Dimanche le 9/05/2021 à 15h

Ils vont réussir le nul.

4-1 Lacuesta.

Ouais moi je dirais 6-0 pour le RCSA ouais. 6 buts de Carole.

dna a écrit:
Lebo Mothiba monte en régime
Si son retour dans le groupe qui affrontera Montpellier dimanche semble prématuré, Lebo Mothiba, l'attaquant sud-africain du Racing, s'est montré à son avantage ce mercredi à l'entraînement.

Alors que Thierry Laurey semblait pessimiste la semaine dernière quant aux chances de le revoir en compétition d’ici à la fin de la saison, Lebo Mothiba – opéré du genou l’été dernier – semble vouloir accélérer le temps. Ce mercredi, l’attaquant sud-africain était en tout cas le joueur offensif le plus en vue lors de la séance d’entraînement.

Les observateurs ont constaté que le garçon aux dreadlocks âgé de 25 ans a retrouvé sa pointe de vitesse et son sens du but lors de petites oppositions à huit contre huit.

Pour autant, ses chances de réintégrer le groupe en vue du match capital de dimanche (15h) contre Montpellier sont minces après une si longue absence. D’autant que Laurey dispose d’un groupe quasiment au complet, seuls Simakan, que l’on ne reverra plus sous le maillot bleu, et Waris (adducteurs) étant indisponibles.

Ce sont pour l’heure 24 joueurs de champ – en comptant les jeunes Elimbi et Senaya – et 4 gardiens qui sont concernés par la réception des Héraultais.
Montpellier : incertitudes et suspensions

Du côté du MHSC, où le coach Michel Der Zakarian est sur le départ, toutes les énergies sont mobilisées pour la demi-finale de la Coupe de France, mercredi contre le PSG. À ce titre, on s’inquiète pour l’état de santé du gardien suisse Omlin, qui a ressenti une douleur à une cuisse lors de l’entraînement du jour et qui doit passer des examens ce jeudi.

Si la liste des absents est encore bien fournie – Savanier et Mollet seront suspendus à la Meinau, Pedro Mendes (genou) est forfait –, les Héraultais pourront compter sur leur capitaine Hilton, de retour après deux matches de suspension. Quant au milieu de terrain Ferri (adducteurs) et au latéral Souquet (ischios), ils doivent participer à la séance collective ce jeudi.

dna a écrit:
Le Racing en salle d’attente
Après avoir ouvert la journée précédente par un nul (1-1) à Marseille et assisté 48 heures plus tard aux succès de la plupart de leurs rivaux pour le maintien, les Strasbourgeois connaîtront les résultats de trois d’entre eux, Nantes, Bordeaux et Lorient, avant d’accueillir Montpellier dimanche (15h) à la Meinau.
Ils ont ouvert le bal de la 35e journée l’autre vendredi à Marseille et ont été tout près de jouer un très vilain tour au Vélodrome à un OM qui venait de s’y imposer quatre fois de suite.

En rapportant un point, leur 38e, du boulevard Michelet (1-1), les Strasbourgeois avaient, comme l’a rappelé une semaine plus tard leur coach Thierry Laurey en conférence de presse avant la venue de Montpellier dimanche (15h) à la Meinau, « l’impression d’avoir fait une bonne opération », en dépit de l’égalisation olympienne de la 86e minute.
« On a l’avantage d’être devant »
Mais ce coup de pression sur leurs concurrents dans la course au maintien a finalement fait pschitt. « J’avais trouvé que sur le terrain, ç’avait plutôt tourné en notre faveur, même si nous avions fait ce qu’il fallait pour ramener quelque chose. Mais les autres résultats de la journée ne nous ont pas été favorables (Ndlr : succès de Bordeaux, Nantes, Lorient et Saint-Étienne) », constate l’entraîneur d’un Racing 16e à l’aube des trois derniers actes de 2020-2021.

Pour la 36e journée, le Racing restera cette fois tapi dans l’ombre, à l’affût et l’écoute des résultats de trois de ses rivaux, en piste dès samedi. Nantes, 18e (34 points), et Bordeaux, 15e (39), s’affronteront à la Beaujoire à 13h et Lorient, 17e (38), défiera Lyon à 17h au Parc OL.

