J'ai effectivement bein peur que Bachi-bouzouk ne fasse aucun geste et qu'il en reste à son prix de 10M, somme bien entendu que personne ne dépensera pour reprendre le Rcs.
Il est donc possible que l'on se dirige vers la destruction totale du club et de tout ce qui gravite autour.

Je suis du même avis que Poncho, vu le personnage .. ce serait étrange qu'il aille dans le sens positif pour le club.

Faut provoquer ce dépôt de bilan tant qu'on a encore la CHANCE (ça fait mal de le dire) de pouvoir repartir en CFA avec la réserve sans dettes, dans un an il sera sans doute trop tard ! Lorsque le "Racing Strasbourg" de Halleluiaoui sera mis en cessation de paiement, un administrateur du tribunal sera nommé pour étudier les propositions de reprise et Halleluiaoui sera exit !

Revente : Hilali dans l’attente
Jafar Hilali est revenu hier sur la vente éventuelle du club et son avenir.

Concernant la vente

Jafar Hilali a rencontré Eric Gousset, porteur du projet Jérôme de Bontin/José Cobos, il y a une dizaine de jours, à Paris.

« Je ne bloquerai absolument pas la vente, mais je ne braderai pas mes actions, précise le président. Il y a cette approche, il en existe quatre autres dont deux qui ne méritent pas l’attention. Ensuite, il faut être sérieux, faire une proposition officielle et documentée. »

En l’état actuel des choses, il n’y a rien dans ce sens, le déjeuner partagé par les deux convives n’ayant pas atteint le dessert. Les exigences en matière financière étaient très éloignées l’une de l’autre. Néanmoins, Eric Gousset a repris contact avec Jafar Hilali ce week-end. Un entretien téléphonique est programmé dans la semaine. « Pour être logique, il faudrait que les investisseurs se déclarent rapidement, poursuit Hilali. Il y a une saison à préparer. On n’est pas dans une partie de poker menteur. S’ils ont un intérêt pour le Racing, il faut faire les choses rapidement. Le plus tôt sera le mieux. »

Outre le passage devant la DNCG prévue le 9 juin, le président envisage néanmoins la suite. Le budget pour la saison prochaine, sous sa férule, serait drastiquement vu à la baisse. L’idée de ne plus jouer à la Meinau est étudiée. Concrètement, un changement de propriétaire est un impératif. « J’ai tout donné cette saison, conclut Jafar Hilali. Que cesse la vindicte populaire et es sayons de sortir par le haut ». Fr. N.
Jafar Hilali a répondu hier, via un communiqué sur le site internet du club, à l’UNFP qui l’avait mis en cause dans l’affaire des 200.000 euros. Il dénonce « une hypocrisie et une indignation de circonstances » et enjoint l’UNFP à « balayer devant sa porte ». Dans cette affaire, Jafar Hilali est convoqué devant le comité d’éthique. « J’aurai aimé la même fermeté sur l’histoire des quotas », a-t-il ajouté.

Je crois que c'est le premier truc intelligent que Hilali dit :

"S’ils ont un intérêt pour le Racing, il faut faire les choses rapidement. Le plus tôt sera le mieux. »"

(Ries a parler du RCS au journal ce soir, RAS si j'ai bien suivi, Jaffes pourais vendre, mais rien n'est sur..)

Son interview dans l'hebdosport de France Bleu Alsace de hier était suréaliste comme à l'accoutumée :
rtsp://son.radio-france.fr/locales/alsace/info/hebdo290511.rm

Joint par l'intermédiaire de son nouveau conseiller, le Mulhousien Adil El Barkaoui (apparu dans l'entourage du club la semaine dernière sous l'étiquette d'éventuel manager), le président du RCS, Jafar Hilali, a confirmé être en contact avancé avec 2 groupes de candidats au rachat du club.
Le premier, déjà évoqué ce week-end, est composé de l'ex-président de Monaco Jérôme de Bontin, du Strasbourgeois José Cobos et d'Eric Gousset.
Le second comprend 2 investisseurs nancéens, M. Callisesi et Quedot, qui s'appuieraient sur un 3e homme, un Alsacien dont le nom n'a pas encore été communiqué.
Ce second groupe de repreneurs a rencontré M. Hilali la semaine dernière à Paris, en présence d'Alain Fontanel, adjoint au maire de Strasbourg en charge des finances, qui suit le dossier de près depuis plusieurs mois. La Ville, en sa qualité de propriétaire du stade de la Meinau et partenaire financier important pour le Racing, étudie de près ces dossiers de rachat et souhaite accompagner la transaction si les projets de reprise s'avèrent sérieux.
Mais c'est bien Jafar Hilali qui détient toutes les clés, lui qui a encore répété aujourd'hui qu'il imposerait ses conditions de vente… Pas sûre qu'elles correspondent aux conditions d'achat des potentiels repreneurs.

