C'est tiré rentrant par Guilbert. Le ballon traverse tout le monde et l'arbitre signale d'abord le point de penalty pour une charge de Djiku avant se raviser pour un possible hors-jeu du défenseur au départ de l'action.

Mr Miguelgorry attend l'analyse du VAR pour attribuer penalty ou confirmer le hors-jeu.

Après de longues secondes de flottement, l'arbitre choisit de signaler hors-jeu. Déception pour les Alsaciens.

Le Racing n'abdique pas mais on ne va pas se mentir, ça ne sent pas bon du tout cette histoire...

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Joli numéro technique de Sambia entre Zohi et Thomasson. Il gagne du temps avec un coup franc côté droit.

 Le double miracle de Bertaud
Zohi s'infiltre côté gauche dans la surface. Son centre atterrit dans les pieds de Thomasson au premier poteau. Il transmet à Dijku seul aux cinq mètres qui voit ses deux tentatives successives trouver les jambes et le torse de Bertaud.

Il y aura six minutes de temps additionnel.

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Carton jaune pour Djiku en retard sur Wahi qui avait bien décalé Dolly sur la droite.

Montpellier temporise et fait tourner le ballon pour s'éviter une fin de partie compliquée.

Belle tête d'Hilton qui oriente son geste sur la droite pour permettre à son équipe de poser le ballon.

Strasbourg campe dans les vingt mètres adverses.

But 2-3 Zohi

Longue séquence de conservation des Alsaciens. Prcic fixe et écarte sur Zohi côté gauche. Il feinte et dépose Chotard avant d'enrouler sa frappe qui nettoie la lucarne de Bertaud.


C'est fini

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C'est terminé à la Meinau sur cette défaite préoccupante du Racing. Les Strasbourgeois se sont réveillés trop tard alors que le MHSC avait fait le travail au bout de 50 minutes de jeu. Désormais, il va falloir cravacher pour se maintenir en L1. Nîmes, vainqueur à Metz, n'a plus que trois points de retard et Nantes, tombeur de Bordeaux samedi, un point. la situation devient critique.

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Ecart plus conforme à la réalité du terrain mais que de maladresses. Et encore Sissoko nan mais y en a marre là ! Changements très bizarres aussi sauf Carole qui remplace Caci blessé.

Le Racing au bord du gouffre
Battu à la Meinau par Montpellier (2-3), le Racing a à nouveau laissé passer une occasion de se donner de l’air au classement. Résultat, il ne possède plus qu’un point d’avance sur le barragiste nantais et trois sur le relégable nîmois. La fin de saison s’annonce très tendue.
Pour cette avant-dernière rencontre à domicile de cette pénible saison 2020-2021, la donne était simple : le Racing devait l’emporter devant Montpellier pour faire un (grand) pas en direction du maintien sous peine de s’offrir une fin de championnat à (grosse) pression.

En effet, la victoire de Nantes contre Bordeaux, la veille, avait ramené le barragiste à un point des Alsaciens. Disposés en 4-4-2 en losange, une semaine après avoir ramené un nul du Vélodrome en 5-3-2, les hommes de Thierry Laurey ont semblé saisir l’urgence de la situation. Après un quart d’heure de jeu, Diallo et Ajorque, les deux attaquants, s’étaient déjà signalés.
Un début de seconde période calamiteux

Dès la 3e, le Sénégalais, bien décalé dans la surface, écrasait trop sa frappe devant Bertaud. Neuf minutes plus tard, Ajorque profitait d’une mauvaise lecture de Ristic pour s’emmener le ballon de la poitrine et tenter un extérieur du droit trop croisé (12e).
Malheureusement, la suite a été beaucoup moins riante. Alors qu’on aurait pu croire que le MHSC, lui qui n’a plus rien à jouer en L1, avait la tête à sa demi-finale de Coupe de France mercredi à la Mosson contre Paris, il a prouvé le contraire.

