup de théâtre. M. Omlin donne le penalty à retirer car le portier du MHSC s'est légèrement avancé avant le coup de sifflet. C'est sévère mais c'est le règlement.
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Nouveau penalty pour le Racing. Mendes accroche Bellegarde dans la surface.
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But 2-2
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Diallo égalise en tirant le penalty plein centre. Le Racing a parfaitement réagi

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Tout va très vite dans cette rencontre. Juste avant l'égalisation strasbourgeoise, c'est Sambia, sur corner, qui avait contraint Kawashima à se coucher pour éviter le pire.

But 3-2  But de Delort !
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À gauche de la surface, Ristic adresse un superbe centre de l'extérieur du pied gauche. Delort surgit sur la ligne des six mètres entre les deux défenseurs strasbourgeois et vient placer une tête décroisée qui finit au fond des filets !
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On se demande où était la défense alsacienne sur cette action...

Le Racing subit à nouveau et les vagues montpelliéraines déferlent dans la surface alsacienne.
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Mollet frappe désormais le corner côté gauche et, au premier poteau, Delort tente un retourné acrobatique que Lala détourne en corner.
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Mitrovic est à deux doigts de la correctionnelle en perdant le ballon face à Savanier au milieu de terrain. Heureusement que M. Brisard signale une faute peu évidente.
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Sur un nouveau corner montpelliérain, Savanier trouve Delort en retrait mais le plat du pied de l'attaquant est trop croisé.
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À 20 mètres, Lala frappe en première intention de l'extérieur du pied droit. Le ballon est contré et Omlin s'arrache pour éviter le corner.
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Le Racing est à la limite de la rupture sur chaque corner. Il faut dire que Savanier et Mollet les tirent parfaitement depuis le début de la rencontre.
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L'énorme occasion gâchée par Diallo. Sur une touche près du poteau de corner, Bellegarde se joue de Ristíc et s'enfonce dans la surface. Son centre au deuxième poteau est repris par Diallo qui n'arrive pas à cadrer seul dans les six mètres. Quel gâchis!
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But 3-3 Egalisation d'Ajorque.
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Sur un coup franc plein axe de Lala, Congré se manque dans la surface ce qui profite à Ajorque qui ajuste Omlin de près.
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Ouf. Il n'y a pas de défense. Bellegarde a obtenu son péno (le 2e car il y a déjà eu une faute sur lui au début du match) sur passe de ... Kawashima.
La "tactique" de TL (en fait toujours la même) est un échec complet.

C'est reparti à la Mosson.
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Et déjà une grosse occasion pour Montpellier avec Ristíc qui allume un pétard dans la surface. Heureusement que c'est directement sur Kawashima.
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Le MHSC obtient un coup France intéressant après une faute d'Aholou. Sambia oblige Kawashima à claquer le ballon en corner.
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Carton jaune pour Aholou, auteur d'une faute sur Junior Sambia près de la surface.
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Montpellier attaque sans relâche en ce début de deuxième période et Delort, depuis la gauche de la surface, envoie sa frappe nettement au-dessus de la transversale.
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Congré prend un jaune pour un pied haut sur Lala.
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Simakan contré! Lala est à la réception d'un centre au deuxième poteau. Sa passe en retrait pour Simakan est parfaite mais le défenseur alsacien voit sa frappe repoussée par un Montpelliérain.
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Carton jaune pour Michel Der Zakarian sur le bord du terrain
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Montpellier réclame un penalty après un duel entre Caci et Laborde dans la surface. Au ralenti, il n'y a pas grand-chose. M. Brisard, du reste, ne se laisse pas berner.
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Grosse faute de Savanier sur Simakan le long de la ligne de touche. Le milieu montpelliérain échappe au carton jaune.
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Le coup franc est frappé par Lala mais celui-ci est repoussé par la défense.
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Il n'y a aucun temps mort depuis le début de la rencontre. Le ballon va d'un but à l'autre.
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Savanier tente d'alerter Mavididi sur la gauche de la surface mais Koné est le premier sur le ballon et effectue une passe en retrait de la tête vers Kawshima.
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Premier changement du côté du Racing: Liénard remplace Ahoulou.
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Mavididi est remplacé par Yun au MHSC.
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But 4-3  But de Laborde !
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Sur un centre venu de la droite, Delort remise de la tête pour Laborde qui claque une volée hors de portée de Kawashima.
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Bonne combinaison strasbourgeoise devant la surface montpelliéraine. Il ne manque qu'un mètre à Diallo pour être avant Omlin sur le ballon.
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Thierry Laurey effectue son deuxième changement. Lala cède sa place à Chahiri.
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Delort reste au sol après avoir reçu un coup de coude involontaire de Bellegarde.
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Laborde pas loin du doublé. Sur un centre de Ristíc, il arme une nouvelle reprise de volée à l'extérieur de la surface qui passe pas loin du poteau de Kawashima.
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Et la parade de Kawashima sur une frappe en force de Mollet dans la surface. Le Racing est au bord de la rupture.
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Ajorque bute encore sur Omlin
Comme en début de match, Ajorque se présente seul face à Omlin mais sa frappe du droit est déviée en corner par le gardien suisse !
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Liénard se charge du corner qu'Omlin éloigne du poing.
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Florent Mollet est remplacé par Keagan Dolly pour Montpellier.
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