Si toutes les personnes dont hilali a abusé un jour deposaient une plainte, il faudrait ouvrir un tribunal rien que pour ça...
Abus de bien, escroqueries, tentetive de faillite volontaire, non prise en compte du droit du travail, usurpation d'identite, usage de faux...
Beau palmares pour le moment et ca n'est pas encore fini...

Jour après jour les éléments contradictoires se multiplient et on n'avance pas d'un pouce, dans ces conditions qui croire? Je crois que le destin du racing est scellé, les quelques bonnes volontés qui semblaient se manifester se heurtent à l'animosité d'autres dont on ne connaît pas les intentions tellement elles sont nébuleuses, un président de plus en plus acculé vers la porte de sortie mais qui se cramponne à toutes sortes de leurres pour éviter la chute, une municipalité bien transparente et hésitante et pour couronner le tout la fuite en avant des joueurs pros et amateurs. Redémarrer en National dans quelques semaines dans ces conditions relève de l'utopie et seul un miracle pourrait encore sauver le club mais le dernier faiseur de miracles date de plus de 2000 ans donc........

Sauf qu'aujourd'hui Jafar se retrouve comme un con sans rien à négocier.,vu que Graeff et Sitterlé n'iront pas plus loin dans les négociations. Le premier ayant jeter l'éponge et le second ne voulant pas surenchérir. Je parierais bien sur un énième "retournement" de sa part en allant relancer Sitterlé pour finalement accepter son offre. Sinon c'est droit dans le mur pour Bachi-bouzouk.

Mobilisation générale
Alors que la vente du Racing est plus que jamais au point mort, les représentants de la Ville et de l’association se sont rendus à Paris hier, pour ébaucher un plan de sauvetage avec la FFF et la LFP. Histoire de parer à toute éventualité…



Il n’y a pas que l’Alsace qui s’inquiète du sort de « son » Racing, club plus que centenaire à la santé vacillante.

Hier, ce sont les acteurs nationaux du football hexagonal qui ont décidé de s’inquiéter du destin d’un club qui s’accroche depuis 78 ans à son statut pro.

Samedi, le Maire Roland Ries avait lancé un appel aux instances du football français, pour tenter de trouver une solution à la situation compliquée qui règne aujourd’hui au Racing.

« Efficace et dense »
L’édile municipal a été entendu, puisqu’Alain Fontanel, vice-président de la CUS, et Serge Oehler, adjoint en charge des sports, ont été reçus hier après-midi à Paris. Patrick Spielmann avait fait le déplacement avec eux en tant que représentant de l’association Racing.

En face, trois officiels de la Ligue de football Professionnel (LFP) étaient présents, ainsi que trois autres responsables de la Fédération Française de Football (FFF).

« Nous avions déjà eu de nombreux contacts téléphoniques, explique Alain Fontanel. Mais c’était la première fois qu’on se rencontrait tous autour d’une table. Cela a été efficace et dense ».

Avec au menu, tout ce qui fâche actuellement quand on évoque le dossier Racing : les soucis de la DNCG, la convention entre les amateurs et la SASP, le numéro d’affiliation…

« Nous avions beaucoup de questions précises à poser sur de nombreux sujets, notamment juridiques, mais aussi concernant l’association, la reconstruction du club ou le centre de formation », poursuit le vice-président de la CUS.

Sur les différents sujets abordés, les réponses sont encore floues. « Pour l’instant, on a tout mis à plat. On examine des pistes de travail pour sauver le club, mais on ne peut pas encore en parler plus précisément, pose encore Alain Fontanel. Nous sommes au stade des hypothèses. On doit désormais approfondir les diverses options qui sont possibles ».

La démarche vise à sauver un club dont l’avenir ne s’éclaircit par vraiment alors que les jours passent.

« Nous nous sommes donnés deux jours pour étudier, chacun de notre côté, toutes les options. L’objectif est d’aller vite », souligne encore Fontanel.

« Tout le monde est mobilisé »
Même si aucune solution miracle n’est ressortie de ces discussions, Alain Fontanel se dit tout de même satisfait de cette première prise de contact.

« Nous avons été bien reçus et du côté de la FFF et de la LFP, il y a une vraie volonté de répondre à l’appel du Maire. Ils sont mobilisés à nos côtés. Après, on verra ce qu’on peut faire, mais au moins cette réunion au sommet montre que tout le monde est mobilisé », pose encore Alain Fontanel.

