Vendredi le 27/11/2020 à 21h

Il faudra impérativement gagné ce match

dna a écrit:
Djiku et Kamara : c’est compromis pour Rennes
Le Racing devra vraisemblablement à nouveau se passer d'Alexander Djiku et Bingourou Kamara, vendredi, pour la venue de Rennes à la Meinau.
Revenus tous les deux blessés de leur sélection respective, le néo-Ghanéen Alexander Djiku (contracture à la cuisse) et le néo-Sénégalais Bingourou Kamara (tendinite du genou) avaient manqué le déplacement à Montpellier. Et l’optimisme n’est pas de mise quant à une remise sur pied d’ici à vendredi (21 h) et la venue du Stade rennais.

« C’est encore trop tôt pour se prononcer de manière catégorique, notamment pour Bingourou qui a repris en douceur, ce matin (lundi), le travail spécifique avec Stéphane Cassard (l’entraîneur des gardiens), dit le coordinateur sportif Kader Mangane. Pour Alex, qui n’a pas encore pu reprendre, ça a l’air plus compromis. »
Thierry Laurey préparera donc ce rendez-vous capital pour son avenir immédiat et celui du club avec le même groupe de 20 joueurs qu’il a mobilisés à Montpellier, Saadi et Lebeau étant également à sa disposition.

dna a écrit:
Racing : reprise collective pour Kamara
Le Racing a poursuivi la préparation de son match contre Rennes, vendredi à la Meinau (21h), par une séance “à la carte” en fonction des temps de jeu respectifs dimanche à Montpellier ou des différents petits bobos. Bonne nouvelle, Bingourou Kamara a repris avec le groupe.
Revenu blessé de sa sélection avec le Sénégal (tendinite à un genou), Bingourou Kamara n’a pu tenir sa place dans le but du Racing dimanche à Montpellier, le vétéran japonais Eiji Kawashima – troisième dans la hiérarchie derrière le Belge Matz Sels (en convalescence après une rupture d’un tendon d’Achille) et Kamara – honorant du coup sa troisième titularisation cette saison en Ligue 1.
Lundi matin, Bingourou Kamara avait « repris en douceur » avec l’entraîneur des gardiens Stéphane Cassard. Vingt-quatre heures plus tard, l’international sénégalais de 24 ans a franchi une étape supplémentaire vers un éventuel retour en participant à l’opposition, à huit contre huit, qui concluait la séance. Alexandre Pierre et Alaa Bellaarouch alternaient dans l’autre but, pendant que Eiji Kawashima finissait la séance spécifique.

Huit contre huit et tennis-ballon

L’opposition, comme les exercices collectifs sans gardien qui précédaient, a concerné les joueurs qui n’étaient pas titulaires dimanche à Montpellier (les entrants Liénard, Chahiri, Thomasson et Zohi, ainsi que Carole, Aaneba, Prcic et Waris), Lebeau (retour de blessure) et cinq jeunes du centre. À l’exception de Stefan Mitrovic, Lamine Koné et Habib Diallo, restés aux soins, les titulaires ont fait du tennis-ballon.
Djiku et Saadi absents, Kuentz de retour

Alexander Djiku, également rentré blessé de sélection avec le Ghana (contracture à une cuisse) et absent à Montpellier, n’a pas encore repris. La fenêtre pour voir le défenseur dans le groupe vendredi se rétrécit.

Avec le retour du froid, celui des petits bobos fait également le sien. Idriss Saadi – qui ressent « des douleurs à un tendon d’Achille », confie Kader Mangane – n’était ainsi pas sur le pré ce mardi. Mahamé Siby poursuit, lui, sa phase de reprise. Après un footing autour du terrain, il a conclu la séance par du jeu avec ballon avec le préparateur physique.

Testé positif au Covid-19 vendredi, Jean-Marc Kuentz avait assuré l’intérim de Thierry Laurey, atteint par ce fichu virus, à Reims et contre Marseille. Il était à l’isolement ce week-end en attendant les résultats d’un second test.

Ce dernier s’étant révélé négatif, il a pu reprendre son rôle d’adjoint sur le terrain ce mardi. Sauf “rechute”, il devrait être sur le banc vendredi face au Stade rennais, qu’il a quitté au printemps dernier pour revenir au Racing.
Rennes chute du podium

Le Stade rennais, qui découvre cette saison la dure loi de la Ligue des Champions, en paye-t-il déjà les conséquences sur la scène hexagonale ?

Depuis qu’elle enchaîne les semaines à deux matches, la bande à Julian Stéphan connaît une baisse de régime en Ligue 1. Invaincu après sept journées (quatre victoires, trois nuls) avant son premier match de Ligue des Champions (1-1 contre Krasnodar, le 20 octobre), le Stade rennais n’a pris que trois points – en remportant le derby contre Brest à domicile (2-1, le 31 octobre) – sur les quatre dernières journées.

Après avoir perdu contre Angers (1-2, le 23 octobre), chez le Paris SG (3-0, le 7 novembre) et vendredi contre Bordeaux (0-1), les Bretons ont d’ailleurs chuté du podium de la Ligue 1 pour la première fois depuis la 2e journée. Leaders à trois reprises (3e , 5e et 6e journées), ils ont reculé à la 7e place. C’est Hatem Ben Arfa, qui avait permis au Stade rennais de remporter sa 3e Coupe de France en 2019, qui a inscrit le but des Girondins au Roazhon Park.