Sur un corner de Sambia, Laborde a réglé la mire sur la première occasion héraultaise (0-1, 36e). Sonné, le Racing ne va rien proposer de bon jusqu’à la pause. Pire, il s’est carrément écroulé au retour des vestiaires. Delort a d’abord profité de la passivité de Djiku pour aller battre Sels d’un lob astucieux après moins de quarante secondes de jeu en seconde période (0-2, 46e). C’est ensuite Laborde qui a saisi l’aubaine, après deux dégagements de la tête ratés par Mitrovic et Djiku, décidément dans tous les mauvais coups cet après-midi, pour claquer un ciseau imparable (0-3, 49e).
Ajorque entretient l’espoir

Plutôt que de renoncer, les Bleus ont cherché à atténuer la douloureuse. Et ils y sont parvenus grâce à un Ajorque opportuniste pour inscrire son 14e but de la saison (1-3, 69e). Mais pour croire à une hypothétique remontada, encore aurait-il fallu mieux négocier certains coups comme cette frappe de Diallo non cadrée (64e), cette contre-attaque vendangée par Aholou (76e) ou cette double occasion à bout portant de Djiku (89e). Le but tardif de Zohi n'y a rien changé (2-3, 90e+5).

Cette 18e défaite de la saison fait très mal aux Strasbourgeois qui ont encore perdu du terrain sur tous leurs concurrents directs dans la lutte pour le maintien. Nîmes, premier relégable, n’est plus distant que de trois points alors que Nantes, le barragiste, est revenu à une unité des Bas-Rhinois.

Si rien n’est encore perdu pour valider un cinquième bail consécutif en Ligue 1, la fin de saison – avec un déplacement à Nice et la réception de Lorient – s’annonce particulièrement indécise sur les bords du Krimmeri…
dna

dna a écrit:
la cote d’alerte
Malgré une réaction en fin de match alors qu’ils étaient menés 3-0 ce dimanche à la Meinau, les Strasbourgeois, finalement battus 3-2 par Montpellier, ne possèdent plus qu’un et trois points d’avance sur le barragiste Nantes et le premier relégable Nîmes. La menace se précise.
À deux journées de la fin, la cote d’alerte est atteinte et il faut espérer, pour un Racing revenu des abysses du monde amateur dans lesquels il avait plongé en 2011 après sa liquidation judiciaire, qu’elle ne sera pas dépassée dimanche prochain sur la Côte d’Azur, à Nice.

En concédant sa 18e défaite, la quatrième de rang à la Meinau, ce dimanche contre des Montpelliérains désormais sans autre ambition en championnat que de finir le plus haut possible, les Bleus n’ont pas seulement confirmé qu’ils filaient un bien mauvais coton, ils ont aussi laissé s’effilocher un peu plus leur matelas sur la zone rouge.
Une réaction trop tardive face à un Montpellier bis

Certes, Brest, battu sur le fil chez les Aiglons niçois après avoir mené deux fois (3-2), Bordeaux, étrillé 3-0 à Nantes, et Lorient, balayé en seconde période à Lyon (4-1), ont aussi perdu ce week-end. Mais le barragiste nantais, victorieux pour la troisième fois d’affilée, et le premier relégable Nîmes, vainqueur 3-0 à Metz, se sont rapprochés à un et trois points, alors qu’il en reste six en jeu.
Des Bleus qui ont été tout près de prendre le bouillon en ce dimanche ensoleillé, alors qu’avant la rencontre, une banderole accrochée dans leur stade fétiche leur indiquait pourtant la voie à suivre : « Une seule issue : les trois points et le maintien. »

Après le succès des Canaris la veille, il était acquis que le maintien ne serait pas assuré au soir de ce 36e acte. Quant à la victoire espérée, si rare cette saison à la Meinau – 4 en 18 matches, contre 4 nuls et 10 défaites –, elle s’est de nouveau transformée en échec. « La banderole des supporters était légitime, admettra, un peu contrit, le coach Thierry Laurey. Ce sont des points qu’il nous fallait. »

C’est raté. Car en à peine un quart d’heure (entre la 36e et la 49e ), les Héraultais se sont montrés d’un réalisme chirurgical, en exploitant les largesses défensives des Racingmen et, notamment, d’un Djiku impliqué sur leurs trois buts.
Un but aussi beau qu’inutile pour Zohi

Sur un corner de Sambia, l’international ghanéen est surplombé par un Laborde qui, de la tête, trompe Sels (0-1, 36e ). Quarante secondes après la reprise, Djiku perd à la fois le sens de l’orientation sur une longue ouverture de Hilton et son duel avec Delort qui ajuste Sels d’un subtil lob (0-2, 46e ), juste avant que Laborde ne parachève le récital héraultais d’une magnifique bicyclette (0-3, 49e ).