Ce qui est sûr, c’est que tant que Jafar Hilali reste propriétaire du club, les solutions ne sont pas légion. Et surtout, la Municipalité comme l’association veulent se montrer prudentes dans leurs actions.

Car hier, la vente du club n’avait pas avancé d’un pouce. Frédéric Sitterlé, le candidat le plus sérieux, semble définitivement en froid avec Jafar Hilali et a déjà indiqué qu’il ne voulait pas remettre le couvert.

Quant au projet nébuleux de Jacky Kientz, il s’éloigne de plus en plus d’une concrétisation, Bernard Graeff ayant annoncé qu’il jetait lui aussi l’éponge.

« À ma connaissance, il n’y a plus d’offre de rachat sur la table », a précisé Alain Fontanel, qui suit le dossier de près.

Bref, ce matin « on ne sait toujours pas où on en est, ni où on va », comme le résume Thierry Wendling.

Ce n’est pas vraiment une bonne nouvelle. Mais ce n’est pas non plus une surprise…

Barbara Schuster

Oui bon toujours le même refrain, on joue au chat et à la souris.

On tourne en rond et pendant ce temps rien ne bouge.

Hilali relance Ciup
le 17/06/2011 à 00:00 par S.G.

Ceux qui suivaient le dossier à l’époque s’en souviennent : Laurent Ciup était en concurrence avec Jafar Hilali, Alain Fontenla et l’armada londonienne lors du rachat du Racing à Philippe Ginestet le 4 décembre 2009. Mais il s’était fait devancer, après avoir pourtant procédé à un audit poussé du club. Jafar Hilali a récemment relancé le directeur général délégué du groupe informatique eBizcuss pour voir s’il était encore intéressé. Preuve que le propriétaire londonien cherche toujours à court-circuiter le Haut-Rhinois Frédéric Sitterlé, dernier candidat en lice après le retrait volontaire de Bernard et Sébastien Graeff (nos éditions de mercredi et jeudi). Depuis les Etats-Unis où il est actuellement en déplacement, Laurent Ciup, proche de Luis Fernandez, ne nie pas avoir eu un échange informel avec le propriétaire du RCS. « Depuis le début, nous sommes toujours restés en contacts réguliers. J’ai discuté très brièvement avec Jafar Hilali sur la reprise éventuelle du club – mais très, très furtivement – et lui ai demandé d’attendre mon retour avant de prendre une décision. Mais c’est vraiment tout à ce jour. Nous sommes très loin d’avoir entamé la moindre négociation. »

Quand Hilali consulte


S’il pourrait se résigner à vendre le club à Frédéric Sitterle, le président du Racing a rencontré trois successeurs potentiels de Laurent Fournier. Didier Ollé-Nicolle et Noël Tosi l’ont séduit.

Jafar Hilali a concrétisé son projet de replonger dans les réalités sportives du club qu’il préside.

Hier, il a bel et bien rencontré à Paris, dans un grand hôtel, trois techniciens qu’il pourrait envisager de nommer entraîneur.

A priori, Didier Ollé-Nicolle, qui vient de sauver Neuchâtel Xamax dans l’élite suisse, et Noël Tosi, à la tête du centre de formation nîmois, se sont révélés convaincants dans les.

La candidature d’Alain Michel, le manager général du Red Star, a moins retenu son attention.

Il reste que le n°1 du club strasbourgeois n’envisage pas nécessairement de demeurer en Alsace au-delà du 30 juin, date de la clôture de l’exercice actuelle.

En ce sens, Hilali a sollicité des partenaires potentiels, en vain pour l’instant. Ainsi, Alain Afflelou et Bernard Tapie ont fait l’objet de ses attentions.

Bientôt une rencontreau sommet ?
Il semble beaucoup plus raisonnable d’envisager un accord final avec le seul repreneur toujours sur les rangs pour racheter le club, Frédéric Sitterlé. Le jeune chef d’entreprise haut-rhinois fait preuve d’une patience à toute épreuve jusqu’ici. Il pourrait en être récompensé dans les prochaines heures puisque Jafar Hilali serait prêt à le rencontrer.

Si Jafar Hilali demeure fort hostile à Henri Ancel et Léonard Specht, qui seraient pressentis pour épauler Frédéric Sitterlé dans la gestion du Racing, l’homme de Londres ne serait désormais plus opposé à rencontrer le porteur d’une offre de rachat d’1,6 million d’euros, agrémentée d’un bonus de 2 millions en cas de remontée jusque dans l’élite.