France 3.fr

Qu'il impose seulement, même un club mort il devra payer des taxes.....
Ou alors, qu'on lui rembourse son investissement à la valeur d'un club de national et en contre partie les affaires prud'homales lors de la saison 2010/2011 seront à sa charge...

Hop ton heure est arrivée.

Dégage mon vieux.

Il impose, il n'a fait que çà toute la saison on connaît le résultat ou plutôt les résultats.

C'est vicieux son truc : il demande une somme démesurée à la base (qu'il n'a jamais dépensée) pour au moins obtenir ce qu'il a investi, si ce n'est davantage. Un repreneur avec une surface financière raisonnable mais pas gigantesque devra essayer de le pousser dans ses derniers retranchements avant le dépôt de bilan pour pouvoir acheter les parts, avec le risque que la folie de Halleluiaoui le pousse à sacrifier son pognon et tuer le club plutôt que de vendre à pertes.

C'est comme au tribunal, tu demandes le max pour avoir le minimum.....

Perso, les bruits de couloirs me gonflent et j'attends que la signature officiel, soit le RCS est repris, soit il est mort.....

Hilali lance les enchères
le 31/05/2011 à 00:00

Il a fixé un prix ferme de 10 millions d’euros, irréaliste pour un club de National. Mais Jafar Hilali n’en démord pas. Alors que le trio Jérôme de Bontin - José Cobos - Eric Gousset est identifié dans sa totalité depuis samedi (« L’Alsace » de ce jour), l’homme d’affaires londonien a dévoilé hier à « France 3 Alsace » le nom d’un duo lorrain intéressé par le rachat du RCS : Jean-Claude Calisesi (55 ans), consultant en audits, spécialisé dans l’assurance, adjoint au maire d’une commune de la couronne nancéienne, Saint-Max, et Francis Queudot, figure bien connue dans le foot amateur lorrain (ancien président de Vandoeuvre et Toul). Les deux hommes sont adossés à un partenaire alsacien qui préfère rester dans l’ombre tant que les négociations n’ont pas pris davantage d’épaisseur. Car à écouter Jean-Claude Calisesi, joint hier soir, une reprise du Racing par leur groupe n’est encore qu’une hypothèse d’école. « Nous nous sommes positionnés. Mes premiers contacts avec M. Hilali remontent à mai 2010. À l’époque où il avait racheté le club (en décembre 2009) , je m’étais manifesté de mon côté. On sait que Strasbourg est un grand club, avec un énorme potentiel. Nous voulons faire l’affaire, mais au prix que ça vaut. Dévoiler notre projet est pour lui une manière de nous mettre en concurrence avec les autres candidats. Il s’en sert. Mais il a placé la barre trop haut. De toute façon, on va très vite être fixé, le 10 ou 11 juin, après l’audition devant la DNCG le 9. Ou Hilali et ses associés sont vraiment très forts ou ça va être réglé et le club ira au dépôt de bilan. »

« À ce prix, Hilali ne trouvera personne »
Aujourd’hui, J.-C. Calisesi reconnaît volontiers que son groupe d’investisseurs ne dispose pas de suffisamment d’éléments concrets pour aller plus loin. « Nous n’avons pas eu accès aux bilans chiffrés du Racing. Je mène des audits dans le milieu du foot depuis longtemps et je sais d’expérience que malgré tout, on ne peut pas toujours connaître les créanciers non divulgués. Non seulement le prix de base est insurmontable, mais en plus, Hilali, que j’ai déjà rencontré et que j’ai au téléphone régulièrement, ne veut assumer aucune garantie de passif. En fait, la donne est entre ses mains. En restant intransigeant, il est en train de faire peur à tout le monde. Au prix demandé, il ne trouvera personne. »De fait, le trio Cobos - de Bontin - Gousset semble pour le moment le moins effrayé. Son dossier, que Hilali estimait « mal ficelé, mal monté, mal fait » dimanche sur « France Bleu Alsace », avance. Il pourrait être bouclé ce soir et une offre, formulée demain. Les trois hommes ont été d’autant plus étonnés de la sortie du président londonien qu’ils n’ont encore évoqué avec lui aucun processus de cession. Mais ils n’entendent ni réagir, ni polémiquer. Sous 24 heures, ils sauront s’ils peuvent à la fois faire une offre d’acquisition, assumer le passif et doter Laurent Fournier d’un effectif de qualité suffisante pour viser la remontée en Ligue 2. Ou, si comme le pressent Jean-Claude Calisesi, Jafar Hilali et surtout l’inextricable situation du Racing font « vraiment peur à tout le monde. » Au point de les amener à jeter l’éponge.