« Si on n’a pas de force collective, on est encore moins qu’une équipe lambda. La performance collective, c’est de l’engagement, de l’intensité, l’envie de partager le ballon, c’est du sacrifice aussi. C’est tout ce qu’on fait beaucoup moins bien par rapport au début de saison », a d’ailleurs concédé Julian Stéphan après la défaite contre Bordeaux.
La Ligue 1 plus prolifique cette saison

À l’instar du score fleuve du Montpellier – Racing de dimanche (4-3), qui a permis d’égaler le record de buts inscrits avant la pause (6) au XXIe siècle, la Ligue 1 est plus prolifique cette saison que la précédente. Après 11 journées, la moyenne de buts par rencontre est de 2,8 contre 2,3. Alors qu’il y a encore trois matches en retard à disputer, dont un Lens – Nantes ce mercredi, 311 buts ont été marqués contre 252 la saison passée au même stade. La moyenne de buts inscrits dans un match du Racing est de 3,3 (comme lors d’une rencontre concernant Montpellier et Monaco). C’est avec Brest à l’affiche qu’il y a le plus de buts (3,8 en moyenne).

La direction a très mal négocié la deuxième saison en L1.

Ceci en ne changeant pas assez l'équipe vers des joueurs ayant la technique et le physique nécessaires. Elle a préféré empiler les postes en les doublant maladroitement.
A savoir :

-3 gardiens mais un seul pouvant être titulaire, les 2 autres n'ayant même pas le niveau pour la réserve.

-En "défense" (si on peut appeler ainsi cette passoire à grands trous inutile autant que ridicule) on a :

4 DC mais seul Simakan a le niveau.
3 latéraux mais un seul correct par intermittence (Lala). A noter que les deux voulaient déjà et veulent partir (+ Carole), d'où une baisse d'implication compréhensible.

-7 milieux (Lebeau et Siby blessés joueraient-ils ? J'en doute) mais seuls trois savent taper dans une balle et sur ces trois-là deux ne jouent pratiquement plus  sans raison apparente (Chahiri et Prcic). Reste Aholou prêté. Je n'ai pas compté Thomasson qui voulait partir et n'est plus en grande forme.

-Enfin 6 attaquants dont 3 ont le niveau (Ajorque et Diallo) mais Waris n'est plus en forme actuellement.

En plus une gestion de groupe désastreuse avec cette sortie en Suisse (au bordel ?) qui aurait contaminé toute l'équipe avant la reprise. Avec probablement des clans déjà formés.

Ce qui ressemble à un suicide.

dna a écrit:
Indiscrétions
Koné très incertain
Au forfait quasiment acquis d’Alexander Djiku, qui ne s’est pas entraîné depuis son retour de sélection avec le Ghana jeudi dernier (contracture à une cuisse), s’est ajouté celui tout aussi probable de Lamine Koné pour la réception de Rennes vendredi.

Aux soins mardi – comme Stefan Mitrovic et Habib Diallo –, le “roc ivoirien” n’a pas participé à la séance à huis clos ce mercredi matin sur la pelouse du stade de la Meinau.

« Il a ressenti une douleur derrière un genou sur un tacle sur Andy Delort en fin de match dimanche. Ça ne semble pas très grave, mais ça risque d’être juste pour qu’il puisse jouer contre Rennes », a précisé Kader Mangane, le coordinateur sportif du Racing.

Lors du point presse avant la séance du jour, Thierry Laurey avait déjà fait part de sa crainte de devoir se passer de Djiku et Koné. Les choix du coach pour former sa charnière centrale se limitent donc à Mitrovic, Simakan ou encore Caci.

Regretter des plots pareils voici qui en dit long.

Le racing a pas mal de joueurs qui arrive à jouer un semblant de football quand l'équipe tourne bien, et quand l'équipe à des difficultés toute l'équipe toussent.