Le naufrage guette alors le navire bleu. Tout semble perdu, sauf l’honneur que les Alsaciens vont sauver à deux reprises. D’abord par Ajorque dont le 14e but, d’un ballon glissé sous la hanche de Bertaud, adoucit la note (1-3, 69e ). Ensuite par l’entrant Zohi qui, au bout du temps additionnel, inscrit, d’une frappe enroulée dans la lucarne gauche, un but aussi beau qu’inutile (2-3, 90e +5).
Dans ce vain retour face à un Montpellier bis après les nombreux changements opérés par Michel der Zakarian en seconde période, l’entraîneur strasbourgeois veut voir un motif d’espoir. « Je mets au crédit des joueurs qu’ils n’ont pas lâché. Ils n’ont pas baissé la tête et l’ont même relevée. »

Sauf que leur réaction doit sans doute moins à leur orgueil qu’au relâchement de Montpelliérains soucieux de s’économiser avant leur demi-finale de Coupe de France contre Paris mercredi à la Mosson. Que serait-il advenu si les duettistes Laborde et Delort étaient restés jusqu’au bout sur le gazon ?

La réponse est presque contenue dans la question, ce qui n’empêche pas Thierry Laurey de louer l’état d’esprit de ses joueurs. « Ils étaient motivés, avaient envie de bien faire. Je ne pense pas qu’on puisse leur reprocher de ne pas s’être accrochés. »

Laurey : « On a encore la main »
Sera-ce suffisant pour assurer un quatrième maintien de suite ? En attendant que son futur ex-club ne soit fixé après le voyage à Nice le 16 mai et la réception, peut-être vitale, de Lorient le 23, le technicien s’accroche aux rares bouées de sauvetage qui lui restent : « Le classement se resserre, mais on est encore en vie. On a encore la main […]. Des équipes ont comblé le delta qui nous séparait d’elles, mais on est toujours devant. »

Le Racing n’est effectivement pas au fond du précipice. Mais à chaque journée qui passe, il en aperçoit un peu plus distinctement le bord. Et ce n’est jamais bon signe.

La bête noire héraultaise du Racing
Battu deux fois en championnat et éliminé à domicile en Coupe de France, le Racing n’est pas parvenu cette saison à trouver la clé contre Montpellier. Les Strasbourgeois enchaînent même un quatrième revers de rang en match officiel contre la bande à Delort et Laborde.

Si ce n’est en février dans une Meinau engourdie par un froid glacial en Coupe de France – quand le MHSC avait sorti le Racing dès les 32es de finale grâce à deux buts signés Andy Delort (0-1, 45e +1) et son remplaçant Petar Skuletic (0-2, 88e ) – les dernières confrontations entre Strasbourgeois et Montpelliérains auront été traversés par des moments frôlant l’irrationnel.
Loin du 1-0 du 29 septembre 2019 à la Meinau, quand Ludovic Ajorque a offert au Racing sa dernière victoire (hors matches de préparation) contre le club bâti par la famille Nicollin. Et encore… une parade à bout portant de Sels sur une reprise acrobatique de Camara et un ciseau de Delort de peu à côté avaient fait couler quelques sueurs froides dans les arrêts de jeu.
Depuis, les oppositions ont été ponctuées de grains de folie. Et à la fin, c’est toujours Montpellier qui a gagné.
Le 29 février 2020 – pour ce qui allait être le dernier match du Racing avant que la pandémie mette fin à la saison de Ligue 1 et perturbe en profondeur les habitudes et plaisirs les plus simples de la vie –, c’est une tempête nommée Téji Savanier qui avait emporté la bande à Thierry Laurey en un peu moins de dix minutes à l’heure de jeu. Un doublé du prodige de la Cité Gély (1-0, 57e  ; 3-0, 66e ) et un but de Gaëtan Laborde (2-0, 61e ) avaient fait voler en éclats les ambitions d’un Racing sixième avant de débarquer à la Mosson.
En novembre dernier, alors que Thierry Laurey retrouvait sa place sur le banc après avoir lutté contre le Covid, la première mi-temps à la Mosson avait été épique. Dépassés par la vitesse du MHSC (2-0, 13e ), les Racingmen avaient égalisé sur des penalties de Lala (18e ) et Diallo (25e ), craqué sur le doublé de la tête d’Andy Delort (3-2, 31e ) avant que Ludovic Ajorque rétablisse l’équilibre dans le dos d’un Daniel Congré qui s’était emmêlé les pinceaux (3-3, 45e ).
Laborde avait scellé le score d’un match moins pêchu en seconde période (4-3, 68e ), infligeant au Racing sa neuvième défaite après onze journées.