La performance des Merlus, pire équipe à l’extérieur avec Dijon (9 points, mais une seule victoire contre deux aux Bourguignons), deviendrait secondaire si les Canaris, qui viennent d’enchaîner deux victoires pour la première fois de la saison (2-1 à Strasbourg et 4-1 à Brest), se crashaient face à des Bordelais à qui leur succès contre Rennes (1-0) a redonné quelques couleurs.

Après avoir gâché deux balles de match virtuelles à Nîmes (1-1) et face aux Nantais (1-2), les Bleus pourraient alors tirer à balle réelle ce dimanche contre Montpellier et, en cas de victoire, repousser les hommes d’Antoine Kombouaré à sept points, avec seulement six à distribuer (*).

« Dans une course à plusieurs pour le maintien, on doit prendre en compte ce que font les autres, admet le milieu défensif Jean-Eudes Aholou, prêté par Monaco. Mais nous avons l’avantage d’être devant au classement. Si nous nous concentrons sur nous et faisons notre travail, nous n’aurons pas à regarder ce qui se passe à côté. Si nous gagnions devant Montpellier et si les autres ne gagnaient pas, nous pourrions être maintenus dès dimanche. »

« En fin de championnat, c’est humain de regarder un peu plus les résultats des autres, concède aussi Thierry Laurey, Mais si tu ouvres la journée et si tu gagnes, tu ne te poses pas ce genre de questions. »

Les Nantais, dont la place de barragistes reste menacée par les Crocodiles nîmois, n’ont, eux, plus à s’en poser pour espérer un maintien direct. Un troisième succès d’affilée ce samedi après-midi les replacerait à une longueur des Racingmen et deux des Girondins.

Le suspense serait ainsi prolongé d’une journée au moins et Alban Lafont et les siens mettraient la pression sur tous ceux qui joueront le lendemain, Racing compris.
« On ne se met pas plus de pression que ça »

« Pas forcément, s’efforce de dédramatiser Aholou. Dans les têtes, nous sommes programmés à jouer (le maintien) jusqu’au dernier match à domicile contre Lorient (le 23 mai). Il reste trois rencontres. Ce sont trois finales. On ne se met pas plus de pression que ça. On espère juste le faire (Ndlr : se maintenir) le plus rapidement possible. »

Son entraîneur développe peu ou prou le même argumentaire : selon lui, l’heure ne doit pas être ni la psychose, ni au “psychotage”. « On n’en est plus à se poser des questions, genre “être ou ne pas être”. Il faut avancer et prendre notre destin en main. L’important, c’est de savoir ce qu’on veut faire, mettre en place et le résultat qu’on va obtenir. S’il est positif, on n’aura pas trop à regarder les autres. »

Malheureusement – ou heureusement – pour eux, les Strasbourgeois ne le sauront que dimanche. Ils devraient donc être nombreux devant leur télé ce samedi à l’heure du déjeuner.

(*) Même en l’emportant à Metz, Nîmes resterait à six points du Racing, mais avec une différence de buts si négative qu’il ne pourrait plus le rattraper.
Barrages, mode d’emploi

Les dates et horaires des barrages qui concerneront le 18e de Ligue 1 et le vainqueur des play-offs de Ligue 2 sont connus : aller le jeudi 27 mai (20h45) sur le terrain de l’équipe de Ligue 2, retour le dimanche 30 mai (18h) sur le terrain de l’équipe de Ligue 1.

Vont avoir du mal.

S'il gagne contre Montpellier(ce que je suis sur)le maintien et assuré.

dna a écrit:
le feu aux trousses
Le net succès nantais contre Bordeaux (3-0) et le sévère revers de Lorient à Lyon (4-1) ont encore resserré hier les positions en bas de tableau. Avec des Canaris revenus sur leurs talons, les Strasbourgeois seraient bien inspirés de l’emporter ce dimanche (15h) à la Meinau contre Montpellier
Ainsi, à en croire Thierry Laurey, l’heure ne serait-elle plus aux questions existentielles empruntées à William Shakespeare et à son indémodable citation, à laquelle il a fait référence vendredi en conférence de presse : « Être ou ne pas être… »