une lumière dans la nuit ?
À force de perdre, le Racing et son entraîneur, Thierry Laurey, se sont mis en grand danger. Ce vendredi (21h), contre Rennes, il faudra se sublimer comme jamais cette saison pour entrevoir la lumière. La victoire ou la nuit…
On aimerait y voir un signe rédempteur, une lumière dans les ténèbres. Comme celle de la bougie qui brille depuis mercredi dans la loge de Diego Maradona, à jamais délaissée à la Bombonera, le stade de Boca Juniors, dans un quartier pauvre mais haut en couleur de Buenos Aires.
Ce week-end, la Ligue professionnelle (LFP) a décidé de modifier son protocole d’avant-match pour rendre « hommage à l’étoile », le dieu du ballon rond par qui ont jailli le génie et le bruit. « Une référence, quelqu’un qui a inspiré beaucoup de jeunes joueurs », rappelle Julien Stéphan, l’entraîneur du Stade rennais interrogé au sujet de la disparition du Pibe de Oro ce jeudi.
Alors, oui, on aimerait que les Strasbourgeois qui fouleront ce vendredi soir la pelouse d’une Meinau toujours vide en raison du huis clos – mais désormais aussi livrée aux frimas de l’hiver – puisent un peu de leur énergie dans ce substrat originel et universel que l’Argentin a laissé en héritage. À savoir jouer pour marquer, jouer pour gagner, jouer sans calculer. Jouer tout simplement pour prouver que l’on existe.
Au Racing, ces particules élémentaires ont été éparpillées au gré des désillusions et de l’embourbement en bas de classement. Cette saison, on joue « avec le frein à main », comme le reconnaît Thierry Laurey.
On joue parfois “petit bras”, sauf que l’excès de prudence n’éloigne pas le spectre de la défaite. Avec un seul tir durant tout le match, en début de mois, Marseille l’a prouvé (0-1) ...
On joue aussi souvent à reculons et on prend des buts à foison : encore quatre d’un coup dimanche dernier à Montpellier (4-3) et près de deux fois plus que l’an dernier à pareille époque (23 contre 12).
Et puis surtout, on geint beaucoup, un jour contre l’arbitrage ou l’assistance vidéo, un autre contre le sort contraire. Au bout du compte, on joue sans plaisir, et c’est là tout le drame d’une équipe qui perd.
Le Stade rennais a aussi un peu perdu le fil. Leaders en Ligue 1 avant d’entamer leur campagne en Ligue des champions, les Bretons viennent de s’incliner à six reprises en sept sorties. Mais là-dedans, il a fallu se fader une double opposition contre Chelsea et un déplacement à Séville, ou encore une virée à Paris en championnat.
« On est 7e , pas 18e , relativise à juste titre Julien Stéphan. Il ne faut pas tout noircir. On a connu une fringale, on doit à nouveau nourrir la performance et la confiance. »
Le Racing, lui, n’est même pas 18e. Il est encore une place en dessous, presque au fond du trou. Pas question de miser sur une hypothétique défaillance de son adversaire, qui sera privé de ses deux ex-Strasbourgeois, Terrier (malade) et Martin (reprise) mais qui ne manque pas d’arguments.
« À tout moment, on peut enclencher »
De toute façon, les Bleus ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Histoire de se donner du courage, ils pourront se rappeler que s’ils ont perdu à la Meinau leurs deux derniers matches contre Rennes, ils ont vaincu récemment leur gardien, Alfred Gomis, quand celui-ci évoluait encore à Dijon (1-0, tête rageuse de Mitrovic).
C’était le 20 septembre, date du premier et unique succès domestique. Depuis cette date, la lumière s’est éteinte à la maison. Et la flamme de l’espoir vacille. « À tout moment, on peut enclencher, croit Thierry Laurey. Dès que l’on va commencer à prendre des points, ça va nous enlever cette chape de plomb… »
C’est le moment. Parce que demain, il sera trop tard. Déjà pour l’entraîneur, assis sur un siège éjectable, et bientôt aussi pour cette équipe qui se voyait jouer bien plus haut.
Ce serait un immense gâchis. Si l’esprit de Maradona peut retomber en ce bas monde, il faudra que les Bleus y infusent pour enfin lâcher les chevaux. En jouant pour prouver qu’ils ne sont pas morts.
dna

Les marathoniens rennais au ralenti
Freiné en championnat depuis son entrée en lice en Ligue des Champions fin octobre, le Stade rennais a reculé à la 7e  place après sa défaite vendredi dernier à domicile contre Bordeaux (0-1). Écartés de la course aux 8es  de finale en C1, les Bretons veulent reprendre des forces à la Meinau.
Pas content de la prestation de ses joueurs il y a une semaine alors qu’ils venaient de concéder leur troisième défaite en quatre journées de Ligue 1, Julien Stéphan avait dressé un froid constat. « Si on n’a pas de force collective, on est encore moins qu’une équipe lambda », avait lâché le coach du Stade rennais.
Forcément, du côté de la Meinau, on porte un regard quelque peu plus élogieux sur le plus novice des trois représentants tricolores en Ligue des Champions cette saison. « Moi, quand je regarde l’effectif de Rennes, je me dis que tous les remplaçants joueraient chez nous », n’a pas manqué de souligner Thierry Laurey mercredi.
S’ils patinent en ce moment en championnat, il ne faut tout de même pas oublier que les Rennais ont réalisé un début de saison plus que costaud. Après avoir tenu le Losc en échec en ouverture de la saison – un 1-1 dans le Nord qui prend plus de relief au regard des performances de Lillois solidement ancrés à la deuxième place de la Ligue 1 –, la bande à Julien Stéphan a enchaîné quatre victoires et deux nuls.
Depuis, le Stade rennais a fait son entrée dans la cour des grands d’Europe – justifiant, enfin, les investissements conséquents de la famille Pinault –, et sa découverte de la Ligue des Champions coïncide avec ses premiers déboires hexagonaux.
« On est parti au sprint, là on a une fringale »
Tenu en échec par Krasnodar (1-1) le 20 octobre dans un Roazhon Park tristement vide pour le premier match de C1 du club breton, le Stade rennais a concédé sa première défaite en Ligue 1 contre Angers (1-2), trois jours plus tard. Sortis de la course à la qualification en 8es  de finale de Ligue des Champions après une frustrante défaite contre Chelsea (1-2), les coéquipiers de Martin Terrier et Jonas Martin – les ex-Racingmen absents ce vendredi à la Meinau – ont aussi été éjectés du podium provisoire de la Ligue 1.
« C’est une équipe qui, en ce moment, n’est pas forcément en réussite, qui a joué son parcours européen à fond mais qui y a laissé des plumes », pointe d’ailleurs Thierry Laurey. Sans jouer les Calimero, son homologue reconnaît l’incidence de la C1 dans la mauvaise passe actuelle en championnat.
« On est septième du championnat, on n’est pas dix-huitième, il ne faut pas non plus tout noircir, insiste Julien Stéphan. On est engagé depuis le début de saison dans un marathon. On est parti au sprint, là on a une fringale. J’espère qu’elle partira le plus rapidement possible mais ça fera partie de l’histoire de notre saison. »
Alors qu’Eduardo Camavinga, la jeune pépite du foot français, brille plus au volant (il vient de décrocher son permis de conduire du premier coup) que dans le jeu du Stade rennais – « J’avais dit que l’année de la confirmation serait plus compliquée que la découverte, on est dedans », rappelle son coach –, le mantra « retrouver la confiance » tourne, comme à la Meinau, dans les discours.
Mais quand les Strasbourgeois en manquent cruellement en défense, c’est sur le front de l’attaque que les Rennais affichent des carences. Ils ont besoin de carburant, mais la Meinau ne peut pas se transformer en un abondant point de ravitaillement sur la route de leur marathon.
dna

