L’enquête - Un Français de 30 ans identifié parmi les terroristes « Trois équipes très coordonnées »
Six attaques, sept terroristes tués, dont des kamikazes. L’enquête qui démarre devra déterminer comment une opération d’une envergure inédite a été rendue possible sur le sol français.

ce sont « trois équipes de terroristes coordonnées et entraînées » qui sont à l’origine de l’attaque la plus meurtrière qu’ait connue la France. Si l’on ne connaît pas pour l’instant les identités des terroristes, dont les corps ont été déchiquetés par les explosions, le dispositif élaboré pour ces assauts simultanés commence à se préciser. « L’enquête ne fait que débuter, le recueil des témoignages n’est pas terminé », a souligné hier François Molins, le procureur de Paris, tout en confirmant quelques premières informations qui avaient filtré dans la journée. 

Qui sont les assaillants ?

Sur les sept terroristes morts, deux avaient été clairement identifiés hier soir. L’un des assaillants du Bataclan est un Français de 30 ans, originaire de Courcouronnes (Essonne), déjà connu pour des faits de droit commun entre 2004 et 2010, mais jamais incarcéré. Il avait fait l’objet d’une fiche « S » pour radicalisation en 2010. Il aurait résidé à Chartres. Le père et le frère de cet homme, domiciliés dans l’Aube et l’Essonne, ont été placés en garde à vue hier soir et des perquisitions ont eu lieu à leurs domiciles. Un autre indice a été dévoilé : un passeport syrien a été trouvé sur le premier kamikaze du Stade de France, né en 1990 en Syrie. Ce dernier n’était pas connu des services de renseignement, mais il s’agirait d’un migrant enregistré en Grèce. Un autre assaillant avec un passeport égyptien pourrait aussi être passé avec des migrants. Tous ces hommes, équipés de Kalachnikov et vestes explosives, étaient « expérimentés », selon les enquêteurs, et préparés pour une attaque « coordonnée ». Leur dispositif explosif visait « à faire le maximum de morts ». Lors de la prise d’otages au Bataclan, ils ont évoqué la Syrie et l’Irak.

Quel lien avec la Belgique ?

La voiture Polo retrouvée à proximité du Bataclan et utilisée par les terroristes a mis les enquêteurs sur la piste belge. « La voiture a été louée par un Français résidant en Belgique qui a fait l’objet d’un contrôle routier (hier) avec deux personnes à bord », a précisé le procureur précisant que ces individus ne sont pas fichés en France. Trois personnes ont été interpellées hier soir à Molenbeek, près de Bruxelles, elles auraient pu constituer la deuxième équipe qui a frappé Paris, selon plusieurs sources belges. Sont-ils des complices qui ont fui ? « Un terroriste est dans la nature », nous révélait vendredi soir une source policière. Avec Verviers, Molenbeek est connue comme étant « un foyer sensible de radicalisation ».

Quel commanditaire ? 

« La piste syrienne » a été évoquée dès le début par le président de la République. La revendication officielle de Daech a confirmé cette hypothèse en fin de matinée. « Un groupe de croyants des soldats du califat a pris pour cible la capitale des abominations et de la perversion, celle qui porte la bannière de la croix en Europe, Paris », dit le communiqué. C’est la première fois que l’État islamique revendique aussi rapidement et de façon aussi solennelle et officielle un attentat. Reste à savoir maintenant si cette attaque a été directement planifiée depuis la Syrie, et par qui ? Ou si des commanditaires « intermédiaires », en Europe, ont joué un rôle dans cette tuerie.

dna

Un survivant du Heysel parmi les rescapés du Bataclan

Massimiliano Natalucci est l'un des rescapés du Bataclan. Cet Italien avait déjà survécu à la tragédie du Heysel il y a trente ans. La belle histoire, parce qu'il en faut aussi, de ce week-end cauchemardesque.
Son nom ne vous dira rien, et c'est bien normal. Mais comme 1500 autres personnes vendredi soir, Massmiliano Natalucci assistait au concert du groupe Eagles of Death Metal, dans la salle de spectacle du Bataclan.
Un concert qui a viré au drame quand le Bataclan a été pris d'assaut par des terroristes, déjà auteurs de multiples attentats à Paris. 89 personnes au moins y ont perdu la vie, parmi les 129 personnes décédées vendredi soir dans la Capitale, selon le dernier bilan.

Massimiliano Natalucci, lui, en est sorti indemne, avec à peine quelques égratignures. Pourtant, comme le révèlent nos confrères transalpins du Corriere Adriatico, ce touriste italien se trouvait à moins de trois mètres des assaillants. Sa petite amie, Laura, a elle reçu une balle dans l'épaule et a été opérée samedi.