La liste des potentiels acheteurs ....selon Jafar 1er:

Citation :

Dans l'état actuel des choses plusieurs dossiers plus ou moins sérieux mais sans offre ferme nous ont été proposés.

La liste est la suivante :

- Claude Lewy et des investisseurs espagnols

- un membre du conseil de surveillance accompagné d'un industriel

- le Trio Gousset/Cobos/De Bontin

- Jonathan Hebling et son projet via Facebook

- Un croate avec un investisseur important

- Le trio Calisesi/Quedot/investisseur Alsacien

- Le chinois Fosun (en discussion)

Pour en savoir un peu plus sur ce repreneur chinois:


Pour en savoir plus sur Fosun, cliquer ici pour accéder à un article consacré à ce groupe chinois par nos confrères du Figaro. Fosun est un groupe lancé en 1992 par de jeunes étudiants de l'université de Fudan, en Chine. En 2007, il a été introduit à la Bourse de Hongkong, indique le fondateur dans une interview au Figaro. Il précise :"notre groupe couvre à la fois la pharmacie, l'immobilier, l'acier, les mines, les services et l'investissement. Il réalise un chiffre d'affaires de plus de 4,2 milliards d'euros et pour un bénéfice de 560 millions d'euros l'an dernier" (2009 NDLR).

Située à Shanghai, Fudan est une des plus anciennes et des plus prestigieuses universités de Chine.

DNA

J'espère qu'ils ne prennent pas le Racing pour une succursale du Club Med (voir l'article).

Quand j'entends club med, un nom me viens à l'esprit.......Tapie!

Pas plus avancé

Le point sur les prétendants

L'Alsace a écrit:

1.Claude Lewy et des investisseurs espagnols. Ce même Claude Lewy, qui gravite autour du RCS depuis des années, avait déjà approché l’ex-président Jean-Claude Plessis l’an passé en se présentant comme le porte-parole d’investisseurs luxembourgeois capables d’injecter 2 millions. Ni Plessis, ni personne d’autre n’a vu la couleur de l’argent.

2. Un membre du conseil de surveillance accompagné d’un industriel. Tous les Alsaciens du conseil de surveillance (Léonard Specht, Michel Wild, Jacky Kientz, Thierry Wendling et Jean-Luc Witzel) démentent être à l’origine de cette supposée démarche. Restent les cinq autres membres, tous issus de la phalange londonienne. Peu crédible. Sinon, pourquoi le fameux industriel ne serait-il pas déjà entré dans le capital ?

3.Le trio Gousset-Cobos-de Bontin. Identifié au complet dans « L’Alsace » du 28 mai, il travaille toujours, mais n’est pas arrivé au bout de sa réflexion (voir ci-dessus).

4.Jonathan Helbling et son projet via Facebook. Ce fan du Racing a lancé fin avril un groupe sur Facebook visant à créer un club de socios, lever des fonds parmi les supporters et accompagner un projet de reprise. Hilali l’identifie comme un projet indépendant. Mais pour sympathique qu’elle soit, l’initiative de J. Helbling a pour le moment brassé plus de vent que d’argent.

5.Un Croate avec un investisseur important. Le Croate en question s’appelle Andrej Bjegovic et il représenterait un investisseur alsacien. Rien d’autre n’a filtré.

6.Le trio Jean-Claude Calisesi - Francis Queudot - un investisseur alsacien. J.-C. Calisesi confiait lui-même dans ces colonnes mardi que ses associés et lui étaient intéressés, mais que le chemin menant à une offre était encore très long. « Non seulement le prix de base (10 millions d’euros) est insurmontable, mais Hilali ne veut assumer aucune garantie de passif. En restant intransigeant, il est en train de faire peur à tout le monde. Au prix demandé, il ne trouvera personne. » Les trois hommes ne bougeront pas avant le verdict de la DNCG.

7. Le Chinois Fosun. J. Hilali avoue lui-même que l’éventuelle venue du groupe chinois est en discussion. A prendre avec des pincettes et les précautions d’usage.