Racing : un groupe de 21 joueurs pour recevoir Rennes
Alors que Lamine Koné passera ce vendredi matin un dernier test pour savoir s'il est apte pour être au moins sur la feuille de match le soir, Thierry Laurey a convoqué un groupe de 21joueurs pour affronter la rencontre.
Les supporters du Racing qui ont fait un petit détour par la rue des Vanneaux n'ont pas regretté leur escapade ce jeudi en fin d'après-midi. La grille d'entrée du public des nouveaux terrains d'entraînement était en effet ouverte et près d'une trentaine de suiveurs - une rareté depuis le début du reconfinement - ont ainsi pu se délecter du plaisir simple de suivre une séance de leurs joueurs favoris.En plus des trois gardiens - Bingourou Kamara, Eiji Kawashima et le jeune Alexandre Pierre -, vingt joueurs ont participé à la séance collective. Si on a pu voir Alexander Djiku trottiner avec Florian Bailleux, l'un des préparateurs physiques, Lamine Koné est resté au chaud. Touché derrière un genou lors d'un tacle sur Andy Delort dimanche à Montpellier, le défenseur ivoirien ne s'est pas entraîné de la semaine mais il est convoqué dans le groupe de 21 joueur retenus par Thierry Laurey.
Décision vendredi matin pour Koné
"On va faire une séance légère demain matin (vendredi) et Lamine passera un dernier test. On fera le point avec le ''doc'' à ce moment-là", a précisé le coach du Racing ce jeudi à l'issue de la séance après avoir salué quelques-uns des plus fidèle suiveurs.
Thierry Laurey, qui a souligné mercredi que le système de jeu à Montpellier lui avait donné quelques satisfactions, pourrait tenter de nouveau de s'appuyer sur un 4-4-2 avec un milieu à plat et deux récupérateurs. Il devrait toutefois faire des ajustements. Lala devrait redescendre en défense dans son couloir droit quand il avait joué à l'aile dans l'Hérault.*
Le coach avait également apprécié dimanche l'apport des entrants - "Ils ont fait les efforts pour revenir au score", avait-il souligné -, il n'est pas impossible de voir Liénard s'installer aux côtés d'Aholou à la récupération quand Chahiri pourrait animer le couloir gauche, Bellegarde ''switchant'' à droite où il a aussi ses repères. Les quatre seraient alors en charge d'alimenter le duo Diallo/Ajorque en attaque.
Derrière, sauf si Koné est remis in extremis, on devrait retrouver une charnière centrale Simakan/Mitrovic, encadrée par Lala (à droite donc) et Caci (à gauche).
Bingourou Kamara, qui s'est entraîné normalement depuis mardi, devrait récupérer sa place dans le but, même si Eiji Kawashima a rappelé mercredi devant la presse qu'il allait "se préparer pour être prêt à jouer, comme il le fait tout le temps".
L'équipe probable du Racing
Kamara - Lala, Simakan, Mitrovic (cap) - Bellegarde, Aholou, Liénard, Chahiri - Diallo, Ajorque.
Remplaçants: Kawashima (g), Aaneba, Koné, Carole, Ousmane, Pric, Sissoko, Thomasson, Waris, Zohi.
dna

Manque un joueur, Caci sans doute, j'aurais préféré Carole vu la forme de l'autre mais comme TL a ses tronches... Liénard titulaire et Prcic remplaçant et bien sûr Mitrovic titulaire & "monsieur" une boulette par match de retour dans les caisses. Enfin, on échappe à Sissoko et sans Koné le RCSA jouera enfin à 11.
Avec seulement 5 défenseurs.
S'il perd j'espère qu'il ira voir ailleurs, quelle idée de le prolonger quand même. Même un aveugle aurait vu qu'il était cramé.