Il reste trois matches au Racing pour éviter que sa saison 2020-2021 ne vire à la tragédie shakespearienne et ne renvoie à une autre célèbre citation, signée d’un grand “penseur” contemporain, Coluche : « Est-ce qu’on peut jouer Hamlet sans casser des œufs ? Ça n’est pas sûr… »
On pourrait en rire, mais l’année de tous les dangers que traverse le club strasbourgeois ne se prête guère à une contraction des zygomatiques. La situation des Bleus est crispante. Et l’entame de la 36e journée ne leur a pas vraiment permis de se détendre.
Montpellier démobilisé, vraiment ?

Lorient, toujours à leur hauteur, s’est bien incliné sans discussion à Lyon (4-1). Mais les Nantais sont revenus à un point d’eux, alors qu’il y a deux semaines à peine, au matin de leur succès à la Meinau (2-1), ils en accusaient neuf de retard. Eux qui n’avaient jamais aligné deux victoires cette saison l’ont fait à Strasbourg (2-1), puis à Brest (4-1), avant de s’offrir la passe de trois ce samedi à la Beaujoire, où ils ne s’étaient plus imposés depuis 14 matches (7 nuls, 7 défaites). Ils ont puni 3-0 un Bordeaux qui s’est de nouveau liquéfié six jours après avoir retrouvé un peu de corps contre Rennes (1-0).
Poussés par une dynamique porteuse (9 points sur 9), les joueurs d’Antoine Kombouaré ont de surcroît un calendrier abordable : déplacement à Dijon, déjà relégué, et réception de Montpellier pour les deux dernières journées. Un MHSC qui, justement, a rendez-vous à la Meinau ce dimanche.

Entre le départ annoncé de leur coach Michel der Zakarian, un classement en L1 (8e ) qui ne leur permet plus d’ambitionner une qualification européenne et une demi-finale de Coupe de France contre le PSG mercredi à la Mosson qui peut, elle, les hisser sur la scène continentale, les Montpelliérains y débarqueront-ils en tongs?

« On ne peut pas spéculer là-dessus, ce serait faire fausse route, réfute l’entraîneur du Racing Thierry Laurey. Il faut se dire qu’on a la capacité de les battre sans penser qu’ils pourraient avoir la tête ailleurs. »

Certes, le club pailladin, qui a triomphé des Racingmen à deux reprises cette saison (4-3 à l’aller à la Mosson le 22 novembre et 2-0 à la Meinau le 10 février en 32es de Coupe), a décéléré ces derniers temps, avec un seul succès en neuf journées (6 nuls, 2 défaites). Mais sitôt l’échec domestique contre Saint-Étienne dimanche dernier (1-2), son buteur Andy Delort a placé ses partenaires devant leurs responsabilités.
« J’ai les nerfs, car je n’ai pas envie qu’on finisse tranquilles. On a fait une belle saison et il faut continuer à gagner pour terminer le plus haut possible. On ne va pas tout gâcher sur les trois dernières journées. »

Avec une victoire – 3-2 chez un Bordeaux déliquescent – en sept rencontres (2 nuls, 4 revers, 5 points sur 21), le Racing ne peut de toute façon pas faire le barbot face aux joueurs de l’Hérault. D’autant que Laurey n’est pas le dernier à lister, dans une sorte d’inventaire à la Prévert, les insuffisances de son effectif.

« Il y a toujours un caillou dans la chaussure »

« Dans le jeu, on est moins bien en ce moment (…). Malheureusement, on n’a pas toute l’efficacité voulue et c’est un souci en fin de saison, pointe-t-il. On n’est pas performants dans la qualité de nos centres. À Nîmes (1-1) , on a été en dessous de tout. Contre Nantes, il y a juste Lionel (Carole) qui a réussi à en mettre un bon et comme par hasard, ç’a fait but (…). On a eu trop de problèmes de concentration et de rigueur par moments (…). Il y a toujours un caillou dans la chaussure. »

Voilà pourquoi il se fait plus lapidaire que d’ordinaire lorsqu’on l’interroge sur ce qu’il attend de ses hommes ce dimanche. « Les trois points. On n’est pas dos au mur. On le sera si la situation perdure après le match, voire avant le dernier. Si on ne prend pas de points, ça va commencer à urger. On espère les prendre contre Montpellier. »