Une bonne étoile veille sur le sort du Turinois. Car sa sœur, Frederica, raconte dans le Corriere Adriatico que Massimiliano Natalucci est déjà un rescapé de la tragédie du Heysel, en 1985. Il assistait alors au match entre la Juventus et Liverpool dans la tribune réservée aux supporters de la Vieille Dame. Et en plus, il aurait survécu à deux accidents de voitures dans sa vie. Ce coup de pouce, du destin, sa sœur l'attribue à un baiser du pape Jean-Paul II sur le front du petit garçon, alors qu'il n'avait que huit ans. La belle histoire, parce qu'il en faut aussi, de ce week-end cauchemardesque.
orange sport

Certains diraient qu'il est protégé par la providence.
Bon, moi je préfère ne pas en profiter en restant hors de toutes ces catastrophes (si possible).

Ça peut arriver n'importe ou, si la peur s'installe chez les gens plus personne ne sortira de chez soi.

Marco 69/73 a écrit:

Accident de la rame d'essai de TGV : 10 morts, douze blessés graves, cinq personnes recherchées, numéro vert mis en place
Dix personnes, selon le bilan le plus récent, sont mortes samedi dans le déraillement d’une rame d’essai d’un TGV à Eckwersheim, près de Strasbourg.

Une rame d’essai du TGV Est qui circulait entre Baudrecourt (Moselle) et Strasbourg a déraillé hier après-midi à l’entrée d’un pont situé à Eckwersheim. Le bilan faisait état hier soir de dix morts et de 34 blessés dont 12 graves.

Scène dantesque sous un pont, en rase campagne. Les blessés les plus graves sont allongés sur deux rangs, entre herbe et terre battue. Ils sont une dizaine. Des visages sont en sang, et souvent couverts de poussière. Les secours s’activent auprès d’eux. Il y a des brancards, des perfusions, des minerves, et beaucoup de couvertures de survie. L’une des victimes est debout. C’est un adolescent, il doit avoir une quinzaine d’années.

Le reste du train disloqué est disséminé à travers un terrain boueux grand comme un terrain de football

Dans ce terrain herbeux d’Eckwersheim, petite commune de l’Eurométropole située au nord de Strasbourg, d’innombrables morceaux de tôle jonchent le sol. La plupart sont petits. Mais plusieurs ont la taille d’une automobile. Certains fument encore. Il y a aussi de nombreux amas de fil de fer.

On pense reconnaître les roues du train. La queue de celui-ci repose à quelques pas, dans le canal de la Marne au Rhin. On peut lire dessus : « Rame d’essai de… ». La suite de la phrase est illisible, plongée dans l’eau brunâtre.

L’autre moitié du train est disséminée à travers un terrain boueux grand comme un terrain de football. Les wagons sont couchés, disloqués, découpés ou en feu. Les pompiers en ont déjà examiné plusieurs et ont écrit dessus à la bombe « RAS » ou « Fait ». À terre, deux corps sont recouverts d’un drap blanc.

Le TGV Est, en phase de test avant la commercialisation de la deuxième tranche de la ligne à grande vitesse, circulait en direction de Strasbourg. Vers 15h30, il a vraisemblablement déraillé et pulvérisé le muret sur sa gauche, à l’entrée du nouveau pont qui passe au-dessus du canal, avant de dévaler le talus, de se déchirer au sol et de s’enflammer.

Quelques minutes après le drame, le secrétaire général de la préfecture du Bas-Rhin Dominique Nicolas-Jane évoque « une vitesse élevée » pour expliquer le déraillement du train. L’hypothèse terroriste, alors dans tous les esprits, semble écartée. Aucun élément matériel, en tout cas, ne vient l’accréditer. Une cellule de crise est installée dans l’école d’Eckwersheim.

Deux cheminots tombent dans les bras l’un de l’autre

Robert Pfrimmer, le maire honoraire de la commune, voit régulièrement passer les rames de test de la LGV sur ce pont. « J’ai entendu un drôle de bruit, comme un avion qui atterrit, raconte-t-il quelques minutes après les faits. Puis il y a eu un gros bruit. Une partie de la rame est allée dans le canal, une autre a brûlé. J’ai pris la voiture, et j’ai vu quelqu’un sortir de l’arrière. »

Des dizaines de secouristes sont rapidement sur place. Les hélicoptères de la sécurité civile et du Samu se posent pour prendre en charge les blessés. Celui de la gendarmerie survole le ciel. Les plongeurs du Sdis (Service départemental d’incendie et de secours) se mettent à l’eau, à la recherche de victimes. Les gendarmes sortent de petites embarcations. Le personnel de la SNCF est aussi là. En se retrouvant, deux cheminots tombent dans les bras l’un de l’autre.

Le préfet Stéphane Fratacci arrive, ainsi que le procureur de la République adjoint de Strasbourg, Alexandre Chevrier. Ils sont accompagnés par le général Ottavi, commandant de la région de gendarmerie d’Alsace. L’enquête est très vite confiée à la section de recherches. L’IRCGN (Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale) devrait aussi intervenir, tant au niveau des investigations que de l’identification des victimes.