"Le racing a pas mal de joueurs qui arrive à jouer un semblant de football quand l'équipe tourne bien, et quand l'équipe à des difficultés toute l'équipe tousse." Ouais déjà qu'ils ont tous eu le covid.

Racing – Rennes : Le 11 probable
 Dos au mur, le Racing Club de Strasbourg doit impérativement prendre des points ce vendredi soir face au Stade Rennais. Dans cette optique, l’entraîneur du Racing, Thierry Laurey, devrait mettre en place un système à 4 défenseurs, 4 milieux en losange et deux attaquants :

Alsa'sports

la composition du Racing est tombée, toujours avec Kawashima dans les buts.
La voici: Kawahima ; Caci, Mitrovic (cap.), Simakan, Lala ; Sissoko, Aholou, Bellegarde, Thomasson ; Ajorque, Diallo.

Vu le monde, ou plutôt le peu de monde à disposition en défense centrale, le 4 - 4 - 2 est inévitable. Mais dans quelle disposition? Avec la titularisation d'Adrien Thomasson, on peut imaginer un milieu en losange avec Aholou en sentinelle, Thomasson devant le duo d'attaquants, Sissoko et Bellegarde sur les côtés, le premier à gauche, le deuxième à droite.
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Faut-il vraiment rappeler l'enjeu de la rencontre? Avant-dernier, relégable, le Racing ne peut invoquer le statu d'Européen de l'adversaire du soir. Il a absolument besoin de points. Même celui du nul, pas négligeable face à Rennes, ne l'avancerait pas à grand chose. Non, il doit impérativement renouer avec la victoire, lui qui n'en a cumuler que deux pour neuf défaites après onze journées.

De toutes façons, de nul, il n'y en a guère entre ces deux là. Pas lors de leurs douze dernières confrontations en tout cas, les Bretons s'imposant huit fois. Le Racing reste sur deux défaites à domicile face aux Bretons et surtout sur trois revers consécutifs à la Meinau cet automne.

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Sissoko et Thomasson, on croit rêver, mais c'est un cauchemar.

c'est parti
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Longue séquence de possession de Strasbourg, qui fait tourner le ballon au milieu de terrain sans parvenir à casser les lignes adverses.
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La déviation décisive de Nyamsi sur cette passe de Diallo vers Ajorque dans la surface ! Rennes tout près d'une grosse frayeur après cette projection de l'ancien Messin.
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Nouveau corner gratté par Strasbourg, après cette course de Lala côté droit, dont le centre a été contré à bout portant par Tait.
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Belle intervention de Caci pour intercepter cette passe en profondeur de Guirassy vers Doku côté droit. Strasbourg va repartir avec le ballon.
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Strasbourg n'a pas encore tenté le moindre tir dans cette rencontre.

Thomasson est logiquement signalé en position de hors-jeu, alors qu'il avait pu alerter Gomis sur cette frappe en pivot dans la surface sur un service d'Ajorque.

But 1-0 Thomasson

Sur un ballon qui traînait dans la surface côté droit, Kenny Lala sert Adrien Thomasson à ras de terre qui vient tromper Gomis au premier poteau,

Le Stade Rennais a beau avoir frappé à trois reprises, il n'a toujours pas cadré dans ce match et peine à se montrer dangereux après ses dix bonnes premières minutes.

Doku a fait la différence côté droit, mais il rate totalement son centre ensuite, et le ballon sort en touche à l'opposé.

Le jeu s'interrompt quelques secondes alors que le staff médical doit traverser le terrain pour venir soigner Caci, qui saigne du nez après un contact au milieu de terrain.

Ajorque prend sa chance à l'entrée de la surface, après une remontée de balle rapide consécutive à une récupération au milieu de terrain. Le tir du gauche du numéro 25 passe loin du cadre.

Le RCSA n'a gardé ses cages inviolées qu'à deux reprises cette saison, face à Brest (3-0) et Dijon (1-0). Les joueurs de Thierry Laurey vont-il récidiver ce soir ? Cela en prend le chemin pour l'instant, mais il reste du temps.

Sissoko et Ajorque se gênent, le long de la ligne de touche à droite au niveau de la surface rennaise. Cela permet à Maouassa de récupérer le ballon avant d'obtenir la faute.

Carton rouge ! Mitrovic est expulsé !

Faute sur Guirassy qui filait au but, sanction logique pour le capitaine strasbourgeois.

Guirassy est blessé et demande à sortir !
Après un nouveau duel dans la surface, l'attaquant rennais, sûrement blessé sur le tacle de Mitrovic il y a quatre minutes, a demandé le changement à son banc. Il semble touché à la cheville droite
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mi-temps

La deuxième mi-temps risque d'être longue pour Strasbourg, qui ne concède pour l'instant pas de grosses opportunités mais est presque constamment sous pression dans sa moitié de terrain.

La domination rennaise se traduit par la possession de balle des Bretons, de 78% dans ce premier quart d'heure de la seconde période.