C’est même instamment recommandé pour repousser l’assaut de Canaris rapaces et tirer profit de la noyade des Merlus dans le Rhône.

dna a écrit:
Racing: retour à un milieu en losange contre Montpellier ?
Après être repassé à une défense à cinq à Marseille dans un système en 5-3-2 le 30 avril lors du match nul au Vélodrome (1-1), le Racing devrait profiter du retour de suspension de son meneur de jeu Adrien Thomasson pour repasser en 4-4-2 avec un milieu en losange ce dimanche à la Meinau contre Montpellier (15 heures).
Alors qu'il n'a plus qu'un point d'avance sur le barragiste après la large victoire du FC Nantes ce samedi contre Bordeaux (3-0), le Racing sait qu'il ne pourra valider mathématiquement son maintien au terme de la 36e journée de Ligue 1. Les Strasbourgeois, seizièmes, ont l'occasion de reprendre quatre longueurs d'avance sur des Canaris totalement relancés par leur victoire à la Meinau le 25 avril (1-2). Ils peuvent aussi repousser Lorient - le 17e du championnat sèchement battu ce samedi à Lyon (4-1) - à trois points et soigner ainsi leur goal-average (+9) sur les Morbihannais qui viendront à la Meinau en clôture de la saison le 23 mai.

Pour cela, les hommes de Thierry Laurey doivent venir à bout ce dimanche après-midi de Montpelliérains déjà assurés du maintien (ils pointent à la 8e place avec 47 points) mais dont il ne faut pas attendre qu'ils aient l'esprit totalement accaparé par leur demi-finale de Coupe de France mercredi prochain contre le PSG. "Il ne faut pas qu’on spécule là-dessus. Il faut se dire qu’on a la capacité de battre cette équipe sans penser au fait qu’ils pourraient avoir la tête ailleurs. Ils vont avoir une équipe qui sera compétitive, que ça soit au début ou en fin de match", juge d'ailleurs l'entraîneur du Racing.
Après avoir avant tout misé sur la sécurité vendredi dernier à Marseille en alignant une défense à cinq pour limiter le rayonnement d'une attaque phocéenne retrouvée en cette fin de saison, le Racing a ramené un nul du Vélodrome. Mais Thierry Laurey a aussi pointé le déchet dans le jeu de son équipe, ce qui lui privé de revenir avec plus qu'un point de sa virée marseillaise. "Il faut qu’on retrouve un minimum de qualité technique et l’ambition de sécuriser le ballon quand on a fait les efforts pour le gagner", a-t-il insisté.
Prcic, la surprise du milieu ?

Le retour de suspension d'Adrien Thomasson est déjà un gage de qualité technique, mais la seule présence du meneur de jeu ne suffira pas à dominer une équipe de Montpellier rencontré sans succès à deux reprises cette saison (4-3 à la Mosson à l'aller après une première période assez dingue (3-3) le 22 novembre, 0-2 à la Meinau en Coupe de France sous un froid glacial le 10 février).

Après avoir opté en championnat pour un 4-4-2 avec un milieu à plat, puis pour un 4-2-3-1 en Coupe de France, Thierry Laurey devrait rester sur une défense à quatre (Guilbert, Mitrovic, Djiku, Caci) et pourrait favoriser un 4-4-2 avec un milieu en losange. En fin de la séance de veille de match ce samedi, après deux oppositions où il a dû faire tourner ses hommes (22 joueurs de champ disponible), le technicien a offert du rab à huit d'entre eux pour ce qui a fortement ressemblé à une mise en place tactique. Etaient concernés les latéraux Anthony Caci et Frédéric Guilbert (respectivement à droite et à gauche), les milieux Sanjin Prcic, Dimitri Liénard, Jeanricner Bellegarde et Adrien Thomasson, ainsi que le duo d'attaquants Ludovic Ajorque - Habib Diallo.

Dans ce milieu en losange, c'est Prcic qui évoluait en pointe basse, Liénard (gauche) et Bellegarde (droite) étant sur les côtés, Thomasson occupant la pointe haute. On peut y voir une piste pour exploiter les ballons à la récupération face à des Montpelliérains privés dans l'entrejeu de Téji Savanier et Florent Mollet (suspendus).