« Un drame », « une tragédie »

Une heure après le drame, le premier bilan fait état de cinq tués. Il s’alourdit en fin d’après-midi à dix morts, vingt-deux blessés légers et douze blessés graves. Cinq personnes manquent alors encore à l’appel. Le député-maire de Haguenau Claude Sturni et le vice-président du conseil départemental Etienne Wolff observent les restes du train, évoquant « un drame », « une tragédie ». « On pense aux victimes et à leurs familles », déclare sobrement le premier, alors que des membres de la Croix-Rouge arrivent à leur tour.
Vers 17h, les opérations de secours s’achèvent.
Il n’y a plus de blessé sous le pont de la LGV Est. Le jour décline, et les pompiers commencent à préparer le matériel pour la nuit. Ils installent des projecteurs qui éclairent chaque bout de train.
Ce sont des dizaines de caisses qu’ils apportent sur place, depuis le grand terrain sur lequel est installé le poste de commandement. C’est là que vers 18h30, la ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie Ségolène Royal est venue saluer gendarmes et personnel de secours. Au même moment, sur la route entre Strasbourg et Eckwersheim, d’autres véhicules, sirènes hurlantes et gyrophares allumés, continuent de se diriger vers les lieux de la pire catastrophe ferroviaire de l’histoire du TGV.
dna

C'est incroyable comme cette nouvelle qui aurait fait la Une de tous les journaux papier ou télé est passée totalement inaperçu à cause de ce que vous savez.
Je ne l'ai apprise que hier en voyant les DNA tout à fait par hasard.

Tu as raison , mais les journalistes ont d'autres préoccupations que d'écrire un article sur un train qui déraille, en plus en Alsace.

Des Japonais se baignent dans du Beaujolais nouveau

Pour la dixième année consécutive, les Japonais ont célébré l’arrivée du beaujolais nouveau en se baignant dans des spas à la teinte rubis. Avec huit heures d’avance sur la France, le Japon, client numéro un à l’étranger qui aspire à lui seul plus d’un quart des bouteilles de Beaujolais, a donc fait sauter les bouchons et ces habitants ont été les premiers de la planète à trinquer.
Et comme chaque année, les premières caisses du nectar prisé par les Japonais ont été accueillies à l’aéroport comme des stars par les médias nippons.

Un hommage aux victimes des attentats parisiens

A noter que les festivités ont aussi été marquées par un hommage aux victimes des attentats de Paris, survenus ce 13 novembre.
« Nous nous sommes demandé si nous devions maintenir notre soirée mais nous avons pensé que nous ne devions pas changer notre quotidien, et que ce serait un signe de soutien pour la France », a déclaré Yuji Yamazaki, PDG de Suntory Wine International, qui organisait une réception à Tokyo.

20minutes

Je souhaite que pour les tout petits ce soit du jus de pomme coloré , car sinon il commence jeune à picoler

Franchement Beurk !!!

Le « fils du Concorde » pourra faire Londres-New York en trois heures

Un nouvel avion supersonique pourrait transporter des passagers dès 2023.
Les constructeurs aéronautiques Airbus et Aerion avancent dans la production de l’AS2, surnommé « son of Concorde » : le fils du Concorde.

L’AS2, surnommé le « fils du Concorde ».

Il est prévu que l’AS2 vole de New York à Londres en trois heures, et de Tokyo à Los Angeles en six heures, d’après MailOnline.
Le vice-président d’Airbus, Ken McKenzie, a déclaré : « Nous avons une vision claire et réalisable des solutions techniques au design d’un jet supersonique, et une roadmap réaliste pour aider Aerion à procéder dans la construction et le vol ».

La luxueuse cabine de l’AS2 avec de la place pour 12 passagers.

Airbus et Aerion sont actuellement à la recherche d’un site de construction aux États-Unis, des tests de vol étant prévus pour 2021.
La vitesse maximale de l’appareil doit atteindre 1960 km/h environ, à peine moins que la vitesse maximale du Concorde qui était de 2179 km/h.
Les réglementations aériennes américaines exigeront que l’AS2 vole à des vitesses moins élevées au-dessus du continent puisqu’aucun avion civil ne peut passer le mur du son c’est-à-dire dépasser la vitesse de 1 224 km/h, à cause du bruit que l’explosion supersonique engendre.

L’AS2 atteindra des vitesses supérieures à 1900 km/h


Atterrissage du Concorde


British Airways a retiré le Concorde en 2003, mettant temporairement un terme aux vols commerciaux supersoniques après 27 ans de service.
La majorité des vols long-courriers ont une vitesse de croisière entre 890 et 770 km/h.
Malheureusement, tout porte à croire que le prix d’un billet sur l’AS2 devrait être plutôt du genre élevé.
Yahoo News UK
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Marché de Noël de Strasbourg: Il immortalise la Grande-Ile vidée de ses voitures


 Mathieu Piranda a photographié le « Désert urbain » lié aux restrictions de circulation du marché de Noël de Strasbourg…
C’était annoncé : durant le marché de Noël de Strasbourg, en raison de l’instauration de mesures de sécurité liées à l’état d’urgence, le centre-ville allait être verrouillé, avec l’interdiction de circuler et de stationner notamment. Et même si vous n’étiez pas au courant, cela ne peut pas vraiment vous échapper lorsque vous traversez la Grande-Ile de Strasbourg : ses rues sont désertes.