Il reste que le calendrier s’annonce serré et qu’il s’agirait d’envisager un processus de vente express. La commission en charge des clubs pros à la Direction nationale du contrôle de gestion doit donner son aval quant au budget finissant ainsi que pour celui de la saison à venir. La date du 29 juin aurait été demandée par Jafar Hilali pour l’inspection des comptes strasbourgeois. «Ce rendez-vous pourrait avoir des conséquences graves. Les anctions décidées par la DNCG pourraient ne pas se limiter à une rétrogradation en CFA mais aussi à une interdiction de tout championnat pour le club», selon Alain Fontanel, l’adjoint en charge du dossier à la municipalité, d’après ce qui a été précisé lors de la réunion de travail intervenue mercredi avec des représentant de la FFF et de la Ligue.

Witzel relancé
Enfin, et l’actuel président du Racing n’en est pas au premier contre-pied, Jean-Luc Witzel, le directeur sportif évincé en avril, aurait été relancé pour réintégrer l’organigramme et donner un petit coup de pouce en une intersaison de tous les dangers. Sans entraîneur, sans guère de joueurs, le Racing tirerait quelques bénéfices à ce retour. Plutôt prudent en ces temps d’incertitude, l’intéressé aurait préféré décliner.

Les jours passent et toujours rien.

A mon avis nous sommes plus près du dénouement ......qu'hier

Plus sérieusement :

Citation :

Contact renoué et dénouement ?

Alors que la DNCG (1) l’auditionnera de nouveau mercredi et que le temps joue en sa défaveur, le président Jafar Hilali a accepté de rencontrer ce jour-là le candidat au rachat le plus crédible, le Haut-Rhinois Frédéric Sitterlé.

Jusqu’au bout donc - et rien n’indique que ce soit fini -, Jafar Hilali aura joué au poker menteur. Jeudi à Paris, accompagné de son nouvel alibi – conseiller – sportif Adil El Barkaoui, il a rencontré trois candidats au poste d’entraîneur : Noël Tosi, Didier Ollé-Nicolle et Alain Michel. Une manière de donner l’impression qu’il prépare la saison prochaine, alors même qu’il a annoncé il y a dix jours « en avoir marre et vouloir vendre. »

Hier, il n’en a pas moins renoué le fil des discussions avec Frédéric Sitterlé, l’investisseur haut-rhinois désireux de racheter le RCS depuis fin décembre 2009. L’autre vendredi, le propriétaire londonien avait pourtant littéralement envoyé promener le Blodelsheimois pour la 3 e fois en un an et demi. Il avait rejeté sa proposition (1) en presque moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire dans un SMS. « Je viens de parcourir ton offre qui est trop loin de mes prétentions. Je pense qu’après une dizaine d’e-mails, il faut mettre un terme à cette négo pour ne pas perdre plus de temps. »

Depuis, une semaine s’est écoulée et s’est traduite, précisément, par une perte de temps. Certes, Hilali a, comme d’habitude, occupé le terrain, notamment en auditionnant avant-hier les postulants au poste de coach. Mais il a eu beau se démener et demander à son nouvel aide de camp, A. El Barkaoui, de faire chauffer les téléphones, rien n’y a fait.

Pour l’heure, F. Sitterlé reste le seul candidat crédible au rachat d’un RCS dont le propriétaire « anglais » est attendu par la DNCG (2) dès mercredi, alors qu’il espérait n’être auditionné que le 29. Sans doute faut-il en déduire que la réunion au sommet de mercredi dernier à la Fédération entre les instances nationales du foot d’une part (Ligue, FFF et leurs organes respectifs de contrôle financier), la Ville de Strasbourg et l’association support RCS d’autre part, a produit son effet. La DNCG entend accélérer le mouvement et étudier au plus vite le cas d’un club qui lui avait indiqué ne pas vouloir garder le statut pro le jeudi 9 juin, mais lui a transmis deux jours plus tard une demande de dérogation pour le conserver. Sans garantie aucune de l’obtenir.

Ciup et Hilali s’appellent lundi

Car sauf si Jafar Hilali présente ce jour-là, comme il l’a affirmé dans un courrier adressé aux membres du conseil de surveillance, « un budget combiné équilibré », le gendarme financier de la LFP risque fort de lui donner un vilain coup de matraque. Le panel des sanctions est large : il peut aller de la rétrogradation administrative à une exclusion pure et simple de tous les championnats. Une dernière menace déjà brandie le 19 janvier 2010 lorsque Hilali, Alain Fontenla et les autres refusaient obstinément de déposer sur le compte courant du Racing les 3 millions que la DNCG avait exigés. Ils avaient fini par s’exécuter.