L'équipe possible du Racing

Sels - Guilbert, Mitrovic (cap.), Djiku, Caci - Bellegarde, Prcic, Thomasson, Liénard - Diallo, Ajorque.

L’adversaire du Racing : Montpellier, remobilisation générale
Tourné vers la demi-finale de la Coupe de France, ce mercredi contre le Paris SG, Montpellier estime que le meilleur moyen de s’y préparer est encore de « bien jouer à Strasbourg », comme le dit Michel Der Zakarian. Méfiance…
Le grand frisson, ce sera pour mercredi à la Mosson. Entamé en février à la Meinau par un 32e de finale rondement mené (0-2, buts de Delort et de Skuletic), le parcours héraultais en Coupe de France est en passe de se conclure en apothéose.
La der de “Der Zak”
Après avoir éliminé les “petits” Alès, Châteaubriant et Canet-en-Roussillon, ne reste plus qu’un obstacle à franchir avant la finale du 19 mai. Mais celui-ci est de taille, puisque Montpellier devra écarter le PSG.
Forcément, cette affiche est déjà dans toutes les têtes. Et le souvenir du dernier trophée soulevé dans la compétition exhale un doux parfum de nostalgie.
C’était en 1990, année où Michel Der Zakarian courait encore sur le pré, cheveux au vent, et où ceux de Carlos Valderrama révolutionnaient de manière éphémère l’art capillaire, sous forme d’une assez incroyable choucroute afro électrique.
Pour trouver des successeurs à Laurent Blanc et Kader Ferhaoui, buteurs voilà 31 ans en finale contre le Racing Paris de David Ginola, il faudra donc créer l’exploit mercredi.
« Pour bien nous préparer, il faudra faire un bon match à Strasbourg », insiste “Der Zak”, qui a officialisé son départ fin avril au côté du président Laurent Nicollin après quatre ans passés sur le banc pailladin.
En attendant de connaître l’identité de son successeur – les noms de Pélissier (Lorient), Dall’Oglio (Brest) et Battles (Troyes) sont cités – l’une des ultimes missions du coach sera donc de remobiliser ses troupes ce dimanche à la Meinau.
C’est qu’en championnat, Montpellier n’a plus gagné un match depuis le 21 mars et la venue de Bordeaux (3-1), avec depuis trois nuls suivis de deux défaites.
Sans Savanier ni Mollet
Toujours huitième mais trop loin désormais des places européennes, le MHSC ne peut que considérer cette sortie dominicale comme une répétition générale avant la demi-finale. Il faudra l’aborder sans le chef d’orchestre Savanier, ni le premier violon Mollet, tous deux suspendus.
Personne au Racing ne s’en plaindra, les duettistes étant impliqués dans les trois dernières défaites infligées aux Bleus (*). Pour autant, le danger est protéiforme à Montpellier. Et le trio d’attaque constitué de Delort, Laborde et Mavididi – 35 buts, 16 passes de concert – sera bien aligné au coup d’envoi.
Pour le reste, Michel Der Zakarian comptera sur ses titulaires habituels, dont le capitaine et défenseur central Hilton, revenu de deux matches de suspension, et le latéral droit Sambia, préservé le week-end dernier contre Saint-Étienne pour s’éviter un carton jaune synonyme de suspension contre le PSG.
Au but, c’est Bertaud, qui sera aligné, la saison du Suisse Omlin étant terminée en raison d’une blessure à la cuisse. La jeune doublure (22 ans) a ses repères à la Meinau, où elle avait été irréprochable en février dernier.
Dans les rangs du MHSC, personne ne voudra se blesser ni se faire expulser mais chacun voudra se montrer avant le sommet contre Paris. Pour le Racing, rien ne sera facile.
(*) 3-0 la saison dernière, 4-3 à l’aller en septembre, 2-0 en février en Coupe de France
dna

Les compos sont tombées:
RACING: Sels - Guilbert, Mitrovic ((cap.), Djiku, Caci - Bellegarde, Aholou, Thomasson, Liénard - Ajorque, Diallo. Entraîneur: Thierry Laurey.
MONTPELLIER: Bertaud - Souquet, Congré, Hlton (cap.), Sambia - Ristíc, Le Tallec, Ferri - Mavididi, Delort, Laborde. Entraîneur: Michel Der Zakarian.