Mathieu Piranda a immortalisé ces scènes, qui tranchent avec celles de la foule attendue à chaque période de fin d’année dans « Strasbourg, capitale de Noël », dans une série de photographies intitulée « Désert urbain ».

20minutes

Dorlisheim - Bugatti Chiron après Veyron

Bugatti a annoncé hier le nom de sa future « supercar » : ce sera la Chiron, modèle dont le constructeur confirme qu’il sera celui de tous les superlatifs.

La Chiron devrait notamment s’inspirer du concept car Vision Gran Turismo dévoilé par Bugatti au dernier salon de Francfort. Document remis - Bugatti Automobiles

La Chiron sera dévoilée en première mondiale au prochain Salon de Genève, en mars 2016. Son nom, qui bruissait déjà depuis plusieurs mois, a été officialisé hier : un hommage à Louis Chiron (1899-1979), le pilote qui fit les grandes heures de Bugatti entre 1926 et 1932, avec de nombreuses victoires en Grand Prix.

Une centaine de commandes

La prestigieuse marque, propriété du groupe Volkswagen, reste très discrète quant aux performances du bolide. Tout juste son président Wolfgang Dürheimer annonce-t-il « la super-voiture de sport de série la plus puissante, la plus rapide, la plus luxueuse et la plus exclusive au monde ». Rien que ça.
Depuis que Bugatti travaille sur le projet, celui-ci alimente néanmoins les fantasmes des spécialistes et passionnés – et devrait affoler tous les compteurs – puisqu’on évoque un moteur hybride développant 1 500 chevaux (soit une puissance de 50 % supérieure à celle de la Veyron) avec une vitesse de pointe qui pourrait atteindre les 450 km/h.
Incarnation d’une forme de démesure, la Chiron, qui sera assemblée dans les usines de Bugatti à Dorlisheim, se présentera aussi comme un summum de technologie et un concentré d’innovation. Elle est actuellement « en phase de test final » avec des prototypes aux quatre coins du monde pour l’éprouver dans toutes les conditions. 
Son constructeur indique par ailleurs avoir déjà enregistré une centaine de commandes. Celles de richissimes clients, s’entend, puisque niveau prix aussi, la petite dernière de Bugatti devrait battre des records, la barre des deux millions d’euros étant régulièrement avancée…
Dna

Et peut-être qu'enfin 007 l'aura pour son prochain film. Seul Bugatti n'a jamais été parmi les voitures de luxe utilisées par le célèbre agent secret de sa gracieuse majesté.

Tradition Inquiétudes pour le folklore
Le constat n’est pas le même partout, mais certains groupes de folklore alsacien s’inquiètent du vieillissement de leurs membres. Les jeunes seraient de moins en moins intéressés et les adultes réticents à s’engager. Pourtant, avec près de 80 groupes actifs, le folklore alsacien reste bien vivant et rayonne toujours, en France comme à l’international.


Le folklore est une institution en Alsace. Que l’on y soit sensible ou non, sa musique populaire, ses danses traditionnelles et ses costumes savamment colorés parlent à chaque Alsacien. Près de 80 groupes sont encore actifs dans la région. Garants d’une tradition transmise de génération en génération, ils représentent l’Alsace en « France de l’intérieur » et à l’étranger, lors des échanges organisés chaque année avec d’autres groupes folkloriques. Si certains ensembles tournent très bien, d’autres commencent à vieillir, et peinent à attirer les jeunes.

Pourquoi certains groupes de folklore sont-ils aujourd’hui inquiets ?

Fin janvier, Robert Haegelin, directeur musical de l’Echo du Bollenberg à Orschwihr (Haut-Rhin) prend la parole à l’issue de l’assemblée générale de son groupe : « Le constat est évident, la musique folklorique a peu de chance de survivre à la prochaine décennie […]. Ne laissons pas mourir notre folklore ! ». Le ton se veut résolument alarmiste et ne correspond pas au vécu de tous les groupes alsaciens. Mais le problème existe, et personne ne le nie. « Chez nous, la troupe est vieillissante : notre membre le plus jeune a 55 ans, les plus âgés ont 80 ans », raconte Robert Haegelin. Avec 15 danseurs et autant de musiciens, l’Echo du Bollenberg est encore bien doté. D’autres groupes vivent des situations plus compliquées : « Aujourd’hui, nous n’avons plus assez de danseurs, résultat, on ne se produit qu’avec les musiciens » regrette Etienne Lidy, du groupe La Columbaria, actif depuis 1937 à Colmar. À l’Echo du Bollenberg, Robert Haegelin doit parfois aller chercher ses musiciens jusqu’à Mulhouse ou Colmar pour compléter son effectif.