Ce mercredi 22 s’annonce d’autant plus chargé pour l’actionnaire majoritaire qu’en marge de sa 2 e audition de juin devant l’instance de surveillance financière, il rencontrera Frédéric Sitterlé. « Si rendez-vous il y a, il faut que ce soit pour du concret, mais pas uniquement pour discuter et perdre du temps », indiquait hier en début de soirée l’homme de confiance du Haut-Rhinois, Henri Ancel, sans entrer dans des détails qu’à l’évidence, il ignorait.

Pour sa part injoignable, Fred Sitterlé tirait la veille la sonnette d’alarme. « Plus on s’approche des échéances fatidiques et plus les investissements nécessaires à la relance du club seront importants, au détriment du prix de cession. » Sous-entendu : sa prochaine offre pourrait être inférieure à la première. À douze jours de la fin du mois, le temps est plus que jamais compté. Le départ d’Alexi Peuget à Reims (Ligue 2) confirme que le club se vide chaque jour un peu plus de ses forces vives (voir ci-dessous).

Mais si Jafar Hilali a daigné renouer avec Sitterlé qu’il ne porte pas dans son cœur, c’est peut-être que pour la première fois, il se sent à court de solutions. Encore qu’avec lui, il ne faille jamais vendre la peau du Racing avant de l’avoir tué. La preuve : hier soir, Laurent Ciup, candidat malheureux au rachat en décembre 2009 et que Hilali vient de relancer (notre édition de vendredi), a fait savoir qu’il rentrait lundi de son voyage aux États-Unis et devait prendre contact avec l’actionnaire majoritaire le soir même. Preuve que Hilali reste déterminé à jouer jusqu’au bout sur tous les tableaux. L’étau a beau se resserrer autour de lui, il gonfle toujours les pectoraux.

(1) 1,6 million en cash, plus deux bonus d’un million en cas de remontée en L2 dans les deux ans et en L1 dans les quatre ans.

(2) Direction nationale du contrôle de gestion.

(L'Alsace)

Le titre de ce topic m'interpelle, "Hilali veut vendre". Il veut vendre quoi en fait y a plus rien, le seul capital restant était celui des joueurs, or depuis quelques semaines la porte de sortie est ouverte créant un sacré courant d'air mais à sens unique. 3 entraîneurs sur la liste d'Hilanul çà en fera presqu'un par joueur d'ici quelques jours. Si Sitterlé attend encore quelques jours l'aura le club pour rien enfin ce qu'il en reste.

Football / Le point au Racing

« Sitterlé, à 99 % »
C’est une nouvelle semaine décisive qui s’annonce au Racing. Mais le pénible suspense devrait prendre fin. Jafar Hilali est sur le point de trouver un accord avec Frédéric Sitterlé, le principal candidat au rachat.



Jafar Hilali semble être entré dans la dernière ligne droite du processus de vente. Le président du Racing négocie activement avec Frédéric Sitterlé. (Photo archives DNA)
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partager : D’aucuns diraient que le suspense n’a que trop duré, que les blagues les plus courtes sont les meilleures et qu’il y a un temps pour la plaisanterie et un autre pour les choses sérieuses. Après des épisodes aussi nombreux que rocambolesques, après des virages à 90, 180 et 360°, le Racing devrait prendre un virage définitif dans les heures à venir et (peut-être) emprunter une route moins cahoteuse.

« Je cède le club et je souhaite bon courage à mon successeur »
Sollicité depuis des mois pour laisser la main, chahuté par un environnement qu’il n’a jamais ménagé, Jafar Hilali devrait entendre raison. Le président a admis depuis Londres, hier, que la perspective de vendre le club avait désormais une certaine consistance.

« Il n’y a plus que trois voies possibles, a indiqué le n°1 du Racing. Soit je vends le club, soit on organise un partenariat, soit personne ne rachète le club et je serais tenté de rester. » Le problème posé est simple. Mais à bien écouter Jafar Hilali, une solution a ses faveurs.

« S’il y a un acheteur, je cède le club et je souhaiterais un bon courage à mon successeur », explique le président. Si ce dernier n’en est pas à un revirement près, il ne négocie pas non plus avec des interlocuteurs aux intentions évangéliques. Frédéric Sitterlé s’est distingué ces dernières semaines, par la forme d’acharnement dont il a fait preuve pour reprendre le club.