Bachi-bouzouk a écrit:

« Pour être logique, il faudrait que les investisseurs se déclarent rapidement, poursuit Hilali. Il y a une saison à préparer. On n’est pas dans une partie de poker menteur. S’ils ont un intérêt pour le Racing, il faut faire les choses rapidement. Le plus tôt sera le mieux. »

Oh que si, et plus le temps avance plus tu te retrouves au bord du précipice.Attention la chute va te faire mal aux fesses !

Comme s'il s'était préoccupé de la préparation la saison dernière.

Rémi a écrit:

Le point sur les prétendants

L'Alsace a écrit:

1.Claude Lewy et des investisseurs espagnols. Ce même Claude Lewy, qui gravite autour du RCS depuis des années, avait déjà approché l’ex-président Jean-Claude Plessis l’an passé en se présentant comme le porte-parole d’investisseurs luxembourgeois capables d’injecter 2 millions. Ni Plessis, ni personne d’autre n’a vu la couleur de l’argent.

2. Un membre du conseil de surveillance accompagné d’un industriel. Tous les Alsaciens du conseil de surveillance (Léonard Specht, Michel Wild, Jacky Kientz, Thierry Wendling et Jean-Luc Witzel) démentent être à l’origine de cette supposée démarche. Restent les cinq autres membres, tous issus de la phalange londonienne. Peu crédible. Sinon, pourquoi le fameux industriel ne serait-il pas déjà entré dans le capital ?

3.Le trio Gousset-Cobos-de Bontin. Identifié au complet dans « L’Alsace » du 28 mai, il travaille toujours, mais n’est pas arrivé au bout de sa réflexion (voir ci-dessus).

4.Jonathan Helbling et son projet via Facebook. Ce fan du Racing a lancé fin avril un groupe sur Facebook visant à créer un club de socios, lever des fonds parmi les supporters et accompagner un projet de reprise. Hilali l’identifie comme un projet indépendant. Mais pour sympathique qu’elle soit, l’initiative de J. Helbling a pour le moment brassé plus de vent que d’argent.

5.Un Croate avec un investisseur important. Le Croate en question s’appelle Andrej Bjegovic et il représenterait un investisseur alsacien. Rien d’autre n’a filtré.

6.Le trio Jean-Claude Calisesi - Francis Queudot - un investisseur alsacien. J.-C. Calisesi confiait lui-même dans ces colonnes mardi que ses associés et lui étaient intéressés, mais que le chemin menant à une offre était encore très long. « Non seulement le prix de base (10 millions d’euros) est insurmontable, mais Hilali ne veut assumer aucune garantie de passif. En restant intransigeant, il est en train de faire peur à tout le monde. Au prix demandé, il ne trouvera personne. » Les trois hommes ne bougeront pas avant le verdict de la DNCG.

7. Le Chinois Fosun. J. Hilali avoue lui-même que l’éventuelle venue du groupe chinois est en discussion. A prendre avec des pincettes et les précautions d’usage.

La question que l'on peut se poser c'est qui sur cette liste ,si bien entendu elle est vérifiée, est le mieux à même de conduire le club vers un meilleur avenir ?

J'ai surtout l'impression que l'on nous mène en bateau afin d'éviter tout remous jusqu'à ce que la DNCG nous prie d'aller voir plus bas...
Avis purement personnel.
Maintenant si quelqu'un en sait davantage sur tous ceux de la liste et leurs propositions, merci de nous faire parvenir les infos.

Qu'est-ce qu'on s'ennuie quand même les jours où Jafar ne fait pas parler de lui

De toute façon la fin est programmée... il suffit d' attendre

Soyons positif, c'est peut-être le début d'une nouvelle ère . Une qui fera à nouveau du Rcs le grand club qu'il était jadis.

Racing
Cette vente, c’est du chinois

Jérôme de Bontin, qui représente un groupe d’investisseurs américains, a besoin de quelques jours pour arrêter une position de principe, avant, ensuite, de commanditer un audit précis de la situation du club. Le chemin qui mène à une offre ferme est encore long. AFP/Valery Hache

Après avoir défié les lois, tacites ou édictées, du milieu du foot et été renvoyé dans ses seize mètres par les instances (fédération française, UNFP), le bouillonnant président Jafar Hilali a défié hier celles du monde de la finance en jetant sur la place publique le nom des supposés repreneurs du RCS, dont un groupe chinois, Fosun.