Comment expliquer que ces groupes peinent à se renouveler ?

Deux mots reviennent dans toutes les bouches. Comme souvent, on pointe du doigt « les jeunes ». Ils jugeraient le folklore « ringard », « pas assez in », auraient honte devant les copains… C’est à la fois vrai et inexact. Surtout, cela dépend de la définition du mot « jeune ». « Jusqu’au collège, il n’y a pas de problème : dans mon ensemble, on a un groupe de 25 enfants, le plus jeune n’a que trois ans, indique Claudine Lenner, responsable de l’association des arts et traditions populaires, dans le Haut-Rhin. Mais dès le collège, en effet, c’est terminé. » « Nous avions réussi à faire venir deux jeunes, se souvient Robert Haegelin, à Orschwihr. On a formé un couple pour la danse. Ils ont dû rester deux ou trois ans. Et puis un jour est venu le petit copain, le cyclomoteur, et maintenant ils se retrouvent dans d’autres types de soirées. »
Loin de vouloir accabler la jeunesse, les responsables associatifs invoquent d’autres raisons pour expliquer leurs difficultés. « Aujourd’hui, les jeunes ont à leur disposition tout un tas d’autres activités qui n’existaient pas à l’époque : le sport, la formation musicale… », énumère Georgette Weber, présidente de la fédération des groupes folkloriques d’Alsace. Sans oublier les écrans, tablettes, smartphones, ordinateurs, télévision. Et les études, qui éloignent les jeunes des villages.

Le manque d’engagement des jeunes est-il l’unique explication ?

« Parfois, il est plus compliqué de faire sortir les 30 - 50 ans que les plus jeunes », relativise Anne-Marie Millière, présidente de l’association départementale des groupes folkloriques du Bas-Rhin. Selon elle, le folklore nécessite un véritable engagement de chaque participant : « Si on s’inscrit à une salle de fitness ou de judo, bien entendu le mieux est d’y aller régulièrement. Mais si on loupe une séance, ça n’empêchera pas les autres d’y participer. Dans le folklore c’est plus compliqué, car chaque répétition apporte un élément nouveau. » Un engagement vécu comme une contrainte par certains, qui, « comme beaucoup de gens, n’ont plus envie de prendre tant de responsabilités ».
Par ailleurs, la désaffection toucherait plus les villes que les campagnes, où « l’on se connaît mieux et où le folklore est plus ancré dans les traditions », observe Anne-Marie Millière.

La situation est-elle désespérée ?

Non, loin de là. Les adeptes du folklore demeurent nombreux en Alsace, en témoigne le nombre des interventions (entre 15 et 40) réalisées par chaque groupe tous les ans, en particulier pendant la période estivale. Certains ensembles se portent très bien, attirent les jeunes comme à Bouxwiller ou à Gambsheim. « Pour intéresser les enfants, la fédération organise une rencontre au printemps, qu’on appelle “chocolat dansant”, en référence aux thés dansants, explique Georgette Weber. L’an passé, une trentaine de jeunes ont participé à une sortie de trois jours à l’Écomusée, un moment fort. »
À Gambsheim, un tiers des membres du groupe D’Sunneblueme a moins de 25 ans. Jade, collégienne en 5e , « veut vraiment continuer ». Elle était la première de sa famille à essayer le folklore. Elle y a ramené ses parents et des amis. Et pour arranger les enfants, les responsables leur évitent de danser dans leur village, là où il y a les copains, car « à cet âge-là, c’est vrai qu’on est sensible au regard des autres », note Fanny Hommel, ancienne Payse de France (lire ci-dessous).
Les groupes continuent aussi de voyager et d’échanger, chaque été, avec d’autres adeptes du folklore, même s’il n’est pas toujours facile de trouver des financements. Outre la danse et la musique, les passionnés de couture et d’histoire peuvent s’adonner avec joie à la confection des robes, coiffes et autres chapeaux. Des costumes qui, « bizarrement, sont ressortis lors des manifestations des opposants à la grande région », rappelle Claudine Lenner. Preuve s’il en fallait que le folklore alsacien est loin d’être enterré.
dna

FAITS DIVERS
 «Il voulait qu'elle se taise, mais elle n'arrêtait pas de parler», disent les actes d'inculpation...
Israël: Sa femme l'empêche de regarder la finale de l'Open d'Australie, il la tue
La justice israélienne a inculpé jeudi un septuagénaire de Tel-Aviv pour avoir tué sa femme qui l'empêchait de regarder tranquillement la finale de l'Open de tennis d'Australie. Maurice Biniashvilli, 76 ans, a tué sa femme Malcha, d'abord à coups de planche à découper puis de marteau parce qu'elle n'arrêtait pas de lui parler et de le déranger alors qu'il suivait le match entre Novak Djokovic et Andy Murray le 31 janvier, indiquent les documents de la justice.