La parade de Kawashima devant Gboho !
En pleine surface, sur un centre de Truffert, Gboho reprend le ballon du pied droit, mais le portier du Racing se couche rapidement sur sa droite pour capter le ballon !



 Hunou égalise pour Rennes ! 1-1
Sur une magnifique ouverture de Léa-Siliki, Truffert remise vers Bourigeaud à six mètres, plein axe. Sissoko vient au duel mais les deux joueurs loupent le ballon, et Hunou, qui traînait au second poteau, bat Kawashima à bout portant de la tête, 1-1 !

Premier changement du match pour Strasbourg

Ajorque sort, Liénard fait son entrée.
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D'une frappe enroulée du gauche depuis l'extérieur de la surface, Léa-Siliki, encore lui, est venu inquiéter Strasbourg, mais Kawashima, vigilant, met le ballon, qui passait sous sa barre, en corner !
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En vingt minutes, Rennes a déjà autant tiré (6 fois) que lors de toute la première période.
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Kawashima s'est fait peur sur ce corner tiré par Bourigeaud depuis le côté gauche. Il relâche le ballon et concède un nouveau coup de pied de coin, à droite.

Entrée de M'Baye Niang pour Rennes
Il remplace Nyamsi. Il s'agit de la quatrième apparition de Niang, toutes compétitions confondues, avec Rennes cette saison. Le Stade Rennais vient donc d'effectuer son dernier changement.

Strasbourg plie toujours mais tient toujours ce point du nul. Nouveau corner obtenu par Rennes.

Encore un ballon chaud dans la surface de Strasbourg, les Rennais réclament un penalty pour une main de Simakan...

Nouveau changement pour le Racing, Thomasson est remplacé par Carole.

Sur une frappe de Bourigeaud à ras de terre depuis l'extérieur de la surface, le portier strasbourgeois se détend à nouveau sur sa droite, pour mettre le ballon en corner.

Dans la foulée, Niang avait été trouvé à six mètres au premier poteau, mais le ballon, qu'il avait pris de la tête, rebondit sur sa main !

Mitrovic quel génie quand même.

Dans la foulée, Niang avait été trouvé à six mètres au premier poteau, mais le ballon, qu'il avait pris de la tête, rebondit sur sa main !

Septième corner du match pour Rennes, qui va être frappé par Bourigeaud côté gauche.

Hamari Traoré réclamait le corner, côté droit, après un bon mouvement collectif, et son centre repoussé par Simakan, mais c'est bien lui qui avait retouché le ballon avant sa sortie. Six mètres pour le Racing.

Rennes pousse tellement que Da Silva se comporte presque comme un milieu offensif, comme sur ce centre dans la surface que ses partenaires ne parviennent pas à exploiter.

Hunou trouve le poteau !
Sur un centre parfait délivré par Hamari Traoré, Hunou, seul dans la surface, avait repris le ballon de la tête, mais se heurte au montant droit de Kawashima !

Diallo est remplacé par Chahiri.

Aaneba fait son entrée à la place de Caci.

Le coup franc rennais a été frappé dans le mur, mais les Bretons obtiennent un nouveau coup franc, à droite, suite à une main strasbourgeoise.

Seulement deux minutes de temps additionnel, deux minutes de plus à tenir pour Strasbourg !

terminé 1-1


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le point de l'espoir?
Le Racing n'a pris qu'un point, mais peut-être qu'un jour, il vaudra de l'or. Surtout dans les conditions dans lesquelles il a été obtenu, à savoir à dix pendant plus d'une mi-temps. Thomasson, sur la voie de la rédemption, avait ouvert la marque. Et puis, comme souvent, ou presque toujours cette saison, le grain de sable...
Mais le Racing, combattif, ne se laissait pas faire, récupérait de plus en plus de ballons et poussait ses actions avec de plus en plus d’à-propos, Ajorque, Diallo et Thomasson étant tour à tour sollicités dans la surface.

Jusqu’à la 24e’ et, petit événement, l’ouverture du score du Racing, ce qui ne lui arrivait que pour la deuxième fois depuis le début du championnat. Thomasson, au cœur de sa meilleure prestation de la saison, déviait au fond le centre en retrait, à ras de terre, de Lala. Une frappe détournée de Diallo avait initié le mouvement.

Le Racing semblait soudain plus libéré, jusqu’au fait de jeu de la 40e’, à savoir l’expulsion de Mitrovic, coupable de l’irréparable sur Guirassy, en position de dernier défenseur. Le coup franc de Bourigeaud était capté par Kawashima et la mi-temps atteinte sans encombre, non sans inquiétude du coup.
Attaque/défense

On a assisté dès lors à une séance d'attaque/défense de 47 minutes. Julien Stéphan, flairant le bon coup, a fait entrer du lourd. Et les entrants ont fait mal, dès l'heure de jeu, soit beaucoup trop tôt pour espérer tenir, pensait-on. Ouverture de Léa-Siliki, tête de recentrage de Truffert, tête victorieuse de Hunou.