Ses soutiens se sont néanmoins activés pour empêcher d’autres alternatives d’exister. « Des gens auraient souhaité s’engager, via un partenariat, pour me laisser finir le sale travail, garantit Hilali. Mais bon. D’autres étaient prêts à accepter l’idée que le club évolue en CFA plutôt que d’envisager une autre solution. »

Les jours s’égrènent. Les échéances se rapprochent et le passage devant la Direction Nationale de Contrôle de Gestion, mercredi, pourrait faire office de rendez-vous décisif.

« On doit se voir avec Frédéric Sitterlé, à Paris, ce jour-là, souligne l’homme de Londres. L’idée est qu’il s’en tienne à l’offre formulée pendant les négociations et qu’il garantisse le budget de la saison prochaine. »

Les deux hommes continuent donc de discuter le « bout de gras », sur une base de 1,6 million d’euros, via des échanges de mels. Mais les grandes lignes d’une vente sont définies, même si l’envie de gonfler ou d’alléger la somme continue d’exister dans les deux camps. Il reste la question des bonus (un million en cas de remontée en Ligue 2, un million en cas de remontée en Ligue 1) que Jafar Hilali refuse de voir limité dans le temps. « À 99 %, ça devrait être Frédéric Sitterlé », finit par lâcher Jafar Hilali. À ce dernier d’assurer le budget de la saison finissante. Au jeune homme d’affaires haut-rhinois de reprendre le flambeau et d’assurer un prochain exercice forcément déficitaire — on parle de deux à quatre millions d’euros pour l’exercice 2011-2012.

Le volet sportif, qui a des allures de champs de ruines, n’angoisse pas outre-mesure le dirigeant (peut-être) sur le départ. « Il reste encore 12 joueurs sous contrat et d’autres veulent rester, explique-t-il. Je pense à un Sikimic que je n’ai pas ménagé, c’est vrai. Mais je m’en suis pris à lui (ndlr : le capitaine avait indiqué en cours de saison se sentir seul) parce qu’il était le plus solide. Je ne tape pas sur les faibles. Par ailleurs, des contacts ont été pris avec Didier Ollé-Nicolle, qui fixerait la reprise de l’entraînement le 28 juin, ou Noël Tosi. Strasbourg continue d’attirer. »


« Laurent Fournier est sous contrat avec nous »

Sur la question du technicien, le (futur ex- ?) président ne compte pas sacrifier les droits strasbourgeois sur Laurent Fournier. « Pour tout vous dire, je lui ai envoyé : « as-tu terminé ta fugue ? Maintenant, il faut que tu rentres », a encore glissé Jafar Hilali. D’ailleurs, c’est avec grand plaisir que je vais le croiser mardi (ndlr : demain) devant le tribunal arbitral de la Ligue. Son contrat avec Auxerre n’a d’ailleurs pas été homologué par la Ligue, puisqu’il est sous contrat avec nous »

Jafar Hilali n’a pas arrêté sa position sur la question. Privilégiera-t-il une forme d’indulgence ou jouera-t-il les fiers à bras sur le sujet ?. Avant d’éventuellement céder la place, il faut s’attendre à une énième pirouette du surprenant dirigeant.

François Namur

Mouais 99% selon Jafar ,mais ça représente combien en réalité ??
N'oublions pas L.Ciup qui est entré dans la danse (semble-t-il) il y a quelques jours.....ça sent l'énième tentative de faire monter les enchères. Heureusement que le club passe devant la DNCG ce mercredi, le cauchemar Hilalouille devrait prende fin.

Autre article concernant le rachat:

Citation :

48 heures pour vivre !!

L’audition du Racing - qu’on pourrait qualifier d’audience tant le club strasbourgeois semble passible d’une lourde condamnation - par le gendarme financier de la Ligue n’aura lieu que dans 48 heures. Mais dans l’histoire mouvementée du RCS, deux jours s’apparentent à une éternité et les choses ne devraient pas rester figées. Ne serait-ce que parce que Laurent Ciup, directeur général délégué du groupe informatique eBizcuss, rentre aujourd’hui de son voyage aux États-Unis et doit contacter Hilali en soirée. Objet de leur discussion : un rachat que Ciup n’avait pu conclure fin décembre 2009 lorsqu’Alain Fontenla et Jafar Hilali avaient, une première fois, annoncé vouloir revendre le club quinze jours après l’avoir acheté à Philippe Ginestet.