«Il voulait qu'elle se taise, mais elle n'arrêtait pas de parler»

Le couple était marié depuis 1955, disent ces documents sans préciser l'âge de la victime. «Il voulait qu'elle se taise, mais elle n'arrêtait pas de parler», disent les actes d'inculpation. Maurice Biniashvilli s'est rendu dans la cuisine, «en est revenu avec une planche à découper, s'est approché de la défunte assise sur le canapé dans le séjour, a pris la planche à deux mains et a frappé la défunte à la tête», disent-ils.
Sa femme a quand même réussi à lui prendre la planche des mains. «Décidé à la tuer, il est retourné dans la cuisine, a pris un marteau et l'a frappée à la tête à plusieurs reprises malgré ses cris», ajoutent les documents. Des voisins et des passants qui ont entendu les hurlements se sont précipités dans l'appartement et ont appelé la police. Malcha a succombé à ses blessures à l'hôpital le 3 février.
20minutes

Un jeune homme de 23 ans est mort électrocuté en sautant d'un pont sur un wagon à la gare de triage de Mundolsheim (Bas-Rhin) ont indiqué les pompiers mardi.
Le jeune homme a touché une caténaire de la gare de marchandise, et a été déclaré mort sur place par les secours aux alentours de minuit, ont-ils ajouté.
Deux amis qui se trouvaient avec lui, âgés de 18 ans, ont été emmenés en état de choc à l'hôpital.
La gendarmerie ne pouvait donner d'informations sur les faits dans l'immédiat.
(Orange)

Encore un avec une cervelle d'oiseau

http://actu.orange.fr/france/haut-rhin-le-patron-d-une-entreprise-en-difficulte-s-est-immole-sur-son-lieu-de-travail-afp-s_CNT000000kNBpz.html

Il faut vraiment être à bout pour faire ça.

CIRCULATION
Strasbourg 6e, la ville la plus embouteillée de France est...
Le top 10 pour l'année 2015.

Inrix a publié son habituelle étude annuelle du trafic routier, et le classement des villes les plus embouteillées de France et d'Europe.
Globalement, en France, il y a eu moins de bouchons en 2015 qu'en 2014. Cette baisse se poursuit depuis 4 ans, "favorisée par une économie au ralenti", indique Inrix. Sur le triste podium des villes les plus bloquées, on retrouve la capitale, comme en 2014.

• 45 heures dans les bouchons en moyenne : Paris reste en tête avec une en hausse de 0,1 % par rapport à 2014.
  
• Lyon gagne en fluidité : les automobilistes ont gagné 4,4 heures de temps hors de leur voiture en 2015, comparé à 2014.
  
• En Europe, Londres est la ville la plus congestionnée, avec plus de 100 heures par an et par conducteur dans les bouchons, en moyenne
  

Quant au détail des routes les plus embouteillées, à Paris, il s'agit de l'A86 et du périphérique. En région, dans le top 10, on trouve notamment l'A6 à Lyon entre Ecully et Fourvière, ou la N87 à Grenoble entre le domaine universitaire et le Rondeau.

Et en Europe ?

Au niveau européens, la France est le 7e pays le plus embouteillé avec 29 heures perdues en moyenne par an et par habitant. Le premier est la Belgique (51 heures), puis viennent les Pays-Bas (41 heures), l'Allemagne (39 heures), le Luxembourg (34 heures), l'Angleterre (30 heures) et la Suisse (29 heures).
Quant aux grandes villes européennes, Paris se classe en 15e position,  loin derrière Londres, Stuttgart ou Anvers. La capitale britannique est aussi la pire au niveau mondial. Ensuite, arrivent cinq villes américaines. C'est aussi aux Etats-Unis que les habitants perdent le plus de temps dans les bouchons, avec une moyenne de 50 heures par an, contre 44 heures en Belgique.

dna
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Réforme territoriale: la France aurait dû consulter les régions


Une instance du Conseil de l’Europe reproche à la France de ne pas avoir organisé de véritable consultation des régions avant le vote de la loi de réforme territoriale, qui modifiait leurs frontières, dans une recommandation adoptée ce mardi.
Le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l’institution paneuropéenne pointe dans ce texte le fait que «les régions n’ont pas été consultées préalablement de manière effective» avant le vote de la loi modifiant leurs frontières territoriales.
Le Congrès invite en conséquences les autorités françaises à «revoir le processus de consultation des représentants directs des collectivités locales et régionales pour toutes les décisions les concernant».
L’adoption de cette recommandation fait suite à la première visite de contrôle effectuée sur «l’état de la démocratie locale en France» depuis que celle-ci a ratifié en 2007 la Charte européenne de l’autonomie locale, un traité international contraignant qui garantit les droits des collectivités et de leurs élus.
La recommandation a été adoptée lors de la 30e session du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux, une assemblée qui rassemble 648 élus - conseillers régionaux et municipaux, maires et présidents de région - qui représentent plus de 200.000 collectivités des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe.
Ce Congrès a également recommandé à la France de «revoir le système de péréquation afin de le rendre plus équitable, de décentraliser à nouveau les décisions relatives aux assiettes d’impositions locales et de clarifier les provenances des ressources financières des collectivités locales».
Le mouvement régionaliste des Alsaciens réunis, qui proteste de longue date contre la fusion de l’Alsace avec la Lorraine et la Champagne-Ardenne, a salué dans un communiqué «une grande victoire de la démocratie et du peuple sur la décision arbitraire du gouvernement français» et exigé l’organisation d’un référendum «en Alsace et dans chacune des régions concernées par la fusion».
dna