Une victoire, il aurait fallu, un point, on prenait volontiers, à ce moment-là. Ce point, les Strasbourgeois l'ont préservé. Avec courage, héroïsme parfois. Et pour une fois, ce brin de chance appelé de ses vœux par Thierry Laurey. Comme sur ce ballon sauvé sur la ligne par Sissoko, cette tête de Hunou sur le poteau, cette dernière tête, à l'ultime seconde, de Léa-Siliki, à ras du même montant.

Avec sept points, le Racing restera 19e après 12 journées. Mais il a démontré qu'il ne lâchera pas l'affaire. Et, au préalable, qu'il avait des arguments pour gagner des matches. Verre à moitié plein? A moitié vide? Optons pour la première version. A condition d'aller bonifier ce résultat à Nantes dans huit jours.

Mieux que rien pour le Racing
Le Racing n’a pas gagné, mais il a mis un terme à la funeste série de défaites – trois avant cette 12e journée – en préservant au courage un point contre le Stade rennais (1-1). Ce n’est pas Byzance, mais c’est toujours mieux que rien.
Placé dos au mur, le Racing a tenté de s’arracher à sa condition de relégable. L’idée d’une révolution a pu être encouragée par l’hommage rendu à Diego Maradona, dont la chanson la mano de Dios, dans le film de Kusturica, était reprise sur l’écran géant durant le protocole d’avant-match.
C’est le moment de se relever. D’autant plus que le Stade rennais, éliminé de la Ligue des champions depuis mardi et sa défaite à domicile contre Chelsea (1-2), ne semble pas être dans un grand soir. À l’image de la pépite Eduardo Camavinga, actuellement dans le dur, les Bretons n’avancent plus.
mitrovic plombe le plan
Il semble loin, le temps où les hommes de Julien Stéphan faisaient la course en tête de la Ligue 1. C’était début octobre, avant d’entamer leur campagne continentale où les ‘’petits’’ clubs « laissent beaucoup de plumes », comme le rappelait Thierry Laurey avant le match.
Mais la fatigue et les désillusions accumulées par Rennes dans cette succession de matches ne sont pas une raison pour verser dans un optimisme béat.
En début de mois, Marseille s’était présenté à la Meinau dans un état encore plus critique – totalement inexistant en Europe -, ce qui n’avait pas empêché le Racing de s’incliner sur la seule frappe du match…
Dans un stade vide et glacial, où la brume est en plus descendue des gradins pour s’étirer sur la pelouse, Rennes n’a ainsi pas affiché de grandes velléités de renouer avec le succès.
Hormis une petite déviation sous la forme d’une aile de pigeon de Bourigeaud qui file au-dessus du cadre (8e ), Kawashima – qui a finalement gardé sa place dans le but alsacien au détriment de Kamara – ne voit rien venir.
De l’autre côté de la pelouse, les Strasbourgeois commencent à prendre confiance. Thierry Laurey n’a finalement pas changé grand-chose par rapport à la défaite de dimanche à Montpellier (4-3). Seul Koné, blessé, a été remplacé numériquement par Thomasson, ce qui induit une formation plus offensive dans un 4-4-2 en losange.
En clair, l’entraîneur a tiré sa dernière salve avec ses hommes de confiance, ceux qui ont toujours adhéré sans réserve à ses préceptes et lui ont rendu leur confiance. En y ajoutant encore la recrue de fin de mercato Habib Diallo, il avait donc réuni sur le pré ceux qui étaient prêts à se battre jusqu’au dernier souffle.
Le plan a d’abord paru fonctionné. Bellegarde s’offre quelques percées sur son côté gauche, Simakan pointe le bout du nez dans la surface, alors qu’Ajorque et Thomasson essayent de combiner dans la surface, comme à la belle époque.
La récompense intervient même rapidement, lorsque Thomasson inscrit enfin son premier but de la saison en coupant un centre de Lala devant Alfred Gomis, qui s’était déjà incliné en septembre à la Meinau quand il gardait encore le but de Dijon (24e ).
On se dit alors que le « petit grain de sable » détecté par Laurey a enfin été épousseté des rouages de la machine. D’autant plus qu’Ajorque n’est pas loin d’accrocher le cadre d’une belle frappe enroulée (33e ).
Oui, mais voilà, il est écrit que rien ne se déroulera dans la simplicité ni la sérénité cette saison. Avant même de rejoindre les vestiaires, la soirée se complique grandement, quand Mitrovic vient balayer Guirassy, parti seul au but et finalement sorti en boitant bas. Le capitaine du Racing voit rouge et laisse son équipe à dix, ce qui change quand même considérablement la donne si tôt dans la partie (40e ).
Cela suffira-t-il à sauver le soldat Laurey ?
Alors que Julien Stéphan change tout à la mi-temps, avec les apparitions de Léa-Siliki, Truffert et Gboho, en plus de Hunou lancé au relais de Guirassy, son homologue alsacien tente de maintenir une pression offensive sur le but de Gomis.
Les intentions sont louables mais ne résistent pas à l’égalisation de Hunou (60e ). Laurey se dit alors que prendre un point vaut mieux que peau de chagrin. Quand le coach rennais lance l’attaquant Mbaye Niang à la place de la sentinelle Nzonzi, il sort Thomasson au profit de Carole, histoire de renforcer sa défense à l’attaque des vingt dernières minutes, une attaque-défense en règle avec le milieu de terrain Sissoko recyclé en défenseur central « héroïque », selon son coach.
Solidaire jusqu’au bout, le Racing préserve le point de son premier match nul de la saison. Cela ne le fait guère avancer au classement (19e , 7 points). Mais au moins la spirale infernale est-elle stoppée. Cela suffira-t-il à sauver le soldat Laurey ? Vendredi soir, la question ne semblait pas totalement tranchée.
« J’espère que ce point va lui permettre de souffler un peu, même s’il n’y a aucun doute sur le fait qu’on l’a toujours soutenu », répond Thomasson, l’homme qui lui a peut-être offert un sursis.
dna