L. Ciup a fait savoir à Frédéric Sitterlé - qui doit lui-même rencontrer Hilali mercredi - qu’il ne souhaitait pas s’associer à un projet existant, mais se sentait capable d’y aller seul en acquérant pour une somme inférieure (1) Carousel Finance, la société du propriétaire londonien. La seule entité, dans la pyramide capitalistique du Racing, à n’être pas soumise au droit de préemption des actionnaires minoritaires (Robert Lohr, Egon Gindorf et Dominique Pignatelli). « Racheter Carousel sans connaître toutes les implications derrière serait extrêmement dangereux », décrypte un analyste de la place strasbourgeoise. « Car dans le dossier RCS, tout le monde sait que le prix d’achat n’est que la partie émergée de l’iceberg. »

Le Nancéien Jean-Claude Calisesi, également porteur d’un dossier de reprise, l’a bien compris, lui qui souhaitait aussi contourner le droit de préemption par l’acquisition de Carousel Finance. Son projet s’articule autour d’un développement des filières africaines. Il a appelé Sitterlé pour le lui dire et lui proposer une association. Mais le patron haut-rhinois de myskreen.com, qui fait de la formation une priorité, a décliné.

Une chose est sûre : un rachat de Carousel par Ciup ou Calisesi ne les exonérerait pas d’un examen approfondi de la situation du RCS par les instances nationales (Ligue et Fédération). Lesquelles semblent désormais pouvoir décider de l’avenir du club au moins autant que les acquéreurs potentiels.

(1) Sitterlé a proposé 1,6 million, plus deux bonus d’un million chacun en cas de remontée en L2 dans les deux ans et en L1 dans les quatre ans.(L'Alsace)

Marius a écrit:

Football / Le point au Racing


Sur la question du technicien, le (futur ex- ?) président ne compte pas sacrifier les droits strasbourgeois sur Laurent Fournier. « Pour tout vous dire, je lui ai envoyé : « as-tu terminé ta fugue ? Maintenant, il faut que tu rentres », a encore glissé Jafar Hilali.

Enorme !

Mais là je dois reconnaître que Hilanul n'a pas tort et je l'avais déjà dit il y a quelques semaines, Fournier a un contrat, soit il l'honore, soit il négocie son rachat comme le font parfois les joueurs. Je comprend très bien qu'il ait eu une belle opportunité mais il connaissait très bien Jafar donc aurait du se méfier.

Auxerre ne devrait pas avoir trop de mal a racheter le contrat je pense

candyraton a écrit:

Mais là je dois reconnaître que Hilanul n'a pas tort et je l'avais déjà dit il y a quelques semaines, Fournier a un contrat, soit il l'honore, soit il négocie son rachat comme le font parfois les joueurs. Je comprend très bien qu'il ait eu une belle opportunité mais il connaissait très bien Jafar donc aurait du se méfier.

Se méfier de qui de quoi.
Je crois que Fournier ne risque pas grand chose, au pire il devra (enfin c'est plutôt l'AJA ) racheter sa dernière année. Si JAfar reste à la tête du Rcs celui ci ne sera plus pro , le problème ne se poserait plus . Et si le club est vendu et reste pro , le nouveau propriétaire ne devrait pas trop titiller Fournier , il aura d'autres chats à fouetter. Au pire il demandera quelques euros d'indemnités ce qui reste tout à fait dans les cordes de l'AJA.
Il a eu raison de s'engager avec un autre club, surtout quand on voit qu'aujourd'hui le RCS reste dans l'impasse et que le projet sportif n'est toujours pas en place.

Il serait plus que temps que cette affaire se règle.
Nous sommes à une semaine de la reprise et l'équipe n'existe plus pour ainsi dire. Les meilleurs pour jouer en National doivent déjà être tous pris pour ainsi dire mais il est peut-être encore temps de composer une équipe qui pourrait jouer le maintien.
Faut pas se faire d'illusions, nous sommes désormais au mieux dans la situation sportive (en pire en fait) que Metz quand le club lorrain a débuté la saison dernière en L2, nous en National bien sûr.

De toute faconje pense que la vente se fera si elle a lieu, juste avant le passage devant la dncg. A ce rythme la, je vois vraiment pas comment on peit presenter un budget previsionnel qui tient la route.

Les magouilleurs depuis 20 ans seront la pour épauler le repreneur et sauver leurs acquis et continuer à remplir leurs poches sur le dos du RCS.....

Moi, je dis que le RCS doit mourir pour enfin être libre et d'être débarrassé de tout ces jeunes et vieux vautours....

«Une semaine de vérité»
À la veille du passage du Racing devant la DNCG et de la vente probable du club strasbourgeois, Alain Fontanel, adjoint au maire et vice-président de la CUS, a accepté de faire le point sur le dossier. Il évoque un éventuel plan B initié par la Ville et l’association si les négociations venaient à capoter.