Le salaire du patron de PSA a quasi doublé en 2015

Il y a de quoi aimer son travail... Entre 2014 et 2015, le salaire du PDG du groupe automobile PSA, Carlos Tavares, a quasi doublé. En 2014, le dirigeant était en effet rémunéré à hauteur de 2,75 millions d'euros... Une somme passée à 5,24 millions d'euros en 2015.
Carlos Tavares va toucher, pour l'exercice 2015, pas moins de 3,23 millions d’euros (fixe+variable). Il faut ajouter à cela une voiture de fonction, une mutuelle, et surtout 130 000 « actions de performance » d’une valeur égale à 2,01 millions d’euros, note le journal Les Echos, qui explique qu'il s'agit d'actions qui seront attribuées sous conditions de performance.
Depuis son arrivée dans le groupe, en 2014, Carlos Tavares a opéré un redressement spectaculaire de PSA, qui a  fait 1,2 milliard d'euros de bénéfices en 2015. Au titre de l'exercice 2015, ses salariés ont reçu une prime de 2 000 euros en moyenne (en hausse de près de 70% par rapport à l'année précédente). En parallèle néanmoins, 8 000 suppressions de postes doivent intervenir d'ici à la fin de l'année.
Alsace

La fondation de Didier Drogba accusée de fraude
Une enquête du Daily Mail assure que l'immense majorité des fonds recueillis pour la fondation de Didier Drogba n'a pas servi la cause qu'elle est censée défendre. Le joueur de l'Impact Montréal dément.
Le Daily Mail s'est intéressé à la fondation de Didier Drogba et ses conclusions font mal : selon le tabloïd anglais, l'immense majorité des fonds recueillis par la fondation de l'ancien attaquant de Chelsea, aujourd'hui à l'Impact Montréal, n'aurait pas servi la cause qu'elle est censée défendre. 1,7 M£ ont été collectés grâce notamment aux donations de Franck Lampard, John Terry et Roger Federer mais seulement 14 115£ seraient effectivement parvenus en Afrique. Un ratio inférieur à 1%... L'argent devait servir à construire un hôpital en Côte d'Ivoire et à aider les enfants pauvres ivoiriens mais le journal assure que l'hôpital, effectivement construit, est vide.

Le tabloïd estime que 439 321£ auraient été en revanche dépensés pour organiser des fêtes très coûteuses afin de lever des fonds. Une enquête va être menée sur la base de ces allégations mais Didier Drogba a déjà réagi, via un communiqué publié sur les réseaux sociaux. L'ancien Marseillais défend sa fondation, créee en 2007, et annonce qu'il va poursuivre en justice le Daily Mail : «Je n'ai commis aucune fraude, aucune corruption, aucun manque de management, aucun mensonge.»
equipe


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ENQUÊTE Des people impliqués dans une fraude au permis

A Nanterre, les footballeurs Samir Nasri, Jérémy Ménez et Layvin Kurzawa, mais aussi le chroniqueur de Canal + Ali Baddou, sont cités parmi les 300 clients d'une arnaque qui permettait d'acheter un permis entre 2000 et 8000 euros. Quatre suspects, dont le mari de la chanteuse Amel Bent, vont être présentés à un juge.

TRAVAIL
 Privés de pause-pipi, des salariés américains portent des couches

Le groupe américain Tyson Food's est dans le collimateur de l'étude de l'ONG Oxfam mais s'est défendu de toute pratique managériale empêchant les salariés d'aller aux toilette
Selon l'ONG Oxfam, les employés du secteur volailler aux Etats-Unis doivent s'équiper de couches face à la pression des supérieurs pour tenir de hauts niveaux de production.
Concrètement, pour parer à ces pratiques faisant obstacle aux besoin les plus primaires d'un être humain, ces hommes et ces femmes "urinent et défèquent devant leur ligne de production, réduisent leurs prises de liquides et fluides à des niveaux dangereux" et encourent "de graves problèmes de santé", selon Oxfam, qui évoque une étude menée dans une fabrique du Minnesota où "86% des ouvriers disent avoir moins de deux pauses-pipi par semaine".