« Il y a beaucoup plus d’expérience dans cette équipe-là à des postes clés »

Ce dimanche, il aura suffi de quelque cinq petites minutes à Delort et Laborde, les « serials killers » que craignait Laurey avant le match, pour que les Montpelliérains se mettent à l’abri. Un subtil lob du premier, après avoir “déposé” Djiku sur ce long dégagement de Vitorino Hilton (2-0, 46e ), et une incroyable bicyclette du second dans la surface (3-0, 49e ) ont rappelé à quel point ces fines gâchettes aiment dégainer contre le Racing.
Si Michel Der Zakarian s’est refusé à commenter l’emprise de son équipe sur le Racing cette saison, lâchant un sobre « Thierry (Laurey) fait du bon boulot depuis qu’il est ici », son homologue strasbourgeois a été plus loquace, malgré ce nouveau revers.
« Les deux matches (de championnat cette saison, ndlr) sont sensiblement les mêmes. Mais il y a beaucoup plus d’expérience dans cette équipe-là à des postes clés, estime le coach du Racing. Aujourd’hui, même sans (Téji) Savanier et (Florent) Mollet, ils ont une équipe qui tient la route. C’est solide. Derrière, les Congré et Hilton, on ne la leur fait pas à l’envers. C’est une équipe plutôt performante cette saison, qui a fait des choses intéressantes. »
Huitième à deux journées de la fin, la bête noire du Racing a encore un alléchant rendez-vous avec le PSG mercredi en demi-finale de la Coupe de France pour égayer sa fin de saison.
Sa victime strasbourgeoise, elle, va s’efforcer de ne pas se faire du mauvais sang après ce quatrième revers en un peu plus de quatorze mois.
dna

dna a écrit:
Cauchemar en défense : les notes des joueurs du Racing, battus par Montpellier (2-3)
Contre une équipe de Montpellier diablement efficace, la défense alsacienne a explosé sur un coup de tête, un lob astucieux et une magistrale bicyclette. Inquiétant pour des garçons censés mordre dans chaque ballon comme si leur vie en dépendait.
En trois matches cette saison contre Montpellier – deux en championnat, un en Coupe de France –, le Racing a encaissé 9 buts.
Plus que les déboires récurrents contre cette équipe qui ne lui réussit pas, les hommes de Thierry Laurey inquiètent surtout en raison de leur manque de maîtrise générale et de mordant alors que la lutte pour le maintien ne souffre aucune faiblesse.
SELS 4

Une après-midi terriblement humiliante pour l’international belge, abandonné par les siens en trois occasions qui font buts : la tête de Laborde sur un corner de Sambia (0-1, 36e ), le petit lob de Delort une trentaine de secondes après la mi-temps (0-2, 46e ) et ce retourné acrobatique du même Laborde (0-3, 49e ). Une question reste en suspens : mais que fait la défense ?
GUILBERT 4

Le latéral droit a dû se coltiner le remuant Mavididi, qu’il a plutôt bien contenu. Sur le front offensif, en revanche, il n’a jamais trouvé le bon dosage, à l’image de sa frappe du droit trop croisée pour accrocher le cadre de Bertaud (31e ). Le joueur prêté par Aston Villa a aussi paru vite agacé par la tournure des événements, mais il s’est battu jusqu’au bout, ses ultimes centres maintenant l’illusion de pouvoir arracher le point du nul.
MITROVIC 3

Le capitaine serbe n’est pas directement impliqué sur les buts montpelliérains, mais il n’a rien fait non plus pour les éviter. À son corps défendant, il a ainsi remis Mavididi en jeu sur le troisième but d’une tête très mal dosée dans sa surface. Toujours à la limite de la rupture, et parfois au-delà : un match qui illustre sa saison.
DJIKU 2

Pour le défenseur central, les matches contre le club de sa ville natale tournent souvent au cauchemar. Celui de ce dimanche a concentré les pires tourments.