– Jafar Hilali a une nouvelle fois annoncé son souhait de vendre le club. Pensez-vous que cette vente puisse être finalisée avec Frédéric Sitterlé ?

– Je ne crois plus, depuis longtemps, aux annonces dans ce dossier. Nous entrons dans une semaine de vérité, probablement la dernière.

La vente ne pourra se faire que si elle intervient aujourd’hui ou demain, ensuite il sera trop tard. Après les probables sanctions de la DNCG, le Racing perdra l’essentiel de sa valeur, il pourra au mieux être bradé.

« Les conditions d’un accord ne sont pour l’instant pas réunies »
J’ai multiplié ces derniers jours les contacts avec les différents repreneurs potentiels. Seul Frédéric Sitterlé reste en lice, mais pas à n’importe quelle condition. Les conditions d’un accord ne sont pour l’instant pas du tout réunies (lire aussi ci-contre).

Les discussions doivent absolument s’intensifier aujourd’hui pour pouvoir aboutir demain. Je souhaite qu’un accord soit trouvé avant le passage devant la DNCG.

– Quel rôle la Ville peut-elle jouer pour que le Racing sorte enfin de ces difficultés ? Quels sont les leviers dont elle dispose ?

– Il faut toujours revenir aux réalités. Le club est avant tout une entreprise qui relève à la fois du droit sportif et du droit du commerce.

Les collectivités n’ont plus le droit d’aider directement ces sociétés sportives professionnelles (SASP) et c’est une bonne chose. Nous devons protéger les intérêts du contribuable et éviter les dérives du passé.

Mais nous ne pouvons pas être de simples spectateurs des dérives du foot professionnel. C’est pour cela que nous avons obtenu un droit de préemption au bénéfice des actionnaires minoritaires du club.

Cela permet d’éviter que, du jour ou lendemain, un nouveau Président arrive de nulle part, sans expérience, ni même intérêt pour le football.

« Le risque d’enlisement est réel »
Nous avons aussi intégré dans le bail de location du stade un droit d’agrément qui n’existait pas jusqu’ici. Un nouvel actionnaire doit désormais obtenir l’agrément de la CUS – propriétaire de la Meinau – pour pouvoir y jouer. Il n’y a pas de droit acquis et transmissible.

« Le Racing est un élément essentiel de notre patrimoine régional et sportif »
Au-delà de ces précautions qui permettent d’éviter une nouvelle aventure incertaine, nous travaillons avec tous les partenaires (notamment les sponsors historiques) afin de favoriser un projet de reprise solide et crédible, car le Racing est un élément essentiel de notre patrimoine régional et sportif.

– Les discussions sur la vente du club ne risquent-elles pas de se prolonger trop longtemps ? Quelles seraient alors les autres options ?

– Le risque d’enlisement est réel, il entraînerait la mort plus ou moins rapide du club. Nous avons travaillé à plusieurs solutions de repli si la vente ne devait pas intervenir dans les prochains jours.

Avec l’association, nous prendrons nos responsabilités et nous solliciterons une dérogation de la Fédération afin que le club puisse survivre. La procédure est complexe et incertaine, mais nous n’hésiterons pas s’il en va de la survie du Racing.

Le dossier est déjà très largement ficelé. Nous y travaillons depuis plusieurs semaines en contact étroit avec les autorités nationales du foot.

– Le Racing passe devant la DNCG demain. Vu le budget annoncé par Jafar Hilali, quelles seront, selon vous, les décisions prises par le gendarme financier de la Ligue ?

– La sanction sera à minima une rétrogradation en CFA. L’interdiction de tout championnat reste probable si de nouvelles garanties financières ne sont pas données. La procédure d’appel serait très incertaine, il est très peu probable qu’un repreneur s’y risque.

« Nous soutiendrons une démarche d’ouverture vers les supporteurs »
La situation du club sera encore plus difficile en cas de rétrogradation, ce qui pourrait inciter la DNCG à mettre fin à la belle aventure du Racing. Ce serait la plus terrible des situations, le responsable serait clairement identifié.

– Si Frédéric Sitterlé rachète le club, comment la Ville et la CUS peuvent-ils l’aider ? La Ville pourrait-elle allouer gratuitement la Meinau pour la saison à venir, par exemple ?

– Nous serons aux côtés de tout projet sérieux qui reprenne les éléments essentiels de l’identité du club que sont la Meinau, le centre de formation et les supporters.