Après un 5-3-2 qui lui a plutôt réussi au Vélodrome (1-1), le Racing va renouer avec son 4-4-2 en losange cet après-midi. Un temps pressenti, Sanjin Prcic ne remplace pas finalement Jean-Eudes Aholou à la récupération. Seul changement dans le onze de départ: Adrien Thomasson revient, Lamine Koné rejoint le banc.
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Montpellier n'est pas un adversaire qui réussit au Racing cette saison. Les Alsaciens ont déjà mordu la poussière à deux reprises, en championnat à la Mosson au terme d'un match fou, fou, fou (4-3) et en Coupe de France à la Meinau (0-2). Etant donné l'urgence d'un point de vue comptable, ce serait bien qu'il n'y ait pas de troisième fois aujourd'hui.

Petit point sur le classement. Le Racing n'est pas au mieux avec ses six points sur les sept derniers matches. Il a vu revenir le barragiste Nantes, vainqueur hier de Bordeaux, à 1 point alors que Lorient, défait à Lyon, compte le même nombre de points (38). Bref, tout autre résultat qu'une victoire cet après-midi serait une contre-performance. Et synonyme d'une fin de championnat très stressante.
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Est-ce que Montpellier sera au taquet cet après-midi? Rappelons que les Héraultais n'ont plus rien à jouer dans ce championnat (8e) et qu'ils ont une demi-finale de Coupe de France face au PSG dans le viseur. Ce match prévu mercredi à la Mosson sera-t-il déjà dans les esprits du MHSC plutôt décevant lors de ses dernières sorties en L1. Pour les Strasbourgeois, ce serait pas plus mal.
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C'est parti à la Meinau.

Ajorque trouve Thomasson dans la surface. Le centre du Savoyard en direction de Liénard au deuxième poteau surprend son coéquipier qui avait anticipé une intervention montpelliéraine. Dommage!

Après un quart d'heure de jeu, le Racing a pris la direction des opérations avec déjà deux occasions.

Montpellier, sans être dangereux pour l'instant, propose par séquences une belle maîtrise du ballon. Attention quand le trio Laborde-Delort-Mavididi sera trouvé en bonne position.

Petite pause fraîcheur pour les vingt-deux acteurs. Le mercure affiche 27°C ce dimanche à Strasbourg.

Faute de Guilbert qui retient Mavididi par le maillot. Coup franc côté gauche près de la surfac.

C'est mal tiré par Ristic qui ne parvient pas à sauter le premier rideau. Ajorque dégage au premier poteau de la tête.

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On ne peut pas dire que le rythme soit fou cet après-midi. Le Racing craint les contres montpelliérains et essaie de ne pas trop se découvrir.


But 0-1

But de Laborde! Sur un corner de Sambia, Laborde prend de vitesse Djiku pour placer une tête imparable au cœur de la surface alsacienne. Aï, aïe, aïe...

Carton jaune pour Aholou qui laisse traîner ses crampons sur la jambe de Ferri.

Le Tallec est averti par M. Miguelgorry.

Bonne intervention de Djiku dans la surface devant Delort parti dans son dos. Le défenseur central s'engueule ensuite avec Sels à qui il reproche de ne pas être sorti.

Il y aura quatre minutes de temps additionnel.

Le Racing essaie de revenir au score avant la mi-temps mais que c'est brouillon...

Mi-temps

C'est la pause et tout va mal pour le Racing mené sur un but de Laborde inscrit sur corner. L'affaire serait exécrable au classement d'autant plus que les concurrents directs (Angers, Brest) mènent, eux, à la pause. Il reste 45 minutes pour réagir.

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C'est reparti



But 0-2 Delort

But de Delort pour le MHSC. C'est pas possible, après moins de 40 secondes de jeu, le Racing se fait piéger. Sur une longue ouverture de Hilton, Delort fausse compagnie à Djiku avant de lober Sels. Le Racing a la tête sous l'eau.