dna a écrit:
Cœurs de lions
Les Strasbourgeois ont su se faire violence pour prendre au moins un point contre le Stade rennais alors qu’ils ont passé toute la seconde période dans leur moitié de terrain à défendre en infériorité numérique. Cette équipe a du cœur.
Bien installés dans leur 4-4-2 en losange, les Strasbourgeois ont dû revoir leurs plans suite à l’exclusion de leur capitaine Stefan Mitrovic. S’ils n’ont pas su conserver leur avantage dans leur nouvelle configuration, ils se sont montrés suffisamment solidaires pour ne pas exploser face à la pression rennaise.
KAWASHIMA (6)

Titularisé pour la deuxième fois d’affilée, comme en début de championnat, le Japonais n’a pas été mis en danger en première période. Il se couche parfaitement sur le tir de Gboho au point de penalty (59e ). Mais il n’a pas la main assez ferme sur la tête de Hunou à bout portant (60e ), contrairement à sa claquette sur la frappe de Lea Siliki (64e). Encore un bon plongeon sur tir tendu de Bourigeaud (74e ). Sauvé par son poteau sur une nouvelle tête de Hunou (84e ).
Sissoko, un intérim en défense central
LALA (6)

Revenu dans le couloir droit de la défense, après avoir évolué un cran plus haut dans l’Hérault, il a été décisif en délivrant un centre tendu pour Thomasson. Plutôt propre par ailleurs

SIMAKAN (5)

A 20 ans, il se comporte comme un taulier. Des interventions nettes, comme devant Maouassa dans les 16 mètres (9e ), quelques incursions dans la surface opposée aussi (16e ). Le minot dégage de l’assurance mais il n’est pas infaillible. C’est lui qui ne suit pas Hunou lorsque celui-ci égalise de la tête (60e ).
MITROVIC (-)

Le Serbe (non noté) a vécu une première période plutôt tranquille. Jusqu’à ce que Guirassy le cloue sur place d’une accélération. Résultat : un tacle par-derrière en tant que dernier défenseur avec une expulsion logique à la clé.
CACI (5)

Avec Doku dans son couloir, il s’agissait déjà de ne pas prendre des courants d’air comme à Montpellier une semaine plus tôt. Le latéral s’est appliqué et il a fait preuve de répondant dans les duels. Remplacé par AANEBA (87e ).
SISSOKO (6)

De la niaque, de la bonne agressivité même si toutes ses interventions n’ont pas été académiques. Prudent dans ses projections, il a surtout cherché à jaillir dans les pieds des milieux rennais. Il a joué plus de la moitié du match en défense centrale sans commettre d’erreur. Encourageant.

AHOLOU (4)

En sentinelle, il a beaucoup couru pour fermer les espaces, surtout lorsque le Racing évoluait en infériorité numérique. Peu d’influence dans la relance.

Thomasson ouvre son compteur

BELLEGARDE (4)

“Jeanjean” a été plus discret qu’à la Mosson même s’il est toujours capable de porter le danger comme sur cette interception peu après la demi-heure de jeu. Il ne voit pas Truffert partir dans son dos sur l’égalisation rennaise.
THOMASSON (6)

Aligné à la pointe du losange, en soutien des deux attaquants, le Savoyard s’est promené à sa guise entre les lignes. De la détermination, de l’envie mais aussi, parfois, un manque de justesse dans les transmissions. Néanmoins, c’est lui qui initie et conclut l’action sur l’ouverture du score. Son premier but cette saison. Remplacé par CAROLE (73e ) quand le Racing a terminé par une défense à cinq.
AJORQUE (4)

Ne lui demandez pas de camper aux avant-postes. Comme à son habitude, il a décroché pour participer au jeu. Surpris par un rebond dans les six mètres bretons (21e ), il ouvre trop son pied gauche sur une frappe enroulée à l’entrée de la surface (34e ). Remplacé par LIENARD (63e ) à qui on a surtout demandé de défendre.
DIALLO (4)

Sa participation au jeu peut parfois apparaître suspecte mais dès que le ballon arrive dans sa zone, il est intéressant. Du déchet, malgré tout, dans ses remises ou ses combinaisons avec Ajorque (13e ). Sa frappe contrée par Nzonzi amène l’ouverture du score (24e ).

Après le repos, il s’est positionné au milieu pour renforcer le bloc strasbourgeois. Pas sa meilleure position. Il a terminé en pointe. Remplacé par CHAHIRI (87e ).