La convention devra être signée dans les derniers jours de juin
Le Maire a toujours dit que la situation sportive et économique serait prise en compte. Nous nous inscrivons dans un partenariat dans la durée pourvu qu’il y ait… partenariat.

La gratuité d’un équipement sportif n’est juridiquement pas compatible avec le caractère professionnel d’un club, mais des efforts peuvent et doivent être réalisés.

Nous soutiendrons aussi une démarche d’ouverture vers les supporters. C’est d’ailleurs ce que nous allons nous-mêmes lancer avec la SIG dans les prochains jours.

– Comment voyez-vous les relations entre la SASP et l’association ? Y a-t-il eu des avancées sur la convention ?

– Les deux doivent être en harmonie, sinon c’est le chaos comme actuellement. L’arrivée d’un nouveau propriétaire impliquera de redonner au centre de formation toute sa place et son rôle.

Les relations avec l’association seront nécessairement apaisées. La convention devra être signée au plus tard dans les derniers jours de juin pour que le club puisse s’inscrire en championnat. Un projet de convention est prêt, il ne manque que les signataires.

– Avez-vous hâte que tout cela se termine ?

– Oui, bien sûr. Tout d’abord pour le club, pour ses salariés et pour tous les supporters. Mais aussi au nom des valeurs et de l’éthique du sport.

Le Racing doit pouvoir jouer son rôle social et d’exemplarité. C’est important. L’exemple doit venir d’en haut et des dirigeants. Il doit enfin quitter la rubrique des faits divers pour redevenir un dossier purement sportif.

Propos recueillis par Barbara Schuster

Sitterlé temporise
Frédéric Sitterlé a tenu à tempérer quelque peu les propos de Jafar Hilali, qui se disait très près d’un accord de vente.

« Je suis un peu surpris de l’assurance de Jafar Hilali dans vos colonnes (DNA d’hier). Je me réjouirais pour le club si nous pouvions conclure la vente rapidement. Certes, nous avons renoué le contact, mais il reste encore du chemin à parcourir avant de trouver un accord », a indiqué hier Frédéric Sitterlé.

« Nos brefs échanges ne nous ont pas permis de valider tous les points et nous devons impérativement finaliser cette vente dans les plus brefs délais.

J’ai insisté pour que nous trouvions un accord au plus tard mardi soir (aujourd’hui, ndlr), veille de l’audition devant la DNCG. Je me battrai jusqu’au bout pour défendre le Racing, mais je reste prudent », a encore précisé l’entrepreneur alsacien, qui a proposé une solution de rachat à Jafar Hilali de l’ordre de 1,6 million d’euros, assorti de primes de montée.

Il y aujourd'hui un très grand dossier sur. le racing dans France foot avec pleins de perles signées jafar le grand

Voilà, il n'y aura pas de Sitterlé....


http://www.lalsace.fr/actualite/2011/06/21/racing-la-vente-a-echoue

C'était sûr qu'il allait refuser. Il n'a jamais abandonné son exigence à hauteur de 10 millions.

A moins qu'il ne revienne sur ses paroles en toute dernière minute....même si ça parait impossible.
Bon la DNCG n'a plus qu'à lui couper la nouille demain ,qu'elle n'hésite surtout pas.
IL veut jouer,il va être servi l'abruti

Franchement je préfère un racing repartant au bas de l'échelle qu'un racing avec ce guignol comme président.

Pourquoi subir....?
Il veut juste tout foutre en l'air et en attendant, il s'amuse.
Sitterlé a perdu beaucoup de temps avec ce mec!

Et devant la DNCG il dira que "le juge c'est moi".....

Triste soirée que cette fête de la music...où l'égo d'un homme vient bousiller mes souvenirs, mon club, une partie de ma vie....je hais cet homme !!! je lui souhaite le pire ....

En même temps, c'est pas la première fois qu'on est persuadé que c'est la fin définitive.
J'ose espérer qu'on puisse avoir une petite "magouille" de la ville, la FFF et de la Ligue pour faire partir l'association en CFA et destituer totalement la SASP en l'empêchant de participer à tout championnat. Histoire que notre ami Jafar ne revoit pas l'ombre du moindre centime

C'est que semblait vouloir Fontanel & Spielmann lorsqu'ils se sont déplacés ( voir ICI ) à la LFP l'autre jour.
Demain le Bachi-bouzouk tentera de renouer le contact avec Sitterlé vous verrez. J'espère que ce dernier le renverra paitre ses chèvres.