On se doutait que pour tous les suiveurs, lecteurs et amoureux du Racing, le dossier de revente du club bas-rhinois s’apparentait ces derniers temps à du chinois. On en a le cœur net depuis hier matin et la publication par Jafar Hilali sur le site officiel du RCS de la liste des repreneurs potentiels, dont un groupe chinois d’envergure, Fosun (4,2 milliards de chiffre d’affaires en 2009 et 560 millions de bénéfice).

Selon le président londonien, qui s’y entend comme personne pour créer le buzz (1), pas moins de sept candidats seraient intéressés, mais aucun n’a formulé d’offre ferme (voir ci-dessous). Et pour cause ! Aucun non plus n’a eu pour l’instant accès aux situations budgétaire et de trésorerie du RCS et pu mener un audit approfondi.

Alors qu’ils espéraient formuler une offre hier (« L’Alsace » de samedi), l’ex-président de Monaco Jérôme de Bontin, l’ancien Racingman José Cobos et Eric Gousset (natif de Strasbourg, comme Cobos) se sont exprimés par un communiqué laconique qu’ils ont cosigné et adressé à notre rédaction.

Un texte court expliquant que le trio a besoin d’un peu de temps. « A la suite du communiqué paru ce jour sur le site du Racing-Club de Strasbourg, nous vous confirmons notre intérêt sur la situation du Racing. Jérôme de Bontin souhaite plusieurs jours de réflexion afin, éventuellement, de réunir un actionnariat fort et durable autour de ce projet cher à José Cobos et Eric Gousset. »

En discussion avec un groupe d’investisseurs américains, l’éphémère président monégasque (d’avril 2008 à mars 2009) réclame donc un délai pour arrêter une position de principe sur le maintien ou non de sa candidature.

Aucune offre avant la DNCG ?
Sa décision n’interviendra a priori pas avant le début de semaine prochaine. Ensuite seulement, de Bontin, Gousset et Cobos commanditeront un audit détaillé, passage obligé avant une possible offre de rachat. Autant dire que cette dernière est encore loin d’être une réalité, malgré la volonté manifeste des trois hommes de s’impliquer au RCS. Elle a même peu de chances de prendre forme avant le passage du club devant la DNCG (2) le 9 juin.

Personne ne devrait d’ailleurs passer à l’action avant cette échéance cruciale pour l’avenir du Racing. A moins que le puissant groupe chinois Fosun, sorti de la lampe magique de Jafar Hilali, ne montre qu’il n’est pas là pour rigoler, au contraire d’un proche du club qui, hier, commentait ainsi son entrée en piste dans la valse des prétendants : « Si ce projet chinois accouche, on va se marrer, car c’est bien connu : on rit quand on naît. »

Plaisanterie mise à part, on voit mal, malgré le lobbying médiatique de Hilali, la cession du club être effective avant le 9 juin. L’actionnaire majoritaire le sait et tente de convaincre l’opinion – pas dupe - que les candidats se bousculent au portillon. Histoire - on l’a déjà dit - de faire monter les enchères. Pour mémoire, lors de la privatisation du Racing en 1997, contre un prix d’achat de 5 millions de Francs (762000 euros), trois dossiers sérieux avaient été élaborés, dont un avait renoncé au dernier moment. Le club bas-rhinois évoluait encore en Ligue 1 et son président Roland Weller, qui l’avait géré en père de famille, avait laissé 6 millions d’euros dans les caisses.

Quatorze ans plus tard, il émarge deux niveaux plus bas et est criblé de dettes. Il doit combler un trou de 4 millions avant le 30 juin. Sans parler des casseroles (litiges prud’homaux, comptes courants à rembourser, factures impayées). Pour beaucoup moins que ça (un déficit estimé entre 500 et 600 000 euros), le Sporting Toulon (CFA) a été rétrogradé mardi en Division d’Honneur. Comme avait l’habitude de le dire l’ex-coach du RCS Jean-Marc Furlan, « la peur n’évite pas le danger. » Mais l’optimisme béat non plus.

Waouw .. alors ça c'est de la vieille blague carambar XD .. « Si ce projet chinois accouche, on va se marrer, car c’est bien connu : on rit quand on naît. ».

Il n' y a pas que le repreneur potentiel qui pose problème à Strasbourg,

mais l ' approche du sport en particulier.

Il y a matière à réflexion!

eric a écrit:

Il n' y a pas que le repreneur potentiel qui pose problème à Strasbourg,

mais l ' approche du sport en particulier.

Il y a matière à réflexion!

En dehors du foot le sport se porte bien à Strasbourg, alors arrêtes avec tes "y'a matière à reflexion"......