Prendre sur soi pour éviter le renvoi

Ce pavé dans la mare est jeté à une période où "le secteur volailler affiche aujourd'hui des bénéfices records" pendant que "les ouvriers gagnent de faibles salaires, souffrent de taux élevés de blessures", selon Oxfam. Par peur du renvoi, ces derniers préfèrent prendre sur eux et s'adapter quitte à perdre en dignité au nom de l'emploi.
D'après l'étude, seuls les salariés employés dans des usines où des syndicalistes sont présents peuvent se soulager quand ils le souhaitent. Or, cela ne représente qu'un tiers des usines américaines, où 60% du marché est détenu par quatre géants, Tyson Foods, Pilgrim's, Perdue et Sanderson Farms, qui regroupent 100 000 employés.

Tyson Food's apporte un démenti

Seule la première société nommée, qui a réalisé plus d'1,2 milliard de dollars de bénéfices en 2015, a réagi à ces accusations, se défendant de toute pratique encourageant les managers aux brimades et interdictions de pauses-toilettes envers les salariés dans ses usines.
Pas suffisant pour les internautes américains, qui se sont réunis sous le mot-dièse #GiveThemABreak pour dénonces ces pratiques industrielles et appeler à un changement.
dna


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Si j'ai mis cet article c'est que d'un seul coup je ne savais plus dans quel siècle nous vivons, les gens devraient carrément boycotter cette marque.


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Marco 69/73 a écrit:

Si j'ai mis cet article c'est que d'un seul coup je ne savais plus dans quel siècle nous vivons, les gens devraient carrément boycotter cette marque.


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On est passé au XIXème siècle en 2001 pas au XXIème siècle.
Eh oui, l'histoire n'est pas forcément une évolution forcément ascendante, il existe des régressions. Nous vivons une de ces époques.

Ginola a subi une lourde opération
Victime hier d'un malaise, David Ginola a été opéré pendant trois heures dans la nuit de jeudi à vendredi, nous apprend le quotidien Nice-Matin.

Selon une source proche du centre cardio-thoracique de Monaco, l'ancien joueur du PSG et de l'équipe de France aurait été opéré d'une coronaire et aurait subi un pontage. Son pronostic vital "resterait réservé."


Source: http://www.topmercato.com/129924,1/divers-ginola-a-subi-une-lourde-operation.html#ixzz49BZ9Vt4d

Les radars ont rapporté 789 millions d'euros en 2015, un record

Les radars ont bien aidé à remplir les caisses de l'État en 2015 : selon une note de la Cour des comptes, révélée par nos confrères de BFM TV, les recettes auraient atteint 789 millions d'euros l'an dernier. Des recettes qui sont en augmentation de 6,6% par rapport à 2014. Cependant, ce que rapportent les radars ne représente que 1% des recettes totales.

Moins de flashs en 2015

Comment expliquer ce record ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les quelque 4200 radars répartis sur les routes de France n'ont pas plus flashé : 20,24 millions de photos ont été prises en 2015, contre 20,37 millions l'année précédente.
Les recettes records s'expliqueraient par le taux de conversion : en 2015, 66% des flashs étaient convertis en contravention (contre 46% en 2005). Un taux de conversion amélioré dû à l'efficacité en progression des radars et à la possibilité de verbaliser les conducteurs étrangers.

500 radars supplémentaires dans les 3 ans à venir

Dans le cadre de la prévention routière, 500 radars supplémentaires seront installées le long des routes d'ici trois ans.
dna

David Ginola est rentré chez lui
David Ginola est sorti de l'hôpital après un quadruple pontage coronarien.
Victime d'un arrêt cardiaque il y a dix jours, ayant subi un quadruple pontage coronarien, l'ancien international français David Ginola est sorti de l'hôpital ce lundi.
equipe

ÉTATS-UNIS
Il tombe dans une source et meurt dissous par l'acide


Dans le parc de Yellowstone, un jeune Américain de 23 ans a fait une chute mortelle, alors qu'il avait marché au-delà du parcours sécurité. Les sauveteurs n'ont pu récupérer que quelques effets personnels.
Balade mortelle pour Colin Nathaniel Scott, 23 ans. Alors qu'il se promenait dans le parc naturel du Yellowstone, le jeune américain a glissé dans le bassin de Geyser Norris, une des nombreuses sources d'eau chaude de l'endroit, rapporte le site de Paris Match. 
La chaleur de l'eau [100°C] et sa forte acidité ont eu raison de lui. Pire, les autorités pensent que son corps a été dissous.

200 mètres de trop 

Selon la sœur de la victime, Colin aurait parcouru 200 mètres "au-delà du parcours de sécurité". C'est alors qu'il est tombé... "Les sauveteurs ont pu récupérer quelques effets personnels. Il n’y avait rien d’autre à sauver", a fait savoir une porte-parole du parc, Charissa Reid.

22 morts depuis 1890

Yellowstone compte 300 geysers et 10 000 sources chaudes. La plupart sont accessibles via des sentiers balisés. En sortir expose à de terribles risques.
Depuis 1890, 22 personnes seraient mortes dans les eaux brûlantes, acides de Yellowstone. "La plupart des décès sont des accidents bien que deux personnes ont tenté de se baigner dans la source", rapporte Lee Whittlesey, historien de Yellowstone, cité par Paris Match.
dna

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