But 0-3

Centre de Ferri côté droit mal dégagé de la tête par Mitrovic. Le ballon traîne au point de penalty et Djiku dévie comme il peut du front face à Mavididi. Laborde a du temps pour tenter une superbe bicyclette du droit qui attrape la lucarne de Sels.

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Franchement, ça ne pouvait pas être pire. Alors qu'on attendait une réaction, les Strasbourgeois ont complètement hypothéqué leurs chances de renverser la situation en moins de cinq minutes. Désormais, il va falloir faire attention de ne pas subir une déculottée puisque le goal-average comptera dans la lutte pour le maintien.

Double changement au racing: Liénard et Bellegarde sortent, Sissoko et Sahi Dion entrent.

Laborde a du champ sur la droite mais se précipite et loupe son centre qui trouve les gants de Sels. Le Belge relance rapidement.

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Quelle branlée. Le maillot du Racing à nouveau sali par une bande de peintres du dimanche.

Strasbourg tente de se relever après ce premier quart d'heure catastrophique.

Mavididi est trouvé dans la surface. Il s'emmène bien le ballon de la poitrine et tente d'éliminer Mitrovic avant de tomber au sol. L'Anglais réclame la faute du Serbe mais Mr Miguelgorry fait signe de jouer le corner.

Double changement au MHSC: Skuletic remplace Laborde, excellent cet après-midi, et Chotard supplée Ferri.

Chotard se signale d'entrée par une semelle sur Thomasson: il est logiquement averti.

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Strasbourg accuse le coup et n'arrive pas à mettre la pression sur Montpellier qui gère son avance.

Diallo pas loin d'alléger la note. Sur une remise intelligente de Thomasson, le Sénégalais frappe à l'entrée de la surface mais son ballon passe légèrement au-dessus de la transversale.

Caci, qui boitille, est remplacé par Carole côté Racing.

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But 1-3 Ajorque

Le but de l'espoir pour Ajorque
Longue touche de Carole côté gauche. Le ballon est dévié et revient sur Thomasson au point de penalty. Sa tentative du droit est déviée par Ristic. Ajorque se jette aux cinq mètres et tacle le ballon du droit devant Bertaud.

Souquet est remplacé par Dolly

Mavididi tricote près de la surface pour tenter d'éliminer Sissoko. Le Malien met le ballon en corner.

On a vraiment du mal à croire à une remontada même si le but d'Ajorque a remis du baume au cœur aux joueurs alsaciens.

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Chotard proche de tuer définitivement le suspense
C'est Delort qui se charge du corner. Chotard le coupe bien au point de penalty avec une tête qui passe de peu au-dessus.

Diallo cherche le penalty dans la surface héraultaise mais M. Miguelgorry ne se laisse pas abuser.

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Aholou se rate complètement au terme d'une contre-attaque en voulant chercher Carole alors que Sahi Dion était seul dans la surface. Quel raté!

Double changement à Montpellier: Le Tallec et Delort sont remplacés par Benchamma et Wahi.


Der Zakarian fait tourner en vue de la Coupe de France mercredi.

Strasbourg tente le tout pour le tout, quitte à déséquilibrer son bloc à la perte du ballon. Les espaces s'ouvrent au milieu de terrain pour les visiteurs.

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Guilbert à droite cherche Sahi qui subit une lourde charge de Congré dos au but. Coup franc pour le RCSA.

Djiku croit obtenir un penalty mais en fait, non, M. Miguelgorry siffle logiquement un hors-jeu.

Derniers changements au Racing: Prcic et Zohi remplacent Aholou et Diallo.

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C'est tiré rentrant par Guilbert. Le ballon traverse tout le monde et l'arbitre signale d'abord le point de penalty pour une charge de Djiku avant se raviser pour un possible hors-jeu du défenseur au départ de l'action.

Mr Miguelgorry attend l'analyse du VAR pour attribuer penalty ou confirmer le hors-jeu.

Après de longues secondes de flottement, l'arbitre choisit de signaler hors-jeu. Déception pour les Alsaciens.

Le Racing n'abdique pas mais on ne va pas se mentir, ça ne sent pas bon du tout cette histoire...

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