C’est bien simple, “Van Djiku” a été dans les (mauvais) coups sur les trois buts, se faisant manger par Laborde et Delort. Il aurait pu sauver son match en réduisant le score, mais il a buté à deux reprises sur Bertaud à bout portant (90e ). Son carton pour une faute inutile (90e +2) a couronné le tout…
CACI 3

En délicatesse avec une cuisse, le latéral gauche a été incertain jusqu’au coup d’envoi, Lionel Carole se tenant prêt à le suppléer à tout moment. Cette douleur l’a visiblement tenaillé durant toute la rencontre.

Hormis une belle ouverture à l’adresse de Thomasson (3e ), on l’a senti en difficulté en défense et on ne l’a pas vu inspiré dans l’apport offensif. Quitte finalement le terrain en boitant, remplacé par CAROLE (66e ) qui a eu le mérite de tenter des choses dans son couloir.
AHOLOU 4

La sentinelle du milieu de terrain a eu du mal à maintenir l’ordre dans sa zone, souffrant notamment de la comparaison par rapport au percutant Sambia. Beaucoup de fautes subies mais aussi concédées et trop de mauvais choix, à l’image de ce raté sur une contre-attaque où le jeune Sahi avait le but ouvert (76e ).

L’Ivoirien manquera en outre le dernier match de la saison contre Lorient, après avoir été averti pour un tampon sur Ferri (37e ). Remplacé par PRCIC (82e ), l’homme des causes perdues.
BELLEGARDE 3

Aligné sur le côté droit du milieu, comme à Marseille, “Jeanjean” n’est pas parvenu à s’extirper de la toile d’araignée tissée par les Héraultais. Incapable de faire la différence, il est remplacé par SAHI (54e ) qui a rué dans les brancards, se montrant dangereux comme à chacune de ses apparitions.
LIÉNARD 4

Que de frustration et de colère : l’expérimenté “Dim” a assisté, impuissant, au naufrage de son équipe en deux temps trois mouvements, rendant vaines ses quelques percussions balle au pied. A quitté la pelouse désabusé et tout fâché en cédant sa place à SISSOKO (54e ). On a mal pour lui…
THOMASSON 4

De retour de suspension, le milieu organisateur n’est pas parvenu à déchirer le rideau du MHSC. Transparent en première période, il a quand même contribué à la révolte alsacienne. Sa frappe contrée a notamment débouché sur le but d’Ajorque. Une réaction trop tardive, hélas.
DIALLO 4

Sa première frappe cadrée mais pas assez appuyée (3e ) aurait pu donner le ton. Il n’en a rien été. Le Sénégalais a encore longuement erré sur le flanc droit de l’attaque sans se montrer dangereux. Lui aussi s’est réveillé après l’heure, sur une frappe qui file au-dessus de la transversale (64e ) puis sur cette déviation de la tête qui profite à Ajorque pour le but de l’espoir. Remplacé par ZOHI (82e ), qui vient nettoyer la lucarne de Bertaud d’une belle frappe enroulée du droit (2-3, 90e +5).
AJORQUE 5

Le grand Réunionnais a bien débuté, avec un contrôle de la poitrine en pleine course suivi d’une frappe du droit hors cadre (12e ), avant de s’éteindre au fil des minutes.

Malchanceux sur le deuxième but, puisque le tacle dans ses pieds de Hilton se transforme en… passe décisive pour Delort de l’autre côté du terrain, il a le mérite de ne pas abdiquer. Son 14e but de la saison, celui d’un timide espoir (1-3, 69e ), n’atténuera pas sa frustration.

Faire rentrer Sissoko pour Liénard alors qu'on est mené, du grand n'imp' comme d'hab'. Et encore Bellegarde alors que Prcic cire le banc.